[ 📄 𝐏𝐔𝐁𝐋𝐈𝐂𝐀𝐓𝐈𝐎𝐍 : 𝐀𝐑𝐓𝐈𝐂𝐋𝐄 | ⚔️ EQUIPEMENT ] 🖋️ 𝐐𝐮𝐞𝐥𝐥𝐞𝐬 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐚𝐧𝐝𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐥𝐢𝐯𝐫𝐚𝐢𝐬𝐨𝐧𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥’𝐚𝐫𝐦𝐞́𝐞 𝐝𝐞 𝐓𝐞𝐫𝐫𝐞 𝐞𝐧 𝟐𝟎𝟐𝟓 ? Quelles sont les perspectives de l’armée de Terre pour 2025 sur le plan capacitaire ? De la poursuite de SCORPION aux efforts de transformation fixés dans la loi de programmation militaire, tour d’horizon des commandes, livraisons et points d’interrogation inscrits dans le projet de loi de finances. Les grandes manoeuvres ont démarré pour faire adopter un projet de loi de finances d’ici fin décembre. Un exercice périlleux car conduit sur fond d’austérité, mais dans lequel les armées ont jusqu’à présent sorti leur épingle du jeu : la trajectoire fixée dans la loi de programmation militaire 2024-3030 est tenue à l’euro près dans la mouture initiale. Des 50,5 Md€ de crédits annoncés pour l’an prochain, 10,6 Md€ sont fléchés vers les grands programmes d’armement. Un sixième de l’enveloppe bénéficiera à l’innovation, le renseignement, les infrastructures et les petits équipements. Des moyens nécessaires pour « poursuivre l’effort de renouvellement et la modernisation de l’équipement des forces pour les adapter à l’intensité de nos engagements et à l’évolution de la menace, tout en intégrant les technologies innovantes », pointe un document budgétaire publié ce vendredi. [...] 💻 L'article de Nathan Gain vous intéresse ? Rendez-vous sur le site Forces Operations Blog - FOB Ministère des Armées Armée de Terre Commandement du combat futur École de guerre DGA - Direction générale de l'armement École de guerre École de Guerre-Terre 🖋️ #ProgrammeSCORPION #LPM #Modernisation #EquipementMilitaire #RoquettesAT4F2 #MissilesAnticharsCourtePortée #Griffon #Serval #Tigres #VBL
Post de ASAF - Association de Soutien aux Armées de la France
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[ 📄 𝐏𝐔𝐁𝐋𝐈𝐂𝐀𝐓𝐈𝐎𝐍 : 𝐀𝐑𝐓𝐈𝐂𝐋𝐄 | 💶 BUDGET ] 🖋️ 𝐋’𝐢𝐧𝐧𝐨𝐯𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐝𝐞́𝐟𝐞𝐧𝐬𝐞 𝐭𝐞𝐫𝐫𝐞𝐬𝐭𝐫𝐞 𝐝𝐚𝐯𝐚𝐧𝐭𝐚𝐠𝐞 𝐟𝐢𝐧𝐚𝐧𝐜𝐞́𝐞 𝐞𝐧 𝟐𝟎𝟐𝟓 Éternel parent pauvre de l’innovation de défense, le domaine terrestre devrait voir ses moyens financiers bondir nettement l’an prochain. De quoi notamment poursuivre la dynamique engagée autour du char de combat de demain et progresser sur la voie de la robotique de combat. Un peu plus de 1 Md€ de crédits paiement et 1,2 Md€ en autorisations d’engagement. Sauf mauvaise surprise, l’effort financier en faveur des études amont se poursuivra en 2025. L’enveloppe sourit cette fois au combat terrestre, à la défense NRBC et à la santé, trois domaines dont la ligne budgétaire commune voit ses autorisations d’engagement augmenter de 258% pour atteindre 229 M€. Une tendance partagée par des crédits de paiement en hausse de 30% à près de 100 M€. Selon le PLF 2025, cette hausse des engagements viendra principalement soutenir « les technologies nécessaires à la préparation du futur système de combat terrestre franco-allemand MGCS, ainsi que la préparation des programmes des fonctions feu et artillerie ». Ils permettront également de préparer un « plan char lourd », sujet pour le moins énigmatique à l’heure où se pose à nouveau la question de l’évolution du char Leclerc. [...] 💻 La suite de l'article de Nathan Gain est à lire dans son intégralité sur le site de @Forces Operations Blog - FOB Ministère des Armées État-Major des Armées Etat-Major de l'Armée de Terre Armée de Terre DGA - Direction générale de l'armement Commandement du combat futur (CCF) École de guerre Académie de défense de l'École militaire 🖋️ #CharDeCombat #InnovationDeDéfense #RobotiqueDeCombat #PLF2025
L'innovation de défense terrestre davantage financée en 2025 - FOB - Forces Operations Blog
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500. Les bombes AASM sont des bombes de différentes puissances (250 kg à 1000 kg) conçues par Safran. Elles équipent nos Rafale (mais pas nos Mirage 2000D). Elles ont une particularité: dotées de différents types de guide de précision, elles sont “planantes” et propulsées par un bloc de poudre ce qui leur permet d’atteindre 60 km de portée avec une très grande précision et un pouvoir de destruction très élevé. Rien avoir avec un “drone suicide” qui peut porter loin mais dont la puissance militaire est faible. Pour le pilote, le tir d’une bombe AASM est très simple. Il se met à 10 000 ft (3 km) en ligne droite, en dehors du domaine d'interception des "SAM" ennemis. Il sélectionne ses bombes sur le tableau d'armement. Les objectifs (DMPI) sont déjà programmés (mode GPS). Il passe le "master arm" sur ON. Il relève le “couvercle” (avec le pouce...) et il appuie sur la gâchette, situés sur le sommet du manche de pilotage. Les bombes sont éjectées de leurs lances-bombes. Le propulseur à poudre s'allume. Quelques secondes plus tard elles font but 60 km plus loin. Au mètre prêt. Un Rafale peut tirer une salve de 6 bombes et faire "but"sur 6 objectifs différents en une seule “passe”. Elles peuvent aussi être dirigées par guidage laser soit du sol (TACP) soit en vol (pods Talios et Damocles). Elles peuvent aussi être tirées en très basse altitude après une manœuvre de cabré. La portée est alors de l'ordre de 15 km. 500 bombes AASM, c’est bien. Mais c’est à à fois pour les Ukrainiens et pour nos forces. On va dire moitié-moitie. C'est donc pas beaucoup. 250 AASM pour nos forces aériennes, c’est 250/6 = une quarantaine de sorties de Rafale dans un confit de haute intensité = un ou deux jours de guerre. La différence avec un drone suicide? Une puissance de destruction sans commune mesure. Aucune bombe de ce type n'a été interceptée par aucun système connu. Pour le moment... La guerre de haute intensité ça coûte cher, ça coûte très cher. L’économie de guerre ça coûte cher, ça coûte très cher, beaucoup plus cher que ne le permettent les finances de la France. Questions à mes amis aviateurs: combien de bombes et de missiles ont été fictivement tirés lors du dernier exercice VOLFA 2024 (A2SM, GBU, MICA, METEOR, SCALP...)? Armée de l’air et de l’espace #faireface
Le ministère des Armées va commander 500 bombes AASM à Safran
lepoint.fr
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Faut-il deux porte-avions pour la France quand la Chine en est à quatre? Deux fois plus cher? Non. Les études sont mieux amorties, la fabrication aussi. Ce ne sont pas deux flottilles aériennes ni deux équipages. Foch et Clémenceau ont fonctionné à un équipage et demi car il était rare d'avoir les deux bateaux en mission en même temps. La flotte aérienne passe d'un bateau à l'autre. De même l'escorte est quasi dimensionnée pour deux PA puisqu'il ne s'agit pas d'avoir deux groupes aéronavals en mission mais un en permanence à la mer. De ce point de vue, passer les frégates en équipage rouge et bleu permettra une montée en charge. On peut aussi supposer que lorsque deux groupes devront être lancés sur des missions et lieux différents, cela correspondra à un scenario de crise pour lequel on pourra aussi compter sur une escorte alliée. Donc c'est plus cher, mais pas X2. Et envisager 3% du PIB pour assurer la sécurité de la nation, ce n'est pas insurmontable et devrait se résoudre non par plus d'impôt mais par une réallocation des dépenses. Cerise sur le gâteau, si cette réallocation transforme des dépenses de fonctionnement en dépenses d'investissement cela enrichira le pays et augmentera le PIB par la même occasion.
De la gueule, des marins et des Rafale. Le successeur du PA Charles de Gaulle, le "PA NG" est une priorité de la LPM 2024-2030. Il est prévu d'entrer en service en 2038. Demain. Alors que le "Charles de Gaulle" aura 36 années de bons et de loyaux services. La Marine a souhaité un PA plus puissant capable d'emporter plus d'avions de combat que le CdG: une quarantaine de Rafale voire de NGF/SCAF plus tard. Plus gros, donc plus cher, beaucoup plus cher. Avec 3 catapultes parce que c'est le rythme de sorties qui compte plus que le nombre de chasseurs embarqués. Avec une capacité d'opérer des drones de différentes tailles. Parce que dès à présent la question ne se pose plus. Alors en 2038... Avec une capacité autonome de défense anti-missiles renforcée parce que la menace ne cesse de se développer en nombre et en performance. Avec la capacité d'emporter, le cas échéant, l'arme nucléaire pour donner au PR une option supplémentaire le jour où il devra brandir l'arme nucléaire. Mais aussi avec la nécessité de renforcer le "groupe" de batiments de surface et sous-marins qui vont l’accompagner dans ses missions car, pour l'ennemi, il sera une cible prioritaire. En réalité, la question qui se pose n'est pas de savoir si la France a besoin d'un nouveau PA. La question est de savoir si la LPM actuelle permet à la France de disposer de cette capacité à laquelle aucune des grandes puissances ne renonce. Sans affaiblir les autres capacités dont la Marine a besoin: sous-marins d'attaques, frégates puissantes, capacités dédiées à la guerre des mines, à la patrouille maritime,... Mais aussi celles des autres armées parce que nous avons besoin d'une armée de terre puissante et d'une armée de l'air et de l'espace puissante. Parce que le prix d'un PA NG est celui de la plate-forme + celui des aéronefs embarqués + celui de tous les systèmes de protection + celui des batiments d'accompagnement + celui des infrastructures portuaires dédiées. Tout cela évidemment dans le contexte d'un effort de 50 milliards que doit faire cette "LPM à 413 Mds" pour le début du renouvellement de nos deux composantes nucléaires. La réponse à cette question est connue des états-majors. Un seul PA NG cela va être dur. Deux PA NG: c'est hors de portée budgétaire. Ce PA NG a "de la gueule". Il permettra à la France et son immense archipel de rester dans le club des nations navales qui comptent. Mais il ne faut en aucune manière sous-estimer sa capacité d’éviction d'autres programmes indispensables si le budget des armées ne passe pas rapidement à 3% du PiB. Peut être faut-il aussi rappeler que la LPM 2024-2030 s’arrêtera en 2027 pour cause d'élection d'un nouveau président de la République. Parce que c'est toujours comme cela que ça s'est passé. Quand à son nom, difficile de ne pas penser au « Charles de Gaulle 2 ». Thibault LAMIDEL #faireface
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➡ L’armée de Terre définit des doctrines d’emploi pour les munitions téléopérées dans le cadre du projet Circaète Comme le montre la guerre en Ukraine, les munitions téléopérées [ou drones « kamikazes »] sont désormais incontournables, que ce soit pour frapper dans la profondeur ou pour neutraliser des cibles dites d’opportunité… Ce que le conflit au Haut-Karabakh avait présagé. D’ailleurs, en France, cette capacité fut très vite identifiée comme étant essentielle par le Commandement des opérations spéciales [COS], celui-ci ayant exprimé le souhait de se l’approprier en 2021. Depuis, la Direction générale de l’armement [DGA], via l’Agence de l’innovation de défense [AID], a lancé les projets Colibri et Larinae afin de développer des MTO de courte et de moyenne portée. La Loi de programmation militaire [LPM] 2024-30 en a fait une priorité, avec l’objectif d’en acquérir « au moins » 1800 exemplaires pour en doter l’armée de Terre. D’où l’intérêt du projet Circaète, mené par les officiers stagiaires du cours « armement 2023-24 » de l’établissement de formation technique et scientifique de l’armée de Terre [EMSST – Enseignement militaire supérieur scientifique et technique]. Le 28 mars, ce projet de « munition téléopérée de moyenne portée » a fait l’objet d’une « restitution finale » devant le directeur de la Section technique de l’armée de Terre [STAT], l’État-major de l’armée de Terre [EMAT], la Direction générale de l’armement [DGA], le Service interarmées des munitions [SIMu] et de la Direction de la Maintenance aéronautique [DMAé]. Selon les brèves explications données par l’EMSST, ce projet a permis d’établir un « document unique de besoin » [DUB], lequel sera « particulièrement utile pour l’acquisition de ce cette capacité dans une avenir […] très proche ». Mieux encore, Circaète a aussi servi à élaborer huit scénarios d’emploi opérationnel et de réaliser une « analyse fonctionnelle exhaustive de ce futur système d’arme ». Selon l’EMSST, les « élément clés » qui en sont ressortis « alimenteront les futures doctrines ». « La comparaison de trois concepts architecturaux différenciés et la définition de niveaux d’emploi possibles ont amené à mettre en exergue des éléments discriminants relatifs à leur soutien, la formation et l’entraînement », précise l’EMSST, pour qui la « satisfaction du besoin opérationnel, au juste prix et également à temps, passe par un dialogue constructufs entre les opérationnels, la DGA et les industriels ». D’ailleurs, plusieurs d’entre eux ont apporté leur appui à ce projet, dont MBDA, Nexter [ou KNDS France], Thales, EOS, Delair, Novadem, Aeromapper et Cerbair.
L'armée de Terre définit des doctrines d'emploi pour les munitions téléopérées dans le cadre du projet Circaète - Zone Militaire
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" Plusieurs raisons peuvent expliquer ce résultat. Ainsi, pour la seule armée de Terre, la mise en service progressive des véhicules issus du programme SCORPION [blindés multirôles Griffon et Serval, engin blindé de reconnaissance et de combat Jaguar] ainsi que le remplacement du véhicule léger tout-terrain P4 par l’ACMAT VT4 en font partie. La fin des opérations au Sahel, très éprouvantes pour les matériels, également. Mais à ces éléments conjoncturels s’ajoutent des considérations structurelles. Ainsi, le général Jouslin de Noray a mis en avant la « transformation numérique » de la SIMMT, avec l’entrée en service et la « modularisation » du système d’information « SIMAT », décrit comme étant un « véritable système d’armes du maintien en condition opérationnelle des matériels terrestres [MCO-T] ». Utilisé par les trois armées, il permet de connaître, en temps réel, l’état du parc, la disponibilité technique des matériels et de suivre l’évolution des réparations de ceux qui sont immobilisés. " https://lnkd.in/dtXn-jeB
Selon la SIMMT, le parc "hors ligne" des véhicules en dotation au sein des forces françaises a été divisé par deux - Zone Militaire
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De la gueule, des marins et des Rafale. Le successeur du PA Charles de Gaulle, le "PA NG" est une priorité de la LPM 2024-2030. Il est prévu d'entrer en service en 2038. Demain. Alors que le "Charles de Gaulle" aura 36 années de bons et de loyaux services. La Marine a souhaité un PA plus puissant capable d'emporter plus d'avions de combat que le CdG: une quarantaine de Rafale voire de NGF/SCAF plus tard. Plus gros, donc plus cher, beaucoup plus cher. Avec 3 catapultes parce que c'est le rythme de sorties qui compte plus que le nombre de chasseurs embarqués. Avec une capacité d'opérer des drones de différentes tailles. Parce que dès à présent la question ne se pose plus. Alors en 2038... Avec une capacité autonome de défense anti-missiles renforcée parce que la menace ne cesse de se développer en nombre et en performance. Avec la capacité d'emporter, le cas échéant, l'arme nucléaire pour donner au PR une option supplémentaire le jour où il devra brandir l'arme nucléaire. Mais aussi avec la nécessité de renforcer le "groupe" de batiments de surface et sous-marins qui vont l’accompagner dans ses missions car, pour l'ennemi, il sera une cible prioritaire. En réalité, la question qui se pose n'est pas de savoir si la France a besoin d'un nouveau PA. La question est de savoir si la LPM actuelle permet à la France de disposer de cette capacité à laquelle aucune des grandes puissances ne renonce. Sans affaiblir les autres capacités dont la Marine a besoin: sous-marins d'attaques, frégates puissantes, capacités dédiées à la guerre des mines, à la patrouille maritime,... Mais aussi celles des autres armées parce que nous avons besoin d'une armée de terre puissante et d'une armée de l'air et de l'espace puissante. Parce que le prix d'un PA NG est celui de la plate-forme + celui des aéronefs embarqués + celui de tous les systèmes de protection + celui des batiments d'accompagnement + celui des infrastructures portuaires dédiées. Tout cela évidemment dans le contexte d'un effort de 50 milliards que doit faire cette "LPM à 413 Mds" pour le début du renouvellement de nos deux composantes nucléaires. La réponse à cette question est connue des états-majors. Un seul PA NG cela va être dur. Deux PA NG: c'est hors de portée budgétaire. Ce PA NG a "de la gueule". Il permettra à la France et son immense archipel de rester dans le club des nations navales qui comptent. Mais il ne faut en aucune manière sous-estimer sa capacité d’éviction d'autres programmes indispensables si le budget des armées ne passe pas rapidement à 3% du PiB. Peut être faut-il aussi rappeler que la LPM 2024-2030 s’arrêtera en 2027 pour cause d'élection d'un nouveau président de la République. Parce que c'est toujours comme cela que ça s'est passé. Quand à son nom, difficile de ne pas penser au « Charles de Gaulle 2 ». Thibault LAMIDEL #faireface
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Message sur l’armée 2024 : le programme d’armement en bref Dans le cadre du programme d’armement 2024, le Conseil fédéral demande des crédits d’engagement pour un montant global de 490 millions de francs. Le programme d’armement comprend cinq projets d’armement : ➡️Équipement des centres de calcul du DDPS ➡️Capteurs semi-stationnaires passifs permettant de compléter l’image de la situation aérienne ➡️Maintien de la valeur de l’avion d’entraînement PC-7 ➡️Engins guidés sol-sol ➡️Cybersécurité Le programme d’armement a pour but de combler des lacunes de capacités existantes. L’équipement des centres de calcul du DDPS déjà construits et le raccordement de systèmes principaux sont un élément essentiel du renouvellement de l’infrastructure informatique de l’armée ; cela donnera une meilleure protection contre les cyberattaques. Il est aussi prévu d’équiper les forces terrestres de nouveaux missiles à même de combattre des buts blindés et des ouvrages clés à longue distance. De plus, l’acquisition de capteurs semi-stationnaires permettra d’améliorer la détection, la localisation, l’observation et l’identification d’aéronefs. Enfin, un autre projet d’armement vise le maintien de la valeur de l’avion d’entraînement PC‑7. Dans le carrousel, nous avons réuni pour vous les contenus les plus importants en lien avec le programme d’armement du message sur l’armée. Pour en savoir plus, consultez le dossier web : https://bit.ly/49OV1td Armée Suisse Office fédéral de l'armement armasuisse Thomas Suessli Urs Loher #MessageArmée #ArméeSuisse #Défense #DDPS #Sécurité #Politique #ConseilFédéral
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🏛⚔️ Poursuivre l'équipement de nos forces Avec 20,2 Mds€ de commandes et 10,6 Mds€ de livraisons d'équipements prévus en 2025, l'effort en faveur de la modernisation de nos capacités de défense se poursuit. ↪️ Cet effort est essentiel pour conserver à notre défense sa crédibilité et répondre aux besoins de nos armées, dans un contexte géostratégique bouleversé et marqué par un réarmement massif à l'échelle mondiale. ➡️ Défense sol-air, drones, spatial, dissuasion nucléaire, cyber, etc. figurent parmi les domaines faisant l'objet d'un investissement nécessaire en 2025. En 2025, l'innovation de défense n'est pas en reste et demeure primordiale afin de faire bénéficier à nos armées des avancées technologiques, avec 1,2 Mds€ de crédits (IA, fonds marins, armes à énergie dirigée). 🙏 Je remercie Emmanuel Chiva, délégué général de l'armement, pour ses éclairages en Commission de la défense nationale et des formes armées sur les priorités capacitaires, la modernisation de la DGA - Direction générale de l'armement ou encore les moyens déployés afin de soutenir l'entrée dans une logique d'économie de guerre jusque dans nos territoires. Ministère des Armées Sébastien Lecornu Jean-Louis Thiériot Assemblée nationale François Cormier-Bouligeon
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#Pyrotechnie 🐕🦺 | Avec les équipes #cynophiles, il vaut mieux la jouer "Flair-play" 🔵 La DGA dispose d'une expertise dans la synthèse, la caractérisation et le comportement des explosifs artisanaux utilisés dans la confection d'engins explosifs improvisés #IED 🔴 En collaboration avec le Secrétariat Général de la Défense et de la Sécurité Nationale, le centre d'expertise et d'essais DGA Techniques terrestres #DGATT reproduit des explosifs artisanaux et met en place des scénarios opérationnels pour entraîner les équipes cynophiles des forces armées et de sécurité intérieures en charge de la sécurisation des grands évènements tels que les #JOP2024 ℹ️ Pour s'engager au plus près des forces armées 👉 https://lnkd.in/eSbtm9mf #NotreExpertise - Ministère des Armées Armée de Terre Gendarmerie Nationale Police nationale Groupe SNCF
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Oui. Une réflexion indispensable. Dans un monde idéal l'armée de terre aurait besoin d’hélicoptères de combat et de drones pour toutes ses missions donc aussi celle de ses hélicoptères d'attaque. L'un et l'autre sont complémentaires. Pour le moment. Haut Karabagh et Ukraine certes mais aussi une armée pauvre comme celle du Mali qui avec une poignée de drones TB2 turcs porte des coups très durs à la rébellion touareg. Le choix ne sera pas uniquement capacitaire, cela n'a jamais existé. Il sera d'abord budgétaire et aussi industriel. L'armée de terre a besoin de créer un commandement des drones au service de l'ensemble de ses missions. Un commandement qui pilote la montée en puissance des drones et la lutte anti-drones. Je crois comprendre que c'est le cas? #faireface
Le dilemme de l’évolution capacitaire Plusieurs échos se font entendre ces derniers jours sur l’emploi de l’hélicoptère, suite aux retours d’expériences du conflit russo-ukrainien : les Japonais ont décidé de retirer du service leur flotte d’hélicoptères de combat pour les remplacer par des drones et les Américains de mettre un terme au programme de « Future Attack & Reconnaissance Aircraft » (FARA) comme en rend compte l’article en lien 👇. La question se pose également pour l’Armée de Terre, qui doit moderniser voire renouveler sa flotte d’hélicoptères dans les années à venir, avec la mesure qui convient car les enseignements tactiques du conflit russo-ukrainien ne sont pas encore tous tirés ni stabilisés. Cette question illustre le sujet plus global de l’adaptation de l’outil de défense aux nouvelles exigences de la conflictualité : garantir à la Nation que les armées « feront le job » aujourd’hui et dans dix ans. Et se pose ici le dilemme suivant : préserver des compétences humaines, tactiques et technologiques que nous avons mis des décennies à acquérir et qui se perdraient rapidement après une décision d’abandon ou prendre résolument un virage qui semble correspondre à l’actualité immédiate de la guerre. En d’autres termes, dans ce que nous observons en Ukraine, à Gaza et dans le Haut Karabagh, qu’est ce qui est de l’ordre du conjoncturel, c’est-à-dire des spécificités des protagonistes, de la géographie ou de la temporalité d’un conflit, et qu’est ce qui est de l’ordre du structurel, d’une évolution franche des modalités d’action et du caractère de la guerre ? Les implications sont stratégiques : l’erreur se paie « cash », et cher, au détriment du contribuable d’abord, mais surtout au détriment de l’efficacité opérationnelle, et donc de la sécurité de la Nation. S’ajoutent à ces questionnements l’impératif de notre souveraineté, et sa déclinaison en termes industriels. Quelques pistes pour guider la réflexion de ceux qui ont à faire ce genre de choix stratégiques, au-delà de l’étude indispensable des conflits et de leur mise en perspective historique : ➡ Faire preuve d’agilité dans l'innovation : s’appuyer à la fois sur la R&D industrielle et la dynamique innovatrice de nos soldats, à la vision toujours pragmatique et sans doute plus économique parce que proche du terrain. ➡ Savoir amorcer le mouvement : identifier les points de décision (de non-retour entre deux options) pour pousser l’expérimentation au plus loin avant de prendre franchement le virage ou de redresser la barre. ➡ Avoir une vision claire du modèle d’armée souhaitée pour fixer une cohérence générale : si c’est le choix de la polyvalence, on s’orientera davantage sur des solutions compromis. S’il s’agit de spécialiser, alors des choix plus radicaux pourront être faits. ➡ Ne viser qu’un seul objectif : l’efficacité opérationnelle.
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