Vos témoignages en disent long sur l'état de notre système de santé : pénurie de soignants, engorgement des urgences, crise des EHPAD, insuffisance des soins palliatifs... ⚡Le nouveau premier ministre et son futur gouvernement, les parlementaires, tous auraient tort d’ignorer ces difficultés ; pire, ils commettraient l’irréparable en y répondant par la légalisation du suicide assisté et de l’euthanasie. 👉🏼 Signez notre appel : https://lnkd.in/eSxCUgsE #jattendsdessoins #euthanasie #findevie #dermato #urgences
Post de Alliance VITA
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🚨 Situation exceptionnelle aux urgences 🚨 Nos services d'urgences font actuellement face à un fort afflux de patients, avec une saturation qui complique la prise en charge dans des délais optimaux. ➡️ Nous encourageons les personnes dont l’état ne relève pas d’une urgence vitale à : - Contacter leur médecin traitant - Appeler le 15 pour évaluer la nécessité d’une prise en charge avec un médecin régulateur. 👉 Notre priorité est d'assurer des soins rapides et efficaces pour les cas les plus graves. Votre compréhension et votre recours à des solutions alternatives peuvent réellement faire la différence dans la fluidité de nos interventions. 🙏 Merci de votre compréhension. #Santé #Urgences #Prévention Ville de Libourne La Cali - Communauté d'agglomération du Libournais ARS Nouvelle-Aquitaine - Agence régionale de Santé
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Le grand charabia du gouvernement… soins « d’accompagnement »? Soins palliatifs ? Sait-on au moins de quoi on parle? « Maisons d’accompagnement », non médicalisées, donc automatiquement non adaptées à cette population de patients ? Le rapport Chauvin les définit clairement: Composées d'une dizaine de lits d'hébergement, elles seraient destinées aux malades dont l'état de santé est stable, qui ne peuvent plus rester à l'Ehpad mais qui n'ont pas la nécessité d'être hospitalisés. Ces maisons pourraient également héberger des malades en fin de vie qui ne peuvent pas rester chez eux. Peu de médical dans ces maisons d'accompagnement mais "de la place pour l'écoute et le bien-être". Donc pratiquement, déplacement des malades d’un EHPAD vers un autre EHPAD, et mise en opposition du « médical » versus « l’écoute et le bien-être »… Mais le problème, ce ne sont pas les malades dont l’état de santé est stable… Par définition, le problème, c’est quand les choses sont instables, quand les symptômes évoluent, quand les souffrances augmentent, quand le pronostic est réservé, quand on ne sait pas si le patient va « passer le cap » ou pas, quand on sait que malgré une stabilité apparente aujourd’hui, la fin de vie risque d’être mouvementée avec un risque de souffrance majeure (dyspnée, épilepsie, hémorragies, et j’en passe…) Car rappelons de qui il s’agit ici: des personnes atteintes de maladies graves potentiellement incurables et mortelles. Nous parlons des personnes LES PLUS MALADES DE NOTRE SYSTEME DE SANTE, de celles qui devraient, dans un système de santé qui se respecte, bénéficier des traitements de pointe et d’un accompagnement médical et paramédical expert et pointu. Et qu’est-ce qu’on leur offre? Le choix entre un EHPAD pour personnes malades, sans soignants, et le suicide.
Professeur de Médecine, chef du service des urgences, MD, PhD, HEGP, Paris, Député des Hauts-de-Seine et Conseiller municipal de La Garenne-Colombes
En promettant 1 milliard d'euros en 10 ans pour les soins palliatifs, on n’augmente que de 6% le budget des soins palliatifs, là où il faudrait le doubler si on voulait rendre les soins palliatifs accessibles à tous. Le risque : que mal pris en charge, on choisisse le suicide assisté par défaut d’accès aux soins palliatifs. Ma question adressée à la ministre des Solidarités et de la Santé ⤵️
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Ce matin, j'ai reçu le président de Samu Urgences de France.🚨 Nous avons échangé sur les enjeux critiques auxquels sont confrontés nos services d'urgences et la nécessité de réformes profondes pour garantir un accès rapide et équitable aux soins pour tous. Face à la crise actuelle du système de santé, il est impératif d’apporter des réponses concrètes aux professionnels qui, chaque jour, font face à des situations de plus en plus complexes. 🏥 Le gouvernement de Michel Barnier devra se mobiliser pour assurer la pérennité de ce pilier essentiel de notre service public. #Santé #Urgences
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Merci de mettre en lumière la discordance entre les moyens presentés et les objectifs à atteindre Les maisons d’accompagnements sont nécessaires mais non suffisantes et Mme la ministre Vautrin le sais bien. Les maisons d’accompagnements sont une bonne chose et un attendu de longue date pour les personnes en « soins palliatifs chroniques » mais elles ne pourront accompagner que quelques milliers de patients supplémentaires (100 maisons prevu en 10 ans, 12 lits, soit un capacitaire de 1200 lits supplémentaires). La duree moyenne de sejour attendu sur de telles maisons est de 3 mois, soit un accueil possible de 1200 x 4 = 4800 personnes / an ( je suis bien placé pour le savoir car nous sommes en train d’en créer une sur Tours) Aujourd’hui, la cours des comptes et l’igas estiment qu’une personne sur 2 n’a pas acces à des soins palliatifs. Sur les 650 000 deces annuels, 400 000 personnes ont besoins de soins palliatifs, 200 000 en reçoivent effectivement (grace au bon soins des HAD, USP et autres EMSP). C’est donc 200 000 personnes qui n’en reçoivent pas encore. Il faut alors réfléchir à un modèle qui permette d’accompagner ces 200 000 personnes et non pas mettre en avant dans la reponse un modele de « maison d’accompagnement » qui ne pourra en accueillir que 4800. On voit bien qu’on est dans une reponse sophistique de Mme la ministre que l’on peut qualifier de « rustine » sur un pneu lacéré de toute part. Une des solutions qui semble pertinente pour accompagner ces 200 000 patients est la méthodologie Voisins&Soins. En tout point de notre territoire nationnal, en tout lieux, domicile et maison de retraite, créer des petites équipes hybrides composées de médecins généralistes référents en soins palliatifs (recrutés sur des temps tres partiels), d’infirmières referentes et de bénévoles formés pour accompagner ses voisins, dans une approche globale et solidaire de proximité Visitatio - Voisins & Soins Catherine Vautrin Frédéric Valletoux Agnès Firmin Le Bodo Christèle Gautier Philippe Juvin Olivier MERMET @chauvin patrick Francis JUBERT, Ph.D. Alain Toledano Elisabeth Balladur
Professeur de Médecine, chef du service des urgences, MD, PhD, HEGP, Paris, Député des Hauts-de-Seine et Conseiller municipal de La Garenne-Colombes
En promettant 1 milliard d'euros en 10 ans pour les soins palliatifs, on n’augmente que de 6% le budget des soins palliatifs, là où il faudrait le doubler si on voulait rendre les soins palliatifs accessibles à tous. Le risque : que mal pris en charge, on choisisse le suicide assisté par défaut d’accès aux soins palliatifs. Ma question adressée à la ministre des Solidarités et de la Santé ⤵️
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📖 Notre #bulletin #obsan sur le recours aux services d'urgence ambulatoires est désormais disponible ! Ce bulletin examine l'évolution des admissions dans les services d'urgence des hôpitaux de 2017 à 2022, en mettant l'accent sur les comportements des patients au début de la pandémie de #COVID-19. Résultats clés : 📈 Année record : 2022 a marqué un pic historique en matière d'admissions aux #urgences, avec une facturation dépassant le milliard de CHF. 🗺️ Différences régionales : Les patients des cantons latins recourent plus fréquemment aux services d'urgence des hôpitaux que ceux des cantons de suisse allemande. 🦠 Tendances de recours : Bien que l'évolution du recours aux urgences soit globalement à la hausse, le nombre d'admissions a chuté en 2020, en raison de la pandémie. 💲 Augmentation des #coûts : Le coût moyen d'une admission a grimpé de 9% pendant la pandémie, sans retrouver son niveau d'avant. Cette hausse, combinée à une augmentation significative du nombre de patients par la suite, a conduit à une forte élévation des coûts totaux en 2022.
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Valorisons les compétences rémunérées à leur juste valeur. Nous nous épuisons d un système dont le modèle économique est fait d aide et ne rémunère pas les sociétés impliquées. Comment expliquer que l intervention d un type B avec ECG hemocue et autre matériel coûteux, sans parler de la formation des ambulanciers, soit rémunérée au même titre qu une type A Lorsque nous réalisons un ECG, nous sommes générateur d’économie. Nous évitons le déplacement d’une SMUR, un passage aux urgences inutiles, et bien souvent un retour à domicile au moyen de transport sanitaire. Lorsque nous réalisons cet acte, sous couvert de la sortie blanche, nous sommes moins rémunérés qu’une Ambulance De type A qui réaliserai un transport. économiquement parlant, comment est-ce possible de continuer à inciter les sociétés à investir ? Comment est-ce possible de continuer à motiver nos ambulanciers, lorsque l’acte réalisé n’a aucune valeur.
🚨Attention danger ! 🚑 Les conditions de mise en œuvre de la réforme de l’urgence pré-hospitalière inquiètent les ambulanciers. Cet été, la prise en charge des patients dans le cadre de l’urgence pourrait s’effondrer. ⚠️ En plein remaniement ministériel 🏛️ et durant les JO🏅, cette crise s’annonce majeure. C’est pourquoi, la CNSA - Chambre Nationale des Services d'Ambulances invite la Direction générale de l'offre de soins (DGOS) à prendre des mesures immédiates. 💬 Retrouvez le témoignage de Pascal BARTHÈS, membre du conseil d’administration de la CNSA - Chambre Nationale des Services d'Ambulances. Dominique Hunault ; Guillaume Narguet ; Hélène LUKOVIC ; Vincent LE STRAT ; Roland de Barbentane ; PIERRE-YVES VANSTAVEL ; Thomas DAMIEN ; Johan CABRITA ; Stéphane GRATON ; Catherine Vautrin ; Frédéric Valletoux ; Romain Bégué ; Louise Pihouée ; Marie Daudé ; Nicole Tortello Duban ; AleVia Conseil - Stratégie I Plaidoyer I Affaires Publiques ; Annie BOST OMER ; Pierre-Alexis Buaillon ; Lawrence DAILEY ; Iness Khachroub ; Annabelle Farcy-Caron
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Quoi d’autres !!! Quand l’Hôpital est malade et que les médecins et soignants se mettent en arrêt pour cause de surcharges de travail et épuisements c’est la Méga Catastrophe en Dordogne 😱 Un constat amer, le même constaté cet été en Mayenne et d’autres départements fermetures des urgences pour manque et/ou absence de médecins. Chaque ARS et Hôpital décident de mesures urgentes alors que le problème est chronique et national. À quand des assises de la santé ??? Quand le mal est profond et que chaque maire de nos 34.000 communes et chaque direction de nos 3000 structure hospitalière cherchent des soignants parfois à coût de surenchères au risque de déstabiliser les équipes en place et/ou de déshabiller Pierre 😱. La solution, les solutions c’est d’abord un diagnostic de l’état de l’offre de soins et le dialogue ensemble pour travailler ensemble. Bonne lecture.
Urgences saturées : les médecins se mettent en arrêt maladie pour être entendus
france3-regions.francetvinfo.fr
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En promettant 1 milliard d'euros en 10 ans pour les soins palliatifs, on n’augmente que de 6% le budget des soins palliatifs, là où il faudrait le doubler si on voulait rendre les soins palliatifs accessibles à tous. Le risque : que mal pris en charge, on choisisse le suicide assisté par défaut d’accès aux soins palliatifs. Ma question adressée à la ministre des Solidarités et de la Santé ⤵️
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La crise des urgences en France est le symbole du déclin de nos services de santé. Y apporter des solutions implique une réforme systémique. Voici quelques propositions de pistes.
La crise des urgences, un miroir de la crise du système de santé français
theconversation.com
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https://lnkd.in/eyzYkCCd On ne pourra pas régler définitivement les problèmes du système de santé avec des solutions fragmentées et à la pièce…une réforme en profondeur s’impose en s’appuyant sur la premier ligne et la communauté pour des solutions en amont plus proches du milieu de vie des personnes. Mais la répartition du budget doit être cohérente avec une telle transformation.
Dossier | Quinzième palmarès des urgences de La Presse | Pire qu’avant la pandémie (4 articles)
lapresse.ca
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