Post de Association Valentin Haüy

C'est aussi pour cela que l'accessibilité web est importante, ce n'est pas que pour les personnes en situation de handicap mais bien pour tous car nous allons vieillir avec le web. Faisons du web un outil inclusif.

👵Nos aînés déficients visuels 60 ans et plus : Constats de l'enquête Homère. 🧐La déficience visuelle chez les personnes de 60 ans et plus, souvent liée à l'avancée en âge, pose des défis particuliers. La maîtrise du braille, des aides techniques informatiques et des outils de mobilité est limitée dans cette tranche d'âge. Les difficultés inhérentes à la déficience visuelle se mêlent aux défis du vieillissement, accentuant les obstacles. 🤝Découvrez le témoignage poignant de Françoise : "Perdre la vue après 60 ans n'est pas simple, car on n'y est tout simplement pas préparé. Il est essentiel de ne pas rester seul et de rejoindre des associations, où vous trouverez des personnes bienveillantes partageant le même handicap, vous permettant de voir votre vie quotidienne sous un autre angle." Retrouvez également notre cahier thématique dédié. Consultez l'étude : https://lnkd.in/dXjS2NCx Les porteurs de l'Étude Homère : ANPEA - Association Valentin Haüy - Gapas - Fédération des Aveugles et Amblyopes de France - Institut National des Jeunes Aveugles (INJA-Louis Braille) - Les PEP 69 ML - RETINA FRANCE - Voir Ensemble - Les Chiens Guides d'Aveugles - FFAC #EnquêteHomère #DéficienceVisuelle #NosSeniors #Aidants

👵Nos aînés déficients visuels 60 ans et plus : Constats de l'enquête Homère 🧐La déficience visuelle chez les personnes de 60 ans et plus, souvent liée à l'avancée en âge, pose des défis particuliers. La maîtrise du braille, des aides techniques informatiques et des outils de mobilité est limitée dans cette tranche d'âge. Les difficultés inhérentes à la déficience visuelle se mêlent aux défis du vieillissement, accentuant les obstacles. 🤝Découvrez le témoignage poignant de Françoise : "Perdre la vue après 60 ans n'est pas simple, car on n'y est tout simplement pas préparé. Il est essentiel de ne pas rester seul et de rejoindre des associations, où vous trouverez des personnes bienveillantes partageant le même handicap, vous permettant de voir votre vie quotidienne sous un autre angle." Retrouvez également notre cahier thématique dédié. Institut National des Jeunes Aveugles (INJA-Louis Braille) Les PEP 69 ML Gapas Fédération des Aveugles et Amblyopes de France ANPEA Association Valentin Haüy RETINA FRANCE #EnquêteHomère #DéficienceVisuelle #NosSeniors #Aidants

🌍 Aujourd'hui, nous célébrons la Journée Mondiale de la Surdicécité, en l'honneur de la naissance de Helen Keller. 📅 Depuis deux ans, la surdicécité est reconnue comme un handicap spécifique en France et commence à attirer l'attention des pouvoirs publics, des professionnels et du monde du handicap ! 📜 En 2004, le Parlement européen a adopté une déclaration écrite invitant les États membres à reconnaître la surdicécité et à garantir les droits des personnes sourdaveugles. Cependant, ce n'est qu'en 2021 (soit 17 ans plus tard !), lors du comité interministériel du 5 juillet, que la surdicécité a été officiellement reconnue comme un handicap spécifique en France. 👓 La surdicécité est un handicap sensoriel qui est une conséquence d'une combinaison d'une déficience visuelle pouvant aller jusqu'à la cécité et d'une déficience auditive pouvant aller jusqu'à la surdité. Ce n'est en aucun cas une addition d'une surdité et d'une cécité. 🚶♂️ Imaginez une personne sourdaveugle qui est sourde (portant des prothèses ou non) et malvoyante/non-voyante devant traverser un passage piéton avec une canne blanche. Un déficient visuel pourra traverser avec plus de confiance car il pourra se repérer par rapport aux bruits des voitures, des balises sonores, etc. Mais un sourdaveugle ? Sans pouvoir utiliser la vue ni l'ouïe, traverser un passage piéton devient un défi immense. 🔄 La surdicécité rend chaque sourd ou malentendant potentiellement confronté à cette condition. Des troubles de la vue, comme la DMLA, peuvent apparaître avec l'âge ou des accidents, accentuant les défis déjà posés par la perte auditive. Aujourd'hui, la Caisse nationale de solidarité pour l'autonomie estime à plus de 400 000 personnes âgées de 75 ans et plus ayant une double déficience sensorielle. Malheureusement, nous manquons de chiffres fiables pour la surdicécité rentrant dans le champ du handicap (avant 60 ans). 🔤 Pour les sourdaveugles, il existe une diversité similaire à celle des sourds : oralistes, signants, implantés, appareillés, sans prothèses, etc. Ils utilisent parfois des modes de communication adaptés tels que la LSF cadrée, la LSF tactile, la lecture labiale, le protactile, les pictogrammes, ou encore des modes de communication relevant de la communication alternative améliorée. 💡 Depuis le 1er janvier 2023, le forfait surdicécité offre un soutien crucial aux personnes affectées en France. De plus, une mission ministérielle dédiée à la surdicécité est actuellement en cours, visant à améliorer la reconnaissance et les conditions de vie des personnes sourdaveugles. 🤝 L'ANPSA, membre d'UNANIMES, est l'association qui représente spécifiquement les sourdaveugles et leurs familles, s'engageant à améliorer la qualité de vie et à défendre leurs droits. En cette journée spéciale, rendons hommage à Helen Keller et soutenons les personnes sourdaveugles et leurs familles. 🤝 #JournéeMondialeSurdicécité #Inclusion #ANPSA

📑La JP du Cabinet Bibal : CA Paris, pôle 4, chambre 10, 2 mai 2024, n°21/13072 Comment évaluer le besoin en tierce personne d’un enfant en situation de lourd handicap ? Cette question soulève beaucoup de discussions notamment lors de l’expertise durant laquelle le conseil du régleur a tendance à minimiser ce besoin en évoquant le « besoin classique » d’un enfant à bas âge, qui serait déjà dépendant de ses parents pour les gestes du quotidien. Pourtant, lorsque l’enfant est très gravement atteint et présente une dépendance quasi-totale, son besoin en tierce personne n’est plus du tout comparable à l’aide parentale normale. 🗝 Par un arrêt très récent, obtenu par notre cabinet, la Cour d’appel de PARIS explicite la méthode d’indemnisation du besoin en tierce personne d’un enfant né très gravement handicapé : « Au regard de la sévérité du handicap de X et de son état d'entière dépendance, ses besoins, alors qu'il requiert une aide attentive constante pour l'ensemble des actes de la vie quotidienne et une disponibilité et une réactivité permanentes d'un tiers à ses côtés, ne peuvent être calculés au seul regard des besoins supplémentaires par comparaison à un enfant du même âge en construction et qui nécessite également une aide quotidienne. La dépendance de l'intéressé doit en conséquence être intégralement prise en charge, sans déduction du temps consacré à un enfant « ordinaire », vingt-quatre heures par jour depuis sa naissance, sans distinction, non plus, des heures « passives » ou « actives ». » Il est donc établi que le besoin de tierce personne d’un enfant gravement handicapé doit être indemnisé sans déduction du besoin d’un enfant du même âge en bonne santé, qui se trouve dans une situation non comparable.   🔁 Cet arrêt s’inscrit dans la jurisprudence du Conseil d'Etat qui a retenu par un arrêt du 2 avril 2021, la nécessité d'une aide humaine en permanence pour un enfant gravement handicapé (CE, 5ème et 6ème chambres réunies, 2 avril 2021, 427283). 📚 Conseil de lecture pour approfondir l'argumentaire : - Article de Sylvie VERNASSIERE « L’indemnisation des enfants – l’évaluation du besoin en tierce personne de l’enfant », Gazette du Palais, 10 mars 2012, n°69 à 70.

Article sur l'Autodétermination de la personne handicapée 3/3 Je me souviens avoir visité en Suisse, à Vevey, une Fondation qui accueille des adultes ayant une déficience mentale et qui avait mis au point une forme de contractualisation des choix de vie de la personne fragile, en particulier pour les activités, où la responsabilité était partagée entre la personne demandeuse, la famille et l’institution. Ainsi, des sorties régulières au dancing, seul ou à plusieurs, étaient possibles sans que la charge du risque pèse uniquement sur l’institution. Les résultats étaient magnifiques et étonnants. Combien de personnes sont en souffrance psychologique aujourd’hui dans les maisons de repos et de soins. Il n’est pas question de faire le procès d’institutions, souvent de qualité ; leurs mérites sont grands et leur professionnalisme indéniable. En revanche, c’est notre projet de société que nous devons réinterroger au regard d’expériences qui donnent satisfactions où se côtoient différentes générations, avec par exemple une école, une ferme scolaire intégrée autour d’un projet de soins et d’accueil de personnes fragiles. Pour Jean-Louis Korpes, il s’agit de mettre en place des stratégies et des programmes visant à augmenter la capacité de décision des personnes fragiles. Des Modèles systémiques de Développement Humain particulièrement adaptés à ces objectifs d’autodétermination ont été développés au Québec depuis plus de 20 ans et sont là pour nous inspirer.[1] [1] MDH-Processus de Production du Handicap. Patrick Fougeyrollas ou Modèle Pass-PAR, Approche par compétences, PP Lachapelle et G. Sanson-Saulinier.

𝗟𝗲𝘀 𝗰𝗵𝗶𝗲𝗻𝘀 𝗱’𝗮𝘀𝘀𝗶𝘀𝘁𝗮𝗻𝗰𝗲 : 𝘂𝗻 𝘀𝗼𝘂𝘁𝗶𝗲𝗻 𝗲𝘀𝘀𝗲𝗻𝘁𝗶𝗲𝗹 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗽𝗲𝗿𝘀𝗼𝗻𝗻𝗲𝘀 𝗮𝘂𝘁𝗶𝘀𝘁𝗲𝘀 🐕🦺 Spécialement formés, les chiens d’assistance sont des alliés indispensables pour les personnes atteintes de troubles du spectre autistique. Leur rôle ne se limite pas à des tâches simples : ils apportent un soutien 𝗽𝗵𝘆𝘀𝗶𝗾𝘂𝗲, 𝗽𝘀𝘆𝗰𝗵𝗼𝗹𝗼𝗴𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗲𝘁 𝘀𝗼𝗰𝗶𝗮𝗹 qui améliore la qualité de vie de leurs humains au quotidien 🤗 🔸 𝗦𝗼𝘂𝘁𝗶𝗲𝗻 𝗽𝗵𝘆𝘀𝗶𝗾𝘂𝗲 : ils apprennent à exécuter plus de 𝟱𝟬 𝗰𝗼𝗺𝗺𝗮𝗻𝗱𝗲𝘀 pour des tâches telles qu’apporter des médicaments, ouvrir des portes, ou même appuyer sur une alarme en cas de crise 😲 🔸 𝗦𝗼𝘂𝘁𝗶𝗲𝗻 𝗲́𝗺𝗼𝘁𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗹 : les personnes autistes, souvent sujettes à des crises d’angoisse, bénéficient du réconfort qu'apporte la présence de leurs chiens. Ceux-ci aident à apaiser les tensions, à gérer les émotions et à diminuer les comportements compulsifs. Le simple fait de prendre soin de leur chien 𝗳𝗮𝘃𝗼𝗿𝗶𝘀𝗲 𝘂𝗻𝗲 𝗿𝗼𝘂𝘁𝗶𝗻𝗲 𝗿𝗮𝘀𝘀𝘂𝗿𝗮𝗻𝘁𝗲. 🔸 𝗣𝗿𝗲́𝘃𝗲𝗻𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗰𝗿𝗶𝘀𝗲𝘀 : les chiens sont capables de détecter des 𝘀𝗶𝗴𝗻𝗲𝘀 𝗽𝗿𝗲́𝗰𝗼𝗰𝗲𝘀 de crises liées à des troubles autistiques ou des pathologies associées, telles que les crises d’épilepsie, les crises d’asthme, ou encore les chocs anaphylactiques, intervenant 𝗮𝘃𝗮𝗻𝘁 𝗾𝘂𝗲 𝗹𝗮 𝘀𝗶𝘁𝘂𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗻𝗲 𝗱𝗲𝘃𝗶𝗲𝗻𝗻𝗲 𝗰𝗿𝗶𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲 👏 En France, l’accès à un chien d’assistance est possible avec une reconnaissance de la MDPH, permettant ainsi aux personnes de 𝗯𝗲́𝗻𝗲́𝗳𝗶𝗰𝗶𝗲𝗿 𝗱’𝘂𝗻 𝘀𝗼𝘂𝘁𝗶𝗲𝗻 qui change leur quotidien. Le lien unique entre une personne autiste et son chien crée un cadre de vie plus sûr, plus stable, et aide à briser l’isolement.

#presse #santé #handicap Un grand merci au journal Le Media Social et surtout à Noémie Colomb pour cet article qui explique très bien les missions et les actions de notre association ! "Comment expliquer ce qu’est la ménopause à une personne handicapée intellectuelle ? Comment la préparer à une échographie ? Comment lui annoncer qu’elle a un cancer et comment lui détailler le traitement proposé ? Pour aider les professionnels et les aidants à soutenir leur proche en situation de handicap, SantéBD propose des bandes dessinées thématiques permettant d’expliquer avec des images et des mots simples, les questions liées à la santé. En libre accès et téléchargeables, les documents sont aussi personnalisables : il est ainsi possible de choisir le genre de la personne qui sera mis en scène dans la BD ainsi que sa tranche d’âge et son type de handicap. Le dispositif est porté par Coactis qui vise à rendre effective l’accessibilité aux soins et à la santé des personnes en situation de handicap. L'association organise aussi des webinaires à destination des professionnels de santé et porte Handiconnect, un site qui rassemble des ressources en open source. Des fiches-conseils réalisées par des groupes de travail pluridisciplinaires y donnent des repères sur les spécificités du handicap (moteur, sensoriel, troubles du neuro-développement...)." https://lnkd.in/efMhGDin Stéphanie Baz Anne-Charlotte DAMBRE Odile Antoine Pauline d'Orgeval Catherine Franc Claire Convert Hélène Frenkiel-Lebossé Marie-Aude Le Baron Alain SCUDELLARO Laura COLIATTI Lucile Ali Maureen Bleuzen Marie Fricault

Selon-vous, lorsqu’on parle de monoparentalité, le handicap est-il un facteur suffisamment pris en compte ?   Merci au Sénateur XAVIER IACOVELLI pour notre riche échange sur le sujet. La famille monoparentale est au cœur de l'actualité avec la récente proposition d’Emmanuel Macrons d’instaurer un "devoir de visite" des pères dans les familles monoparentales. La proposition intervient à la suite d’un rapport du Sénat de mars 2024 révélant qu’aujourd'hui un quart des familles en France sont monoparentales, avec 82% d’entre elles gérées par des femmes, et 3,1 millions d'enfants mineurs concernés. « Ces familles sont au croisement des enjeux de lutte contre la précarité, d'insertion professionnelle, d'égalité entre les femmes et les hommes, et d'égalité des chances », note le rapport.   🔎 Il est fondamental de ne pas oublier dans ce contexte les besoins spécifiques des parents isolés aidants d’un enfant handicapé, qui font face à de multiples défis. 👉 Financiers notamment car le parent isolé doit très souvent sortir du monde du travail pour s’occuper de son enfant. Selon une étude de la Drees paru en 2023, 26% des enfants bénéficiant de l’AEEH (allocation d’éducation de l’enfant handicapé) vivent dans une famille monoparentale (contre 13% avec leurs deux parents). On comprend donc que les familles monoparentales avec un enfant handicapé rencontrent davantage de difficultés financières que les autres. Et ces contraintes à courts termes auront des impacts à long termes quand arrivera l’âge de la retraite. 👉 De plus, la recherche de logement adapté au handicap de l’enfant constitue un autre défi.   👉 La question de l’éducation est aussi compliquée. L’école inclusive ne permet pas toujours une prise en charge à temps plein de l’enfant handicapé. Ceci complexifie la recherche d’emploi du parent et de solution de garde de l’enfant. L’étude de la Drees relève que 2 tiers des « mamans solos » ayant un enfant handicapé et bénéficiant de l’AEEH ne travaillent pas.   Au-delà de ces contraintes financières et logistiques, d’autres problématiques peuvent émerger. La hausse des informations préoccupantes (IP) abusives par exemple, qui toucheraient 7 fois plus les familles avec un enfant handicapé (source : Fnaseph). De même, la monoparentalité du parent handicapé soulève des questions complexes lors de séparations, avec des regards souvent pesants de la part des juges.   On le comprend, la vie des parents isolés est complexe.   Quand survient le handicap, tout devient plus difficile !

Saviez-vous qu'en 2021, on recensait pas moins de 9,3 millions de personnes dites « #prochesaidants » en France ? Celles-ci souffrent généralement d’isolement, d’épuisement et d’un manque de reconnaissance. 👉 Offrir une parenthèse de bien-être aux familles, c’est l’objectif des 𝑺𝒆́𝒋𝒐𝒖𝒓𝒔 𝒅𝒆 𝒓𝒆́𝒑𝒊𝒕 𝒇𝒂𝒎𝒊𝒍𝒊𝒂𝒖𝒙 𝒑𝒐𝒖𝒓 𝒍𝒆𝒔 𝒆𝒏𝒇𝒂𝒏𝒕𝒔 𝒂𝒚𝒂𝒏𝒕 𝒅𝒆𝒔 𝒕𝒓𝒐𝒖𝒃𝒍𝒆𝒔 𝒅𝒖 𝒔𝒑𝒆𝒄𝒕𝒓𝒆 𝒂𝒖𝒕𝒊𝒔𝒕𝒊𝒒𝒖𝒆 𝒐𝒖 𝒖𝒏 𝒉𝒂𝒏𝒅𝒊𝒄𝒂𝒑 𝒔𝒆́𝒗𝒆̀𝒓𝒆, organisés par l’association AnimA AnimA et soutenus par OMNIS et son partenaire l’Association RENOUVEAU VACANCES. 🧑🤝🧑 Anima réunit des professionnels de la #santé, du bien-être, des artistes, des animateurs et des sportifs. Ensemble, ils organisent et animent des #séjoursderépit, des séjours thérapeutiques et des formations au Fosso, gîte solidaire et inclusif en centre Bretagne. 🏡 Les séjours de répit s’adressent aux familles confrontées au #handicap d’un enfant et qui font également face à des difficultés sociales et matérielles. Encadrés par une équipe professionnelle composée d'un coordinateur, d'un psychologue, d'infirmiers et d'animateurs, ces séjours offrent une parenthèse de bien-être dans un environnement qui favorise la déconnexion, le repos, mais aussi l’écoute et le partage. 💙 Un projet qui fait rimer #vacances avec #solidarité, en offrant des séjours adaptés pour les enfants en situation de handicap tout en permettant à des familles en état d’épuisement et sans possibilité d’accéder à des vacances de souffler et d’être accompagnées. #TourismeAutrement #Fondsdedotation #mécénat