Post de Amine Messal

RTE Réseau de Transport d'Electricité a présenté hier les enseignements de la concertation préalable du public pour la ligne électrique aérienne 400 000 volts entre Fos-sur-Mer et Jonquières-Saint-Vincent. Un projet qui s'inscrit dans un contexte de #transitionénergétique de notre territoire avec pour enjeu le doublement de la consommation électrique d'ici 2030, induite par l’électrification des usages (mobilité, chauffage, etc.) et le vaste mouvement de #décarbonation de l’industrie pour viser la neutralité carbone (-55% de réduction des émissions de gaz à effet de serre dès 2030 et -35% dans l’industrie).   Nous notons avant toute chose la forte mobilisation lors de cette #concertation. 8️⃣ semaines d'échanges particulièrement riches qui nous ont permis de recueillir plus de 1️⃣ 5️⃣ 0️⃣ 0️⃣ contributions. Le commissaire enquêteur dans son rapport, confirme que le public a eu accès à une information complète et de qualité.   De ces échanges nous retenons plusieurs #enseignements : 🔹 La nécessité de la décarbonation est partagée par tous. 🔹 Nous devons continuer à expliquer pourquoi la liaison aérienne est la seule solution industrielle disponible pour répondre aux besoins du territoire. C'est un sujet complexe qui nécessite un effort de pédagogie particulier. 🔹 L’insertion paysagère, l’agritourisme et les enjeux sur le milieu naturel notamment, ont fait l’objet d’échanges soutenus et constructifs. Des points d’attention ont ainsi émergé et viennent alimenter la réflexion sur l’adaptation des corridors proposés.    Si nous sommes encore aujourd'hui très en amont de ce projet, nous prenons d'ores et déjà plusieurs #engagements : 🔹 Animer une démarche continue d'information et de dialogue avec le grand public et les parties prenantes. 🔹 Réaliser des études complémentaires sur les points saillants qui ont émergé de la concertation : solution industrielle retenue, agritourisme. 🔹 Porter une attention particulière sur l'insertion paysagère. Pour chaque kilomètre de ligne aérienne créé, nous enterrerons un kilomètre de ligne et nous nous engageons à ne pas surplomber les habitations.   Retrouvez l'intégralité des enseignements de la concertation : https://lnkd.in/g3Fb3rEk UIMM Alpes-Méditerranée, Industries Méditerranée, GMIF, Grand Port Maritime de Marseille - Port de Marseille Fos, Association PIICTO, Upe 13, UPE 30 - MEDEF Gard, CCI Aix Marseille Provence, CCI du Pays d'Arles, CCI Gard, Nicolas Mat, Rémi Costantino, jean-michel Diaz, Pascal KUHN, Christine BAZE Région Sud - Provence-Alpes-Côte d'Azur, Isabelle Campagnola Savon, René RAIMONDI

Pendant que le Préfet des Bouches du Rhône, Christophe MIRMAND , donnait sa conférence de Presse afin d’annoncer la validation d’un Fuseau de Moindre Impact pour la ligne électrique aérienne la plus puissante et la plus dévastatrice que la France ait connu. Le collectif STOP THT 13/30 occupait l’espace médiatique grâce au travail formidable d’une presse libre ! Il est évident que les conditions annoncées par le Préfet sont en inadéquation totale avec les demandes des syndicats agricoles, associations écologiques, représentants des Parc régionaux, acteurs du tourisme et de la culture, élus de tous bords. Christophe Berassen , RTE Réseau de Transport d'Electricité , déclare que cette apport d’électricité sera une colonne vertébrale, et que ces études et conditions ne devraient pas repousser le début des travaux ! En réalité si elles sont réalisées en toute indépendance, avec un réel sérieux il y aura certes des travaux mais pas de ligne aérienne. Il y aura donc un très très lourd retard dans les travaux auquel doivent s’attendre les Start’up de Fos-Sur-Mer que sont CARBON , GravitHy , H2V , NeoCarbon ,… Chaque condition va être suivie scrupuleusement par le Collectif STOP THT 13/30 qui ne laissera pas partir en DUP un projet détruisant la Camargue, la Crau, les Alpilles et les Costières de Nîmes ! un projet archaïque qui n’aurait jamais dû voir le jour en l’état ! Michel Barnier Hugo Clément Elise Lucet Mediapart Emmanuel Macron Clémentine Baldon #gpmm #fossurmer #arles #crau #camargue #carbon #hydrogene #france2030 #transitionecologique #transitionenergetique #tourisme #economie #decarbonation #rechauffementclimatique #annesophienovel #antoinepoincare Loup Espargilière Salomé Saqué j

𝐏𝐨𝐮𝐫𝐪𝐮𝐨𝐢 𝐧𝐞 𝐩𝐚𝐬 𝐩𝐫𝐨𝐟𝐢𝐭𝐞𝐫 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐧𝐞𝐜𝐞𝐬𝐬𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐫𝐞𝐦𝐨𝐭𝐨𝐫𝐢𝐬𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐛𝐚𝐬 𝐨𝐮 𝐳𝐞𝐫𝐨 𝐜𝐚𝐫𝐛𝐨𝐧𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐦𝐨𝐝𝐞𝐫𝐧𝐢𝐬𝐞𝐫 𝐞𝐭 𝐚𝐠𝐫𝐚𝐧𝐝𝐢𝐫 𝐥𝐚 𝐟𝐥𝐨𝐭𝐭𝐞? Aujourd'hui en dépit du caratère écologique du transport fluvial, l'axe Seine est sous utilisé. 85% des conteneurs arrivant au Havre passent par la route. Si nous ne modernisons pas et ne décarbonons pas notre flotte avant l'ouverture du canal Nord Seine à partir de 2028, nous risquons de voir le traffic se déporter vers les ports d'Anvers et de Rotterdam! Nicolas Bauquet Sébastien Alavoine Stéphanie Peigney-Couderc Stéphane BOUSQUET Voies navigables de France AREC ÎDF IFP Energies nouvelles CITEPA GRTgaz RTE Réseau de Transport d'Electricité HAROPA PORT ADEME Région Île-de-France Région Normandie alexandre Labasse Caroline ROUENNIER Max Yvetot Apur - Atelier parisien d'urbanisme AUCAME - Agence d'urbanisme de Caen Normandie Métropole Agence d'urbanisme de Rouen et des Boucles de Seine et Eure AURH - Agence d'urbanisme Le Havre - Estuaire de la Seine

Le fluvial, votre allié pour un transport decarboné 💪🏻💪🏻💪🏻

🚢 Le bassin de la Seine représente 40 à 50 % du trafic fluvial national de marchandises et 80 % de l’activité de transport de passagers, au moyen de près de 600 unités fluviales. À cet égard, la décarbonation de la flotte représente un enjeu fort et s’inscrit pleinement dans l’objectif Zéro émission nette (ZEN) à l'horizon 2050. La montée en puissance d'autres sources d'énergie (motorisation électrique, gaz naturel et carburants de synthèse) concerne aussi bien les bateaux que les ports. À la lumière des récents travaux menés à l’initiative du gestionnaire du réseau fluvial, Voies navigables de France, une première cartographie interrégionale des besoins fluviaux de la transition énergétique se dessine. Elle révèle les trajectoires et les complémentarités territoriales des ressources et des usages, et permet de calibrer la puissance du réseau de stations multi-énergies à installer. Nous faisons le point dans cette Note rapide signée Antoine BEYER, Thomas Hemmerdinger, Olivier BUREL et Juliette DUSZYNSKI. 👉 https://lnkd.in/ew2tpfhJ Nicolas Bauquet Sébastien Alavoine Stéphanie Peigney-Couderc Stéphane BOUSQUET Voies navigables de France AREC ÎDF IFP Energies nouvelles CITEPA GRTgaz RTE Réseau de Transport d'Electricité HAROPA PORT ADEME Région Île-de-France Région Normandie alexandre Labasse Caroline ROUENNIER Max Yvetot Apur - Atelier parisien d'urbanisme AUCAME - Agence d'urbanisme de Caen Normandie Métropole Agence d'urbanisme de Rouen et des Boucles de Seine et Eure AURH - Agence d'urbanisme Le Havre - Estuaire de la Seine #decarbonation #fret #fluvial #transport

La semaine dernière, GRTgaz et Teréga ont annoncé le résultat d’une collaboration unique avec HyLight ! GRTgaz et Teréga, les deux sociétés gestionnaires de pipelines de transports de gaz en France opèrent un métier complexe de pilotage de ces infrastructures énergétiques. Complexe car les réseaux de GRTgaz et Teréga s’étendent sur plus de 38 000 kilomètres de réseaux enterrés et d’installations aériennes. Ces infrastructures doivent être inspectées à intervalles très réguliers pour assurer : - la sécurité du réseau enterré et des installations aériennes ; - l’absence de fuites de méthane même minimes. Et les résultats du HyLighter se sont montrés très encourageants ! HyLight a inspecté une quarantaine de km sur une jonction entre les réseaux Teréga et GRTgaz. C’est un grand pas en avant pour des inspections aériennes précises, à échelle industrielle et sans émissions de gaz à effet de serre !

Décevante jusqu’ici la source d’énergie générée par la puissance des marées, de la houle et du ressac sur le littoral et dans les estuaires pourrait-elle enfin s’avérer une inépuisable productrice d’électricité 100 % décarbonée, utilisable directement en autoconsommation ? C’est la promesse de l’équipe d’OCEANBOOSTER qui a mis au point la première turbomachine capable d’exploiter les trois forces de l’océan, séparément ou combinées entre elles. Le premier démonstrateur fonctionnel en cours de finalisation sera exploitable d’ici la fin de l’année 2024. La fabrication du prototype opérationnel est prévue au cours de l’année 2025 pour une pré commercialisation en 2026. OCEANBOOSTER cherche des financements. Pour en savoir plus c’est ici…

Bal aérien dans la vallée de Luz-St Sauveur, dans le Département des Hautes-Pyrénées RTE réalise des travaux de modernisation des lignes 63 kV de transport d’électricité entre Luz-Saint-Sauveur et Soulom qui servent à évacuer environ 140 MW d’installation hydroélectrique et alimenter le territoire. La conception de ces travaux a été optimisée : ✅ Réduction de l’emprise de la ligne (6 m au lieu de 9) ✅ Réduction de 25 % du nombre de support pylônes (21 supports supprimés) ✅ Prise en compte de la résilience climatique ✅ Réalisation des travaux dans des périodes favorables à la faune et la flore en relation notamment avec le PARC NATIONAL DES PYRENEES La prise en compte de la spécificité de cette zone et la volonté de réduire l’empreinte environnementale durant les travaux et améliorer les conditions de travail des entreprises prestataires a également conduit RTE à réaliser la dépose et la repose des supports à l’aide de sa flotte d’hélicoptères : ➡️ Réduction de la durée du chantier, ➡️ Réduction voire suppression des pistes d’accès, ➡️ Amélioration de la sécurité des salariés. L’occasion pour les élus et le sous-préfet d’Argeles Gazost de visiter ce chantier particulier. Fabien Tuleu Omexom RTE Réseau de Transport d'Electricité Duval Stéphane

Pour réussir le pari de l’électrification des grands projets industriels décarbonés, la zone industrialo-portuaire de Fos-sur-Mer doit être raccordée par une ligne dite de 400.000 volts. Cette dernière doit s’étendre sur 68 kilomètres jusqu’à Jonquières-Saint-Vincent dans le Gard, ce qui soulève le mécontentement des communes et parcs naturels présents sur le tracé.

Qui l’aurait cru : des chants d’oiseaux et un renard qui se balade sur l’A13 pour venir chercher ses petits dans la verdure! Ces images marquantes rappellent le choc pétrolier de 1973, lorsque les Pays-Bas fermaient leurs autoroutes et les ouvraient aux piétons. La France a fait l’inverse en développant le nucléaire et les voitures diesel. Mais aujourd’hui la nature nous rattrape en colonisant notre système de mobilité pétro-dépendant tombé en panne. L’A13 cède aujourd’hui sous la pression climatique qui la dégrade trop vite, ce qu’une petite fissure de 50 cm est venu révéler. Une crise climatique attisée par une crise financière: les routes étant faites de pétrole, leur prix augmentent plus vite que le budget des collectivités. Cette route neutralisée, qui démontre ainsi sa parfaite inutilité, nous montre aussi une opportunité à saisir: repenser nos routes pour des usages compatibles avec les générations futures. Commençons par transformer l’A13 en voie verte. Recousons cet l’espace naturel à Saint-Cloud sur ce territoire dense qui a bien plus besoin de nature que d’autoroutes. 📹 Freerk Boedeltje