Comment les hommes trouvent leur style ? Je suis ravie de partager des réflexions sur l'évolution de la mode masculine et ses nouvelles influences, en passant par les vêtements de sport et l'impact des créateurs africains de Kente Gentlemen à Emmy Kasbit en passant par Pharell Williams. Nous explorerons comment les tendances actuelles réinventent les codes vestimentaires tout en restant ancrées dans des références culturelles fortes. Des éléments qui influent sur les nouveaux styles masculins. Ne manquez pas ce rendez-vous ! Pour celles et ceux qui suivent l’évolution de la mode ou souhaitent s’inspirer de nouvelles perspectives, cette émission sur RFI le lundi 4 novembre 2024 de 11 à 12 H dans l’émission 8 milliards de Voisins sera l’occasion de découvrir des idées innovantes et des insights sur un secteur en constante évolution. Hâte de vous retrouver dans cette discussion passionnante. Marie Jeanne Serbin Thomas photo générée par l'IA #ModeMasculine #RFI #BruneMagazine #KenteGentlemen #EmmyKasbit #IPharellWilliams#EmmanuelleBastide #FauvetteNacto #Defustel
Post de BRUNE, Magazine
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C'est encore la Fashion week à Paris ! Eh oui, depuis le 25 février figurez-vous. L'occasion de se pencher sur un sujet aussi touchy que passionnant. C'est un peu un marronnier des études anglo-saxonnes : régulièrement, on lit ce genre de news : un chercheur australien ou américain fournit des chiffres qui attestent que les gens beaux seraient...mieux payés ! Il y aurait un "beauty privilege" comme on dit en anglais, et bon... instinctivement, on sent bien que ça peut être le cas, sans qu'aucune pseudo étude ne vienne nous le démontrer. Mais qu'en est-il du côté des champions et surtout des championnes de cette catégorie ? Lesly, ex top modèle, qui travaille aujourd'hui dans une agence de mannequins, nous ouvre sans fard les portes du monde des très très belles personnes. Un monde cruel, luxueux, une sorte de Far west du capitalisme mondialisé. Les mannequins sont rémunérés pour leur apparence. Mais selon quels critères ? Qu'est-ce qui fait qu'une Kate Moss "vaut" plus qu'une autre ? Mannequin est-ce un objet, un produit, un savoir-faire, une pratique ? Et comment se fait-il que leur rémunération s'étalent sur une grille qui va de 0 (voire moins vous allez le découvrir) à des millions d'euros ? Si vous vous interrogez comme moi sur le prix de la beauté, toutes les réponses sont cet épisode. Bonne écoute. L'épisode est à écouter sur notre site https://lnkd.in/dU9_xsgG et sur toutes les plateformes d'écoute classiques et sera bientôt suivi de "bonus" plein d'infos et de scoopinets. #podcast #fashion #fashionweek #model #argent
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Haus Labs By Lady Gaga ou la montée de l’innovation-washing 🔎 Après Selena Gomez (Rare Beauty), Ariana Grande (r.e.m. beauty by Ariana Grande) ou encore Jennifer Lopez (JLo Beauty & Lifestyle), c'est au tour de #LadyGaga figure pop américaine de lancer sa marque de #cosmétiques en France. Avec une proposition qui se veut moderne par le développement de 51 teintes de peaux, une cible unisexe touchant hommes et femmes ainsi qu’un casting divers intégrant des individus de tous âges et tous handicap, la promesse marque semble aussi attractive que déceptive. En effet, les arguments évoqués et présentés comme différentiants sont partagés par la plupart des acteurs #makeup. Avons-nous donc réellement affaire à une #innovation produit plus qu’une énième marque de célébrités ? Les premières retombées d’internautes en disent long. Ces dernières ne sont pas unanimes et pointent du doigt un marché saturé où peu de marques se démarquent. La marque Haus Labs By Lady Gaga saura t-elle se différentier ? Atteignons-nous les limites de l’innovation en #cosmétique ? 📰 "Panorama beauté : quel futur pour le secteur" un dossier prospectif à lire sur LEAKS MÉDIA / Linkedin
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Tout ce qu’on fait on le fait car on veut répondre à une émotion 🧠 On veut du prestige, on veut se démarquer, on veut se sécuriser, on veut se sentir bien, on veut être à la mode… Si moi demain je voudrais faire un business de vêtements pour femme, je choisirai une cible qui a un désir particulier suffisamment fort pour y mettre de l’argent : Prenons par exemple Léna Mahfouf et Lamia Essemlali Léna elle aime les tenues incroyables et stylées Elle fait les magasins en pensant différemment de Lamia Lamia elle va prendre une tenue et elle va se dire « non c’est too much » et va la reposer Alors que Léna c’est l’inverse ! Elle va prendre la même tenue et se dire « pfff trop classique » Et du coup Léna va être prête à payer beaucoup plus d’argent pour une tenue qui va envoyer un signal fort « je suis stylée » Et plus ça va être stylé, plus ça va être too much, plus ça va lui plaire. Donc si c’est Léna ma cible je vais vraiment marketer le fait de porter des couleurs autour du fait d’être stylé et d’avoir un look incroyable et d’essayer d’avoir des modèles, des créateurs de contenus qui représentent ça ! C’est un exemple parmi d’autres ! Tu connais la pyramide des besoins de Maslow ? 🔺
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En matière d’habillement, nous suivons aveuglément l'Occident, qui impose ses modes. Notre dépendance est totale. Chez nous, il existe deux types de vêtements : les vêtements traditionnels, portés, par certains tous les jour, et par d’autres uniquement lors des fêtes religieuses et des occasions spéciales, et un second type, souvent qualifié de « moderne ». Cependant, ce n’est pas de la modernité au sens propre ! La modernité réside dans l’utilisation de la technologie, pas dans le simple changement de vêtements. C’est pourquoi je préfère appeler ce second type l’habillement « type occidental ou international», puisqu'il nous vient directement de l’Occident ou l'étranger. Même notre habillement traditionnel subit des influences internationales : les djellabas pour hommes deviennent plus courtes, et les caftans pour femmes affichent des coupes plus osées. Quant au style occidental, nous n’avons pas de modèle qui nous soit propre et portons ce qui nous vient de l’étranger. Pour les hommes, certaines tendances comme les pantalons taille basse ou slim peuvent ne pas convenir à tous, et pour les femmes, les stylistes internationaux révèlent de plus en plus de leur silhouette. Chaque saison, de nouvelles coupes apparaissent, dévoilant un peu plus de peau. En 2035 ou 2040, ils proposeront peut-être des tenues réduites à deux morceaux de tissu, et en 2050, qui sait, peut-être des feuilles d'arbre comme autrefois ! Je suis personnellement pour la liberté de s'habiller comme on le souhaite. Cependant, je trouve que ce processus de « déshabillement continu » montre de plus en plus de parties du corps féminin. Pourquoi n’avons-nous pas nos propres stylistes pour ce style « occidental ou international» de vêtements ? Pourquoi continuons-nous à suivre aveuglément leurs modes ? Ils ont toujours raison ?
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" Je me fiche complètement des tendances et de la mode!" 😛 Aujourd'hui, la majorité des femmes sont esclaves sans s'en rendre compte de tous ces diktats de la mode imposés par une société qui cultive l 'apparence de la jeunesse , de la soi disant beauté définie par des normes fixées par qui , par quoi ? Perso, je refuse d 'être la complice de tout ça même si à une époque moi aussi j 'étais prise dans cette spirale infernale de fashion addict! Oui cette fameuse petite robe noire à avoir absolument dans son dressing ou bien ces associations de couleurs ( qui ne sont pas toujours harmonieuses loin de là ) qui changent chaque année au gré des humeurs de fashion designers! Alors oui je kiffe 💓 les habits, l 'élégance, l'harmonie ! le style! le style qui est propre à chacun ! Because chaque être humain est unique! Moi ce que je recherche, ce sont des vêtements qui s'adaptent à moi et pas l 'inverse! Des habits qui sont en harmonie avec ma lumière, ma densité de corps et ma structure de corps! Des habits qui me révèlent et me font rayonner et ce dans n 'imorte quelle situation ! Et dans lesquels je suis à l' aise et libre de bouger suivant mon mouvement naturel !Et aussi qui me font kiffer monn image dans le miroir! C 'est pour ça que les tendances, je m 'en contrefiche ! car je sais grâce à la thérapie vestimentaire vers quoi me diriger quand je rentre dans une boutique et si il n 'y a pas ce qui me correspond parfaitement, eh bien tant pis je tourne les talons! je gagne un temps fou ! 🌟 Alors, si toi aussi tu en as assez des injonctions de la mode, si tu recherchez des vêtements qui révèlent ton authenticité et te font rayonner, suis-moi dans cette aventure où tu seras la seule décisionnaire de ce qui te correspond parfaitement! 🌈 #TherapieVestimentaire #Authenticité ##BienÊtre#salentaviral
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Selon Sam Hine, rédacteur pour le magazine GQ et auteur de l’infolettre Show Notes, qui s’intéresse à la mode masculine, « ce qui est réjouissant à l’heure actuelle en mode masculine, et que nous avons pu constater à Milan et à Paris, c’est que les vêtements “faciles à porter” deviennent de plus en plus intéressants ». La récente Semaine de la mode masculine a suscité des discussions sur l'idée de fonctionnalité : les vêtements faciles à porter ont-ils leur place sur les passerelles, et si oui, où trace-t-on la ligne entre la banalité et la praticité ? Lisez l'article complet ici : https://bit.ly/3SC0k9C
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Pourquoi est-ce tout aussi problématique que génial qu’il y ait écrit « I LOVE OZEMPIC » sur ce tee-shirt ? Lors de la dernière Fashion week de Berlin, la marque Namilia a présenté « Good Girl Gone Bad », sa collection Spring Summer 25. En collaboration avec la marque Ed Hardy, la collection « [explore] le cycle de la vie de la célébrité et le paysage culturel pop des années 2000 et du début des années 2010. » La collection, composée de 30 looks, fait polémique dès le passage du 5e. Un tee-shirt blanc, complété d’une jupe déstructurée, déclare « I LOVE OZEMPIC ». La marque connue pour ses engagements provocants à propos de la politique et des problématiques sociales, réagit au récent scandale de l’Ozempic. Ce médicament, originellement destiné aux diabétiques, a été détourné pour maigrir, notamment par des célébrités, à tel point qu’il s'est trouvé être en pénurie pour les principaux concernés. C’est donc un message ironique et cynique que la marque fait brillamment passer à propos des diktats de la maigreur toujours ancrés dans l’industrie de la mode. Couplé aux citations stylistiques des années 2000, le propos est tout aussi efficace que ce message. En sommes nous toujours à cette époque de débordement médiatique où les stars, épiées par les paparazzis, se montrent dans leurs plus grands excès pour paraître et répondre à notre consommation presque pornographique de leur image ? BureauKA https://lnkd.in/eXHYd9h7
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L’inclusivité peut-elle être “fashion” ? Prenons l’exemple de Victoria's Secret. Est-ce que vous revoyez ses “anges” défiler ? Ces mannequins blanches, T 34 et bonnet D, qui avancent sur le catwalk, à moitié nues et le sourire aux lèvres, tout en portant des ailes qui pèsent 15 kg ? Cette marque de lingerie iconique a bâti son succès sur une vision très normée et stéréotypée des femmes. Sur un “idéal féminin” au physique complètement inatteignable. Mais ce qui faisait rêver hier ne fonctionne plus aussi bien aujourd’hui. Depuis 2019, la marque tente de changer d’image. De raccrocher avec ses mannequins ultra normées, pour mettre d’autres femmes en avant dans ses défilés. Des femmes grosses, noires ou en situation de handicap. Des femmes qui s’expriment, créent et parlent. ➡️ Et si ce rebranding semble particulièrement laborieux, il est aussi très révélateur des défis auxquels fait face l’industrie de la mode aujourd’hui. Car en termes de normes de beauté, la mode dicte les règles. Son rôle, c’est de faire rêver, de créer du désir. Alors quand la population exige des représentations plus “normales” (et non pas plus “normées”)... comment réagit-elle ? Le “vrai” peut-il faire rêver ? En termes de représentations, de méthodes de production... Le futur de la mode doit-il, ou peut-il être inclusif ? Ou est-ce là une utopie ? Pour tenter de répondre à ces questions, Malix Détrie reçoit Anthony VINCENT. Anthony est journaliste depuis 2015. Il a travaillé pour France 3, TÊTU, Les Inrockuptibles… Depuis 2021, il est rédacteur Mode & Beauté chez Madmoizelle. En parallèle, il crée et anime le podcast “Matières Premières”, dans lequel il interroge les étiquettes dans la mode et la beauté, et l'émission “Le JT Mode” sur Twitch. Un grand merci à Laura Pironnet et à Orlane Tonani Guéguen pour la production ! L’épisode est disponible sur toutes les plateformes, le lien est en commentaires. Bonne écoute 💫
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Allier résultats et émotions, c'est leur point fort ! ⬇️ Fin de semaine dernière, je remarque sur mon calendrier éditorial une mention "à terminer" sur un post traitant de la thématique "résultats et émotions". Un sujet passionnant lorsqu'il s'agit de la connexion émotionnelle entre une marque et son audience. Et voilà que le nouveau rebranding de Bonne Gueule apparaît sur mon feed, pile au bon moment ! 🤔 En tant que client fidèle depuis leurs débuts (quand ce n'était encore qu'un blog), j’ai vécu l’évolution de cette marque, qui sait allier mode masculine, éthique et narration. Bonne Gueule, ce n’est pas qu’une simple marque de vêtements, c’est une expérience qui va bien au-delà de l’achat. 💡 Résultats souhaités : Bonne Gueule propose bien plus que des vêtements de qualité : 🔹 Chaque pièce du vestiaire masculin raconte une histoire. Leurs collaborations avec des artisans d'exception comme Inis Meain ou Norwegian Rain révèlent une attention aux détails et un savoir-faire incomparable. 🔹 Leur engagement va au-delà de la mode : ils incarnent une démarche éthique avec une production respectueuse de l’environnement et des pratiques transparentes sur les prix. 🔑 Émotions ressenties : Ce qui me touche chez Bonne Gueule, c’est la relation qu'ils créent avec leurs clients : 🔹 Chaque achat procure la satisfaction de soutenir des pratiques écoresponsables et artisanales. 🔹 Porter une pièce Bonne Gueule, c’est comme ajouter un fragment de culture vestimentaire à sa garde-robe. 🔹 Ils ne se contentent pas de vendre des vêtements, ils nous éduquent sur le style, la qualité, et l’histoire de chaque pièce, créant une connexion profonde. 🎯 Pourquoi ça marche ? Cette alliance entre résultats concrets (vêtements de qualité, durables) et émotions fortes (acheter avec une conscience éthique et culturelle) crée une fidélité unique. Chez Bonne Gueule, on ne fait pas que consommer, on devient membre d'une communauté. Et vous, quelle marque réussit à allier résultats mesurables et émotions authentiques pour tisser des liens durables ? __________________________________________________ Nicolas, Designer de marque ✨ Je transforme votre vision en identité visuelle unique et impactante 💞 Je vous aide à tisser des liens durables avec votre public cible 📲 Vous avez un projet ? Prenons le temps d'échanger #branding #brandstrategy #marketing #communication
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𝐂𝐨𝐦𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐣'𝐚𝐢 𝐞𝐧𝐫𝐢𝐜𝐡𝐢𝐞 𝐦𝐚 𝐜𝐮𝐥𝐭𝐮𝐫𝐞 𝐦𝐨𝐝𝐞 𝐜𝐞𝐭𝐭𝐞 𝐬𝐞𝐦𝐚𝐢𝐧𝐞 ? 👀 ➡ 1️⃣ Sur Substack : "𝑇ℎ𝑒 𝑅𝑒𝑏𝑖𝑟𝑡ℎ 𝑜𝑓 𝑃𝑟𝑖𝑛𝑡 𝐹𝑎𝑠ℎ𝑖𝑜𝑛 𝑀𝑒𝑑𝑖𝑎" by J'Nae Phillips Les médias de mode imprimés font leur grand retour, menés par des fanzines de niche et des éditeurs renommés comme i-D ou Another Man, qui misent sur des éditions limitées, haut de gamme et collectionnables. Ce renouveau est une réponse à la superficialité des réseaux sociaux et offre une expérience plus profonde et immersive. Le retour de l’imprimé invite à ralentir, en contrastant avec le contenu digital rapide. Dans un monde saturé d’informations, l’imprimé propose une pause bienvenue et une expérience tangible, enrichissante pour les créateurs et les lecteurs. 2️⃣ En ligne, dispo en pdf : "𝐹𝐿𝐴𝐼𝑅 : 𝑠'𝑒𝑚𝑝𝑎𝑟𝑒𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑒𝑛𝑗𝑒𝑢𝑥 𝑚𝑜𝑑𝑒 𝑑𝑒 𝑑𝑒𝑚𝑎𝑖𝑛" - FFPAPF La Fédération Française du Prêt à Porter Féminin, soutenue par le DEFI La Mode de France, lance "𝐹𝐿𝐴𝐼𝑅 : 𝑠'𝑒𝑚𝑝𝑎𝑟𝑒𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑒𝑛𝑗𝑒𝑢𝑥 𝑚𝑜𝑑𝑒 𝑑𝑒 𝑑𝑒𝑚𝑎𝑖𝑛", un livre blanc conçu pour guider les marques face aux défis du secteur. À travers des données issues d'une étude NELLYRODI, des conseils pratiques et des témoignages, "FLAIR" aborde des thèmes clés comme l'importance de l'innovation, la digitalisation et la responsabilité sociale. 3️⃣ Mes cours sur l'histoire de la mode par la Ville de Paris, le dernier était autour du XVIIème siècle. Un focus plus important sur le vestiaire masculin qui a beaucoup plus évolué que celui féminin à cette période ! 4️⃣ Sur l'application Radio France, podcast de France Culture : "𝐿𝑎 𝑀𝑜𝑑𝑒, 𝑢𝑛𝑒 ℎ𝑖𝑠𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒 ℎ𝑎𝑢𝑡𝑒 𝑒𝑛 𝑐𝑜𝑢𝑙𝑒𝑢𝑟" par Xavier Mauduit, Milena Aellig, Maïwenn Guiziou, Anne-Toscane, Marion Dupont, Anna Grumbach et Jeanne Delecroix Vêtements, costumes, uniformes : l’histoire de la mode est une fresque colorée aux multiples nuances, chaque teinte a une histoire à raconter. Ces épisodes nous révèlent les secrets de ces couleurs, 2/4 épisodes pour l'instant, le rouge et le noir, à suivre : le bleu et le blanc ! 5️⃣ Sur Youtube, sur SHOWstudio : "𝐵𝑒ℎ𝑖𝑛𝑑 𝐿𝑎𝑑𝑦 𝐺𝑎𝑔𝑎'𝑠 𝐼𝑐𝑜𝑛𝑖𝑐 𝐵𝑎𝑑 𝑅𝑜𝑚𝑎𝑛𝑐𝑒 𝐿𝑜𝑜𝑘 | 𝑇𝑟𝑎𝑛𝑠𝑓𝑜𝑟𝑚𝑎𝑡𝑖𝑣𝑒" Le style iconique de Lady Gaga pendant l’ère Fame Monster a aussi été défini par ses coiffures avant-gardistes, créées par le coiffeur visionnaire charlie le mindu. Lors d’une conversation avec Nick Knight, Le Mindu revient sur sa collaboration avec Gaga, notamment à travers des coiffes sculpturales et des tenues en cheveux qui ont contribué à marquer une époque dans la culture pop. 6️⃣ Sur ma page Curated by Amaria, écriture et montage de ma dernière vidéo autour du designer Bob Mackie, à découvrir ici 👀 ➡ : https://urls.fr/mnRaD4 🗣 Et vous, qu'avez-vous regardé/lu/écouté qui a pu enrichir votre culture (mode ou non), récemment ?
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