Testez vos connaissances sur la violence sexiste avec des membres de l'équipe d'AVA ! La violence sexiste est une violence dirigée contre une personne en raison de son __________. A. Le sexe B. Statut dans la société en tant que femme, fille, homme, garçon ou personne non binaire de genre différent. C. Expression de genre D. Identité de genre E. Perception du genre F. Tout ce qui précède Qu'en est-il pour vous ? Commentez ci-dessous ! La connaissance et la prise de conscience de la violence fondée sur le genre est la première étape pour travailler ensemble à la combattre ! Restez à l'écoute demain pour une nouvelle édition de « Testez vos connaissances avec AVA » ! #AVA #TestYourKnowledge #EndGBV
Post de AVA (Alliance against Violence and Adversity)
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16 jours d'activisme Jour 1 : « La violence basée sur le genre se réfère à l’ensemble des actes nuisibles, dirigés contre un individu ou un groupe d’individus en raison de leur identité de genre. Elle prend racine dans l’inégalité entre les sexes, l’abus de pouvoir et les normes néfastes. Cette expression est principalement utilisée pour souligner le fait que les déséquilibres de pouvoir structurels, fondés sur le genre, placent les femmes et les filles dans une position leur faisant courir un plus grand risque d’être l’objet de multiples formes de violence » (ONU Femmes). La violence fondée sur le genre prend de nombreuses formes, notamment la violence domestique ou conjugale, le harcèlement et l'agression sexuels, le mariage d'enfants, le harcèlement criminel et la traite des êtres humains. Pour en savoir plus : https://buff.ly/4eqZtAA
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Titre : AALIV : Lutter contre le Viol et l'Inceste en Afrique, une Urgence pour Tous Lorsque le sujet des violences sexuelles est abordé, une réaction commune émerge : le détournement du regard, le silence gêné, voire la fin abrupte de la conversation. Cependant, cette réaction, bien que répandue, est fondamentalement erronée. En réalité, que ce soit de près ou de loin, nous sommes tous touchés par les ravages des violences sexuelles. Chacun d'entre nous est quotidiennement confronté au poids du silence et des tabous qui entourent la sexualité. Une des manifestations les plus poignantes de cette réalité est la détresse de nos enfants. Privés d'une éducation sexuelle adéquate, nombreux sont ceux qui grandissent sans repères, ignorant souvent le sens du respect de soi et des autres. Incapables de discerner les valeurs morales, ils se tournent parfois vers la pornographie, source de valeurs contradictoires et souvent néfastes. Les conséquences sont lourdes, et trop souvent, ce sont les victimes des violences sexuelles qui en font les frais. Au cœur de ce problème réside une lacune éducative majeure, exacerbée par une compréhension insuffisante de la sexualité et un manque de maîtrise des pulsions. Les auteurs de ces actes, dans leur grande majorité des hommes, n'ont jamais appris à comprendre ni à respecter la sexualité, ni celle des autres. Face à cette situation alarmante, l'Association Africaine de Lutte contre l'inceste et le Viol (AALIV) se dresse comme un rempart. Notre mission est double : sensibiliser d'abord les auteurs et les potentiels auteurs de ces violences aux conséquences dévastatrices de leurs actes, puis prendre en charge les victimes les plus vulnérables. En collaborant avec les communautés, les institutions éducatives et les autorités, nous aspirons à créer un changement significatif dans la manière dont la société aborde et traite les violences sexuelles. Notre objectif est clair : éduquer, sensibiliser et protéger, afin de construire un avenir où chaque individu, quel que soit son sexe, peut s'épanouir en toute sécurité et dignité. Michele Nguimezon
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Éducation à la vie affective, relationnelle et à la sexualité : la Miprof soutient la mise en œuvre d’un programme ambitieux Apprendre aux enfants, dès leur plus jeune âge que leur corps leur appartient, Les éduquer aux notions de consentement, de respect de l’autre, d’intimité, d’inclusion, Ancrer, très tôt, une culture de l’égalité entre les filles et les garçons, entre les femmes et les hommes, Décrypter et lutter contre les stéréotypes de genre qui sont à la racine des violences sexistes et sexuelles, … est une absolue nécessité pour protéger nos enfants, construire une société plus protectrice et garantissant l’égalité des chances pour toutes et tous. Les données de la police, de la gendarmerie et de la Justice montrent que les violences sexistes et sexuelles impactent massivement les femmes et les enfants : -91 % des victimes majeures de violences sexuelles enregistrées sont des femmes -Les enfants représentent plus de la moitié des victimes de violences sexuelles enregistrées en 2023 par les forces de sécurité, (57 %), soit 65 299 enfants, adolescents et adolescentes. -89 % des victimes de viols ou tentatives de viol sont des femmes et 51 % étaient mineures (dont 69 % de - de 15 ans) en 2023. -Parmi les 18 512 mis en cause pour violences sexuelles (viols, agressions sexuelles, atteintes sexuelles), 96 % étaient des hommes -99 % des condamnations pour violences sexuelles concernent des hommes La Miprof a activement participé aux consultations organisées par le ministère de l'Education nationale, aux côtés d’expertes et experts de la société civile et des autres administrations de l’Etat. Lors de ces travaux, la Mission a soutenu la nécessité de contenus exigeants et robustes, permettant aux personnels éducatifs d’accompagner les élèves dans le développement de leur maturité personnelle et citoyenne. Le programme travaillé a le mérite, inédit et essentiel, de mobiliser de nombreuses disciplines scolaires et d’afficher une action éducative unique, adaptée, progressive et continue, de la maternelle au lycée, bien loin des rumeurs fantaisistes ou trompeuses que font circuler certains. Dans un contexte où les contenus pornographiques envahissent les réseaux sociaux provoquant des ravages sur les représentations de la femme qui enracinent les violences à leur encontre, Alors que la CIIVISE a évalué à 160 000 le nombre d’enfants victimes de violences sexuelles et d’inceste, Et tandis que les phénomènes prostitutionnel et d’exploitation sexuelle, y compris d’enfants, atteignent des niveaux inédits, … l’absence d’un programme national ambitieux d’éducation à la vie affective, relationnelle et à la sexualité au sein de l’Ecole, constituerait un manquement grave. Celles et ceux qui veulent y renoncer désertent le combat de la lutte contre les violences sexistes et sexuelles faites aux femmes et aux enfants. Celles et ceux qui accepteraient d’y renoncer pourraient devenir complices des agresseurs.
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Un petit rappel clair et simple
Président du tribunal judiciaire de Sens - Professeur affilié à l’Ecole de droit de Sciences Po Paris - Co-président de l'AMFJC
💬 On en entend beaucoup parler mais qu’est-ce que « la culture du viol » ? 🚨 📖 La culture du viol désigne un ensemble de croyances et de comportements qui minimisent, normalisent, voire justifient les agressions sexuelles. 😔 Elle se manifeste de plusieurs façons dans notre société, souvent de manière subtile mais profondément enracinée. Voici quelques exemples : 1️⃣ Blâmer la victime : Lorsqu’on remet en question les vêtements, les comportements ou les choix de la personne agressée, son rapport à la sexualité ou encore son niveau culturel plutôt que de s’interroger sur le comportement de l’agresseur. 🧥❓ 2️⃣ Minimiser la gravité des actes : Les blagues ou commentaires qui banalisent les agressions sexuelles contribuent à entretenir cette culture. Les violences sexuelles ne doivent jamais être prises à la légère et si la liberté d’expression, la caricature et l’humour sont des valeurs primordiales, elles ne doivent pas conduire à ridiculiser les victimes d’agression sexuelle. 😶 3️⃣ Entretenir une confusion sur des notions importantes : l’idée de « continuum de violences » n’a jamais voulu dire qu’il fallait punir de la même façon une insulte sexiste et un viol mais a simplement contribué à donner un même cadre d’analyse à des violences ayant le même fondement : la dévalorisation des femmes. 🚫⚖️ 4️⃣ Hypersexualisation et objectification des femmes : Les stéréotypes et représentations sexistes dans les médias et la société en général renforcent l’idée que les femmes sont des objets de désir plutôt que des individus à part entière. 📺👗 🗣️ En parler permet de décortiquer ces dynamiques pour les combattre. En déconstruisant la culture du viol, nous pouvons décrypter notre quotidien et contribuer à instaurer un environnement où le respect et l’égalité sont au cœur des relations humaines. ✊💜 #CultureDuViol #VIF #Égalité #Respect #Éducation #DroitDesFemmes #justice
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Donnons-nous les moyens d’une protection de l’enfance digne et ambitieuse. Cela passe par un programme ambitieux d’éducation à la vie affective, relationnelle et sexuelle. Protegeons nos enfants en leur donnant entre autres choses, les moyens de se protéger eux-mêmes. Ensemble on est plus fort.es https://lnkd.in/dUCjXYb7
Éducation à la vie affective, relationnelle et à la sexualité : la Miprof soutient la mise en œuvre d’un programme ambitieux Apprendre aux enfants, dès leur plus jeune âge que leur corps leur appartient, Les éduquer aux notions de consentement, de respect de l’autre, d’intimité, d’inclusion, Ancrer, très tôt, une culture de l’égalité entre les filles et les garçons, entre les femmes et les hommes, Décrypter et lutter contre les stéréotypes de genre qui sont à la racine des violences sexistes et sexuelles, … est une absolue nécessité pour protéger nos enfants, construire une société plus protectrice et garantissant l’égalité des chances pour toutes et tous. Les données de la police, de la gendarmerie et de la Justice montrent que les violences sexistes et sexuelles impactent massivement les femmes et les enfants : -91 % des victimes majeures de violences sexuelles enregistrées sont des femmes -Les enfants représentent plus de la moitié des victimes de violences sexuelles enregistrées en 2023 par les forces de sécurité, (57 %), soit 65 299 enfants, adolescents et adolescentes. -89 % des victimes de viols ou tentatives de viol sont des femmes et 51 % étaient mineures (dont 69 % de - de 15 ans) en 2023. -Parmi les 18 512 mis en cause pour violences sexuelles (viols, agressions sexuelles, atteintes sexuelles), 96 % étaient des hommes -99 % des condamnations pour violences sexuelles concernent des hommes La Miprof a activement participé aux consultations organisées par le ministère de l'Education nationale, aux côtés d’expertes et experts de la société civile et des autres administrations de l’Etat. Lors de ces travaux, la Mission a soutenu la nécessité de contenus exigeants et robustes, permettant aux personnels éducatifs d’accompagner les élèves dans le développement de leur maturité personnelle et citoyenne. Le programme travaillé a le mérite, inédit et essentiel, de mobiliser de nombreuses disciplines scolaires et d’afficher une action éducative unique, adaptée, progressive et continue, de la maternelle au lycée, bien loin des rumeurs fantaisistes ou trompeuses que font circuler certains. Dans un contexte où les contenus pornographiques envahissent les réseaux sociaux provoquant des ravages sur les représentations de la femme qui enracinent les violences à leur encontre, Alors que la CIIVISE a évalué à 160 000 le nombre d’enfants victimes de violences sexuelles et d’inceste, Et tandis que les phénomènes prostitutionnel et d’exploitation sexuelle, y compris d’enfants, atteignent des niveaux inédits, … l’absence d’un programme national ambitieux d’éducation à la vie affective, relationnelle et à la sexualité au sein de l’Ecole, constituerait un manquement grave. Celles et ceux qui veulent y renoncer désertent le combat de la lutte contre les violences sexistes et sexuelles faites aux femmes et aux enfants. Celles et ceux qui accepteraient d’y renoncer pourraient devenir complices des agresseurs.
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💬 On en entend beaucoup parler mais qu’est-ce que « la culture du viol » ? 🚨 📖 La culture du viol désigne un ensemble de croyances et de comportements qui minimisent, normalisent, voire justifient les agressions sexuelles. 😔 Elle se manifeste de plusieurs façons dans notre société, souvent de manière subtile mais profondément enracinée. Voici quelques exemples : 1️⃣ Blâmer la victime : Lorsqu’on remet en question les vêtements, les comportements ou les choix de la personne agressée, son rapport à la sexualité ou encore son niveau culturel plutôt que de s’interroger sur le comportement de l’agresseur. 🧥❓ 2️⃣ Minimiser la gravité des actes : Les blagues ou commentaires qui banalisent les agressions sexuelles contribuent à entretenir cette culture. Les violences sexuelles ne doivent jamais être prises à la légère et si la liberté d’expression, la caricature et l’humour sont des valeurs primordiales, elles ne doivent pas conduire à ridiculiser les victimes d’agression sexuelle. 😶 3️⃣ Entretenir une confusion sur des notions importantes : l’idée de « continuum de violences » n’a jamais voulu dire qu’il fallait punir de la même façon une insulte sexiste et un viol mais a simplement contribué à donner un même cadre d’analyse à des violences ayant le même fondement : la dévalorisation des femmes. 🚫⚖️ 4️⃣ Hypersexualisation et objectification des femmes : Les stéréotypes et représentations sexistes dans les médias et la société en général renforcent l’idée que les femmes sont des objets de désir plutôt que des individus à part entière. 📺👗 🗣️ En parler permet de décortiquer ces dynamiques pour les combattre. En déconstruisant la culture du viol, nous pouvons décrypter notre quotidien et contribuer à instaurer un environnement où le respect et l’égalité sont au cœur des relations humaines. ✊💜 #CultureDuViol #VIF #Égalité #Respect #Éducation #DroitDesFemmes #justice
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En l'honneur des 16 jours d'activisme contre la violence basée sur le genre, AVA et RESOLVE Alberta afficheront tous les jours des messages visant à sensibiliser le public à ce problème. Qu'est-ce que la violence sexiste ? La violence basée sur le genre (GBV) se réfère à des actions nuisibles dirigées contre une personne en raison de son genre, de son identité de genre ou de son expression de genre. Il peut s'agir d'atteintes physiques, sexuelles, émotionnelles ou psychologiques, ainsi que de discriminations ou de menaces systémiques. Bien qu'elle puisse toucher n'importe qui, la violence liée au genre est subie de manière disproportionnée par les femmes, les filles et les personnes appartenant à des groupes diversifiés sur le plan du genre. La violence fondée sur le genre comprend de nombreux types de préjudices ou d'abus, tels que la violence physique et sexuelle, les préjudices émotionnels et psychologiques, les abus économiques et les abus facilités par la technologie (cyberviolence). En outre, le contrôle coercitif est une forme souvent négligée de violence entre partenaires intimes, qui a de graves répercussions sur le bien-être et la sécurité. Elle comprend des comportements tels que la surveillance, l'isolement et la restriction de la liberté, qui visent tous à saper l'indépendance d'une personne. Restez à l'écoute demain pour découvrir ce qu'est le contrôle coercitif et les efforts déployés pour y remédier. Si vous ou une personne de votre entourage êtes victime de violence sexiste, vous pouvez obtenir de l'aide : https://lnkd.in/dcmpZkz www.sheltersafe.ca #AVA #EndGBV #16DaysofActivism
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l'éducation à la sexualité est un aspect important pour réduire la place des stéréotypes de genre et les phénomènes discriminatoires ou de harcèlement. il n'y a pas de théorie du genre, il y a des normes de genres dans la société qui influencent tous les citoyens... et ça doit se savoir ! Éducation à la sexualité : les ministres Genetet et Portier réhabilitent la fausse « théorie du genre » https://lnkd.in/eMbM-iVQ
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#TRIBUNE 📣 I « Sexe et consentement : "Stop à la culture du viol, oui à la culture du consentement" » Combien de victimes, combien de hashtags, combien « d’affaires » faudra-t-il ? De manière totalement organisée et banalisée, la société dans laquelle nous vivons produit et encourage les violences sexistes et sexuelles. ⛔ Pourtant, par une mobilisation collective et des changements en profondeur, nous pouvons passer d’une culture du viol généralisée à une culture du consentement : 🗣 par l'éducation 📜 par la loi 🤝 par la pratique ✍ Le Planning familial signe une tribune collective parue dans le Le Nouvel Obs, aux côté de Sexe et Consentement, Fédération nationale des CIDFF, SOS homophobie, NousToutes, En avant toute(s), #StopFisha, Observatoire des Violences Sexistes et Sexuelles dans l'Enseignement Supérieur et Collages féministes. 🔗 #DroitsdesFemmes #Féminismes #Justice #VSS #Presse https://lnkd.in/eMTjmCUK
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DROIT DE L'HOMME De nombreuses personnes à travers le monde sont confrontées à la violence et aux inégalités – et parfois à la torture, voire au risque d'une exécution – en fonction de qui elles aiment, de leur allure ou de qui elles sont. L'orientation sexuelle et l'identité de genre sont des aspects intégraux de la personne humaine et ne devraient jamais conduire à des discriminations ou à des abus. Human Rights Watch travaille à défendre les droits des lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres (LGBT), avec des militants représentant un large éventail d'identités et de questions. Nous documentons et révélons les abus commis pour des motifs liés à l'orientation sexuelle et à l'identité sexuelle à travers le monde – notamment des actes de torture, des meurtres et des exécutions, des arrestations effectuées en vertu de lois inéquitables, des traitements discriminatoires, des mesures de censure, des abus commis dans le domaine médical, des discriminations exercées dans les domaines de la santé, de l'emploi et du logement, des violences familiales, des abus commis à l'encontre d'enfants, ainsi que le déni de droits familiaux et de reconnaissance. Nous plaidons pour l'adoption de lois et de politiques qui protègent la dignité de chacun. Nous travaillons pour l'avènement d'un monde où chaque personne peut jouir pleinement de tous ses droits.
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