QUEL AVENIR POUR LES PROFESSIONNELS DE SANTÉ ? — Si les médecins savent s’adapter, leur avenir ne nous semble pas menacé. Bien au contraire. La perspective que nous entrevoyons est celle du médecin augmenté dont les capacités seront démultipliées grâce à des outils ultraperformants. — L’objectif est de parvenir à une forme d’hybridation des pratiques médicales, de repousser les limites actuelles de la médecine en favorisant une symbiose entre l’expertise humaine et les technologies avancées, tout en demeurant fidèle à la vocation première du médecin : offrir des soins de qualité et centrés sur la demande du patient. — Très concrètement, les outils d’intelligence artificielle apportent aux médecins une précision accrue dans le diagnostic, avec un traitement de volumes colossaux de données, dans des temps records. En tant que médecin esthétique, dermatologue et chirurgien, cela a des effets très concrets sur l’analyse cutanée, le diagnostic cutané, la prédiction des résultats post-opératoires et la personnalisation des plans de traitement…. Découvrez l’interview du Docteur DIALA HAYKAL👩⚕️🔵 & Docteur Benjamin Ascher notre dernier magazine... #medecineesthetique #chirurgieesthetique #medecineregenerative #vieillissement #sante #bienetre
Post de Apparences Magazine - le média de la médecine esthétique
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Très intéressant comme post ! J'avais déjà lu que le recueil d'informations représentait 23% du temps d'une consultation de médecine généraliste, ce qui est assez conséquent au vu de son temps moyen en France (17min). Une solution qui leur permettrait de gagner du temps ? À tester ! #Santé #MédG #Esanté #Medtech #Soins
Les auto-questionnaires en médecine générale ? Une solution très efficace, mais encore peu adoptée en France malgré des études encourageantes. C'est le Dr. Florian AUDRAN, qui en 2016, nous présentait une thèse sur l’intérêt de l'utilisation des auto-questionnaires en salle d'attente pour la médecine générale. Cette riche revue de littérature indiquait que : 1) Les auto-questionnaires répondent très bien au besoin d'optimisation des pratiques, notamment concernant la décision clinique, la prévention, le dépistage et le comportement des patients à long terme. 2) Ils permettent la récupération de certaines informations méconnues (comme la situation psychosociale par exemple...) 3) Ils font gagner du temps en minimisant les perturbations dans les cabinets médicaux. 4) Dernier point, ils étaient bien accueillis par les patients qui se montraient satisfaits notamment concernant la qualité de la relation avec leurs médecins. Des résultats qui étaient donc déjà très favorables. C’était en 2015/2016, une époque où la santé numérique, la connectivité et l’automatisation des processus cognitifs étaient en mode préhistorique… Vous sentez venir ma question ? Où en serons-nous vis à vis de ces auto-questionnaires en 2025? Moi, je crois que j'ai ma petite idée… 🙃 #Esante #Questionnaire #consultation #Soins #Medtech
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Intéressant de voir que cette thèse date de 2016 et que ce ne soit pas encore devenu un réflexe pour les maisons et centres de santé. Je trouve personnellement, qu'il est rassurant de devoir pré-remplir ses informations, afin que le professionnel de santé puisse exercer en ayant la pleine connaissance de mes infos... Aucun souci de mon côté, pour faire la première partie du travail ... #Santé #Medecins #QualitéDesSoins #Esanté #MedG
Les auto-questionnaires en médecine générale ? Une solution très efficace, mais encore peu adoptée en France malgré des études encourageantes. C'est le Dr. Florian AUDRAN, qui en 2016, nous présentait une thèse sur l’intérêt de l'utilisation des auto-questionnaires en salle d'attente pour la médecine générale. Cette riche revue de littérature indiquait que : 1) Les auto-questionnaires répondent très bien au besoin d'optimisation des pratiques, notamment concernant la décision clinique, la prévention, le dépistage et le comportement des patients à long terme. 2) Ils permettent la récupération de certaines informations méconnues (comme la situation psychosociale par exemple...) 3) Ils font gagner du temps en minimisant les perturbations dans les cabinets médicaux. 4) Dernier point, ils étaient bien accueillis par les patients qui se montraient satisfaits notamment concernant la qualité de la relation avec leurs médecins. Des résultats qui étaient donc déjà très favorables. C’était en 2015/2016, une époque où la santé numérique, la connectivité et l’automatisation des processus cognitifs étaient en mode préhistorique… Vous sentez venir ma question ? Où en serons-nous vis à vis de ces auto-questionnaires en 2025? Moi, je crois que j'ai ma petite idée… 🙃 #Esante #Questionnaire #consultation #Soins #Medtech
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Les auto-questionnaires en médecine générale ? Une solution très efficace, mais encore peu adoptée en France malgré des études encourageantes. C'est le Dr. Florian AUDRAN, qui en 2016, nous présentait une thèse sur l’intérêt de l'utilisation des auto-questionnaires en salle d'attente pour la médecine générale. Cette riche revue de littérature indiquait que : 1) Les auto-questionnaires répondent très bien au besoin d'optimisation des pratiques, notamment concernant la décision clinique, la prévention, le dépistage et le comportement des patients à long terme. 2) Ils permettent la récupération de certaines informations méconnues (comme la situation psychosociale par exemple...) 3) Ils font gagner du temps en minimisant les perturbations dans les cabinets médicaux. 4) Dernier point, ils étaient bien accueillis par les patients qui se montraient satisfaits notamment concernant la qualité de la relation avec leurs médecins. Des résultats qui étaient donc déjà très favorables. C’était en 2015/2016, une époque où la santé numérique, la connectivité et l’automatisation des processus cognitifs étaient en mode préhistorique… Vous sentez venir ma question ? Où en serons-nous vis à vis de ces auto-questionnaires en 2025? Moi, je crois que j'ai ma petite idée… 🙃 #Esante #Questionnaire #consultation #Soins #Medtech
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𝗟𝗮 𝘁𝗿𝗮𝗻𝘀𝗳𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗰𝗼𝗻𝘀𝘂𝗹𝘁𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗺𝗲́𝗱𝗶𝗰𝗮𝗹𝗲 : 𝘂𝗻 𝘃𝗼𝘆𝗮𝗴𝗲 𝗱𝗲 𝟭𝟬 𝗮𝗻𝘀… 𝗲𝘁 𝗰𝗲 𝗻’𝗲𝘀𝘁 𝗽𝗮𝘀 𝗳𝗶𝗻𝗶. De 2014 à 2019, j’ai eu la chance de contribuer à un projet ambitieux : celui du zéro papier à l’Hôpital Paris Saint-Joseph. Les technologies ont bien évolué depuis. Mais la perception des professionnels de santé face à ce grand changement d’organisation ? Pas si évident… À l’époque, le directeur général portait une vision audacieuse : un dossier patient informatisé. Oui, cela a été un grand pas en avant. Finies les courses pour retrouver le dossier de gastroentérologie pour une consultation de chirurgie digestive ! Les résultats, les comptes rendus… tout était là, prêt et accessible le jour du départ du patient. Une circulation de l’information rapide, pluridisciplinaire, en temps réel. Pourtant, ce n’était pas parfait. Car en parallèle, l’ordinateur s’est parfois glissé entre le médecin et le patient, prenant du temps d’écoute pour en gagner en efficacité. Les soignants ont dû s’adapter, inventer des systèmes D pour s’approprier ces outils sans perdre l’essence même de leur métier. 𝗘𝘁 𝗻𝗼𝘂𝘀 𝘃𝗼𝗶𝗰𝗶 𝗲𝗻 𝟮𝟬𝟮𝟰. 𝗟𝗮 𝗺𝗶𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱’𝗮𝘂𝗷𝗼𝘂𝗿𝗱’𝗵𝘂𝗶 ? 𝗥𝗲𝗻𝗱𝗿𝗲 𝗱𝘂 𝘁𝗲𝗺𝗽𝘀 𝗮𝘂𝘅 𝘀𝗼𝗶𝗴𝗻𝗮𝗻𝘁𝘀. Alors que le « zéro clavier » se profile, les IA génératives arrivent en force dans le secteur. L’automatisation devient un nouvel enjeu, qui demande une réorganisation profonde. Pour en tirer le meilleur, il faudra accepter de revoir nos pratiques et, une fois de plus, changer notre quotidien. Mais ce n’est pas aussi simple. Chaque médecin a trouvé son équilibre avec le numérique, son précieux système D, souvent sans grande envie de tout bousculer à nouveau. Car intégrer ces nouvelles technologies impose aussi de revenir en arrière pour avancer, accepter de perdre du temps aujourd’hui pour en gagner demain. L’avenir des assistants IA est devant nous. Mais sans une organisation et une démarche uniformisées, leur potentiel restera limité. Ce sont les établissements capables de définir des protocoles communs et solides qui bénéficieront le plus de ce progrès. 𝗠𝗮𝗶𝘀 𝗻’𝗼𝘂𝗯𝗹𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗽𝗮𝘀 𝗹’𝗲𝘀𝘀𝗲𝗻𝘁𝗶𝗲𝗹. L’objectif, ce n’est pas seulement la productivité. Il s’agit de protéger la relation humaine, de préserver cette écoute irremplaçable, ce lien de confiance entre le soignant et le patient. Car si les outils numériques se multiplient, ils ne doivent pas éloigner le patient du médecin. Mon espoir ? Que les querelles de clocher ne nous freinent pas. Que nous puissions collectivement utiliser ces technologies à notre disposition pour redonner vie à notre système de santé. Parce qu’au fond, un système de santé qui fonctionne, c’est un système où l’humain reste au cœur.
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Le passage au zéro papier est essentiel pour moderniser notre système de santé et représente un enjeu RSE majeur. Il facilite l’accès aux informations, améliore la coordination des équipes et renforce le lien ville-hôpital. Toutefois, il est crucial de choisir des outils qui simplifient les processus. La multiplicité des logiciels métiers, avec plusieurs systèmes pour un même patient, nuit à l’efficacité des soignants. Un progiciel intégré ou middleware performant permet de centraliser les données, réduire les clics et libérer du temps pour les soins. Cette évolution technologique nécessite un accompagnement adapté. Que ce soit avec la méthode ADKAR ou d’autres approches, l’objectif est d’impliquer les équipes dès le début et de faciliter l’adoption des outils. La technologie doit soutenir les soignants et renforcer l’humain au cœur des soins.
𝗟𝗮 𝘁𝗿𝗮𝗻𝘀𝗳𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗰𝗼𝗻𝘀𝘂𝗹𝘁𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗺𝗲́𝗱𝗶𝗰𝗮𝗹𝗲 : 𝘂𝗻 𝘃𝗼𝘆𝗮𝗴𝗲 𝗱𝗲 𝟭𝟬 𝗮𝗻𝘀… 𝗲𝘁 𝗰𝗲 𝗻’𝗲𝘀𝘁 𝗽𝗮𝘀 𝗳𝗶𝗻𝗶. De 2014 à 2019, j’ai eu la chance de contribuer à un projet ambitieux : celui du zéro papier à l’Hôpital Paris Saint-Joseph. Les technologies ont bien évolué depuis. Mais la perception des professionnels de santé face à ce grand changement d’organisation ? Pas si évident… À l’époque, le directeur général portait une vision audacieuse : un dossier patient informatisé. Oui, cela a été un grand pas en avant. Finies les courses pour retrouver le dossier de gastroentérologie pour une consultation de chirurgie digestive ! Les résultats, les comptes rendus… tout était là, prêt et accessible le jour du départ du patient. Une circulation de l’information rapide, pluridisciplinaire, en temps réel. Pourtant, ce n’était pas parfait. Car en parallèle, l’ordinateur s’est parfois glissé entre le médecin et le patient, prenant du temps d’écoute pour en gagner en efficacité. Les soignants ont dû s’adapter, inventer des systèmes D pour s’approprier ces outils sans perdre l’essence même de leur métier. 𝗘𝘁 𝗻𝗼𝘂𝘀 𝘃𝗼𝗶𝗰𝗶 𝗲𝗻 𝟮𝟬𝟮𝟰. 𝗟𝗮 𝗺𝗶𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱’𝗮𝘂𝗷𝗼𝘂𝗿𝗱’𝗵𝘂𝗶 ? 𝗥𝗲𝗻𝗱𝗿𝗲 𝗱𝘂 𝘁𝗲𝗺𝗽𝘀 𝗮𝘂𝘅 𝘀𝗼𝗶𝗴𝗻𝗮𝗻𝘁𝘀. Alors que le « zéro clavier » se profile, les IA génératives arrivent en force dans le secteur. L’automatisation devient un nouvel enjeu, qui demande une réorganisation profonde. Pour en tirer le meilleur, il faudra accepter de revoir nos pratiques et, une fois de plus, changer notre quotidien. Mais ce n’est pas aussi simple. Chaque médecin a trouvé son équilibre avec le numérique, son précieux système D, souvent sans grande envie de tout bousculer à nouveau. Car intégrer ces nouvelles technologies impose aussi de revenir en arrière pour avancer, accepter de perdre du temps aujourd’hui pour en gagner demain. L’avenir des assistants IA est devant nous. Mais sans une organisation et une démarche uniformisées, leur potentiel restera limité. Ce sont les établissements capables de définir des protocoles communs et solides qui bénéficieront le plus de ce progrès. 𝗠𝗮𝗶𝘀 𝗻’𝗼𝘂𝗯𝗹𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗽𝗮𝘀 𝗹’𝗲𝘀𝘀𝗲𝗻𝘁𝗶𝗲𝗹. L’objectif, ce n’est pas seulement la productivité. Il s’agit de protéger la relation humaine, de préserver cette écoute irremplaçable, ce lien de confiance entre le soignant et le patient. Car si les outils numériques se multiplient, ils ne doivent pas éloigner le patient du médecin. Mon espoir ? Que les querelles de clocher ne nous freinent pas. Que nous puissions collectivement utiliser ces technologies à notre disposition pour redonner vie à notre système de santé. Parce qu’au fond, un système de santé qui fonctionne, c’est un système où l’humain reste au cœur.
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📰 #LeBilletdu13h | La chirurgie 4.0 de l’IA a besoin de tous L’#hospitalisationprivée est la grande oubliée du rapport sur la #recherchemédicale publié le 3 juin dernier et, en amont, de la lettre de mission ministérielle, de la liste des acteurs concertés, audités, et finalement des nouvelles règles d’allocation de ressources. Nos équipes de chercheurs et leurs #établissementsdesanté sont « invisibilisés ». Pourtant, le « travailler ensemble » est une clé pour réussir la transformation digitale de l’#écosystèmechirurgical avec l’aide de l’IA. Elle apportera en temps réel au #chirurgien des données d’imagerie du patient opéré ainsi que des données compilées de registres sur des patients ayant le même profil. De même, disposer de données de cohortes de #patients pouvant être utilisées comme comparateurs, validerait plus rapidement l’intérêt de nouvelles techniques et leur financement. [...] Suite du billet 👉 https://lnkd.in/ePC7KQx8 #FHP #professionnelsdesanté #systèmedesanté #médecins #systèmedesanté #CHU #recherchefrançaise Frédérique GAMA Thierry BECHU Séverine Defosse
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🚨⛔Conseils médicaux en ligne : danger ou opportunité ? 🩺👨⚕️👩⚕️💻 ✅Il existe de nos jours un grand nombre de sites spécialisés en conseils médicaux. Les ressources médicales sur Internet représentent à la fois une opportunité et un défi. ✅Elles peuvent enrichir l'expérience des patients et améliorer leur gestion de la santé, à condition d'être utilisées de manière judicieuse et en complément des conseils professionnels. ✅Une approche collaborative et éducative, intégrant les technologies numériques dans le parcours de soin, est essentielle pour garantir que les patients bénéficient pleinement des avantages de ces ressources, tout en évitant leurs pièges. ✅Cette voie permet de renforcer la relation de confiance entre les patients et les professionnels de santé. Cela assure ainsi des soins de qualité dans un monde de plus en plus connecté. Ici pour en savoir plus : https://lnkd.in/dANE6Z_w #conseils #conseilssante #conseilenligne #sante #Technologie #INTERNET #medecine
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Révolutionner les soins post-opératoires avec l’innovation numérique et l’IA prédictive ! Dans le service de chirurgie digestive de l’Hôpital Saint-Pierre, un nouveau trajet de soins digital post-opératoire redéfinit l’expérience des patients grâce à une application mobile et à l’intégration de Barisk, une IA prédictive. Cette technologie nous permet de détecter rapidement les risques de complications, de réagir précocement et de garantir un suivi personnalisé à domicile. Qu’est-ce qui rend cette approche unique ? 🔹 Suivi digital sur mesure : Chaque patient bénéficie d’un accompagnement adapté à ses besoins. 🔹 Prévention proactive : Avec Barisk, les complications sont identifiées avant qu’elles ne deviennent critiques. 🔹 Ressources optimisées : Moins de pression sur le personnel médical et paramédical, tout en augmentant l’efficacité des équipes. 🔹 Réduction de l’anxiété : Des patients rassurés, mieux informés, et des passages aux urgences limités. 🔹 Coût maîtrisé : Une gestion des soins plus efficace, au bénéfice des patients et du système de santé. Un modèle inclusif et humain : Au-delà de la technologie, nous veillons à ce que personne ne soit laissé pour compte. Une coordinatrice digitale est dédiée à accompagner les patients dans cette transition numérique, garantissant un accès égal à cette innovation. Cette démarche s’inscrit dans une vision plus large : offrir une médecine de qualité, accessible à tous, et bâtir des ponts entre innovation et humanité. Un grand merci à toutes les équipes impliquées : médecins, infirmières, paramédicaux, ingénieurs en IA, et notre équipe digitale. Vous êtes les architectes de cette avancée ! Tout ça a été possible grâce au soutien de #DigitalWallonia et à la collaboration avec #UMons et le Prof. #GiovanniBriganti 🌍 Ensemble, nous redéfinissons les standards des soins post-opératoires et montrons que l’innovation peut servir la santé publique de manière éthique et durable. #IA #Barisk #SuiviPostOpératoire #ChirurgieDigestive #InnovationSanté #TrajetDeSoins #MédecineDeQualité #InclusionNumérique #HôpitalSaintPierre #SantéDigitale #DigitalWallonia #UMons
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Comment la téléradiologie ouvre de nouvelles perspectives de carrière ?! La téléradiologie n'est pas simplement une tendance passagère. Elle révolutionne la manière dont les soins sont délivrés, offrant une médecine plus accessible à l'échelle nationale et internationale 🌍 Face aux défis de l'accès à l'imagerie médicale, de nombreux établissements de santé se tournent vers la téléradiologie pour pallier les inégalités et améliorer la qualité des soins. Pourquoi adopter la téléradiologie ? Accessibilité renforcée : Réduction des inégalités d'accès à l'imagerie médicale dans les régions sous-dotées 🏥. Offre de services complets, incluant plateformes techniques et expertise médicale ⚙️. Réponse aux défis structurels : Surmonter la répartition géographique inégale des services 🌐. Combler le déficit de radiologues dans le secteur public 👩⚕️👨⚕️. Amélioration de la continuité des soins : Assurance de la continuité des soins, y compris la nuit et les week-ends 🌙. Sécurisation et élargissement de l'offre d'imagerie médicale, y compris les surspécialités 🧠. Avantages pour les professionnels de la radiologie : Opportunités d'expansion de pratique : Extension des compétences et de la portée géographique de la pratique radiologique 🌎. Contribuer activement à la modernisation du système de santé 🚀. Fiabilité et conformité : Respect strict des normes de sécurité et de confidentialité des données 🔒. Conformité avec la réglementation en matière de cybersécurité et de télémédecine 📋. En conclusion, dans un environnement médical et organisationnel complexe, la téléradiologie offre des solutions immédiates tout en débloquant de nouvelles opportunités pour les radiologues qui veulent innover et transformer les soins de santé en une réalité plus juste 🌟 Laissez-moi savoir en commentaire ce que vous en pensez ! 💬 #Téléradiologie #OpportunitéDeCarrière #SoinPourTous
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Présence, ce jeudi, de Jean-François Bouscarain, président de URPS Infirmiers Libéraux d'Occitanie, lors de ce fascinant colloque à #Montpellier 👉 Nous vous en partageons quelques bons mots... #soigner Des attentes et des pratiques en mutation Soigner... Ce geste millénaire comporte une double exigence. L'une technique, liée à la connaissance et à la pratique, est d'ordre rationnel. Soucieuse d'efficience, elle vise à une utilisation optimale de hautes technologies pour guérir ou soulager le malade. Elle intègre une combinaison complexe de logiques scientifiques et médicales mais aussi socio-économiques. L'autre, humaine et éthique est avant tout d'ordre relationnel. Elle suppose de prendre en compte la subjectivité de la personne soignée, de se préoccuper de son vécu et de ses choix. Ce qui suppose de lui offrir une disponibilité et une écoute attentive empreinte de sollicitude. L'évolution des techniques, la place prépondérante des maladies chroniques, les nouvelles attentes des patients et de leurs proches conduisent à veiller au juste équilibre de ces deux approches indissociables du soin. Et comment conserver cet équilibre au quotidien au moment où l'intelligence artificielle s'impose dans nos pratiques ?
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