Les microbrasseries québécoises sont au cœur de nos régions, mais leur parcours est semé de défis. Frais de démarrage élevés, compétition intense, faibles revenus, inflation, et une réglementation dépassée (comme l’interdiction de vendre en ligne ou sur les marchés publics ou encore l'apposition obligatoire du timbre de droit) mettent à l’épreuve ces entreprises essentielles. Dans notre dernier article, disponible sur Bières de Micro du Québec, Marie-Eve Myrand, MBA, directrice générale de l’Association des microbrasseries du Québec (AMBQ) s'entretient avec Pierre-Olivier B. et partage son point de vue sur ces enjeux cruciaux et explique comment les microbrasseries jouent un rôle clé dans le développement économique local. 🔗 𝗖𝗹𝗶𝗾𝘂𝗲𝘇 𝗶𝗰𝗶 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗶𝗿𝗲 𝗹'𝗮𝗿𝘁𝗶𝗰𝗹𝗲 𝗰𝗼𝗺𝗽𝗹𝗲𝘁 𝗲𝘁 𝗰𝗼𝗺𝗽𝗿𝗲𝗻𝗱𝗿𝗲 𝗹𝗲 𝗾𝘂𝗼𝘁𝗶𝗱𝗶𝗲𝗻 𝗱𝗲 𝗰𝗲𝘀 𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲𝗽𝗿𝗲𝗻𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗽𝗮𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲́𝘀: https://lnkd.in/dZKGpJe5 #Microbrasseries #DéveloppementRégional #Défis
Post de Association des microbrasseries du Québec (AMBQ)
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OPÉRATION DE VENTE GROUPÉE : Un mécanisme commercial bénéfique La vente groupée est un système facilitateur de services en commun, regroupant toute la chaîne de production et de commercialisation. C’est un moyen efficace qui permet de bénéficier de prix attractifs sur une large gamme de produits et de services. Il représente donc une alternative avantageuse pour ses adhérents. Madeleine ATODJINOU de LE RURAL OFFICIEL La vente groupée est un mécanisme de commercialisation qui contribue à l’amélioration des revenus et des liens d’affaires entre les acteurs du système. De façon plus spécifique, c’est une opération qui consiste à regrouper en un lieu les produits d’anacarde, de maïs, de riz, de karité, etc., appartenant aux membres d’une coopérative pour leur mise en marché, se regroupant à travers des liens d’affaires. En effet, la vente groupée illustre le niveau d’organisation et le degré de confiance qui existent au sein des producteurs d’une part et entre les transformateurs d’autre part. Ainsi, « l’organisation de la vente groupée fait appel nécessairement à trois étapes importantes, à savoir : la préparation, la vente groupée proprement dite et le bilan des résultats », explique Sahadatou ATTA KAKAYATCHI, Présidente de la Fédération Nationale des Producteurs d’Anacarde (FENAPAB). Avant donc de lancer une vente groupée, il faut identifier les partenaires (coopératives, villages), estimer les ventes, élaborer un plan financier, trouver des acheteurs (transformateurs) et enfin déterminer les lieux de vente (magasins ou lieux choisis par la communauté). En outre, les avantages de la vente groupée sont multiples et variés. À en croire la présidente de la FENAPAB, la vente groupée améliore la cohésion sociale au sein des coopératives, la qualité des noix et des revenus. Elle permet la création de confiance entre les acteurs et le gain de temps pour les transformateurs. De même, le regroupement des produits permet à tous les acteurs de connaître la qualité qu’ils ont apportée pour la vente. Aussi, il faut noter que « le contrôle par rapport aux sorties des stocks et la réduction de la chaîne des intermédiaires deviennent faciles. La vente en groupe permet aussi de trouver facilement du crédit et de pouvoir le rembourser facilement, sans oublier l’augmentation de la gamme de clientèle pour les banques et l’ouverture à la recherche de partenaires », a-t-elle ajouté. lire la suite ici https://lnkd.in/eBN64r2F
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Nos héros de l'entrepreneuriat en difficulté et l'indifférence des administrations publiques et des financiers. La liste s'allonge, les difficultés et drames s'accumulent dans de nombreux secteurs. J'accompagne ce type d'entrepreneurs depuis longtemps mais depuis la fin de la pandémie, j'observe un fossé énorme qui se creusent entre ceux qui construisent notre économie, qui prennent des risques, qui créent des emplois donc des revenus pour l'État et ses dérivés, satellites, organismes subventionnés etc...bref, ceux et celles qui existent principalement grâce aux fonds publics, toutes sources confondues. Leur seul effort pour générer des revenus est de transmettre un compte de taxes, un avis de cotisations ou une demande de subventions. Ce fossé est celui d'une forme d'indifférence aveugle sur la RÉALITÉ de l'économie qui assure à ces gens du secteur public, tous de bonnes intentions ou presque, un bon salaire sécurisé, de bons avantages sociaux et de bonnes conditions sans avoir à vivre la pression de la réalité de ceux et celles qui génèrent ces fonds publics. Dépenser les fonds publics est un acte intemporel et déconnecté de la source des revenus publics. Tous les scandales, gaspillages, postes inutiles, pertes de temps et de productivité, mauvais investissements se calculent en milliards de $$, incluant les milliards versés facilement à des étrangers. Le concept de productivité et de rentabilité des services publics est un tabou et une préoccupation oubliée. Si ces milliards de pertes étaient disponibles pour stimuler l'entrepreneuriat, nous serions vraiment une société riche. Au contraire, les administrations publiques dépensent allègrement sans égard aux conséquences sur les sources de leurs revenus. L'indifférence se manifeste aussi par un manque flagrant de recherches de solutions innovantes en financement, en adaptation des normes et règles bureaucratiques et surtout en conscience de ce qui se passe dans plusieurs secteurs à forte probabilité de fermetures et de faillites. M. Laprise, vous êtes une référence en entrepreneuriat, il y en a des milliers d'autres, je suis désolé de la situation que vous vivez mais soyez persévérant. Je ne souhaite que l'on vous donne l'oxygène nécessaire et la flexibilité des décideurs pour poursuivre votre rêve. Une société qui dépend de l'État pour assurer sa croissance économique est une société en perdition. Le Québec est à ce stade.
Le chef Normand Laprise se dit «en deuil» après des difficultés financières, mais n’abandonnera pas le Toqué!
journaldemontreal.com
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Réflexion et bilan ... 🤔 Après 4 années comme technicien de maintenance en EnR (chaudière et PAC domestiques), puis 1 an comme technico-commercial itinérant pour une filiale multinationale, j'ai saisi l'opportunité de rejoindre une PME dans la distribution spécialisée en chauffage, plomberie et sanitaire, il y a bientôt 1 an. Au delà de découvrir la distribution, j'ai rejoint une équipe dans laquelle l'humain est au centre des préoccupations, ce que je n'ai pas connu précédemment. Mais la surprise ne s'arrête pas là ... le sens du service et la satisfaction de nos adhérents passent avant tout !!! La distribution oui ... mais la distribution coopérative ça vous parle ? Alors, je vous fais une confidence, je n'ai pas assimilé rapidement ce qui nous différencie du système traditionnel. Qu'est ce que l'esprit coopératif ? 🤔 (selon moi) Lorsqu'un artisan adhère à la coopérative, il rentre au capital !!! Il "acquiert une deuxième société" qu'il fera évoluer pour lui ... et les autres adhérents !!! Il n'y a pas de différence entre "le petit artisan", seul ou avec 1 ou 2 salariés ... et une PME de 40 salariés. Les tarifs sont négociés pour tous !!! Autrement dit, les artisans les plus développés aident les plus "petits" à faire évoluer leur société !!! Vous connaissez un système dans lequel les "petits" ne se font pas écraser par les plus "grands" ??? 😉 Notre stock, pardons, votre stock, évolue en fonction de votre contribution. Plus vous achetez, plus votre coopérative se développe (et votre capital 😉). Face à une forte concurrence dans une conjoncture compliquée, l'intérêt d'être fidèle est primordial !!! Les systèmes traditionnels ont probablement (aujourd'hui) le pouvoir de baisser les tarifs pour garder une part de marché... mais en favorisant le système coopératif, vous avez les cartes pour acheter à des prix compétitifs, pas toujours les plus bas, mais avec la garantie de maintenir les tarifs à l'image du marché !!! Nous ne vendons pas moins cher pour faire plaisir aujourd'hui, et remonter nos tarifs demain !!! À ce jeu là, nous serons probablement les 1ers à mettre la clef sous la porte... pour le plus grand plaisir des distributeurs classiques... à votre grand désarroi !!!! Voilà ce que j'ai compris ces derniers mois. Nous ne sommes pas les meilleurs, mais vous pouvez nous donner les moyens de le devenir !!! Merci pour votre lecture. #cooperative #artisans #PME #chauffage #plomberie #sanitaire #Lens
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Un domaine passionnant et savoureux
Journée nationale de l’érable : Célébrons nos entreprises d’ici ! S’appuyant sur le savoir-faire et l’expertise d’ici, le CIE représente fièrement 50 entreprises québécoises de tailles variées, qui embouteillent, transforment et exportent des produits d’érable à travers le monde et qui contribuent à la vitalité économique de nos régions avec plus de 600 emplois actifs et directs. La quasi-totalité du sirop d’érable en vrac du Québec est achetée par les entreprises membres du CIE, ce qui représente un volume annuel de plus de 155 millions de livres de sirop d’érable. Exportant plus de 143 millions de livres de produits d’érable dans plus de 60 pays, les transformateurs se doivent d’être agiles pour répondre aux besoins des consommateurs et aux réalités des différents marchés. Cela représente plus de 615 millions de dollars de produits d’érable pour 2023. Profitons de la Journée nationale de l’érable pour mettre en lumière la contribution de notre industrie. Soyez fiers de nos entreprises d’ici qui contribuent au rayonnement d’un produit québécois au goût unique et pur à travers le monde. Bonne Journée nationale de l’érable ! M. Samuel Poulin, CTAQ, Aliments du Québec, Créneau d'excellence Acéricole, Producteurs et productrices acéricoles du Québec, Centre ACER
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🔍 Les 5 points clés de l'interview de Dominique Schelcher, PDG de la désormais Coopérative U. 1️⃣ Changement de nom. SYSTEME U devient Coopérative U, renforçant l'identité et la structure coopérative du groupe. "Le passage de Système U à Coopérative U assoit la force de notre modèle, affirme Dominique Schelcher. Chez U, il n'y a qu'un statut d'associé. Un homme équivaut à une voix. Pour les grandes décisions, la voix d'un U Express vaut autant que celle d'un Hyper U." 2️⃣ Modèle de la coopérative. "Nous sommes des patrons indépendants qui s'associent pour avoir une capacité d'achat et des services, autour de fortes valeurs, à commencer par l'implication de chacun à l'échelle de son magasin." En 2023, la coopérative a eu 36 ralliements et 12 sorties. Pour les nouveaux associés, le contrat d'adhésion est de neuf ans. 3️⃣ Investissements. "En 2024, nous investirons 1 milliard d'euros : 550 millions d'euros dans la rénovation des magasins, 450 millions d'euros dans nos outils collectifs, la logistique et les systèmes d'information". 4️⃣ Intégration de Schiever en 2025. "100 magasins vont prendre l'enseigne U et une centaine de franchises auront accès à nos produits." 5️⃣ Achats européens. "Notre partenariat avec la centrale d'achats Everest et la centrale de services Epic est encore en construction, explique le patron de Coopérative U. Nous soutenons la défense du revenu des agriculteurs. Avec Everest, il n'est pas question de négocier avec des PME ou des ETI. Ce qui est sûr, c'est que nous avons besoin d'acheter à plusieurs et de parler d'égal à égal avec les grands industriels. C'est David contre Goliath. Avec 12 % de part de marché, la Coopérative U pèse peu face à eux. Ce n'est que du bon sens !" Quels sont, selon vous, les principaux avantages et défis d'un modèle coopératif ? Partagez vos réflexions dans les commentaires ! #Coopérative #entreprise #GrandeDistribution
Dominique Schelcher : « Le passage de Système U à Coopérative U assoit la force de notre modèle »
lsa-conso.fr
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Vos Brasseries Artisanales ont besoin de vous et on ne fait pas de politique ici ! La situation économique est des plus en plus compliquée pour vos brasseurs de proximité, déjà de nombreuses fermetures sur 2024. Les ventes sont globalement en baissent sur tous les marchés, tous les segments et toutes les zones géographiques. Alors oui, nous sommes souvent un peu plus cher que les bières industrielles mais il vous faut savoir que nous ne pouvons pas réduire nos coûts d'achat. Nous tentons d'acheter à plusieurs, souvent nous n'arrivons pas toujours à nous payer tous les mois car notre priorité c'est Vous et la qualité de nos produits. Nous savons tous que les porte-monnaie sont vides (chez nous aussi). Néanmoins, si vous le pouvez : passez chez votre brasseur de proximité ou chez nos distributeurs. Si vous êtes au restaurant, prenez une bière locale si vous en avez le choix (je sais cela n'est pas toujours gagné). PS : on va continuer à se battre, à innover : vos petites ou très petites brasseries ont survécu (parfois avec peu d'aides) au Covid 1 et 2 et nous nous battons depuis 18 mois pour survivre à l'explosion des coûts (matières premières, énergie...) L'objectif est simple : aider des TPE/PME familiales qui ont bien besoin de vous. #mba #biere #craft #dijon #local #sauvetage
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Journée nationale de l’érable : Célébrons nos entreprises d’ici ! S’appuyant sur le savoir-faire et l’expertise d’ici, le CIE représente fièrement 50 entreprises québécoises de tailles variées, qui embouteillent, transforment et exportent des produits d’érable à travers le monde et qui contribuent à la vitalité économique de nos régions avec plus de 600 emplois actifs et directs. La quasi-totalité du sirop d’érable en vrac du Québec est achetée par les entreprises membres du CIE, ce qui représente un volume annuel de plus de 155 millions de livres de sirop d’érable. Exportant plus de 143 millions de livres de produits d’érable dans plus de 60 pays, les transformateurs se doivent d’être agiles pour répondre aux besoins des consommateurs et aux réalités des différents marchés. Cela représente plus de 615 millions de dollars de produits d’érable pour 2023. Profitons de la Journée nationale de l’érable pour mettre en lumière la contribution de notre industrie. Soyez fiers de nos entreprises d’ici qui contribuent au rayonnement d’un produit québécois au goût unique et pur à travers le monde. Bonne Journée nationale de l’érable ! M. Samuel Poulin, CTAQ, Aliments du Québec, Créneau d'excellence Acéricole, Producteurs et productrices acéricoles du Québec, Centre ACER
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📈 Le baromètre trimestriel de la CCI Bordeaux Gironde montre une dégradation de l’ensemble des indicateurs économiques, perçue par la majorité des chefs d’entreprise du territoire. La CCI et ses équipes occupent le terrain pour y répondre. #économie #bordeaux #gironde #entreprise
La CCI Bordeaux-Gironde face à la « morosité ambiante »
echos-judiciaires.com
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Quand on est entrepreneur - ou en tout cas un entrepreneur humble, et c'est parfois rare ... - on n'est jamais serein. Mais on peut quand même aspirer à le devenir. C’est la bonne résolution 2025 de mon invité de cette semaine, Loic TANGUY, fondateur de Les Grappes, qui facilite la distribution des vins de vignerons en France comme à l’étranger, en B2C comme en B2B. Et autant dire qu’il a bien mérité une année plus sereine que celles qu’il vient de traverser. Après avoir perdu en quelques mois seulement ces deux plus gros clients, et 40% de son CA, Loïc a dû opérer de gros changements dans son entreprise. Levée de fonds, croissance externe, virage en B2B, internationalisation : Les Grappes a énormément évolué ces dernières années. Une évolution positive, puisqu’elle vise les 20M de CA en 2024. Une évolution qui est aussi le reflet du secteur des vins, qui doit s’adapter à de gros changements de consommation (la hype du sans alcool), de climat et de régulations. Loïc nous aide à décrypter cette verticale aussi passionnante que complexe et à comprendre comment le digital peut être la réponse aux nombreux défis et freins que rencontrent nos vignerons. Désintermédiation, hausse de la part de la grande distribution, essor des vins étrangers et petite percée d'Amazon… On creuse tous les sujets pour mieux comprendre comment se faire une place sur un marché qui pèse quand même 10 milliards d’euros en France (et autant à l’étranger !)
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Je ne prends pas souvent la parole ici car linkedin est devenu le paradis des "créateurs de contenu" et je ne veux surtout pas en faire partie, ce n'est bien entendu pas mon rôle... Je voulais venir ici pour vous parler du déclin, petit à petit de mon joli secteur brassicole, des dizaines de procedures collectives, des redressements judiciaires, des liquidations, et des futures peut-être....des grands noms pourtant de la brasserie locale... des gens qui ont tout arrêté pour repenser ce secteur qui était bien terne en France nottament, et à qui nous voulions redonner du sens, du goût et de la nouveauté. Et bien 10 ans plus tard, les precurseurs Jérome MARTINEZ-GARCIA de la Montreuilloise a fermé boutique, Brasserie BAPBAP est en redressement , OUTLAND doit changer d'offre, Into the malt (95) a fermé, Cacatoes (78) a fermé, La Fringante (93) a fermé, 4 éléments (92) à fermé, la roquette (92) a fermé, BWAR (78) a fermé, Hespebay (95) en liquidation, Petrol (75) a fermé, Les georges brassins (75) a fermé, les brewpub (75) en Redressement, LBF ferme des bars... la liste est longue et j'ai vraiment de la peine pour tous ces entrepreneurs, qui entraînent souvent femme et enfants...qui sacrifient beaucoup..trop... Tous les gros laissent des miettes, le marché est tenu, dé-régulé, c'est à vomir. La distribution est verrouillée, fermée, à triple tour...sous couvert de dons en materiel, installations de colones de tirages etc, on a accès à 5% du marché.... evidemment je me réjouis des belles réussites de la craft comme la débauche, l'effet papillon etc.. mais pour combien de temps ? Combien de temps encore pour des linéaires entiers de GMS à base de chouffe, Leffe, Duvel avec 0 presence de nos bières en Belgique et quelques ref locales... sommes nous si peu chauvin ? Combien de temps va t on encore se laisser marcher sur les pieds ? combien de temps devront nous nous battre pour 2% de croissance ? A l'aube de la fin de notre période d'observation de redressement judiciaire...je suis donc à mi-chemin entre la révolte et la résignation...2000 brasseries en france se partagent 5% du marché... Je pourrais également parler des collectivités locales et des jeux olympiques auxquels nous n'auront pas droit...mais c'en est assez pour aujourd'hui. Merci de m'avoir lu et #buvezlocal ❤️
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