Post de l'Envol

54 000 fois moins. Ce 19 juillet, l'une des pannes informatiques les plus importantes de l'histoire est survenue dans le monde Windows. Occasionnant une mise à l'arrêt généralisée et simultanée de nombreux secteurs. Elle est liée au déploiement d'une mise à jour de l'entreprise de cybersécurité Crowdstrike, qui a provoqué l'arrêt de plus de 8 millions de PC dans le monde. L'assureur Parametrix estime que le coût financier total de ce bug est estimé à 5,4 milliards de dollars seulement pour les entreprises du Fortune 500 (hors Microsoft), qui regroupe les 500 plus grosses entreprises mondiales selon leur chiffre d'affaires. Et nous, qui sommes fièrement sous Linux, nous nous contenterions de 54 000 fois moins pour payer nos salariés un an de plus et continuer à imaginer des simplifications utiles à tous. Avis aux potentiels mécènes financiers ! Autre info : La proposition d'une taxation des milliardaires doit être âprement débattue lors du G20 à Rio de Janeiro ce vendredi 26 juillet. Les pauvres millardaires subissent une taxation de leurs revenus à hauteur de 0,5 % ! La frange la plus riche de la population mondiale a "accumulé 42.000 milliards de dollars de nouvelle richesse au cours de la dernière décennie" selon Oxfam. https://lnkd.in/dziCZTsy

Pour tout savoir du dernier sommet de l'ICANN, nous vous invitons à lire l'article de fond d' Arnaud W. #ICANN #Sommet #TLDs #ICANN61

🌟 Bonjour, Je suis enchanté de vous partager mon expérience au Forum de la Technologie OSIANE CG à Brazzaville, tenu du 23 au 26 avril, en collaboration avec #PRATIC, #ARPCE, et l'État congolais. Merci à #OSIANE, #PRATIC, #ARPCE, et l’#ACSI pour l'invitation. Le 24 avril, j'ai participé à des sessions de l'ACSI, rencontrant des leaders tels que Lord Marhyno GANDOU, DG de l'ACSI, et le Colonel Rolland KITOKO, DSI à la CIRAF. 🤝 Les échanges furent riches et instructifs, avec des débats profonds sur les moyens de développer un système d'information innovant et durable pour le Congo et la région #CEMAC. 💡 Le défi stratégique :🤔 Nous avons discuté de thèmes essentiels pour l'avenir des systèmes d'information en Afrique centrale. À la table ronde où j'ai eu l'honneur de participer, nous nous sommes concentrés sur l'élaboration de systèmes d'information innovants, durables et profitables pour le #Congo et la région CEMAC. Face à des contributions de haut niveau, j'ai mis en avant la nécessité pour l'Afrique centrale de s'engager dans la révolution industrielle 4.0, en se focalisant sur la sécurité de l’information l'IA et la transformation numérique, et d'adopter des stratégies soutenues, solides et continues pour la gouvernance de nos systèmes d'information. 📈 Vers une gouvernance robuste :🎯🎯 J'ai plaidé pour traiter la gouvernance des systèmes d'information comme une question d'État plutôt que de gouvernement, essentielle pour notre souveraineté et notre développement économique. Il est crucial de maintenir une continuité dans nos stratégies, indépendamment des changements politiques. 🚀 Un appel à l'action :🚨⚠️ Pour une gouvernance efficace des systèmes d'information en Afrique Centrale, la création d'une institution régionale inspirée de modèles tels que BEAC, BDEAC, COBAC et COSUMAF est essentielle. Cette entité se concentrera sur des stratégies de développement à court, moyen et long terme dans des domaines clés comme la technologie numérique, la gouvernance des données, l'intelligence artificielle et la sécurité de l'information. Elle organisera également des réunions annuelles pour permettre aux experts technologiques de chaque pays de collaborer et d'évaluer les progrès réalisés, s'appuyant sur des plans d'affaires robustes. Un cadre régional bien défini permettra à chaque pays de développer des plans d'action nationaux annuels pour leurs systèmes d'information, évitant ainsi la redondance et le manque d'efficacité d'une approche fragmentée. Travailler ensemble, plutôt qu'individuellement, nous permettra d'avancer plus loin et plus vite, grâce à une stratégie commune et coordonnée. 🔗 Ensemble pour l'avenir : Je suis résolu à collaborer avec les acteurs régionaux pour forger des stratégies adaptées aux défis actuels tout en préparant nos nations pour l’avenir. #Innovation #Technologie #Gouvernance #SystèmesDInformation #BDEAC #CEMAC #ForumTechnologique #Brazzaville2024 OSIANE CG ROLAND KITOKO Cyber Africa Forum (CAF)

🎙Dr Touré Hamadoun nous éclaire sur les défis et les stratégies numériques actuels du continent, soulignant le rôle pivot des directeurs des systèmes d’information (DSI) dans l’éclosion des innovations et la mise en lumière du potentiel africain. https://lnkd.in/e2JtfNU8

Une petite recension du debat de fin de journée ici à Sao Paulo concernant le rôle des grandes agences et institutions dans la gouvernance de l’internet. Désolé j’ai pas le temps de faire un glossaire des acronymes 😁Deux questions posées à unesco, itu, igf, cstd, le tech envoy du sg de l’onu, la commission européenne. L’unesco est assez à l’aise sur l’integration d’acteurs non gouvernementaux dans ses reflexions. Mais il leur manque les grands acteurs majeurs du numerique, qu’ils ont du mal à faire venir. Le tech envoy, Amandeep Singh Gill : le flobal digital compact est « multiacteurs dès la conception ». Il est aligné avec le fgi et devrait s’articuler avec les processus existant. Il faut faire la promotion du modèle multiacteurs à new york. Un peu langue de bois peut être Chengetai masango de l’igf : il est a la maison, mais insiste beaucoup sur le rôle de facilitateur ( une manière polie de dire coordinateur) de la collaboration entre les differentes organisations participant à la gouvernance de l’internet. Pour lui, c’est le fgi qui inspire les autres en matière d’approche multiacteurs. Pour l’uit : ils se postionnent a la fois comme plateforme de soutien au fgi, mais indiquent egalement qu’ils ont une appeoche très ouverte aux acteurs non gouvernementaux, notamment sur l’IA. Ils insistent sur leur rôle de coordination dans le cadre de la mise en oeuvre du smsi. Il evoque l’evolution de l’uit sous la pression des acteurs de la communauté internet depuis 20 ans. Cstd : insiste sur le rôle d’evaluation de la mise en oeuvre du smsi. Et se postionne comme une institution multilaterale ( ce sui est plus honnête sue d’autres intervenants avant elle). Mais ils preparent la cstd 2.0

🌍 Construire la souveraineté numérique de la Guyane : un défi ambitieux et essentiel 💻 Nous sommes fiers de vous présenter un article dédié à la SPLANG, publié par la Fédération des EPL, qui met en lumière notre mission : structurer et développer les infrastructures numériques essentielles pour garantir une autonomie numérique durable en Guyane. Dans un monde de plus en plus connecté, la maîtrise de nos outils numériques et de nos données est un enjeu crucial pour le développement économique et social de notre territoire. Cet article revient sur les actions et les ambitions de la SPLANG pour répondre à ces défis avec efficacité et innovation. 📖 Découvrez-en plus sur notre vision et nos projets en lisant l'article complet ici : https://lnkd.in/eGYwVe4v Rejoignez la conversation et partagez vos idées sur la souveraineté numérique en Guyane ! 💬 #SPLANG #Numérique #SouverainetéNumérique #Guyane #Innovation #EPL COLLECTIVITE TERRITORIALE DE GUYANE Marie Lucienne RATTIER Fédération des élus des Entreprises publiques locales (FedEpl)

🌐 **L'importance des Points d'Échanges Internet (IXP) et le rôle crucial du CGIX au Congo** 🌐 Les Points d'Échanges Internet (IXP) sont des infrastructures essentielles qui permettent aux fournisseurs de services internet (FAI) et aux réseaux de se connecter directement entre eux. Cela améliore la vitesse, réduit les coûts et renforce la sécurité des échanges de données. 🎉 Le Congo a récemment inauguré son deuxième point d'échange internet, le CGIX-Pointe-Noire🎉 🔹 Pourquoi est-ce important ? - Amélioration de la vitesse et de la qualité : En permettant des échanges de données locaux, le CGIX réduit la latence et améliore la qualité de l'internet pour les utilisateurs congolais. - Réduction des coûts : Les FAI peuvent échanger du trafic localement sans passer par des infrastructures internationales coûteuses. - Souveraineté numérique : Le CGIX renforce la sécurité et la résilience des infrastructures critiques du pays, tout en réduisant la dépendance vis-à-vis des infrastructures étrangères. 🔹 Impact économique et social - Accès à une économie numérique : Le CGIX facilite l'accès à des services numériques de qualité, stimulant ainsi l'innovation et la croissance économique. - Inclusion numérique : En rendant l'internet plus accessible et abordable, le CGIX contribue à réduire la fracture numérique. Le CGIX-Pointe-Noire, inauguré le 20 septembre 2024, marque une étape majeure dans le développement de l'infrastructure numérique du Congo. Avec des acteurs majeurs comme Congo Telecom, MTN Congo, AIRTEL Congo, GVA, et Rofa Network déjà connectés, le CGIX est prêt à transformer le paysage numérique du pays. ✨ J’ai eu le plaisir de participer à ce projet pendant mon stage à l’ARPCE. Cette expérience m’a permis d’apprendre auprès de professionnels qualifiés et de contribuer directement à l’amélioration de l’infrastructure numérique de notre pays. Je suis fier de voir les résultats d'un travail acharné et impatient de voir les bénéfices que cela apportera à notre communauté ARPCE Congo airtel MTN Rofa Network Luc JS Missidimbazi Ranya OKOUFOUET Congo Telecom #CGIX #CGIX_PNR #economie_numerique #internet

Découvrez l'article sur SYS1 & AKAWAN sur TOUTLÉCO le média de l'économie en Occitanie

Il est toujours difficile de commenter les propos d'une personne car en réalité, nous ne commentons que la compréhension qu'on en a. Voici donc ma réflexion par rapport à l'interprétation que j'ai des propos de M. Ousmane BOB: Affirmer que « l’IA est un mot assez nouveau » est relatif dans le sens où le terme « Artificial Intelligence » est apparu depuis les années 50 avec la conférence de Dartmouth où le concept a été popularisé pour la 1ère fois. Ceci étant dit, affirmer « qu’au Sénégal, il n’y a pas de données », je pense qu’il s'agit là de propos à nuancer. Il y a de la donnée mais dans certains secteurs, dans certains domaines, souvent sous une forme non exploitable, etc mais dire qu’au Sénégal « il n’y a pas de données ou pas assez », j'avoue ne pas comprendre. Nous avons certes raté le coche de la digitalisation telle que bien explicité, mais certains secteurs comme l'énergie arrivent à générer de la donnée en quantité. Je serais surpris d'apprendre que la Senelec (ou même l'ANSD) n'en produit pas suffisamment pour faire de l’IA. Et d'ailleurs, qu'entend t-on par « suffisamment » ? L'IA est devenue un terme parapluie qui veut tout dire et rien dire à la fois. Popularisée au début par l'IA symbolique (notamment avec les systèmes experts) et l'apprentissage automatique, elle a surtout connu un essor depuis la résurrection de l'apprentissage profond avec "le moment ImageNet". Ce qui fait que dans la plupart du temps, lorsque nous parlons d'IA de nos jours, nous faisons implicitement référence à l'apprentissage profond (Deep Learning) qui est extrêmement gourmande en données comparée aux paradigmes précédemment cités. Et encore, avec le développement de l'IA frugale, il existe de plus en plus d'approches permettant de faire de l'IA/Deep Learning avec de moins en moins de données. C'est d'ailleurs ce que j'étudie dans ma thèse doctorale sur les systèmes de dialogues pour les langues à faibles ressources comme le Wolof. Des approches classiques comme l'IA symbolique reviennent même à la surface et Golem.ai en est l'exemple patent. Donc, lorsqu'on avance qu'il n'y a pas "suffisamment" de données au Sénégal pour "faire de l'IA", j'ai envie de demander à expliciter ce qu'on entend par "suffisamment" et de quelle IA parle t-on concrètement. En dernier lieu, il est possible de mettre l'IA à contribution pour catalyser le processus de transformation digitale (ce dernier peut ne pas être un frein à l'IA dans certains cas). Prenons l'exemple du projet Nekkal de digitalisation de l'état civil dans lequel un nombre faramineux de documents en tout genre doit être scanné (considérons les extraits de naissance). Un premier lot scanné et renseigné dans un SI (donc annoté) peut servir de base d'apprentissage pour un algorithme d'OCR (Optical Character Recognition) qui va annoter tout le reste en un temps réduit. Et grâce à du RPA (Robotic Process Automation), on peut automatiser le peuplement du SI (Système d'Information) avec les annotations extraites. ...

Nous vous partageons la réflexion de notre General Manager sur la question de la disponibilité des données au Sénégal. Il s'agit d'un sujet qui est loin d'être trivial et qui demande d'être étudié sous des angles différents. En outre, les principes de frugalité ouvrent des perspectives nouvelles en matière d'efficience en données et en ressources de calcul. Si vous suivez les précédents Meetups de l'African Artificial Intelligence Society en collaboration avec GalsenAI et Orange, il y est illustré les travaux de Elodie G. et d'Antoine Caubrière sur la reconnaissance vocale en langues Africaines. L'idée présentée ici repose sur la conception de modèles pré-entrainés sur de grands volumes de données non étiquetées (plus facile d'accès) afin de réduire drastiquement la quantité de données annotées (plus difficile d'accès) nécessaires pour la conception de tels systèmes dans nos langues. C'est un exemple illustratif de comment il est possible de "faire de l'IA" avec moins de données tout en ayant des résultats intéressants. D'autres perspectives peuvent également être considérées pour étudier la question, n'hésitez pas à nous les partager en commentaires. GalsenAI, building and popularizing a powerful and productive AI ecosystem for West Africa. Nous profitons de l'occasion pour saluer le travail remarquable de Basile NIANE et de son équipe à Social Net Link pour leur implication dans l'écosystème tech et la visibilité qu'ils leurs accordent. Kudos à vous guys 🎉