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Le cinéma français tient-il son nouveau phénomène générationnel ? C’est en tout cas ce que laisse présager le démarrage canon au box-office du film L’Amour ouf de Gilles Lellouche, porté par un engouement viral sur le réseau social TikTok. Avec déjà plus de 730 000 spectateurs en seulement 5 jours, le long-métrage s’impose comme le deuxième meilleur lancement pour une production française en 2024. Un succès inattendu qui doit beaucoup à la fascination des jeunes pour sa romance flamboyante et intense. L’Amour ouf enflamme TikTok et les jeunes spectateurs Dès sa sortie mercredi dernier, L’Amour ouf a attiré en masse les 15-24 ans dans les salles obscures. Selon les premières études, cette tranche d’âge représenterait 29% des spectateurs du premier week-end, un taux inhabituellement élevé. Un engouement qui s’explique par le buzz généré par le film sur TikTok depuis plusieurs semaines. Sur le réseau social chinois, très prisé des adolescents et jeunes adultes, les contenus en lien avec L’Amour ouf se sont multipliés ces derniers temps : extraits, photos des acteurs, réactions enflammées… Beaucoup se passionnent pour la romance contrariée et intense entre Jackie et Clotaire, les personnages principaux. Le film est en passe de devenir un véritable phénomène générationnel, comme Le Consentement avant lui. Une histoire d’amour bouleversante Adapté librement d’un roman de l’écrivain irlandais Neville Thompson, L’Amour ouf suit la relation tumultueuse entre Jackie et Clotaire. Leur coup de foudre au lycée, interprété par les jeunes révélations Mallory Wanecque et Malik Frikah, est brutalement interrompu quand Clotaire est envoyé en prison suite à un braquage qui tourne mal. Dix ans plus tard, Clotaire retrouve une Jackie transformée, campée par Adèle Exarchopoulos. Menant désormais une vie rangée, la jeune femme va voir resurgir la passion avec le retour de son premier amour, désormais incarné par François Civil. Un duo d’acteurs en vogue qui avait déjà séduit sous la direction de Gilles Lellouche dans le polar Bac Nord. Un projet porté par la passion de Gilles Lellouche Le réalisateur et acteur nourrissait ce film depuis 17 ans, bien avant le succès de sa précédente réalisation Le Grand Bain. Un attachement de longue date qui transparaît dans cette histoire d’amour “aussi naïvement romantique que purement violente” selon les mots du cinéaste. Sa vision flamboyante et sa direction d’acteurs habitée transcendent le côté “Roméo et Juliette des cités” du scénario. J’avais envie de filmer un amour absolu, un amour ouf, comme le vivent pleinement les ados. Cet âge où la passion est totale, sans demi-mesure. Gilles Lellouche Un succès surprise en marche Si les chiffres du premier week-end sont déjà excellents, la dynamique positive du bouche à oreille et du buzz en ligne laisse présager une belle carrière pour L’Amour ouf. D’après certains analystes, le film pourrait franchir la barre symbolique des 2 millions d’entrées et s’imposer comme un...

Est-il possible et pertinent de parler de Pier Paolo Pasolini sur TikTok ? 🤔 J'aime à penser que "oui" : même si la plateforme reste avant tout le domaine privilégié de la frivolité, des chorés de danse et des trends débiles, il y a moyen d'y trouver du contenu pointu et hautement qualitatif. Pasolini était un artiste complet, brillant et contestataire. Un véritable "esprit éclairé".💡 De nos jours, ce n'est pas dit qu'il se serait épanoui ou qu'on aurait produit certains de ses chefs-d'œuvre ("Salò..." en premier lieu). Je ne pense pas non plus qu'il aurait démontré ses qualités de danseur sur TikTok, en gesticulant sur le dernier hit d'Aya Nakamura. 😂 Pour ma chaîne CINECSTASY 🎬 🍿 et le 2ème épisode du CINECSTAVLOG à Rome, j'ai décidé de partir sur les traces de Paso dans le quartier du Pigneto. C'est là qu'il avait tourné des tas de séquences marquantes du classique "Accattone" (1961). Avec le CINECSTAVLOG, je vous emmène à la découverte de lieux de tournage mythiques. ✨ Deux nouveaux épisodes suivront encore, toujours filmés dans la "ville éternelle". 🇮🇹 #TikTok #vlog #cinéma #CINECSTASY PS : Pour me soutenir sur TikTok, les liens sont en commentaires. ---------------------------------------------------------- Toi qui me lis, tu es seulement à un message de booster ta com' sur les réseaux sociaux, via des formats vidéo impactants et sur mesure. Ne sois pas timide : passe en dm ou sur alan.deprez.pro@gmail.com. 💌

L'Amour Ouf a fait 2 millions d'entrée au cinéma. 5 ingrédients marketing à retenir ⬇ → Le marketing de la nostalgie  Le film est tourné dans les années 80 et 90 et ceux qui ont vécu cette période peuvent ressentir un shoot d’émotions en regardant les images. Entre Walkman et cabines téléphoniques, la génération Y se régale. → Le traitement d’un phénomène universel Le premier amour est un thème qui nous touche tous. Qu’on l’ait vécu avec nos tripes ou pas, il nous a marqués. On y rajoute évidemment 2 ingrédients puissants : la différence de milieu social entre les personnages principaux et la guerre des gangs. → Les coulisses du film Le suspens autour de l’histoire d’amour d’Adèle et François aura duré plusieurs mois… et l’officialisation de leur union se fait au moment du lancement du film. Ça rajoute un supplément d’âme. → Le rôle de la violence  Notre prof de journalisme nous parlait de la règle des 3S dans la presse : sexe, sang et sport.  Ici on a le droit au sang. → La sortie pendant les vacances scolaires  Timing bien choisi car le film rameute en salles les plus jeunes d’entre nous. D’après une étude de l’institut Vertigo, 29 % des spectateurs de L’Amour Ouf sont âgés de 14-25 ans, alors que cette tranche d’âge représente environ 12 % de la population. L’histoire d’amour entre deux ados sur fond de guerre de gangs dans les années 1980-1990 est un moyen puissant de parler à la jeune génération. Et ça part viral sur les réseaux sociaux, notamment sur Tiktok avec des utilisateurs qui commentent les extraits du film et reproduisent les scènes et gestes romantiques de Clotaire et Jackie. Pari gagné ! Vous aussi, vous l'avez vu ? Quel ressenti avez-vous ? 𝐶𝑟𝑒́𝑑𝑖𝑡 : 𝐿'𝐴𝑀𝑂𝑈𝑅 𝑂𝑈𝐹 © 𝑇𝑟𝑒́𝑠𝑜𝑟 𝐹𝑖𝑙𝑚𝑠 - 𝑆𝑡𝑢𝑑𝑖𝑜𝑐𝑎𝑛𝑎𝑙 / 𝑐𝑟𝑒́𝑑𝑖𝑡: 𝐶𝑒́𝑑𝑟𝑖𝑐 𝐵𝑒𝑟𝑡𝑟𝑎𝑛𝑑

 Le film Big (Sortie 1988) Une petite fable dans laquelle le monde des adultes est vu par un « enfant adulte ». Cette fable, qui exploite avec imagination l'ingénuité et la cocasserie de certaines situations, a connu un grand succès. Dans ce film à la fois amusant et émouvant se met en place une véritable réflexion philosophique : « Enfants, ne cherchez pas à vouloir grandir trop vite, et adultes, n'oubliez pas l'enfant qui est en vous. » Le scénario, simple mais efficace, et une réalisation sans temps mort, ainsi que l'interprétation remarquable des comédiens, font passer le message. Désormais, à vous de prendre soin de vous-même et surtout de l'enfant qui est en vous. Les règles à suivre : 1°) Écoutez ce qu'il exprime à travers vos sensations, impressions, appréhensions, peurs, excitations, envies, etc.... . 2°) Rassurez-le comme on rassure un enfant. 3°) Communiquez avec lui par le dialogue intérieur. 4°) Partagez avec lui vos joies et réussites. 👉 La suite vous appartient pleinement. Fin provisoire ... . 🎬

#leweekendcestculture : 24 heures après la séance de Babygirl, je résume mon ressenti par l'équation suivante : l'excès de clinquant et de hype sont certes excitant sur le strict plan cinématographique, mais ils peuvent aussi nuire à la proposition narrative. Ici, c'est un peu comme si chaque personnage, pourtant parfaitement codifié et incarné - casting et interprétation irréprochables - ne finissait jamais vraiment par rencontrer l'autre tout au long d'une intrigue survendue comme sulfureuse et hautement inflammable, apte à bousculer nos certitudes et convictions morales. Le hic c'est qu'une fois passé derrière le rideau, il ne se passe pas grand chose et on a rapidement le sentiment de s'être fait blousé par un harangueur de foire. Dommage car il y avait vraiment matière à revisiter Belle de Jour à l'aune d'aujourd'hui, de notre société à la fois hyper sexualisée et corsetée par le retour de l'ordre moral. Malheureusement, à l'instar de la majorité des productions A24, Babygirl use et abuse de gimmicks et de parti-pris de mise en scène chic et toc. À trop vouloir faire "moderne", le film aligne des scènes attendues, comme si sa réalisatrice cherchait à tout prix à n'en oublier aucune, cocher toutes les cases d'un cahier des charges qui a valeur de dogme. Un simple exemple : la scène de clubbing, dont je suis toujours client, sonne creux ici tant elle n'apporte rien au récit, pas plus qu'aux personnages. Bref, il y a plein de belles choses dans Babygirl mais la sauce ne prend jamais vraiment. Seul Antonio Banderas fait naître une réelle émotion au détour d'une scène qui révèle ce que le film aurait pu être si sa narration et sa réalisation n'avaient pas été autant conditionnées par le paraître

🚨 LES 360 LOIS INCONTOURNABLES DU SCÉNARISTE. 👉🏿 DES SÉRIES TU REGARDERAS La boulimie de séries est assez répandue aujourd’hui : cette pratique a explosé au cours de ces dernières années. Les séries constituent une formidable école de la narration. Sur Netflix ou ailleurs, intéressez-vous aux séries américaines, mais aussi aux séries françaises, qui s’efforcent aujourd’hui de proposer des programmes de qualité et de se hisser à la hauteur des AngloSaxons : Le Bureau des légendes et Dix pour cent sont deux exemples de succès actuels phénoménaux. La série bouclée désigne une série dont les épisodes sont indépendants, mais nous font retrouver les mêmes personnages. L’anthologie (Black Mirror) propose des épisodes à l’histoire et aux personnages autonomes. Le feuilleton, très répandu, présente une histoire qui se développe sur l’ensemble de la saison. La sitcom (ou situation comedy) manie l’humour et propose des épisodes d’une trentaine de minutes (Friends). La mini-série propose des épisodes courts et peu nombreux. Enfin, la short-com est souvent plus proche du sketch (Kaamelott, Un gars, une fille). Familiarisez-vous avec ces formats d’écriture, mais n’oubliez pas de vivre… Récemment, David Spiegelhalter, professeur à Cambridge, s’inquiétait de cette évolution de la société : « Le nombre moyen de rapports sexuels dans le mois était de cinq en 1990, il est passé à quatre dans les années 2000 et enfin à trois en 2010. » Selon lui, à ce rythme, nous ne ferons plus l’amour en 2030. En cause, l’addiction aux écrans en général… et à Netflix en particulier ! A. W. Auteurs: ALISSA WENZ , PIERRICK BOURGAULT #ondjaliam #traumalefilm #tissala #Traumalefilm #tissalastudios #massalefilm #mboudgui #Mboudgui #yessa

'Paradise is Burning', un film jeune mais ambitieux 🤯 Pour son second long-métrage, la réalisatrice suédoise Mika Gustafson s'intéresse au sujet de la famille. Si la question semble avoir été abordée sous toutes ses facettes, celui-là parvient à se détacher du reste avec quelques subtilités non négligeables... Synopsis : En Suède, Laura, Mira et Steffi, trois soeurs vivent ensemble et ont une enfance un peu spéciale. Leur mère n'étant pas là, elles sont livrées à elles-mêmes et font ce qu'elles peuvent. Un matin, le téléphone sonne et Laura tente de répondre aux questions des services sociaux... La grande force du film réside bien évidemment dans l'alchimie des actrices principales. Malgré le manque d'expérience des trois en terme d'acting, elles délivrent une performance sincère et crédible. Vivant une enfance certes idéalisée, la plupart du temps mais également chaotique, la grande soeur Laura tente de protéger sa famille. Le vrai tour de force ne se trouve pas forcément dans les moments de grande tirade d'un personnage ou d'un autre mais davantage dans le silence de certains. Que ce soit au travers d'une expression ou d'un geste du corps, ce sont ces instants qui construisent l'ADN de 'Paradise is Burning'. Il faut également parler de la photo. Simple dans son ensemble et relativement proche des corps, elle sert à renforcer le lien qui unit les trois actrices principales. Parfois, la bonne solution est de ne pas trop se prendre la tête, d'aller à l'essentiel et de jouer sur les nuances de couleurs. C'est ce que fait le film et c'est plutôt réussi. Petit bémol au niveau du rythme du film. Bien que cela soit léger, on sent que la caméra s'attarde sur des moments moins importants. Les séquences marquantes sont un peu trop expédiées, mais rien de grave. 'Paradise is Burning', c'est une vraie preuve d'ambition et de promesses pour le futur de la réalisatrice Mika Gustafson. Elle rejoint ainsi une jeune génération de talents nordiques à suivre dans un futur proche... Note : 3.5⭐/5 #film #cinéma #comédie #drame #Suède #ParadiseisBurning #jeune #famille

Festival de la Fiction 2024, c'est parti ! Les rendez-vous de l'AAFA - Actrices et Acteurs de France Associés durant cette 26ᵉ édition : ➜ 𝗖𝗔𝗥𝗧𝗘 𝗕𝗟𝗔𝗡𝗖𝗛𝗘 | 13 septembre de 10h30 à 11h30 Cinéma Le Dragon - 8 Cours des Dames (Salle 3) « Carte blanche à la coordinatrice d’intimité Monia AÏT EL HADJ » En tant qu’association d’actrices et d’acteurs professionnels invitée récemment à témoigner devant la commission d’enquête sur les violences sexistes et sexuelles, il nous paraissait évident cette année de mettre la coordination d’intimité en lumière. Sa fonction première : veiller au respect de l’intrigue dans les limites du consentement des actrices et des acteurs afin de créer un environnement sain et serein pour l’ensemble de l’équipe. Ce rendez-vous donne donc carte blanche à la coordinatrice d’intimité Monia Aït El Hadj afin de lui permettre de présenter comme elle le souhaite son métier, de lever le voile sur ce en quoi il consiste vraiment, et que les actrices et les acteurs l’expérimentent. L’objectif : aborder le dépouillement d’un scénario, appréhender les discussions préalables au tournage, comprendre en quoi cela consiste exactement ? Comment le travail se prépare-t-il en amont ? Comment se fait le choix des scènes dites d’intimités ? Sont-elles toutes d’ordre sexuel ? ➜ 𝗧𝗔𝗕𝗟𝗘 𝗥𝗢𝗡𝗗𝗘 | 13 septembre de 16h30 à 18h Brasserie des Dames - Place Barentin « L’intimité chorégraphiée : regards croisés des professionnels sur la coordination d’intimité » Alors qu’il nous semble évident de régler et de chorégraphier les scènes de cascades, les scènes d’intimités ne sont pas ou trop peu encadrées. Pourtant depuis #Metoo aux États-Unis, en Amérique Latine, au Canada, et dans certains pays d’Europe la pratique est intégrée. En France, à ce jour, il existe une seule coordinatrice d’intimité et aucune formation n’existe. Pourquoi un tel retard, et par quel frein est-il motivé ? En quoi ce métier est un facilitateur de tournage ? Qu’apporte-t-il à l’ensemble de l’équipe ? Quels sont les prérequis ? Qui aujourd’hui peut exercer cette profession ? 💬 Modératrice : Estelle Simon (coprésidente de l'AAFA - Actrices & Acteurs de France Associés) / Avec la participation de : Monia AÏT EL HADJ (coordinatrice d’intimité), François Caillé (délégué aux affaires sociales USPA), Ségolène DUPONT (déléguée générale CPNEF de l'audiovisuel), Noémie Kocher (comédienne, scénariste et coréférente commission AAFA-Soutiens), Aline Panel (productrice Authentic Prod et membre du conseil syndical USPA), Cédric Pellissier (conseiller branche culture Afdas) et Caroline ROGARD (directrice de la communication Audiens). ➜ 𝗔𝗙𝗧𝗘𝗥/𝗕𝗘𝗙𝗢𝗥𝗘 - 𝗖𝗢𝗖𝗞𝗧𝗔𝗜𝗟 𝗗𝗜𝗡𝗔𝗧𝗢𝗜𝗥𝗘 | 13 septembre à partir de 19h Ze'Bar - 13 Bis Rue de la Chaîne Retrouvons-nous autour d'un verre ! Cecile Camp et Estelle Simon sont les représentantes de l'AAFA - Actrices et Acteurs de France Associés durant le festival.

Dans un de mes derniers posts, je parlais des concepts fort d’un film. Celui du Truman Show est l’un des meilleurs jamais exécutés. L’idée est simple, mais brillante : est-si votre vie était une télé-réalité ? Cette interrogation que nous avons déjà tous eue étant plus jeunes est la réalité du personnage de Truman Burbank. Il mène une vie tranquille dans la ville de Seahaven où il travaille en tant qu’assureur, a une femme et passe du temps avec ses amis. Mais tout est faux. Tous les autres habitants sont des acteurs, sans exceptions. Il y a des caméras partout pour filmer le moindre geste de Truman. Le ciel est un dôme tapissé d'éclairages. Il y a des produits dérivés à l’effigie de Truman partout dans le monde. Sa vie n’est qu’un immense pastiche dont il est l’attraction principale. Nous suivons les actions de Truman comme un voyeuriste à travers divers effets de caméra, qui font partie de l’univers de l’œuvre ou qui en sont extérieurs. On finit par se confondre entre les spectateurs qui regardent avidement cette émission et nous-même, mais la raison est la même, nous cherchons le divertissement. C’est quand divers éléments de cette mascarade commencent à mal fonctionner que Truman remet en cause la réalité et tente d’en explorer les limites. Il est l'équivalent de l’homme qui cherche à sortir de la caverne de Platon pour trouver la vérité. Puis bon, c’est tout le propos du film ! On y questionne l’essence du divertissement et ses dangers, la lutte pour la réalité et le besoin de toujours questionner les normes sociales. C’est un combat que chacun d’entre nous doit mener. Nous pouvons toujours apprécier les œuvres de divertissement, mais il faut aussi essayer d’y prendre du recul. Cette œuvre fait-elle naitre un sentiment en soi ? Quelle est sa place dans l’industrie et son intérêt ? Quel aspect de la réalité y est-il représenté ? Au pire, on peut toujours se dire qu’on a passé un bon moment ~

Il y a 1 an, nous avons eu une idée folle : écrire un conte musical ! Folie… pas tant que ça finalement. Voilà comment tout a commencé : Alors que je dessinais des chimères pour un conte que j’avais écrit, installée tranquillement au comptoir de mon café, un ami musicien, Rémi, débarque. On discute, on papote, et de fil en aiguille, nous imaginons ses mêmes personnages illustrés en vrais costumes, comme dans le Roi Lion, vu à Mogador peu de temps auparavant. Et pourquoi pas adapter mon conte en comédie musicale ? — Ce serait génial ! — J’adorerai ! Et voilà. 1 an de travail en parfaite symbiose plus tard, les paroles, musiques et narrations sont écrites et enregistrées. Nos proches nous ont bien soutenus et aidés à concrétiser le lancement du projet (nos chers enfants et neveux particulièrement). Dans un premier temps, ce sera un conte musical. Mais surtout un clip en dessin animé ! Animé par Adèle, ma talentueuse fille… Tout cela est en cours de réalisation. Mais là où en effet, c’est une idée folle, c’est que l’animation demande du temps, d’autres animateurs, et le mixage est incontournable… tout ça, c’est beaucoup de moyens. Pour soutenir ce projet et l’équipe de Citébelle, nous avons lancé un crowdfunding ici : 👉 https://lnkd.in/eDjeaDs3 Avec deux vidéos, l’une qui vous dévoilera l’univers et les coulisses du projet, et l'autre qui explique très clairement pourquoi/comment contribuer et nous aider à ce que ce rêve devienne réalité. N'hésitez pas à prendre quelques minutes pour aller voir la page HelloAsso ici :  👉 https://lnkd.in/eDjeaDs3