Post de Benjamin RIEU

Je ne peux que confirmer le ressenti - malheureusement! Heureusement, au niveau Suisse des mesures d'amélioration sont en cours :) N'empêche que dans le cadre des plans climatiques (et VitamiNE), j'invite l' Etat de Neuchâtel et la Ville de Neuchâtel de faire des efforts proactifs et exemplaires. Je pense que le problème vient du fait que les déplacements utilitaires à vélo (classique) se font à une vitesse 'intermédiaire' (20 à 30km/h). Donc 'trop lent' pour les automobilistes, 'trop rapide' pour les piétons (4-5 km/h). Des vrais itinéraires cyclables, continus, séparés et réservés aux deux roues avec une vitesse entre 15 et 40 km/h seraient souhaitable, voire nécessaire pour initier un changement. (- Je n'ai pas creusé le point au niveau des études, j'avoue) Depuis 20 ans je fais quasi chaque trajet pour aller au travail, au sport ou aux commissions à vélo. Je constate que sur les routes neuchâteloises plus de 50% des automobilistes me considèrent ne pas comme participant au trafic, mais comme un obstacle. Pas une semaine ne passe sans que je me fasse doubler à des endroits impossibles, serrer, couper la priorité ou encore pire, la route. Sur les pistes cyclables le long du lac en mode mixte ou le peu de passages au centre-ville où les vélos ne sont pas encore bannis, beaucoup de piétons semblent percevoir les cyclistes comme un danger (J'avoue, quelques moutons noirs le sont malheureusement! Mais serait-ce un effet à la cause? - Par manque de respect on ne respecte plus ?). Depuis un an des marquages appellent aux respect entre piétons, trottinettes et cyclistes dans les zones mixtes. Or, c'est bien beau, mais pas efficace du point de vue des vélos. Souvent, ces zones seraient assez large pour séparer les deux types de déplacement. Et cela serait à mon avis judicieux, étant donné la différence de vitesse et de but entre deux-roues (déplacement) et piétons (plutôt promener). - J'exclue bien sûr les zones mixtes à vocation de 'loisir' et ne pas à vocation de 'déplacement' (p. ex. bord du lac aux Jeunes Rives). Et même dans les zones marquées à priori comme zone cyclable, par exemple sur la Place du port, les piétons prennent toute la place dans mon vécu. Il faut sonner, freiner, contourner. C'est ok en mode loisir, mais pas cool en mode déplacement. Selon moi, un exemple particulier à Neuchâtel est aussi le passage derrière la Maladière faisant partie d'un itinéraire cyclable officiel. Lors d'une manifestation, le tronçon est simplement barré. Pas de déviation signalée ou prévue ?! Tout ces éléments laissent chez moi une impression de manque d'engagement et de volonté politique, d'un véritable concept pour promouvoir le déplacement à deux-roues de la part des autorités. Pour contrer les changements climatiques, la mobilité est un facteur clé. Et avec les intempéries du Val-de-Ruz, de Cressier, de la Chaux-de-Fonds et des inondations de 2021 et 2023 le canton a déjà eu un avant-goût (amère) qui devrait être motivation suffisante.

Des bolides débridés multiplient les pointes de vitesse sur les pistes cyclables des métropoles, transformant les mobilités douces en foires d’empoigne. Ici à Rio de Janeiro/Leblon c'est la même mer$%&!

Bonjour Eric DELABROUSSE, nous aimerions, s'il vous plaît, une réaction de votre part suite à cette réponse d'Emmanuel BAILLY que vous avez obtenue.... C'est soit une mauvaise blague envers les #cyclistes qui sont très souvent en danger, soit de l’animosité gratuite. Qu'en pensez-vous ? ❗En tout cas, même si certains cyclistes ne respectent pas le code de la route* (comme des automobilistes...), les cyclistes ont besoin d'aménagements cyclables de qualité, continus, et nombreux afin de ne pas se mettre en danger eux, ni de mettre en danger les autres usagers. ❗ Des rappels : 1️⃣ le budget des aménagements cyclables a été triplé sur ce mandat, ce qui est positif, mais nous nous en satisfaisons pas car nous restons à la moitié de ce que préconise l'#Ademe… Le budget pour rendre une vile cyclable est de 30 euros par personne par an (chiffres ADEME) : on en est à 15. Et, nous sommes est loin d'avoir un réseau qui permette de lever les peurs de ceux qui n'osent pas changer de modalité de transport. 2️⃣ 99,8 % des piétons tués en France en 2022 l’ont été par un conducteur de véhicule motorisé : https://lnkd.in/e2x2y9Hy 3️⃣ Les émissions en gaz à effet de serre du vélo sont très largement inférieures à celles d’une voiture à carburant fossile, et également à celles d’une voiture électrique 4️⃣ Selon Geovelo, 60% des déplacements domicile - travail de moins de km se font en voiture. 5️⃣ séparer clairement les cheminements piétons et les aménagements cyclables permet de sécuriser les piétons qui doivent se déplacer en toute sécurité (pas de conflits d'usage !). Votre avis ? Pour un réseau cyclable continu, fiable, sécurisé ! Besançon, Ville et Communauté Urbaine ✌ * dans ce cas, bien sûr, la verbalisation, la sensibilisation et la prévention à la sécurité routière sont nécessaires ! (là-dessus, aucun souci...)

Selon Frédéric Héran, économiste des transports et urbaniste, le « tout automobile » est en déclin, surtout dans les centres urbains. L’avenir semble s’orienter vers une prédominance des cyclistes, comme le confirment les chiffres de l’Observatoire du cycle : 2,8 millions de vélos vendus en 2021, contre 1,6 million de voitures particulières neuves. La pratique du vélo est plus répandue dans les grandes villes, notamment à Paris où elle dépasse même celle de la voiture. Toutefois, cette tendance n’est pas uniforme. Marie Huyghe, spécialiste des questions de mobilité en milieu rural, souligne que la différence majeure réside dans le développement des infrastructures cyclables. Alors que ces dernières sont bien développées en zone urbaine, elles sont encore largement insuffisantes en milieu rural, où tout reste à faire. La France avait pourtant lancé un plan ambitieux pour soutenir le vélo, avec 2 milliards d’euros prévus d’ici 2027. Toutefois, l’appel à projets pour aider les communes à développer des itinéraires cyclables a été gelé cette année. Cela inquiète Marie Huyghe, qui craint que sans financement, aucune nouvelle initiative ne soit lancée avant les prochaines élections municipales, retardant encore l’avancée des infrastructures. La sécurité des cyclistes est également un enjeu majeur. La mort de Paul Varry a souligné la nécessité de mieux prendre en compte les violences motorisées. Alexis Frémeaux, coprésident de la Fédération française des usagers de la bicyclette (FUB), insiste sur l’importance de poursuivre systématiquement les auteurs de violences volontaires contre les cyclistes et de confisquer immédiatement les véhicules impliqués. François DUROVRAY, ministre des Transports, a promis de créer une mission interministérielle dédiée à la prévention et à la sanction des violences routières. Une autre mesure proposée serait d’intégrer l’apprentissage de la pratique du vélo dans la formation du permis de conduire. Selon Marie Huyghe, cela permettrait de sensibiliser les conducteurs à une meilleure cohabitation sur la route, en apprenant à se déplacer à pied, à vélo, et en voiture. La cohabitation entre cyclistes et automobilistes reste toutefois tendue. Frédéric Héran rappelle que, en 2023, 83 cyclistes ont perdu la vie dans des collisions avec des voitures, chiffre qui grimpe à 120 si l’on inclut tous les véhicules. Pierre Chasseray, porte-parole de l’association 40 millions d’automobilistes, souligne néanmoins que dans un tiers des accidents mortels impliquant des cyclistes, ces derniers sont présumés responsables (ce qui signifie que dans 2 tiers des cas, ils sont victimes des automobilistes). En milieu rural, les routes restent particulièrement dangereuses pour les cyclistes, avec six sur dix victimes tuées hors agglomération. La vitesse des véhicules sur ces routes est souvent la cause principale de ces accidents.

Bilan vélo et sécurité 2023, des statistiques encourageantes ! + 5% de fréquentation et - 8% de personnes tuées sur l'année, ces deux chiffres symbolisent peut-être un moment de bascule ou la structuration des équipements publics commence à répondre aux besoins de la mobilité active. Ces vecteurs positifs, annoncent-ils les prémisses d'un second boom du vélo, où l'urbanisme tactique et durable cyclable vient décupler la pratique ? Mais, n'oublions pas les 226 personnes tuées à vélo en 2023 et les 400 à 500 000 vélos volés. Sachant que plus de 60% des personnes ayant connues un vol ne rachètent pas de vélo in fine. Ensemble, acteurs et usagers de la petite reine, nous développons une dynamique positive qui porte ses fruits jour après jour ! Ensemble, nous érigeons le futur de la mobilité.

[Communiqué de presse] Le bilan provisoire de l’accidentalité routière en 2023 est sorti. Pour la première fois depuis 10 ans, la mortalité routière est en baisse pour les cyclistes. ➡️ - 8 % de personnes tuées à vélo en un an, ➡️Une baisse observée en ville comme à la campagne.   💪Ces chiffres sont encourageants alors que les Français font de plus en plus le choix du vélo. En 2023, la fréquentation des itinéraires cyclables a augmenté de + 5 % !   Les politiques d'aménagements cyclables sécurisés demandées par les associations commencent à porter leurs fruits. Comme on l'observe aux Pays-Bas, plus il y a de cyclistes sur un même territoire, moins le risque d’avoir un accident est grand. Agir pour la sécurité des cyclistes, c’est agir pour la sécurité de tous !   Ces résultats appellent donc à poursuivre les efforts est de : ➡️Construire des trajets sécurisés de bout en bout pour les cyclistes, dans et hors des agglomérations, ➡️Mieux enseigner les règles de partage de la route entre les usagers. La #FUB accompagne les collectivités dans leurs ambitions d'aménagements grâce à la formation "Voirie cyclable et marchable : comment choisir ?" qui traite des critères de choix dont le critère de sécurité ainsi que dans leurs travaux d'apaisement et de requalification de l'espace public, via la formation "Redistribution de l'espace public et vision zéro pour encourager les mobilités actives". Retrouvez notre offre de formation : https://lnkd.in/evfabAD5. Lire le communiqué de presse de la FUB : https://urlr.me/rczHS

🚲 Le vélo peut-il redevenir un transport de masse? https://buff.ly/3J9xMQ9 Il y a un an exactement, Jean-Marc Jancovici et Olivier Schneider de la Fédération des Usagers de la Bicyclette (FUB) répondaient oui dans une tribune au Monde. Bilan à un an? Faible. La mobilité sera t elle un enjeu majeur des élections européennes? Non Cette carte de #Strava Labs illustre les pratiques sur notre continent. Non pas les pistes cyclables, mais l'intensité des déplacements en vélo sur les territoires européens. Une autre manière de refléter le niveau de pénétration du vélo dans les modes de vie. Si vous souhaitez mieux visualiser les pistes cyclables en France, je vous invite à consulter le site "Parlons vélo" https://buff.ly/3ZqzHpd de la FUB qui a établi un palmarès sur plus de 1600 communes françaises. Ces données mettent en avant les villes de #Strasbourg, #Grenoble et #Rennes, en tête des villes les mieux équipées. Cela dit, la France est clairement en retard par rapport à ses voisins européens. 2.638 km de voies cyclables ont été installées en 2022 en métropole. Ce n'est pas rien et çà va dans le bon sens, puisqu'on atteint 18 848 km d'itinéraires aménagés. Mais notre réseau routier compte 1,1 millions de km, les dimensions ne sont pas comparables. comme c'est le cas au Bénélux. Et l'écart se creuse. En France, le réseau routier a augmenté d'environ 120 000km depuis l'an 2000. Soit une augmentation moyenne de 6000km par an... On construit beaucoup plus de nouvelles routes que de pistes cyclables. A ce sujet, le Pays de Galles a pris une décision historique fin 2021, il y a un peu plus d'an. Ils ont voté l'arrêt pur et simple de la construction de nouvelles routes. https://buff.ly/3EWsCog Personnellement, je trouve cette décision à la fois courageuse et consciente. Qui contribue certainement à la prise de conscience générale dans le pays, de la nécessité de la transition industrielle et territoriale. Mais à mon sens, il est crucial de prendre soin de tous, de ne pas culpabiliser les automobilistes ou de braquer les populations les unes contre les autres Je vis depuis 2020 en Bretagne. Avec ses 4 454 km de pistes cyclables, elle est la région de France qui en compte le plus par habitant. Pourtant, les territoires restent aménagés pour et par la voiture. La clé réside donc dans un juste équilibrage entre sensibilisation, éducation et aménagement du territoire. Sauf que l'aménagement doit être intense, rapide et visible. Un frein peut-être : la plupart des élus locaux en 2023 sont nés avec l'imaginaire de la voiture individuelle comme manifestation du progrès et de l'émancipation. Il faut donc compter soit sur un changement des mentalités, soit sur un renouvellement générationnel. Parce que la France, ici encore, est très en retard dans sa prise de conscience. #vélo #route #energie #transport #france Pour vous abonner à Cosmorama, ma newsletter hebdo, cliquez ici https://buff.ly/3O6ozu0

[Opinion 📣] 𝗤𝘂𝗲𝗹𝘀 𝘀𝗼𝗻𝘁, 𝘀𝗲𝗹𝗼𝗻 𝘃𝗼𝘂𝘀, 𝗹𝗲𝘀 𝗽𝗿𝗶𝗻𝗰𝗶𝗽𝗮𝘂𝘅 𝗱é𝗳𝗶𝘀 𝗲𝗻 𝗺𝗮𝘁𝗶è𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝘀é𝗰𝘂𝗿𝗶𝘁é 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗰𝘆𝗰𝗹𝗶𝘀𝘁𝗲𝘀 ? 🚴 Les derniers chiffres l’attestent : la pratique du vélo est en hausse 👉 elle a progressé de 5% en 2023 (selon une enquête réalisée par CSA pour le Ministère des transports) Et ce, notamment en milieu urbain. À Paris, l’usage de la petite reine dépasse même celui de la voiture 🙌 Or, cette évolution positive s’accompagne de défis importants, notamment en matière de sécurité. C’est le point que soulève Antoine du Teilleul 🚲🐝 cofondateur de BeeToGreen.  L’expert de la microbilité en entreprise accompagne au quotidien des organisations qui font le pari de financer la mobilité douce de leurs salariés. Dans cette tribune, publiée sur le Journal du Net, Antoine revient sur les différents enjeux de la sécurité à vélo et aborde des pistes de réflexion pour améliorer la cohabitation entre cyclistes et autres usagers de la route. Parmi elles :   👉 L'importance de l’éducation et de la sensibilisation à la sécurité routière  👉 La nécessité aussi de construire des infrastructures adaptées Mobilité douce, réduction des émissions de CO2, amélioration de la qualité de vie des habitants, ... l'essor du vélo est une opportunité formidable pour les villes. Mais pour que cette transition soit réussie et durable, il est crucial que la sécurité fasse partie du projet. ✨ Bonne lecture !

C’est un drame qui a secoué Paris et ravivé les tensions autour du partage de la route. Mercredi 16 octobre, un jeune cycliste de 27 ans a été mortellement percuté par un automobiliste, soupçonné de l’avoir délibérément écrasé suite à une altercation. Un choc pour la communauté des usagers du vélo, venue en nombre lui rendre hommage devant l’église de la Madeleine, à quelques mètres du lieu du drame. “De se dire que pour une altercation qui est hyper courante à Paris, on peut se faire tuer, c’est ultra-choquant”, témoigne une cycliste. Tensions croissantes sur le bitume Mais au-delà de l’émotion, cet événement tragique met en lumière les difficultés grandissantes de cohabitation entre vélos et voitures dans les villes. Alors que les mobilités douces se développent, l’espace réservé aux voitures se réduit, attisant les crispations. Selon un récent baromètre, 67% des automobilistes admettent insulter les autres usagers et 88% craignent leur agressivité au volant. On se sent chez soi, protégé dans sa voiture. On a tendance à davantage se lâcher, à voir les autres comme des obstacles. Julien Cestac, chercheur en psychologie sociale Pour le psychologue Jean-Pascal Assailly, ces tensions relèvent d’une véritable “bataille pour le territoire” dans des villes toujours plus denses. Et les aménagements, parfois mal pensés, n’aident pas : pistes cyclables partagées avec les bus, voies qui s’arrêtent brutalement, intersections dangereuses… La recette du conflit territorial. Infrastructures et règles méconnues “Ces dernières années, on a progressé, notamment à Paris, mais on reste très loin du compte”, estime Olivier Schneider, de la Fédération française des usagers de la bicyclette. Autre pierre d’achoppement : la méconnaissance par les automobilistes des nouvelles règles liées au vélo, comme le franchissement de la ligne blanche pour doubler, désormais autorisé. Un point que conteste Pierre Chasseray, de 40 millions d’automobilistes : Mettre dos à dos cyclistes et voitures, c’est stupide. Les vélos mal entretenus ou le non-respect de la signalisation par les cyclistes sont rarement verbalisés, ce qu’on ne pardonnerait pas à un automobiliste, à raison. Pierre Chasseray, 40 millions d’automobilistes Mieux former pour apaiser Face à ces divergences, des associations multiplient les interventions dans les écoles pour enseigner les bons réflexes sur la route dès le plus jeune âge. Une piste pour tenter de pacifier, sur le long terme, des relations pour l’heure électriques. Car le bilan reste lourd : en 2023, 226 cyclistes ont perdu la vie sur les routes françaises, soit 18% de plus qu’en 2019. Un chiffre qui “augmente moins vite que la pratique du vélo”, en hausse constante, mais “encore insatisfaisant” pour Camille Thomé, directrice de Vélo & Territoires. Preuve que la route de la cohabitation apaisée est encore longue. Repenser l’espace urbain, un défi d’avenir Au-delà des mesures d’urgence, c’est bien une réflexion globale sur le...

La promotion de l'utilisation du vélo comme moyen de transport se heurte souvent à des questions de sécurité. Pour y remédier, il est essentiel de comprendre que l'augmentation du nombre de cyclistes sur nos routes peut contribuer à une meilleure sécurité pour tous. En effet, plus il y a de cyclistes, plus les automobilistes s'habituent à leur présence, réduisant ainsi les risques d'accidents. Cependant, le port du casque, bien qu'important, n'est pas la solution ultime. L'infrastructure joue un rôle prépondérant dans la sécurisation des déplacements à vélo. Des pistes cyclables bien conçues, séparées de la circulation automobile et correctement signalisées, sont des mesures fondamentales pour garantir la sécurité des cyclistes. L'investissement dans une infrastructure cyclable adaptée doit être une priorité pour les décideurs. Des études montrent que des aménagements dédiés aux vélos non seulement réduisent les accidents, mais encouragent également de nouvelles personnes à opter pour ce mode de transport sain et écologique.