🇪🇺 Réévaluation européenne de la balance bénéfice/risque des médicaments à base de #finastéride ou dutastéride Le finastéride 1 mg est indiqué dans les stades précoces de l’alopécie androgénique chez les hommes de 18 à 41 ans. Au dosage de 5 mg, le finastéride est utilisé, comme le dutastéride 0,5 mg, dans le traitement de l'hypertrophie bénigne de la prostate. 📢 Depuis 2019, nous agissons en lien avec nos parties prenantes pour renforcer l’information des patients et des professionnels de santé sur les risques de troubles de la fonction sexuelle et de troubles psychiatriques du finastéride 1mg. Malgré ces actions, des cas graves de troubles psychiatriques et sexuels continuent de nous être rapportés. De plus, les idées suicidaires ont été récemment reconnues comme potentiels effets indésirables pour ces #médicaments. ↪️ Face à cette situation, nous avons demandé au comité de pharmacovigilance de l’Agence européenne du médicament de réévaluer leur balance bénéfice/risque. Cette demande de réévaluation est particulièrement importante pour le finastéride 1 mg étant donné son indication uniquement dans l’#alopécie, une affection sans danger pour la #santé touchant des hommes jeunes. Informations pour les #patients et les professionnels de santé 👉 https://ow.ly/kxzO50TSyLu
Post de ANSM Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé
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📚📚#Casclinique du jour: ce bébé est né avec un très gros foie Voici 10 points essentiels à connaître sur la syphilis congénitale : 1. La #syphilis congénitale survient principalement lorsque la bactérie Treponema pallidum est transmise de la mère infectée au fœtus via le placenta, généralement pendant la syphilis primaire ou secondaire. 2. Sans traitement, la syphilis #congénitale peut entraîner des complications graves telles que l'hydrops fœtal non immunitaire, la mort fœtale in utero, ou des malformations congénitales sévères, y compris des anomalies osseuses et neurologiques. 3. Les nouveau-nés atteints peuvent présenter une #éruption cutanée, une anémie, une #hépatosplénomégalie (augmentation du foie et de la rate), des lésions osseuses, et parfois des symptômes neurologiques comme des convulsions. 4. Si elle n'est pas traitée, la #syphilis congénitale peut se manifester des années plus tard par des déformations osseuses (comme les dents de Hutchinson), des troubles neurologiques, et des anomalies auditives et visuelles. 5. Le #dépistage de la syphilis est obligatoire lors de la première visite prénatale dans de nombreux pays, et des tests supplémentaires sont recommandés plus tard pendant la #grossesse pour les femmes à haut risque. 6. Le traitement par la #pénicilline G benzathine pendant la grossesse est très efficace pour prévenir la #transmission de la syphilis au fœtus, surtout s'il est administré tôt. 7. Bien que la syphilis congénitale ait fortement diminué au cours du 20e siècle, on observe une #recrudescence inquiétante des cas dans de nombreux pays, en raison de l'augmentation des infections syphilitiques chez les femmes en âge de procréer. 8. Les principaux #facteursderisque incluent un accès limité aux soins de santé, des partenaires sexuels multiples, la toxicomanie, et l'absence de soins prénatals adéquats. 9. Les anomalies #biologiques associées à la syphilis congénitale incluent l'#anémie, la #thrombocytopénie, des niveaux élevés de bilirubine et d'enzymes hépatiques, ainsi qu'une augmentation des protéines dans le liquide céphalorachidien en cas de neurosyphilis. 10. La #prévention de la syphilis congénitale passe par l'éducation sur l'importance du dépistage et du traitement de la syphilis chez les femmes enceintes, ainsi que par l'amélioration de l'accès aux soins prénataux pour les populations à risque. #docteur #docteursourire #doctapre #medecin #quebec #pediatre #gastroenterologue #canada #etudiant #enseignant #medecine #apprendre #apprendre #syphilis #syphiliscongenitale #nouveauné #premature #jantchoulab Liens et ressources * Schueller SS, Strunk T. Congenital Syphilis. N Engl J Med. 2024 . PMID: 39047242. * Stafford IA, et al. N Engl J Med. 2024 PMID: 38231625. * Sergio Fanella et al. Le diagnostic et la prise en charge de la syphilis congénitale : ne laisser passer aucune occasion https://lnkd.in/eVPGS4Zc
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Une cause juste n’a nul besoin d’une défense fallacieuse. Si oui, c’est suspect. A l’occasion de la Journée Mondiale de la #Ménopause, le 18 octobre, plusieurs spécialistes ont rappelé la chute vertigineuse de l’utilisation des traitements hormonaux de substitution (#THS) en période de ménopause : aujourd'hui, environ 6% des femmes concernées. Plusieurs spécialistes tirent la sonnette d’alarme sur les conséquences, selon eux, catastrophiques, de cette large sous-utilisation. Dans le viseur, « l’étude » américaine WHI publiée dans le JAMA le 17 juillet 2002 interrompue prématurément du fait d’un excès de cancers du sein apparus dans le groupe des femmes traités par THS. Cette « étude », qualifiée de « biaisée », d’isolée, aurait, du fait de son retentissement, ruiné la médicalisation de la ménopause et la prévention de ses complications graves comme les fractures ostéoporotiques. Flèches supplémentaires : l’hormonothérapie visée par l’étude WHI n’avait rien à voir avec celle proposée en France et « ces complications n’ont pas du tout été constatées chez nous ». Peut-on revenir à la raison ou, du moins, aux faits ? D’abord, le Women’s Health Intiative Trial n’est pas une étude mais un essai d’intervention avec tirage au sort initial (traitement ou non), justement pour minimiser les biais de non-comparabilité. Ensuite, elle n’est pas la seule à avoir montré ou suggéré un risque majoré de #cancer du sein associé au THS. On en compte au moins 6, dont, en 2013, un nouvel essai par la WHI qui confirme, avec un protocole différent, les risques accrus et la balance bénéfice/risque mitigée; également des études épidémiologiques dans différents pays dont celle coordonnée en France (2004 et 2005) par Françoise Clavel sur la cohorte E3M (50 000 femmes) qui retrouve également ces risques augmentés ce qui contredit la théorie des « mauvaises » hormones américaines. Ces études pointent également un risque cardiovasculaire accru, surtout sur le versant thrombo-embolique. Plusieurs groupes d’experts pluridisciplinaires, libres de tout conflit d’intérêt, ont, après analyse de l’ensemble des données disponibles, exprimé leurs réserves quant à la balance bénéfice/risque de ces traitements. Par exemple, le rapport de 78 pages (11 mai 2004) réalisé à la demande du Ministre de la Santé par l’ANAES (un peu le précurseur de l’#HAS), l’Agence du Médicament et l’#INSERM émettait les mêmes réserves et montrait, après calculs, que chez les 3,5 millions de femmes de 50 à 60 ans, l’usage des THS tels que consommés à l’époque entrainaient plus d’effets graves qu’ils n'en évitaient (2645 vs 2179). Reste à refaire ce travail en considérant les données, curieusement assez peu nombreuses, accumulées depuis 20 ans. Mais en partant des faits, sans les déformer et en analysant les données de manière non partisane : la santé de millions de femmes l’exige.
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[Nouvelle publication scientifique] 🚀 L’équipe SFDT1 est très fière d’annoncer sa deuxième publication réalisée à partir des données de sa cohorte : ”Inégalités entre les sexes concernant les facteurs de risque cardiovasculaire et leur prise en charge en prévention primaire chez les adultes vivant avec un diabète de type 1 en Allemagne et en France : résultats des études DPV et SFDT1” 🎯Chez des personnes vivant avec un diabète de type 1 (DT1) sans antécédent cardiovasculaire, l'objectif de cette étude était d’évaluer en Allemagne (registre DPV) et en France (cohorte SFDT1) : 1️⃣ Si les facteurs de risque cardiovasculaire et leur prise en charge différaient entre les hommes et les femmes 2️⃣ S'il existait des inégalités entre les sexes dans l’accompagnement thérapeutique du DT1 🔎 Cette recherche a été menée par le Pr Emmanuel Cosson, PuPh en Diabétologie-Endocrinologie-Nutrition à Bobigny-Bondy-Sevran et co-coordonnateur de l’étude SFDT1, Dr. Marie Auzanneau et le Pr Reinhard W. Holl du German Center for Diabetes Research (Deutsches Zentrum für Diabetesforschung, DZD), à Munich-Neuherberg, et leurs équipes. Deux points majeurs ont été mis en évidence : ✅ Une confirmation : les femmes présentent globalement un meilleur contrôle des facteurs de risque cardiovasculaire que les hommes. ⤴ Un point d’amélioration : il existe une inertie thérapeutique élevée, potentiellement plus marquée chez les femmes en particulier en Allemagne, notamment pour le traitement par statines en cas de LDL cholesterol élevé et néphroprotecteur. 💡 Ces résultats soulignent l'importance pour les diabétologues de prendre en compte les différences spécifiques liées au sexe dans la gestion des facteurs de risque cardio-rénaux. L'objectif à terme est de développer des stratégies de prévention plus personnalisées. 📰 Retrouvez l’article complet ici : https://shorturl.at/LStP4 ✨ Stay tuned sur les nouvelles avancées de notre cohorte : sfdt1.fr Emmanuel Cosson ; Marie Auzanneau; Gloria Aguayo; Wolfram Karges; Jean-Pierre Riveline; Petra Augstein; Laura Sablone; Peter Jehle ;Guy Fagherazzi; Reinhard W. Holl for the DPV initiative and the SFDT1 study group Fondation Francophone pour la Recherche sur le Diabète - FFRD ; Société Francophone du Diabète (SFD) #ecohorte #DPV #SFDT1 #diabetes #health
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Une cause juste n’a nul besoin d’une défense fallacieuse. Si oui, c’est suspect. La Journée Mondiale de la Ménopause, le 18 octobre, a été l'occasion de rappeler la chute vertigineuse de l’utilisation des traitements hormonaux de substitution (#THS) en période de #ménopause : à peine 6% des femmes concernées aujourd'hui. Plusieurs spécialistes qui tirent la sonnette d’alarme sur les conséquences, selon eux, catastrophiques, de cette large sous-utilisation. Dans le viseur, « l’étude » américaine WHI publiée dans le JAMA le 17 juillet 2002 interrompue prématurément du fait d’un excès de cancers du sein apparus dans le groupe des femmes traités par THS. Cette « étude », qualifiée de « biaisée », d’isolée, aurait, du fait de son retentissement, ruiné la médicalisation de la ménopause et la prévention de ses complications graves comme les fractures ostéoporotiques. Flèches supplémentaires : l’hormonothérapie visée par l’étude WHI n’avait rien à voir avec celle proposée en France et « ces complications n’ont pas du tout été constatées chez nous ». Peut-on revenir à la raison ou, du moins, aux faits ? D’abord, le Women’s Health Intiative Trial n’est pas une étude mais un essai d’intervention avec tirage au sort initial (traitement ou non), justement pour minimiser les biais de non-comparabilité. Ensuite, elle n’est pas la seule à avoir montré ou suggéré un risque majoré de cancer du sein associé au THS. On en compte au moins 6, dont, en 2013, un nouvel essai par la WHI qui confirme, avec un protocole différent, les risques accrus et la balance bénéfice/risque mitigée; également des études épidémiologiques dans différents pays dont celle coordonnée en France (2004 et 2005) par Françoise Clavel sur la cohorte E3M (50 000 femmes) qui retrouve également ces risques augmentés ce qui contredit la théorie des « mauvaises » hormones américaines. Ces études pointent également un risque cardiovasculaire accru, surtout sur le versant thrombo-embolique. Plusieurs groupes d’experts pluridisciplinaires, libres de tout conflit d’intérêt, ont, après analyse de l’ensemble des données disponibles, exprimé leurs réserves quant à la balance bénéfice/risque de ces traitements. Par exemple, le rapport de 78 pages (11 mai 2004) réalisé à la demande du Ministre de la Santé par l’ANAES (un peu le précurseur de l’#HAS), l’Agence du Médicament et l’#INSERM émettait les mêmes réserves et montrait, après calculs, que chez les 3,5 millions de femmes de 50 à 60 ans, l’usage des THS tels que consommés à l’époque entrainaient plus d’effets graves qu’ils n'en évitaient (2645 vs 2179). Reste à refaire ce travail en considérant les données, curieusement assez peu nombreuses, accumulées depuis 20 ans. Mais en partant des faits, sans les déformer et en analysant les données de manière non partisane : la santé de millions de femmes l’exige.
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Comment agir sur le surpoids associé à la narcolepsie chez l’enfant et l’adolescent ? 😴 Le surpoids et l’obésité sont des complications fréquentes dans la narcolepsie chez l’enfant. Une étude pharmacologique internationale incluant plusieurs équipes françaises (CHU de Montpellier, AP-HP, Assistance Publique - Hôpitaux de Paris) portant sur des enfants atteints de narcolepsie avec cataplexie confirme que le traitement par oxybate de sodium entraîne une diminution significative de l'indice de masse corporelle. 💊 Des changements notables de catégorie d'IMC ont été observés avec ce traitement : une majorité des participants en surpoids est revenue à un poids normal, et certains participants obèses sont passés à une catégorie de poids inférieure. Ces effets se sont stabilisés après environ un an de thérapie. Cette étude souligne l’intérêt spécifique de l’oxybate de sodium dans la gestion du surpoids chez les enfants et adolescents avec narcolepsie. 💡 📚 Effect of sodium oxybate on body mass index in pediatric patients with narcolepsy https://lnkd.in/ecmbxbG9 Michel Lecendreux
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𝐹𝑒́𝑙𝑖𝑐𝑖𝑡𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑎𝑢 𝑃𝑟. 𝐾𝑒𝑠𝑠𝑙𝑒𝑟 𝑒𝑡 𝑎̀ 𝑠𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑙𝑙𝑎𝑏𝑜𝑟𝑎𝑡𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑝𝑢𝑏𝑙𝑖𝑐𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑎𝑟𝑡𝑖𝑐𝑙𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑙’𝑖𝑚𝑝𝑎𝑐𝑡 𝑑𝑢 𝑡𝑟𝑎𝑖𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑣𝑖𝑎 𝑙𝑎 𝑝𝑜𝑚𝑝𝑒 𝑎̀ 𝑖𝑛𝑠𝑢𝑙𝑖𝑛𝑒 𝑀𝑖𝑛𝑖𝑀𝑒𝑑ᵀᴹ 780 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑔𝑙𝑦𝑐𝑒́𝑚𝑖𝑒 𝑑𝑒 𝑝𝑎𝑡𝑖𝑒𝑛𝑡𝑒𝑠 𝑒𝑛𝑐𝑒𝑖𝑛𝑡𝑒𝑠 𝑎𝑡𝑡𝑒𝑖𝑛𝑡𝑒𝑠 𝑑’𝑢𝑛 𝑑𝑖𝑎𝑏𝑒̀𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝑡𝑦𝑝𝑒 1 (𝐷𝑇1) 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑗𝑜𝑢𝑟𝑛𝑎𝑙 𝐷𝑖𝑎𝑏𝑒𝑡𝑒𝑠 𝑇𝑒𝑐ℎ𝑛𝑜𝑙𝑜𝑔𝑦 & 𝑇ℎ𝑒𝑟𝑎𝑝𝑒𝑢𝑡𝑖𝑐𝑠. 𝑁𝑜𝑢𝑠 𝑠𝑜𝑚𝑚𝑒𝑠 𝑟𝑎𝑣𝑖𝑠 𝑑’𝑎𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑝𝑢 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑐𝑖𝑝𝑒𝑟 𝑎𝑢 𝑠𝑢𝑐𝑐𝑒̀𝑠 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑡 𝑎𝑟𝑡𝑖𝑐𝑙𝑒 ! 🏥 Le DT1 constitue un facteur de 𝐫𝐢𝐬𝐪𝐮𝐞 𝐝𝐞 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐥𝐢𝐜𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 pendant la grossesse, comme une 𝐧𝐚𝐢𝐬𝐬𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐩𝐫𝐞́𝐦𝐚𝐭𝐮𝐫𝐞́𝐞, la 𝐩𝐫𝐞́𝐞́𝐜𝐥𝐚𝐦𝐩𝐬𝐢𝐞, ou encore la 𝐦𝐨𝐫𝐭 𝐢𝐧𝐭𝐫𝐚-𝐮𝐭𝐞́𝐫𝐢𝐧𝐞. Un suivi rigoureux de la glycémie permet de 𝐝𝐢𝐦𝐢𝐧𝐮𝐞𝐫 𝐥𝐞 𝐫𝐢𝐬𝐪𝐮𝐞 de mort fœtale et les malformations qui peuvent survenir durant la grossesse de femmes atteintes de DT1. Les auteurs ont évalué l’impact d’un suivi de la glycémie par la 𝐩𝐨𝐦𝐩𝐞 𝐚̀ 𝐢𝐧𝐬𝐮𝐥𝐢𝐧𝐞 𝐌𝐢𝐧𝐢𝐌𝐞𝐝ᵀᴹ chez des patients ayant un DT1 sur l’évolution de la glycémie et les complications néonatales et maternelles. 🏥 Au total, 13 femmes enceintes ont été suivies. L’âge gestationnel moyen à la naissance était de 31 semaines. Le temps passé dans l’intervalle de valeurs de glycémie visé variait entre 46 % et 66 % au cours de la grossesse. Durant la nuit, ce temps était 𝐬𝐮𝐩𝐞́𝐫𝐢𝐞𝐮𝐫 𝐚̀ 𝟕𝟎 % tout au long de la grossesse. L’hémoglobine glyquée moyenne était de 6,4 % à la naissance de l’enfant, qui pesaient 3,134 kg en moyenne. Des 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐥𝐢𝐜𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐨𝐧𝐭 𝐞́𝐭𝐞́ 𝐫𝐚𝐩𝐩𝐨𝐫𝐭𝐞́𝐞𝐬 chez les nouveau-nés, notamment une macrosomie (5/14) et une hypoglycémie néonatale (2/14), ainsi que chez les mères : prééclampsie (5/13) et césarienne (9/13). 🏥 Même si le contrôle de la glycémie grâce à la pompe à insuline MiniMedᵀᴹ était 𝐠𝐥𝐨𝐛𝐚𝐥𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐬𝐚𝐭𝐢𝐬𝐟𝐚𝐢𝐬𝐚𝐧𝐭, les résultats recommandés n’ont été atteints que pendant les périodes nocturnes. Les complications sont restées 𝐧𝐨𝐧 𝐧𝐞́𝐠𝐥𝐢𝐠𝐞𝐚𝐛𝐥𝐞𝐬, que ce soit pour les nouveau-nés ou les patientes L'article est d’ores et déjà disponible sur le site du journal ! 𝐃𝐎𝐈: 𝟏𝟎.𝟏𝟎𝟖𝟗/𝐝𝐢𝐚.𝟐𝟎𝟐𝟑.𝟎𝟐𝟔𝟕 #diabetes #diabète #pregnancy #grossesse #research #recherche #médecine #medical
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Cancers hématologiques associés à la grossesse : une étude a été menée sur 10 ans pour évaluer l’incidence des hémopathies malignes survenant pendant la grossesse en France, analyser les complications maternelles et obstétricales mais aussi obtenir des données épidémiologiques robustes. ➡ Entre 2012 et 2022, en France, sur un total de 9 996 523 grossesses, 1 366 cas de cancers hématologiques associés à la grossesse ont été identifiés dont 413 cas diagnostiqués pendant la grossesse et 953 cas dans l’année suivant la grossesse. ➡ L’étude montre un taux plus élevé de naissances prématurées pour ces femmes (45,2 %) par rapport aux femmes sans hémopathie (6,6 %). ➡ Elle montre également que les femmes atteintes d’hémopathies malignes pendant la grossesse avaient la même probabilité de survie à long terme que les femmes atteintes d’hémopathies malignes et non enceintes. Cette étude a été menée avec l’Université Paris Cité, l’Inserm et le réseau HEMAPREG. En savoir plus 👇 Pierre Pinson, Laurent Chouchana, Vassilis Tsatsaris, Jérémie Zerbit, Caroline Charlier-Woerther , Nathanael Beeker, Mathis Collier, Didier Bouscary, Pr Jean-marc Treluyer, Rudy BIRSEN,Milan Lazarevic, Sorya Lanfranchi,Quentin DEMANET,Aude Vicherat Chaboissier,Didier Frandji
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📄 Le numéro d'octobre de la revue Gynécologie Obstétrique Pratique est disponible, offrant des analyses approfondies et des données cliniques pertinentes pour les professionnels de santé. Ce numéro présente des articles de pointe sur : • 🤰 Grossesse et prééclampsie : Une étude rigoureuse de Charles Garabedian examine les interactions complexes entre la gynécologie, la fertilité et la sénologie, soulignant des décès annuels dans le monde. Des recommandations cliniques pour la prise en charge de ces décès sont formulées. • 👩⚕️ Infectiologie et VRS : Marie-Laure CHARKALUK présente une analyse détaillée des bronchiolites, en mettant l'accent sur les nourrissons, les hospitalisations et les épidémies devenants plus précoces. • 😷 Covid-19 et estrogènes : Daniel ROTTEN présente une étude de cas, illustrant la contraception orale chez une femme lors de la prescription d'anti-inflammatoires. L’article rappel la synergie des divers facteurs de risque. 🌐 Téléchargez le numéro complet : https://lnkd.in/gQqwS9aW 👇 N'hésitez pas à partager vos réflexions ci-dessous. #GynécologiePratique #donneescliniques #professionnelsdesante #grossesse
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📣 [COMMUNIQUÉ] Infection congénitale à #cytomégalovirus #CMV : un #dépistage à organiser en France ! Devant le constat d’infections congénitales graves à CMV, facilement évitables à l’aide d’un traitement antiviral efficace bien toléré par la #mère et le #fœtus, l’Académie nationale de médecine renouvelle ses recommandations déjà exprimées en son sein, que : 1️⃣ ce problème de santé publique soit pris en compte dans toutes ses dimensions, y compris éthiques et que, notamment, l’ensemble des coûts induits par des handicaps à vie, supportés par les familles et par la Société, soient inclus dans l’analyse du ratio bénéfice/risque du dépistage ; 2️⃣ les moyens du dépistage du CMV soient mis en place, incluant le dépistage IgG et IgM anti-CMV dans le premier trimestre et le suivi des femmes séronégatives, sur la base d’un algorithme décisionnel, tel que recommandé par le Collège national des gynécologues et obstétriciens français ; 3️⃣ des études de cohortes et de suivi de l’impact de la mesure soient développées, à partir notamment du système national des données de santé. Version intégrale du communiqué >>> https://lnkd.in/ewMMcbzz #femmeenceinte #foetus #handicap #grossesse #cmv #gynecologie
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Protégez deux vies en une : l'Importance cruciale du diagnostic de la syphilis chez les femmes enceintes. Le Diagnostic de la Syphilis chez les Femmes Enceintes est une Précaution Cruciale. La syphilis, une infection sexuellement transmissible causée par la bactérie "Treponema pallidum". Elle peut avoir des conséquences graves lorsqu'elle est contractée pendant la grossesse. Le dépistage précoce et le diagnostic précis de cette maladie sont essentiels pour protéger la santé de la mère et du fœtus. Le dépistage de la syphilis est généralement effectué lors des visites prénatales initiales et régulières. Cette mesure préventive permet de détecter rapidement toute infection et d'initier un traitement approprié. Un diagnostic précoce réduit considérablement le risque de complications graves pour la mère. Cela réduit entre autres les risques de fausses couches, d'accouchements prématurés ou de décès fœtaux. Les tests les plus couramment utilisés pour détecter la syphilis incluent le VDRL (Venereal Disease Research Laboratory) et le TPHA "Treponema pallidum Hemagglutination Assay". Dites-moi dans les commentaires si vous voulez en savoir davantage sur cette maladie! ------------------------------------------------------------------------- Je suis Charlenne ZOSSOU, je réalise vos analyses biomédicales avec des conseils à l'appui pour une meilleure santé.
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Former Quality Assurance Manager at Laboratoires SALEM Diagnostics
1 moisCela laisse supposer qu'on pourrait avoir plus de restrictions dans l'indication. Le retrait est ainsi envisageable si l'alternative fournit une satisfaction aux cliniciens.