2020 vs 2024 : on a fait un bon bout de chemin 🤩 Il y a 4 ans, Grégoire Carlier, livrait lui-même les commandes de nos clients avec Sven Ripoche et Claire LAURENT. Aujourd'hui, le voilà, toujours sur le terrain, apportant un petit coup de pouce à nos préparateurs sur la chaîne de production. 🌱🚚 Preuve que, depuis avril 2020, Bene Bono a bien grandi ! Des paniers de fruits et légumes, nous sommes passés à des courses engagées, avec une gamme étendue à 500+ références alimentation, hygiène, beauté, entretien... 🛒✨ Pour autant, notre mission n'a pas changé : soutenir les agriculteurs et fabricants français, en revalorisant leurs produits oubliés, afin de vous proposer des produits bons pour votre santé, votre porte-monnaie et surtout pour notre jolie planète. 🌍 Aujourd'hui, 30 000 consommateurs en France et en Espagne nous font confiance, alors merci de faire partie de cette belle aventure ! ❤️❤️❤️ Stay tuned, on ne compte pas s'arrêter là et de belles surprises arrivent très prochainement. 😉 cc : Sven, Grégoire, Claire, Christelle #BeneBono #CoursesEngagées #SaveTons
Post de Bene Bono
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🚜 Ce week-end, j’étais au salon de l’agriculture. Et c'était vraiment trop bien ! J’adore m’y rendre chaque année avec amis pour découvrir les produits des régions françaises et profiter de l’ambiance festive qui mélange culture, tradition et générosité. 🔥🔥🔥 👉 Pouvoir venir découvrir ces gens qui partagent leur passion avec une telle conviction est toujours super intéressant. Mais je reste toujours étonné par la difficulté que les agriculteurs, éleveurs ou artisans ont à se moderniser, notamment sur plan marketing et commercial. En effet, on entend beaucoup de choses à la 📺 ces dernières semaines sur les difficultés de ce secteur, et surtout des “petits” agriculteurs, éleveurs, artisans…, à commercialiser leurs produits à des prix décents en passant par les coopératives, les hypers-marchés… Le problème n’est pas forcément les marges que les distributeurs prennent à mon sens, car il semble qu’elles restent globalement raisonnables, mais plutôt le nombre d’intermédiaires entre le producteur et le consommateur. ✅ Ainsi, je pense que développer le digital pour un producteur, est aujourd’hui plus que d’actualité, cela permettrait de vendre à un prix décent pour le producteur, mais aussi à un prix acceptable pour le consommateur, surtout avec le contexte économique actuel. 💻 En effet, créer un site internet et en développer les ventes demande un réel investissement, mais cela pourrait complètement être financé par la marge que les producteurs récupéreraient sur leur vente. Et s'ils ne souhaitent pas investir un tel budget, il existe aujourd’hui d’autres alternatives telles que les 📲 marketplaces comme Vivino pour le🍷 qui permettent aux producteurs de vendre directement aux consommateurs en lâchant seulement une commission aux plateformes. ➡️ En bref, je pense qu’il existe plusieurs solutions qui sont aujourd’hui bien plus accessibles qu’avant. Il faut seulement les partager afin que chacun puisse y avoir accès.
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Encore un bel exemple d’entreprise québécoise à succès dont la création de valeur repose sur un modèle circulaire 💪 Et ce qui est formidable, c’est que plus LOOP Mission crée de valeur économique et plus leur impact socio-environnemental est positif 🤩 #EconomieCirculaire #GaspillageAlimentaire
J'accompagne les entreprises dans une démarche de Transformation Positive pour les rendre plus pérennes | Économie de la fonctionnalité | Marketing Durable
Après la théorie, la pratique ! Voici comment LOOP Mission est devenu un leader dans l'industrie hyper concurrentielle de l'alimentaire grâce à l'#ÉconomieCirculaire ✨ Tout le monde (ou presque) connaît l'histoire du distributeur Courchesne Larose Ltd. qui appelle à la rescousse Julie Poitras-Saulnier et David Côté pour savoir quoi faire des 16 tonnes de fruits et légumes qui CHAQUE JOUR finissent à la poubelle (et donc coûtent de l'argent). 𝘚𝘪 𝘷𝘰𝘶𝘴 𝘢𝘷𝘦𝘻 𝘣𝘦𝘴𝘰𝘪𝘯 𝘥𝘦 𝘷𝘰𝘶𝘴 𝘳𝘢𝘧𝘳𝘢î𝘤𝘩𝘪𝘳 𝘭𝘢 𝘮é𝘮𝘰𝘪𝘳𝘦 𝘴𝘶𝘳 𝘭𝘢 𝘨é𝘯è𝘴𝘦 𝘥𝘦 𝘓𝘖𝘖𝘗, 𝘫𝘦 𝘷𝘰𝘶𝘴 𝘮𝘦𝘵𝘴 𝘶𝘯 𝘭𝘪𝘦𝘯 𝘦𝘯 𝘤𝘰𝘮𝘮𝘦𝘯𝘵𝘢𝘪𝘳𝘦 Dès le départ, la raison d'être de LOOP est claire: 📣 "Devenir le leader mondial en économie circulaire dans l’industrie alimentaire et inspirer de nouvelles pratiques d’affaires en mettant notre mission, notre engagement et nos valeurs au coeur de toutes nos décisions." BOOM !!! 💪 Avec son modèle circulaire de #symbiose avec un (puis plusieurs) distributeurs de fruits et légumes pour fabriquer des jus pressés à froid, LOOP génère beaucoup plus de valeur économique, sociale et environnementale que dans le modèle linéaire classique: 𝐌𝐎𝐃𝐄𝐋𝐄 𝐋𝐈𝐍𝐄𝐀𝐈𝐑𝐄 👎 les distributeurs PAYENT pour envoyer une partie de leurs fruits et légumes à l'enfouissement 👎 LOOP n'existe pas 👎 16 tonnes de produits alimentaires parfaitement comestibles sont gaspillés (chez un seul distributeur, alors imaginez à la grandeur du Québec 😱) 𝐌𝐎𝐃𝐄𝐋𝐄 𝐂𝐈𝐑𝐂𝐔𝐋𝐀𝐈𝐑𝐄 🎉 les distributeurs GAGNENT DE L'ARGENT leurs fruits et légumes moches ou trop mûrs 🎉 LOOP voit le jour et crée des emplois locaux 🎉 LOOP s'approvisionne à un coût moindre, ce qui le rend plus compétitif que les autres marques de jus pressés à froid (8 à 33% moins cher selon mon benchmark) 🎉 LOOP lutte contre le gaspillage alimentaire Et ça marche tellement bien que de nombreux gros joueurs de l'agro-alimentaire contactent 𝐉𝐮𝐬 𝐋𝐎𝐎𝐏 qui devient LOOP Mission suite à la diversification de ses produits: 🍺 De la bière avec des restants de pain 🍸 Du gin avec des retailles de patates 🧼 Des savons avec de l'huile de cuisson ❓ Et vous, quelles sont vos marques coup de 💚 qui intègrent des stratégies circulaires dans leur modèle d'affaires? 𝘗𝘰𝘶𝘳 𝘮𝘰𝘥é𝘭𝘪𝘴𝘦𝘳 𝘭𝘢 𝘤𝘳é𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘥𝘦 𝘷𝘢𝘭𝘦𝘶𝘳 𝘦𝘯 é𝘤𝘰𝘯𝘰𝘮𝘪𝘦 𝘭𝘪𝘯é𝘢𝘪𝘳𝘦 𝘝𝘚. 𝘤𝘪𝘳𝘤𝘶𝘭𝘢𝘪𝘳𝘦, 𝘫𝘦 𝘷𝘰𝘶𝘴 𝘳𝘦𝘯𝘷𝘰𝘪𝘦 à 𝘮𝘢 𝘱𝘶𝘣𝘭𝘪𝘤𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘴𝘶𝘳 𝘭𝘢 𝘝𝘢𝘭𝘶𝘦 𝘏𝘪𝘭𝘭 👉 https://lnkd.in/e7senQH8
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MAYAM lève près de 450 000€ pour accélérer la transformation digitale du vrac et du réemploi. Le marché du vrac a mûri et au côté du réemploi, il repart à la hausse plus affirmé et déterminé à conquérir de nouveaux consommateurs. Toute la dynamique de la filière sera d'ailleurs présentée au travers du premier baromètre économique au salon qui leur est dédié, les 13 et 14 mai au parc floral à Paris. Chez MAYAM, nous avons compris que les consommateurs sont prêts à faire évoluer leurs habitudes à 2 conditions : Qu'on ne les détournent pas de leur lieu de course habituel ni de leurs produits favoris. On se doit donc d'adresser une offre large, une offre bio, une offre locale mais également une offre avec des marques nationales, des marques distributeurs et même du discount. Aider à transformer l'écosystème, partout où l'on consomme. Avec l'appui d'un outil digital de référence et transverse comme MAYAM, on peut accélérer cette mutation. Ainsi en plus des épiceries pionnières spécialisées, nous travaillons maintenant avec les grandes enseignes pour proposer au plus grand nombre des produits présentés sans emballage à usage unique. Carrefour, Biocoop, Leclerc, Auchan, Intermarché nous font déjà confiance depuis quelques mois. Depuis notre première installation il y a 2 ans, la solution a été perfectionnée en magasin, elle est maintenant prête à être déployée à plus grande échelle ! Nous faisons confiance à nos clients, futurs clients et nos partenaires pour avancer avec nous. Notre ambition ? Un déploiement dans plusieurs centaines de GMS d'ici à fin 2025! Thomas Bou Bertrand SWIDERSKI Alexandre de Palmas Adrien L'Hoste Nicolas Dauvé Sébastien GUINARD Orsini -Pinault Charline Maël Le Moal Perrine BOSSAT Lyse Manzoni JEGOU SEVERINE Christine Bourge Celia Rennesson 🌎Franck BONFILS Aurore RICHARD Laurent ODINOT michel gschwind Cécile Soulier - Imbault Benjamin GALLO Olivier Chalançon Thierry FELICI Dominique BOYER Agathe Delage Christophe Mottura Merci à nos financeurs de nous accompagner dans l'aventure, France Active Nouvelle-Aquitaine, NOUVELLE-AQUITAINE AMORCAGE, Crédit Agricole Pyrénées Gascogne, BNP Paribas, Barakinvest et la Région Nouvelle-Aquitaine. Merci ADI Nouvelle-Aquitaine Didier Duffas French Tech Pays Basque 🐓🌊Communauté Pays Basque
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Origine-Info : les distributeurs seraient-ils... "petit bras" ? Parce que mon p'tit doigt s'informe, il doit reconnaître sa déception. La montagne "Origine Info" va peut-être accoucher d'une souris. Malgré les soutiens de la réunion initiale avec Olivia Gregoire le 13 mars à Bercy. Malgré les déclarations publiques des enseignes. Malgré une forme d'évidence qu'être transparent avec les consommateurs, c'est aider ceux qui le peuvent/veulent à aider les agriculteurs par leurs achats. A l'origine (sans mauvais jeu de mot), était sur la table une idée simple, efficace, "Bruxelles-compatible" : la répartition des ingrédients (la totalité hein, pas juste ce qui arrange) en trois sous-parties, France, UE et Hors UE. Simple, donc. Compréhensible, aussi. Et pour intégrer les contraintes industrielles, une base de calcul annuelle (parce que l'appro peut varier, y compris pour de bonnes raisons). Désormais, se trame un accord a minima : l'affichage de l'origine des matières premières agricoles certes, mais sans "quantification" (et avec le "travers" de la multi-provenance pour certains éléments de la recette). Alors oui, c'est vrai, c'est déjà un premier pas. Et pour qui milite pour l'affichage depuis longtemps (#bibi), c'est pas neutre. Mais pourquoi s'arrêter en chemin ? Pourquoi ne pas répartir simplement les ingrédients en trois sous-parties et basta ? Parce que la transparence fait peur. Classique. Alors, amis distributeurs, passez de la parole aux actes. Vous aimez les paysans 🇫🇷 , c'est vous qui le dites. Montrez-le. Démontrez-le en affichant ET quantifiant l'origine des ingrédients de vos MDD. De manière harmonisée, comme proposée par le Collectif En Vérité. L'occasion est là. Sur la table. Devant vous. Votre mouvement engagera l'ensemble de la filière alimentaire parce que, comme pour le NutriScore, vous êtes les prescripteurs du changement. Qu'attendez-vous ? Si le premier "fait d'arme" de la Fédération du Commerce et de la Distribution réunifiée est de torpiller le projet Origine-Info dans sa version la plus ambitieuse c'est : 1/ à pleurer ; 2/ à regretter l'ancienne configuration avec les enseignes non réunies 😉 Alexandre Bompard Michel-Edouard Leclerc Dominique Schelcher Michel Biero Benoît Clerc Guillaume DARRASSE Philippe Palazzi Sylvain Ferry Patrick RIBOT & co EDITIONS DAUVERS Inspirer le retail Caroline BAZIN Florent Vacheret Benoît Merlaud
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Besoin de vous pour sauver l’« Origine-Info » qui vise à être transparent avec les consommateurs et permettre d’aider les agriculteurs français ! 👉 Celle-ci est sur le point d’être remis en cause par certains distributeurs ?! 🤔 ➡️ Olivier Dauvers EDITIONS DAUVERS tire la sonnette d’alarme ! « A l'origine (sans mauvais jeu de mot), était sur la table une idée simple, efficace, "Bruxelles-compatible" : la répartition des ingrédients (la totalité hein, pas juste ce qui arrange) en trois sous-parties, France, UE et Hors UE. Simple, donc. Compréhensible, aussi. Et pour intégrer les contraintes industrielles, une base de calcul annuelle (parce que l'appro peut varier, y compris pour de bonnes raisons) ». ✅ Seule la proposition initiale du Collectif En Vérité par la voix de David Garbous et Sebastien Loctin 👩🌾🇫🇷 tient réellement la route ! Avec Manger du sens | Réinventons les modèles nous sommes de cet avis et soutenons pleinement Olivier Dauvers David Garbous et Sebastien Loctin 👩🌾🇫🇷. Et vous ? Sandrine DOPPLER Nathalie HUTTER-LARDEAU 🙋🏻♀️🦋 sophie de Reynal Stéphane BRUNERIE Diane LEROY Celia Rennesson 🌎 Hermine☀️ Chombart de Lauwe Bernard Ader Florence DUPRAZ Gilles MARECHAL mathieu la FAY Olivier MEVEL Jean-Baptiste Millard Gabrielle DUFOUR Nathalie Kerhoas pierre weill Anne Dumonnet-Leca Marie-Laure Hustache Vanessa Riou et tant d’autres au sein de nos réseaux, et si nous soutenions la transparence promise par « Origine-info »? ⤵️ Découvrez ci-dessous la position des distributeurs… #transparence #origine #alimentation #distribution #agriculture Olivia Gregoire Marc Fesneau Agnès Pannier-Runacher Ministère de l'Agriculture et de la Souveraineté alimentaire
Origine-Info : les distributeurs seraient-ils... "petit bras" ? Parce que mon p'tit doigt s'informe, il doit reconnaître sa déception. La montagne "Origine Info" va peut-être accoucher d'une souris. Malgré les soutiens de la réunion initiale avec Olivia Gregoire le 13 mars à Bercy. Malgré les déclarations publiques des enseignes. Malgré une forme d'évidence qu'être transparent avec les consommateurs, c'est aider ceux qui le peuvent/veulent à aider les agriculteurs par leurs achats. A l'origine (sans mauvais jeu de mot), était sur la table une idée simple, efficace, "Bruxelles-compatible" : la répartition des ingrédients (la totalité hein, pas juste ce qui arrange) en trois sous-parties, France, UE et Hors UE. Simple, donc. Compréhensible, aussi. Et pour intégrer les contraintes industrielles, une base de calcul annuelle (parce que l'appro peut varier, y compris pour de bonnes raisons). Désormais, se trame un accord a minima : l'affichage de l'origine des matières premières agricoles certes, mais sans "quantification" (et avec le "travers" de la multi-provenance pour certains éléments de la recette). Alors oui, c'est vrai, c'est déjà un premier pas. Et pour qui milite pour l'affichage depuis longtemps (#bibi), c'est pas neutre. Mais pourquoi s'arrêter en chemin ? Pourquoi ne pas répartir simplement les ingrédients en trois sous-parties et basta ? Parce que la transparence fait peur. Classique. Alors, amis distributeurs, passez de la parole aux actes. Vous aimez les paysans 🇫🇷 , c'est vous qui le dites. Montrez-le. Démontrez-le en affichant ET quantifiant l'origine des ingrédients de vos MDD. De manière harmonisée, comme proposée par le Collectif En Vérité. L'occasion est là. Sur la table. Devant vous. Votre mouvement engagera l'ensemble de la filière alimentaire parce que, comme pour le NutriScore, vous êtes les prescripteurs du changement. Qu'attendez-vous ? Si le premier "fait d'arme" de la Fédération du Commerce et de la Distribution réunifiée est de torpiller le projet Origine-Info dans sa version la plus ambitieuse c'est : 1/ à pleurer ; 2/ à regretter l'ancienne configuration avec les enseignes non réunies 😉 Alexandre Bompard Michel-Edouard Leclerc Dominique Schelcher Michel Biero Benoît Clerc Guillaume DARRASSE Philippe Palazzi Sylvain Ferry Patrick RIBOT & co EDITIONS DAUVERS Inspirer le retail Caroline BAZIN Florent Vacheret Benoît Merlaud
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Le torpillage d’Origine-Info ou jusqu’à quand les MDD de la grande distribution pourront-elles continuer à jouer au bonneteau avec les consommateurs ? Alors même que le projet, porté par Olivia Gregoire pour le gouvernement, s’inscrit dans un long continuum d’amélioration de l’information disponible pour les consommateurs sur l’origine des produits alimentaires transformés, les distributeurs viennent torpiller Origine-Info qui veut simplement identifier la répartition de la totalité des ingrédients en 3 sous-parties bien distinctes (France, U.E et Hors U.E). Rien de bien compliqué. Et bien si ! Quand il s’agit de manifester de la transparence donc de la solidarité avec l’origine France, la grande distribution française, par la voie de la Fédération du Commerce et de la Distribution, monte au créneau pour dézinguer un dispositif qui pourtant s’apparente à une externalité positive pour les consommateurs et les citoyens. Si la transparence fait peur aux distributeurs, c’est parce que pour eux, les enjeux sont énormes en terme de marges. En effet, le principe de non-transparence des ingrédients qui caractérise les marques de distributeurs (MDD) leur a toujours permis de jouer au bonneteau avec les consommateurs dans les linéaires au détriment des marques les plus loyales ! Le bonneteau est un jeu de dupes de l'ordre de l'escroquerie, proposé à la sauvette dans les lieux publics et qui nécessite plusieurs acteurs, un manipulateur, plusieurs larrons (complices) et des badauds naïfs et joueurs… bref le décor des centrales d’achat, de l’importation des ingrédients et des cahiers des charges des MDD ! Une fois encore, on comprend mieux pourquoi tout d’un coup toute La Famille se retrouve subitement au sein de la Fédération du Commerce et de la Distribution. Et ça n’a pas trainé ! La FCD défouraille de partout sur le maintien des centrales d’achats européennes et, aujourd’hui, sur la construction d’une transparence à sa main, donc à minima pour le consommateur, sur les ingrédients des MDD. Scandaleux ! E.Leclerc Carrefour SYSTEME U Auchan Retail Intermarché Lidl France Enseignes Casino Michel-Edouard Leclerc Alexandre Bompard Michel Biero Thierry COTILLARD Dominique Schelcher Ilec – La voix des marques ANIA (Association Nationale des Industries Alimentaires) FEEF (Fédération des Entreprises et Entrepreneurs de France) La Coopération Agricole FNSEA Coordination Rurale
Origine-Info : les distributeurs seraient-ils... "petit bras" ? Parce que mon p'tit doigt s'informe, il doit reconnaître sa déception. La montagne "Origine Info" va peut-être accoucher d'une souris. Malgré les soutiens de la réunion initiale avec Olivia Gregoire le 13 mars à Bercy. Malgré les déclarations publiques des enseignes. Malgré une forme d'évidence qu'être transparent avec les consommateurs, c'est aider ceux qui le peuvent/veulent à aider les agriculteurs par leurs achats. A l'origine (sans mauvais jeu de mot), était sur la table une idée simple, efficace, "Bruxelles-compatible" : la répartition des ingrédients (la totalité hein, pas juste ce qui arrange) en trois sous-parties, France, UE et Hors UE. Simple, donc. Compréhensible, aussi. Et pour intégrer les contraintes industrielles, une base de calcul annuelle (parce que l'appro peut varier, y compris pour de bonnes raisons). Désormais, se trame un accord a minima : l'affichage de l'origine des matières premières agricoles certes, mais sans "quantification" (et avec le "travers" de la multi-provenance pour certains éléments de la recette). Alors oui, c'est vrai, c'est déjà un premier pas. Et pour qui milite pour l'affichage depuis longtemps (#bibi), c'est pas neutre. Mais pourquoi s'arrêter en chemin ? Pourquoi ne pas répartir simplement les ingrédients en trois sous-parties et basta ? Parce que la transparence fait peur. Classique. Alors, amis distributeurs, passez de la parole aux actes. Vous aimez les paysans 🇫🇷 , c'est vous qui le dites. Montrez-le. Démontrez-le en affichant ET quantifiant l'origine des ingrédients de vos MDD. De manière harmonisée, comme proposée par le Collectif En Vérité. L'occasion est là. Sur la table. Devant vous. Votre mouvement engagera l'ensemble de la filière alimentaire parce que, comme pour le NutriScore, vous êtes les prescripteurs du changement. Qu'attendez-vous ? Si le premier "fait d'arme" de la Fédération du Commerce et de la Distribution réunifiée est de torpiller le projet Origine-Info dans sa version la plus ambitieuse c'est : 1/ à pleurer ; 2/ à regretter l'ancienne configuration avec les enseignes non réunies 😉 Alexandre Bompard Michel-Edouard Leclerc Dominique Schelcher Michel Biero Benoît Clerc Guillaume DARRASSE Philippe Palazzi Sylvain Ferry Patrick RIBOT & co EDITIONS DAUVERS Inspirer le retail Caroline BAZIN Florent Vacheret Benoît Merlaud
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Oserai Je ? La loi de la jungle pour défendre le consommateur…. Dans la nature, lorsque le lion se préoccupe du bien être du troupeau d’antilopes c’est uniquement pour sécuriser, durablement, son garde-manger…. L’attitude de la Fédération du Commerce et de la Distribution (FCD) vis-à-vis du projet « #OrigineInfo » ne me surprend pas et illustre encore une fois la différence entre la #comm’ et la réalité. Depuis le communiqué de Presse enthousiaste du 13 mars dernier, de Madame la ministre Olivia Gregoire et la réalité qui se dessine en matière d’info client (cf post d’Olivier Dauvers du 27 avril 2024), plus qu’un grand écart une véritable pirouette ! Olivier MEVEL explique très bien, ci-dessous, la soudaine entente cordiale des #Distributeurs au sein de la FCD, motivée par les dossiers chauds du moment : Les centrales d’achats européennes et le projet "Origine-Info". Au nom du #consommateur, de la défense de son pouvoir d’achat, la FCD tergiverse sur la mise en œuvre d’"Origine-Info" et légitime la concentration des achats au niveau européen. Forts de leur puissance, les #Distributeurs luttent pour entretenir le #prix comme unique critère de choix du consommateur. Cette course au prix est, paradoxalement, facialement gagnée par les acteurs de la distribution les plus dispendieux en #communication. Pourquoi ? Par ce que leur puissance d’achats leur permet de répercuter, sur leurs fournisseurs, une part importante de ces dépenses par le biais des fameux accords de coopération ou autres factures de prestations. Ainsi les fournisseurs mutualisent-ils ces frais sur l’ensemble de leurs clients qui au final le font payer à l’ensemble des consommateurs. La mise en place récente d’outils de régulation (loi #egalim, loi Frédéric Descrozaille) contrarie ces pratiques sur le territoire français, d’où la création des centrales d’achats européennes pour entretenir ces méthodes. À cet échelon de négociation, et au regard des enjeux des volumes traités, la stratégie des fournisseurs sur l’origine des ingrédients composant les produits, est proportionnelle à son exotisme. D’où l’extrême précaution des Distributeurs pour la mise en place de l’information promue par le Gouvernement en la matière. Qu'en pensez vous? #agriculteurs #agroalimentaire #OrigineFrance #BalanceTonOrigine
Origine-Info : les distributeurs seraient-ils... "petit bras" ? Parce que mon p'tit doigt s'informe, il doit reconnaître sa déception. La montagne "Origine Info" va peut-être accoucher d'une souris. Malgré les soutiens de la réunion initiale avec Olivia Gregoire le 13 mars à Bercy. Malgré les déclarations publiques des enseignes. Malgré une forme d'évidence qu'être transparent avec les consommateurs, c'est aider ceux qui le peuvent/veulent à aider les agriculteurs par leurs achats. A l'origine (sans mauvais jeu de mot), était sur la table une idée simple, efficace, "Bruxelles-compatible" : la répartition des ingrédients (la totalité hein, pas juste ce qui arrange) en trois sous-parties, France, UE et Hors UE. Simple, donc. Compréhensible, aussi. Et pour intégrer les contraintes industrielles, une base de calcul annuelle (parce que l'appro peut varier, y compris pour de bonnes raisons). Désormais, se trame un accord a minima : l'affichage de l'origine des matières premières agricoles certes, mais sans "quantification" (et avec le "travers" de la multi-provenance pour certains éléments de la recette). Alors oui, c'est vrai, c'est déjà un premier pas. Et pour qui milite pour l'affichage depuis longtemps (#bibi), c'est pas neutre. Mais pourquoi s'arrêter en chemin ? Pourquoi ne pas répartir simplement les ingrédients en trois sous-parties et basta ? Parce que la transparence fait peur. Classique. Alors, amis distributeurs, passez de la parole aux actes. Vous aimez les paysans 🇫🇷 , c'est vous qui le dites. Montrez-le. Démontrez-le en affichant ET quantifiant l'origine des ingrédients de vos MDD. De manière harmonisée, comme proposée par le Collectif En Vérité. L'occasion est là. Sur la table. Devant vous. Votre mouvement engagera l'ensemble de la filière alimentaire parce que, comme pour le NutriScore, vous êtes les prescripteurs du changement. Qu'attendez-vous ? Si le premier "fait d'arme" de la Fédération du Commerce et de la Distribution réunifiée est de torpiller le projet Origine-Info dans sa version la plus ambitieuse c'est : 1/ à pleurer ; 2/ à regretter l'ancienne configuration avec les enseignes non réunies 😉 Alexandre Bompard Michel-Edouard Leclerc Dominique Schelcher Michel Biero Benoît Clerc Guillaume DARRASSE Philippe Palazzi Sylvain Ferry Patrick RIBOT & co EDITIONS DAUVERS Inspirer le retail Caroline BAZIN Florent Vacheret Benoît Merlaud
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Qu’est-ce qui est orange et toujours présent ? (indice : il y en a souvent en bas de chez vous) C’est Franprix ! Depuis 2022, nous avons tissé une vraie relation de proximité avec les équipes. En magasin ou sur son site e-commerce, Franprix met en lumière les produits Transition pour rendre accessible le bien-manger au plus grand nombre 💪 Notre collaboration a permis de faire avancer concrètement l’agriculture durable en France : 🌱 367 000 m² de terre aidées à la conversion 👩🌾 64 agriculteurs accompagnés dans leur transition vers des pratiques durables 🙌 53 000 € reversés aux agriculteurs pour les soutenir et accélérer cette transformation Quand on vous dit que le pouvoir est dans l’assiette, c’est pas du pipeau 😎 Soutenir la transition agroécologique française, ça passe par les produits qu’on met dans le caddie. L’agriculture est le 2e secteur le plus émetteur de Gaz à Effet de Serre en France. Alors pour soutenir le savoir-faire agricole local et préserver les ressources de notre planète, régalons-nous de produits français, bruts et bien cultivés ! 🇫🇷 Vous ne savez pas quoi choisir pour commencer ? On vous conseille notre jus multifruits pomme-pêche-abricot ou notre conserve de lentilles qui viennent de rejoindre les rayons Franprix ! 📸 : Franprix Senlis Oden
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1.MILLIARD.DE.TONNES ! Soit 1/3 de la quantité totale de nourriture produite dans le monde, est jeté, chaque année. C'est à se taper la tête contre les murs (rien à voir avec le casque). C'est de la pure folie. Oui. La rentabilité poussée à son paroxysme induit d'absurdes logiques. Qui sautent aux yeux de quiconque pose un regard neuf dessus. Mais à la longue, on finit tous par s'y habituer. Tous ? Non. Par exemple, Lucie Basch a refusé de se compromettre. Quand son idéalisme de jeune cadre dans l'industrie agroalimentaire a été heurté par ce système, elle a fait un double constat : 1️⃣ L'envers du décor n'est pas aligné avec ses valeurs 2️⃣ Elle aura du mal à changer le système de l'intérieur Elle a donc décidé de créer en 2016 Too Good To Go, une application qui s'attaque au gaspillage alimentaire. Le système est simple : vous identifiez sur l'application les commerçants autour de vous qui ont des invendus en fin de journée. Vous achetez à prix cassé ce qu'ils sont sur le point de jeter. Vous récupérez votre panier. Non seulement elle permet de sauver plus de 100 millions de repas par an dans le monde, mais elle prouve aussi que la rentabilité et l'impact peuvent être compatibles ! Dans le premier épisode de cette série, nous parlerons donc : ❇ des constats alarmants qui l'ont conduite à créer Too Good To Go à seulement 23 ans (et en s'associant à ses concurrents), ❇ des secrets de leur croissance exponentielle à l'international et de la stratégie qui leur permet de devenir rentable en moins de 2 ans sur chaque nouveau marché, ❇ de la pertinence d'incarner personnellement la marque de son entreprise, de ce que cela implique pour elle, pour soi... ❇ ...et de bien d'autres sujets passionnants que je vous laisse découvrir grâce au lien en commentaire. -------------------- Retrouvez-moi sur : 📖 Ma Minute Finance : la chronique dans Elle pour former les femmes et les aider à se sentir plus légitimes dans ce domaine. 🎙Just Focus : le podcast de ceux qui mettent leur argent au service de leurs ambitions... Et non l'inverse ! 🤑 Sapians : le 1er family-office digital, qui recentre vos possibilités d’investissements pour mieux accompagner votre réussite !
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#Lapandemie COVID-19 en 2020 a entraîné une conséquence qui affecte jusqu'à nos jours plusieurs entreprises dans le monde. Par contre notre mindset n'a jamais été ébranlé et ce qui nous a valu en pleine crise, une distinction de la part du Fonds Pierre Castel 2020. Aujourd'hui nous faisons notre bout de chemin en tendant la main ci et la pour intéresser notre vision à savoir intégrer la noix de kola comme un arôme au même titre que le café et le Cacao dans les habitants alimentaires. Autant qu'on peut retrouver un yaourt café ou au chocolat dans les rayons, autant un yaourt à la noix de kola. Et pourquoi revolutionner un yaourt au goût amer à Savoir Yaourt garcinia kola.
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Area Sales Manager at Acne Studios
5 moisSo proud of you Grégoire Carlier 🎉