Post de Barthélémy Fendt

🏃♂️ 𝗧𝗼𝗽 𝗱𝗲́𝗽𝗮𝗿𝘁 𝗽𝗼𝘂𝗿 "𝗟𝗲𝘀 𝟭𝟬𝟬 𝗺𝗼𝘁𝘀 𝗱𝘂 𝗺𝗮𝗿𝗮𝘁𝗵𝗼𝗻" 🏃♀️ 📚 Voilà, il est désormais en vente en librairies, notre petit livre écrit avec Anaïs Brosseau aux Presses Universitaires de France, collection Que sais-je ? ⌚ Il raconte cette course particulière - dont j'ai eu la chance de franchir huit fois la ligne d'arrivée jusque-là avec autant de joie quel que soit le chrono (lent). 📔 Entre histoire et histoires, on y parle d'abandon et de Berlin, d'escalier et de champignon, de Bobbi Gibb et de folklore, de records et d'Alain Mimoun, d'organisateurs et de Paris, de VMA et de sponsor, d'hydratation et de dossards, de toilettes et d'écologie, d'Athènes et de fauteuil, de Neuf-Brisach et d'Emil Zatopek, de sas et de bénévoles, de départ et de finisher, de fractionné et de Chantal Langlacé, de business et de balcons... 👓 En voici l'avant propos : 𝗖𝗼𝘂𝗿𝗶𝗿 𝘂𝗻 𝗺𝗮𝗿𝗮𝘁𝗵𝗼𝗻, c’est accomplir un exploit. Qui n’est ni facile ni inaccessible. C’est pour cette raison que la distance fait rêver. Parce que c’est possible ! L’engouement autour de ces 42,195 kilomètres prend une dimension particulière en 2024, alors que la France accueille les Jeux olympiques et paralympiques et que, pour la première fois, 20 024 coureurs et coureuses du quotidien (ou du dimanche) vont pouvoir fouler le même parcours que les champions et championnes. 𝗖𝗼𝘂𝗿𝗶𝗿 𝘂𝗻 𝗺𝗮𝗿𝗮𝘁𝗵𝗼𝗻, c’est une performance, mais surtout une expérience. Une expérience qui nécessite de connaître quelques rudiments. Les rudiments techniques certes, mais aussi historiques, statistiques et anecdotiques. Peut-on vraiment être marathonien sans savoir qui étaient Alain Mimoun ou Kathrine Switzer, ce qu’est le fractionné, comment se porte un dossard, si quelqu’un courra la distance en moins de 2 heures un jour ou pourquoi le mouvement Spiridon a changé la course à pied ? Oui, on le peut, mais l’expérience est assurément moins complète et moins intense. 𝗖𝗼𝘂𝗿𝗶𝗿 𝘂𝗻 𝗺𝗮𝗿𝗮𝘁𝗵𝗼𝗻, « c’est 30 km avec les jambes, 10 km avec la tête, 2 km avec le cœur, 195 m avec les larmes », ainsi que l’avaient parfaitement résumé les organisateurs de l’épreuve parisienne en avril 2022. Ce sont ces émotions qui ont guidé la réalisation de cet ouvrage. Il est le fruit de milliers de kilomètres avalés, d’une dizaine de marathons terminés en France et à l’étranger, de nombreuses discussions et de multiples lectures. Le choix des entrées de ce livre est évidemment subjectif. 𝗖𝗼𝘂𝗿𝗶𝗿 𝘂𝗻 𝗺𝗮𝗿𝗮𝘁𝗵𝗼𝗻, c’est parfois terminer sans mots. 🙏 Merci à toutes celles et ceux (coureurs, organisateurs, passionnés...) qui ont répondu à nos questions et à celles et ceux qui ont raconté, par le passé, des moments forts du marathon. Merci à Christelle Daunay OLY, recordwoman de France pendant 16 ans, d'en signer la préface dans un texte personnel très fort. ❓ Si vous le lisez et que vous avez des remarques, suggestions, critiques, n'hésitez pas ! #Marathon #Running #Course

☝️Est ce de la folie ou une entreprise bien managée ? Un saut dans le vide ou une maitrise bien huilée ? 😳 ⁉️Les avis sont partagées, car la config étonnante... En effet bon nombre de personne s'alarment au vu de l'épreuve, surtout quand j'explique avoir terminé mon millième kilomètre vélo il y a 2 jours.(pour autant en CAP et une quarantaine en natation) De plus, pour ceux qui me suivent, ils savent qu'il y a une vingtaine de jours je me suis craché sur un trail de 65 km et 2500 d+. Avec mon âge qui me situe dans la catégorie expérimenté au départ, cela fait beaucoup pour certains de mes proches. D'un autre côté c'est mon dixième triathlon distance IronMan dont 3 Altriman et 3 Embrunman. Sauf que cela fait 10 ans que je n'en ai plus refait. Je joue et je tente la surcompensation suite au trail de Guerlédan. Ayant été repêché, j'avais 3 mois de retard dans ma préparation. comme je gère de multiples projets dans différents clubs et avec des athlètes à distance, je n'ai pas vraiment eu le temps de bien m'occuper de moi. C'est donc avec de gros points d'interrogations que je me lèverai demain matin à 2h. C'est là que je verrai si les process d'urgence que j'ai mis en place se révéleront performant. Il y a un défi specifique sur ce triathlon 🔥 on a beau avoir toute l'expérience du monde, dans des compartiments bien précis, j'ai souvent la chanson de Jean Gabin qui me revient en tête "Maintenant je sais..." A très vite pour le résultat de l'expérience ☺️ https://lnkd.in/e5QBMr-p

𝗢𝗻 𝗲𝘀𝘁 𝗹𝗲 𝟯𝟬 𝗻𝗼𝘃𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟮 : 𝗹𝗲 𝗺𝗼𝗻𝗱𝗲 𝗱𝘂 𝘁𝗿𝗶𝗮𝘁𝗵𝗹𝗼𝗻 𝘀𝗲 𝗿𝗲́𝘃𝗲𝗶𝗹𝗹𝗲 𝘀𝗲𝗰𝗼𝘂𝗲́. L’organisation IRONMAN® annonce que les Championnats du Monde ne se dérouleront plus uniquement à Kona (Hawaii), mais à Nice une année sur deux. Tremblement de terre 😲 𝗞𝗼𝗻𝗮, 𝗰’𝗲́𝘁𝗮𝗶𝘁 𝗹’𝗲𝗺𝗯𝗹𝗲̀𝗺𝗲 𝘂𝗹𝘁𝗶𝗺𝗲 𝗱𝗲 𝗻𝗼𝘁𝗿𝗲 𝘀𝗽𝗼𝗿𝘁. L’aventure d’une vie pour un triathlète.  La seule épreuve pour laquelle tu passais une nuit blanche, branché sur NBC. Désormais, Nice, avec ses eaux azurées et ses montagnes escarpées, entre en scène. 𝗟𝗮 𝗾𝘂𝗲𝘀𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗾𝘂𝗲 𝘁𝗼𝘂𝘁 𝗹𝗲 𝗺𝗼𝗻𝗱𝗲 𝘀𝗲 𝗽𝗼𝘀𝗲 𝗮𝗹𝗼𝗿𝘀 : 𝗡𝗶𝗰𝗲 𝗽𝗼𝘂𝗿𝗿𝗮-𝘁-𝗲𝗹𝗹𝗲 𝘂𝗻 𝗷𝗼𝘂𝗿 𝗿𝗶𝘃𝗮𝗹𝗶𝘀𝗲𝗿 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝗹’𝗮𝘂𝗿𝗮 𝗱𝗲 𝗞𝗼𝗻𝗮 ? Aujourd’hui, 2 ans après ce tournant historique, que retenir de cette décision ? 💡 ⊙ Nice a-t-elle su relever le défi d’être à la hauteur d’un tel événement mondial ? ⊙ Est-ce que les athlètes vivent toujours cette qualification avec le même frisson ?  ⊙ Comment cela affecte leur préparation ? 🎙️ 𝗢𝗻 𝗮 𝗿𝗲𝗰̧𝘂 Estée Chiara Larivière ☁ 🇫🇷, 𝗾𝘂𝗶 𝗮 𝗲𝘂 𝗹𝗮 𝗰𝗵𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗱𝗲 𝗽𝗮𝗿𝘁𝗶𝗰𝗶𝗽𝗲𝗿 𝗮̀ 𝟮 𝗲́𝗱𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 : 𝗞𝗼𝗻𝗮 𝗲𝗻 𝟮𝟬𝟮𝟯 𝗲𝘁 𝗡𝗶𝗰𝗲 𝗲𝗻 𝟮𝟬𝟮𝟰. Elle nous a partagé ses ressentis, ses doutes, ses joies. Deux courses, deux atmosphères, deux légendes. 𝗘𝘁 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗳𝘂𝘁𝘂𝗿𝘀 𝗾𝘂𝗮𝗹𝗶𝗳𝗶𝗲́.𝗲.𝘀, 𝗘𝘀𝘁𝗲́𝗲 𝗻𝗼𝘂𝘀 𝗮 𝗹𝗶𝘃𝗿𝗲́ 𝗱𝗲𝘀 𝗰𝗼𝗻𝘀𝗲𝗶𝗹𝘀 𝗽𝗿𝗲́𝗰𝗶𝗲𝘂𝘅 : ⊙ Comment s’adapter à ces deux environnements uniques ?  ⊙ Comment préparer sa course en fonction des défis que chaque lieu impose ? Son retour d’expérience est précieux pour tous ceux/celles qui rêvent de cet exploit. 🔗 Le lien de l’épisode est en commentaire 𝗔𝗹𝗼𝗿𝘀, 𝗯𝗼𝗻𝗻𝗲 𝗼𝘂 𝗺𝗮𝘂𝘃𝗮𝗶𝘀𝗲 𝗶𝗱𝗲́𝗲 ? 𝗟𝗲 𝗱𝗲́𝗯𝗮𝘁 𝗲𝘀𝘁 𝗼𝘂𝘃𝗲𝗿𝘁. Mais une chose est sûre : la quête de l’IRONMAN®, elle, reste intacte chez les triathlètes.

Les folies sont les seules choses qu’on ne regrette jamais.   Il y a quelques semaines, j’ai participé à un triathlon d’une durée de 24 h :   Je vous rassure, je suis vivant !   Pour information, le triathlon est une discipline sportive constituée de trois épreuves d'endurance enchaînées dans l'ordre suivant : natation, cyclisme et course à pied.   (Oui, il faut être fou.)   Sauf que là, il s’agissait d’une compétition en équipe !   Nous étions quatre membres à représenter le club d’Orchies-Pévèle dans le cadre du T24 Xtrem Triathlon du Touquet Paris-Plage.   Pendant 24 h, nous nous sommes relayés pour parcourir le max’ de distance lors des différentes épreuves : 3 h de nage, 12 h de vélo et 9 h de course à pied.   Une compétition en équipe où il faut tout donner jusqu’à se cramer avant qu’un équipier reprenne le flambeau.   La gestion de l’effort est clairement différente d’un triathlon classique, et c’est ce qui fait le charme de cet événement.   Une réussite totale sur tous les plans, puisque nous avons fini sur le podium, à une honorable 3è place !   J’en profite donc pour rappeler les services que nous offrons aux entreprises, ainsi qu’aux collectivités des Hauts-de-France.   🔸 Réseaux et sécurité informatiques 🔹 Copieurs multifonctions 🔸 Téléphonie IP / Telecom 🔹 Gestion de parc 🔸 Sauvegarde   Alors, si vous recherchez un partenaire technologique pour vous accompagner…   N’hésitez pas à m’envoyer un message privé !   😉

C'est la reprise ! 🎯 Les objectifs pour cette année sont clairs : direction le T100 d’Ibiza en septembre 2025. C'est une course difficile qui combine 2 km de natation, 80 km de vélo et 18 km de course à pied, le tout sous le soleil méditerranéen et sur des routes techniques avec de belles montées. La chaleur et le terrain accidenté d’Ibiza poussent chaque athlète à ses limites. C’est un véritable défi qui demande une préparation rigoureuse et une grande endurance physique et mentale. Mais avant cela, j’ai deux étapes clés qui me permettront d’affiner ma préparation : Le TBET Tamuda Bay Eco Triathlon en mai 2025 : 1,8 km de natation, 63 km de vélo et 16 km de course. Ce sera une étape cruciale pour évaluer ma progression et renforcer ma condition physique avant Ibiza 🏃♂️. Et après le printemps, le GR20 en Corse que Reda Tazi, CFA m’a proposé. Considéré comme l’un des sentiers de randonnée les plus difficiles d’Europe. Il s’étend sur 180 km avec un dénivelé de plus de 10 000 mètres. Le terrain accidenté et les sections techniques rendent cette traversée particulièrement éprouvante, notamment au nord ⛰. Nous avons pour objectif de boucler ce parcours en 10 jours, bien en dessous des 16 jours habituellement nécessaires. Chaque étape est une aventure en soi, offrant des paysages à couper le souffle et un véritable défi d’endurance. Et je cherche des candidats pour m’accompagner sur ce beau défi : c’est une magnifique opportunité de progresser et de repousser nos limites 🚀. ➡ Alors si ça vous intéresse, faîtes moi signe ! #challenge #resilience #innovation #leadership

Cette année, c'est l'année de mes plus grands défis sur le plan personnel comme professionnel. Il y aura des étapes intermédiaires, mais l'ambition pour cette année est posée : 🔥 • Réaliser l'Embrunman (Un des Ironman les plus durs d'Europe avec 3,8 km de nage, 188 km de vélo et 42,2 km à pied) 🚴    • Battre mon record sur le marathon de Valencia en fin d'année (me rapprocher le plus possible des 2h50, record de 3h01 à battre) • Réaliser 1,6 Million d'euros de CA avec ByCommute (soit délivrer quasiment chaque semaine 2 abris à vélos) • Conserver et faire progresser les facteurs clés de notre équipe (efficience, passion et innovation) 🚴 2024 démarre à grande vitesse ! Comme sur ce sprint de fin de course, j'alterne entre planification et passage à l'action avec si possible la meilleure exécution. Je me réjouis d'avance de vous partager les premières actions qui ont été menées pour atteindre ces objectifs.✅

Bonjour à tous ! Pour signer mon retour sur linkedin quoi de mieux que mon retour en compétition !! Pour la première coupe d’Europe de la saison, je me suis rendu en Algarve au Portugal à Quarteira. Cette année encore, le niveau était au rendez-vous. Rappel des distances : 1500m de natation, 40km de vélo, 10km de course à pied. Après une natation très moyenne, je vois mes chances d’intégrer le groupe de tête disparaître. Je sors de l’eau avec 45 secondes de retard sur le premier homme. « Reste focus, la course est encore longue, c’est pas le moment de cogiter » Sur le vélo, les choses se compliquent. Le groupe dans lequel je suis peine à s’organiser. Nous sommes à ce moment là une vingtaine d’unité incapable de collaborer pour recoller l’avant de la course. Après des efforts conséquents sur la première partie du vélo, je décide de lever le pied. Si personne ne veut participer, je ne vois pas pourquoi je le ferai à leur place. « Respire, mange, bois, souffle, détend toi »C’est la clé pour courir vite. Sur un distance olympique, l’aspect nutritionnel est indispensable. Aussi dérisoire soit-il sur une course 50min, il est inconcevable de ne pas s’alimenter sur une course d’1h45. Sur cette course j’ai au total avalé 200g de glucides concentré en gel et en boisson d’effort. C’est colossal mais l’intensité et la consommation de notre corps nous y contraint. « Regarde loin devant, focalise toi sur autre chose que la douleur. C’est dur pour tout le monde. Pense à ton placement. Souffle » Ce sont des discours internes essentiels en compétition. Ils nous permettent de focaliser notre attention sur des détails de notre (la) course pour se détacher de la douleur physique inévitablement créée par l’effort. Encore plus sur un 10km où la perception du temps ne joue pas en votre faveur ;) Je termine la course à la 22e position en ayant couru le 10km en 32 minutes. Un temps correct qui me place tout d même à 2:30 minutes du meilleur temps course à pied. Fair enough. Prochaine course : Coupe d’Europe sprint à Melilla 🇪🇸 Pour les curieux, voici le lien avec les résultats https://lnkd.in/dXhG4vtR

https://lnkd.in/gXFyv2gf Cher réseau, Je me tourne aujourd'hui vers vous dans le cadre de ce projet fou qu'est la qualification pour les championnats du monde d'Ironman 70.3. Il s'agit bien sûr de triathlon et de son épreuve reine. Sur ce format nous avons 1.9 kms de natation, 90 kms de vélo et 21.1 de course à pied. Pour espérer décrocher un "slot" ne pensez pas être au dessus de 4h45 pour l'ensemble de la course. Ce qui commence à être plutôt pêchu pour un amateur. Mon record personnel à Melbourne en novembre 2023 étant 05h05. Nous avons donc débuté une préparation avec mon coach début mars mais j'ai également besoin d'une diététicienne, d'un préparateur mental, de compléments alimentaires conséquents par semaine (boissons, gel, barres). En effet, le volume d'entraînement hebdomadaire s'élève parfois à 15h en plus de l'activité professionnelle. Les journées sont donc très longues ! Vous l'imaginez tous, cela engendre des frais conséquents qu'un amateur ne peut pas toujours assumer seul. Habitant sur une île au milieu du Pacifique, la Nouvelle-Calédonie, les déplacements vers les courses engendrent quant à eux des frais encore plus conséquents ! Alors si ce projet ambitieux vous touche, je vous remercie par avance pour votre participation et votre soutien, qu'elle qu'il soit. Chaque Euro compte dans cette quête et il me permet chaque jour d'aborder les choses plus sereinement. Car c'est bien connu, un athlète perturbé par les problématiques financières ou logistiques, sera moins performant que s'il a l'esprit libre et consacré à ses entraînements. Partagez également avec votre propre réseau, cela ne coûte rien et peut avoir une répercussion instantanée. Chaque don étant considéré comme un sponsoring/partenariat est déductible des impôts, n'hésitez donc pas à être généreux 😊 Merci pour votre écoute et n'hésitez pas à me contacter si vous avez des questions ! Il vous suffit de cliquer sur le lien au début du message ⬆ Où sur la photo ci-dessous ⬇

Ces dernières semaines, ma saison ne ressemble à rien : 7 avril : semi-marathon 20 avril : 10km 28 avril : 3000m Steeple 5 mai : marathon 12 mai : 3000m Steeple Le tout avec une prépa piste demi-fond orientée 3000 Steeple. Dis autrement, j'ai couru un marathon avec des séances de vitesse 😅 Bon, lui, je l'ai pris en mode sortie longue familiale plus qu'en mode compète. D'ailleurs, ça se voit en y regardant de plus près : - 3 sorties de 20 bornes seulement dans les deux mois précédents - Pas de régime spécifique les jours précédents - Les 5 premiers gels de ma vie avalés pendant la course - Nouveau p'tit dej testé le matin même - Pas de chaussures carbone Tout ça aurait de quoi faire grincer les dents d'un coach. Pourtant, je suis persuadé que cet enchaînement bizarroïde m'aura quand même été bénéfique parce que tout ça n'était que du kiffe. Même dans une optique de performance, faut pas oublier qu'à notre niveau surtout la course à pied est un jeu. → Le semi, c'était une (re)découverte, avec les collègues de club → Le marathon aussi, et un prétexte pour partir en vacances en famille → Le Steeple, c'est aussi tout nouveau (1 seul l'an dernier) Alors oui, c'est sûr que courir un marathon en plein début de saison estival, c'est pas idéal pour préparer la piste. Mais finalement, est-ce que sortir du cadre de temps en temps pour mieux y revenir ne serait pas un moyen de tenir sur la durée ? Vous avez 3h ⏳

l'importance de se préparer aux aléas et connaitre le parcours en étudiant le plan pour faciliter la gestion de l'effort et des objectifs ! la fibre commerciale et digitale sont là !!