Post de Campus des Métiers et des Qualifications d'Excellence Tourisme Hôtellerie Restauration ✈️⛺️🍽🍷☀️

💪 Avec une note de satisfaction des stagiaires de 9.5/10, cette formation 'Tailles japonaises et d'inspiration japonaise' que nous portons avec Joseph Grimaldi formateur de l'Association Française du Jardin Japonais est une réussite de notre catalogue. Une formation niveau 1 ce printemps.... et quelles autres idées pour cet automne ?

Mark Knopfler a vendu toutes ses guitares pour 𝟭𝟬𝗠 𝗱’𝗲𝘂𝗿𝗼𝘀 !  Une somme impressionnante, certes, mais ce n'est pas ce qui m'inspire le plus chez lui. S'il y a une chose que j'admire chez Mark Knopfler en tant que fan, c'est son engagement pour l'excellence. 👉🏼 𝗖'𝗲𝘀𝘁 𝘀𝗼𝗻 𝗱𝗲́𝘃𝗼𝘂𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗮̀ 𝗹'𝗮𝗿𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗺𝘂𝘀𝗶𝗾𝘂𝗲, 𝘀𝗮 𝗾𝘂𝗲̂𝘁𝗲 𝗶𝗻𝗰𝗲𝘀𝘀𝗮𝗻𝘁𝗲 𝗱𝗲 𝗽𝗲𝗿𝗳𝗲𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻, 𝗾𝘂𝗶 𝗺𝗲 𝗽𝗮𝗿𝗹𝗲 𝘃𝗿𝗮𝗶𝗺𝗲𝗻𝘁.  C'est cette même aspiration à l'excellence que nous cultivons à l'Atelier Tourtoulou.  👉🏼 𝗟𝗮 𝗰𝗼𝗹𝗹𝗲𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝘂𝗻𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗱𝗲 𝗴𝘂𝗶𝘁𝗮𝗿𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗠𝗮𝗿𝗸 𝗞𝗻𝗼𝗽𝗳𝗹𝗲𝗿, 𝗰𝗵𝗮𝗰𝘂𝗻𝗲 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝘀𝗮 𝗽𝗿𝗼𝗽𝗿𝗲 𝗵𝗶𝘀𝘁𝗼𝗶𝗿𝗲, 𝗻𝗼𝘂𝘀 𝗿𝗮𝗽𝗽𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗹'𝗶𝗺𝗽𝗼𝗿𝘁𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗱𝗲 𝘃𝗮𝗹𝗼𝗿𝗶𝘀𝗲𝗿 𝗹'𝘂𝗻𝗶𝗰𝗶𝘁𝗲́.  À l'Atelier Tourtoulou, nous nous inspirons de cette idée pour créer des espaces qui célèbrent l'histoire et l'identité individuelle de nos clients. 👉🏼 𝗟𝗮 𝗽𝗮𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗠𝗮𝗿𝗸 𝗞𝗻𝗼𝗽𝗳𝗹𝗲𝗿 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗮 𝗺𝘂𝘀𝗶𝗾𝘂𝗲, 𝗾𝘂𝗶 𝗹'𝗮 𝗰𝗼𝗻𝗱𝘂𝗶𝘁 𝗮̀ 𝗽𝗮𝗿𝘁𝗮𝗴𝗲𝗿 𝘀𝗼𝗻 𝘁𝗮𝗹𝗲𝗻𝘁 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝗹𝗲 𝗺𝗼𝗻𝗱𝗲.  Son dévouement nous motive à poursuivre notre passion avec humilité et détermination, en cherchant constamment à nous améliorer. 𝗘𝘁 𝘃𝗼𝘂𝘀 ? 𝗤𝘂𝗲𝗹𝘀 𝘀𝗼𝗻𝘁 𝗹𝗲𝘀 𝗮𝗿𝘁𝗶𝘀𝘁𝗲𝘀 𝗾𝘂𝗶 𝘃𝗼𝘂𝘀 𝗶𝗻𝘀𝗽𝗶𝗿𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝘃𝗼𝘁𝗿𝗲 𝗺𝗲́𝘁𝗶𝗲𝗿 ? Dites-le en commentaire.

𝐀 𝐧𝐞𝐫𝐟𝐬 𝐨𝐮 𝐚̀ 𝐥𝐚 𝐠𝐫𝐞𝐜𝐪𝐮𝐞 ? Aucun restaurant ne vous proposera ces options, mais votre relieur oui ! De nos jours, la plupart des dos de livre sont plats : on appelait cela la reliure 𝐚̀ 𝐥𝐚 𝐠𝐫𝐞𝐜𝐪𝐮𝐞. Mais saviez-vous qu’au départ, tous les volumes possédaient des nerfs apparents ? 👉 𝐋𝐞𝐬 𝐧𝐞𝐫𝐟𝐬 : Cousus sur des nerfs de bœufs ces derniers apparaissent donc en relief sur le dos des livres anciens et sont surtout structuraux. 👉 De nos jours, ce sont des cordons de cuir qu’on ajoute dans un souci esthétique. Ils témoignent toujours de l’histoire de la reliure et ajoutent du caractère au livre. Quel type de reliure préférez-vous ❓ 📅 𝑅𝐷𝑉 𝑙𝑒 15 𝑑𝑢 𝑚𝑜𝑖𝑠 𝑝𝑟𝑜𝑐ℎ𝑎𝑖𝑛 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑒 𝑣𝑜𝑐𝑎𝑏𝑢𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑟𝑒𝑙𝑖𝑢𝑟𝑒. #LePostDico #Nerfs #ReliureTraditionnelle #Artisanat #MaisonPardo"

Quand l'Impératrice régale, je sublime ! 👑🍜✨ En tant que grande fan de cuisine asiatique depuis des années, imaginez ma joie quand j’ai appris que Imperatrice Wu , une influenceuse food que je suis depuis une éternité, sortait son tout premier livre. Et pas n’importe lequel : un annuaire de plus de 400 restaurants à travers toute l’Asie ! Mais ce n’est pas qu’un simple guide… Ce bijou, publié aux éditions Hachette France , regorge aussi d’anecdotes, de recette et de petites pépites sur la nourriture asiatique. Un vrai festin littéraire ! 😍 Autant dire que quand j’ai su ça, j’ai sauté sur l’occasion de réaliser une couverture alternative pour célébrer la sortie de son livre le 9 octobre dernier ! 🎨 J’ai gardé la même palette chromatique que la couverture officielle, mais j’ai voulu mettre en lumière l’Impératrice Wu elle-même, entourée d’une table débordante de mets délicieux. Vous n’imaginez même pas à quel point ce projet m’a donné faim tout du long… 🤤🍣🍱 Aveline, si tu passes par là, penses à moi pour le deuxième tome ! 🙏 🙋🏼♀️Moi c'est Rachel, fondatrice du studio de création graphique CHROMALIN. J'accompagne les rêveurs à concrétiser leurs projets, alors pourquoi pas vous? ☀️CHR✹MALIN le studio de création qui fait rayonner vos projets ! #Graphisme #Illustration #ImpératriceWu #CouvertureAlternative #Édition #LivreFood #CuisineAsiatique #ProjetGraphique #PassionCréative #CHROMALIN #DesignDeCouverture #Foodies #AnnuaireRestaurants #CréationGraphique

Voici comment nous réalisons de grandes choses 🦸♂️🧙♂️ Ici un aperçu de notre voilerie à Gdańsk. Pour fabriquer d’immenses voiles avec de grands rouleaux de toile, nous avons besoin de grandes tables 😀

RESTAURATEUR D'ART, UN MÉTIER PAS COMME LES AUTRES.. Si je vous disais: Professeur, cuisinier ou manager, vous me diriez sans doute avec aisance que ce sont des métiers très répandus. Par contre, si je disais: Restaurateur, vous ferriez certainement allusion à quelqu'un qui gère un restaurant. Vous n'auriez peut-être pas tord, mais moi, je fais allusion à quelqu'un qui restaure le patrimoine culturel d'une nation, le valorise pour la mémoire collective. En effet, qu'il s'agisse des monuments, des églises, des édifices, bref; l'ensemble de biens ayant une caractéristique artistique ou historique appartenant à un pays, tous ces biens représentent une richesse d'un pays ou un héritage légué par les ancêtres qui doivent subir une restauration, un entretien et une valorisation pour faire bénéficier plutard, les générations futures. Tout ce travail complexe revient à la charge d'un restaurateur d'art qui, pour réussir sa mission, a besoin de connaissances diverses, notamment en Histoire de l'art, en Archéologie, en Chimie ou en Physique pour pouvoir maîtriser les techniques de la restauration. Après avoir identifié les altérations de l'œuvre d'art grâce à son savoir-faire traditionnel et une certaine habilité manuelle, il va décider du type d'intervention et du traitement à infliger à l'œuvre d'art. Par après, il va voir le conservateur et le muséographe au cours des expositions dans les musées ou monuments ouverts au public. Ces derniers vont donc participer à la transmission du patrimoine culturel sous une forme pédagogique pour alimenter la mémoire du public. Ce travail collaboratif va aussi impliquer la participation des galeristes, des chercheurs, sans oublier les commissaires priseurs accompagnés d'experts pour l'authentification, la restauration puis la vente. C'est l'occasion pour l'œuvre d'art de circuler pour être connue par une grosse clientèle. Pour augmenter son attractivité, il faudra simplement numériser l'œuvre d'art rare, créer des animations et des événements culturels ou encore éveiller les consciences et la curiosité des jeunes en renforçant l'enseignement sur l'histoire de l'art dans les programmes scolaires et universitaires. ,

Je pensais avoir un métier étrange dans un secteur très spécifique, mais les sujets qui m’animent transcendent les frontières de mon marché de niche. 👀 Depuis que j’ai commencé à peindre avec du vin, je me rends compte que travailler avec cette matière naturelle et évolutive reconnecte à la vie et à ce qui est essentiel. Avec le vin, je ne cherche pas seulement à peindre, je cherche à éveiller une profonde conscience de ce que l’on vit. Parce que mes oeuvres au vin, vivantes et évolutives, sont des ancres tangibles qui connectent au moment présent pour soigner son rapport au temps, pour ne pas simplement contrer son flux incessant mais vivre pleinement chaque instant. 🎨 Et que dire de la créativité ? La peinture au vin a réveillé en moi un esprit d'innovation que je n'aurais jamais imaginé, et ça a été un moteur incroyable pour révéler ma singularité. 3 ans d'ateliers plus tard, je vois ce que ces expériences uniques font miroiter chez les gens : l’opportunité d’exprimer leur individualité, d’élargir leurs perspectives et voir le monde avec émerveillement et gratitude. Je ne vous cache pas que j’ai d’abord et à tord cru que la peinture au vin était « juste » une curiosité artistique, voire un passe-temps excentrique… mais c'est une formidable fenêtre ouverte sur des vérités universelles. OUI LA PROMESSE EST BELLE, et le débouchage des bouteilles qui déborde sur des philosophies de vie jusqu’à pas d’heure… on connait! Mais à travers mes créations et mes ateliers, j’ai une furieuse envie de porter cette promesse encore plus loin, pour se reconnecter à la vie, à la nature, et à soi ✨ Pour que chacun de nous fasse de SA vie SON oeuvre Ni un tableau pour les autres Ni pour les murs entre lesquels la société nous enferme Alors si ces réflexions résonnent en vous, ou si vous êtes simplement curieux, connectons-nous 🥂 Je partagerai plus de ces aventures et apprentissages, avec un brin de poésie et d'humour aussi.

COGNAC : SEMINAIRE SUR LES SAVOIR-FAIRE TRADITIONNELS Je serai présent mercredi à Cognac aux côtés de Jean-Louis Ermine dans le cadre du "Séminaire sur les savoirs traditionnels. Mémoire Vivante des Savoirs Anciens : Sauvegarder, Transmettre et Innover" pour présenter à 14h le Chantier médiéval de Guyenne et la transmission des métiers chez les Compagnons. "Les domaines professionnels qu’on appelle « traditionnels » (car hérités de la tradition et basés sur des savoirs anciens), comme les métiers du patrimoine, les métiers d’art, certains métiers agricoles comme ceux de la vigne et du vin, certains métiers culinaires, etc. représentent, dans beaucoup de territoires, un important enjeu économique, social et culturel. Les connaissances accumulées depuis des décennies, tout au long de l’histoire de ces métiers, ont besoin d’être sécurisées, valorisées, de se développer, d’être transférées aux nouvelles générations et d’évoluer dans des contextes changeants. Il est donc intéressant et utile d’étudier les approches qui se dessinent actuellement pour gérer de manière durable les patrimoines des savoirs dans ces métiers traditionnels. Depuis 2021, conjointement à des séminaires spécifiquement scientifiques sur cette thématique, organisés par l’AGECSO, Association pour la Gestion des Connaissances dans la Société et les Organisations (Lac Chambon 2021, Nice 2022, Montréal 2023, Paris 2024), s’organisent des rencontres entre des professionnels et des chercheurs en Nouvelle-Aquitaine (Périgueux 2021, Saint-Emilion 2022, Limoges-Aubusson 2023, Cognac 2024). En 2024, les rencontres de Cognac ambitionnent de faire se rencontrer des projets à très forte valeur patrimoniale, reposant sur des savoirs anciens, qui perdurent collectivement dans des communautés, comme l’Équitation de tradition française (inscrite à l’UNESCO en 2011) dans la communauté du Cadre noir de Saumur, les bâtisseurs de cathédrale dans la communauté des compagnons (inscrit à l’UNESCO en 2010), à travers le chantier médiéval de Guyenne à Lalande de Fronsac, ou encore les savoir-faire du Cognac (en voie d’inscription à l’UNESCO) dans la communauté des acteurs du cognac avec leurs interactions sociales et leurs connaissances. Ces rencontrent cherchent aussi à croiser ces aventures humaines exceptionnelles avec des outils modernes de l’ingénierie et du management des connaissances. L’idée est de dégager, par l’échange et les discussions, des caractéristiques communes dans des projets sur des domaines très différents, afin de dessiner un cadre général de gestion des savoirs anciens et traditionnels dans le but de les sauvegarder, de les transmettre et d’innover." Informations : https://lnkd.in/eG8UbtTV

Être ou ne pas être... un #musée ? Telle est la question. Quand je suis arrivée à la La Cité du Vin - Fondation pour la culture et les civilisations du vin il y a plus de 6 ans, le mot était proscrit. On n'avait pas de collection à présenter (la définition du musée à l'époque - elle a bien changé depuis, n'est-ce pas l'International Council of Museums (ICOM) ?), pas d’œuvres à sublimer. Le "parcours permanent", essentiellement numérique avec beaucoup d'écrans et projections, très immersif, se visitait avec un "compagnon de voyage", outil numérique disponible en 8 langues qui permettait d'embarquer dans la culture et les civilisations du vin à travers le monde. Il était important de faire comprendre au potentiel visiteur qu'on était différent des musées du vin qu'on trouve dans de nombreuses régions et qui mettent en avant le vignoble local, souvent avec force outils et autres objets du passé. Sauf qu'en sortant de la Cité du Vin ou en laissant un avis sur Google, les visiteurs disaient qu'ils avaient adoré... le musée ! Et oui, l'être humain, pour s'exprimer, a toujours besoin de se référer à quelque chose qu'il connaît. Même si la Cité des sciences et de l'industrie, la Cite de l'architecture et du patrimoine ou encore la SEMECCEL - Cité de l’espace / L’Envol des Pionniers ont déjà plusieurs dizaines d'années d'existence, sur Google maps, la catégorie de référence, c'est celle des musées. Et quand un touriste cherche quoi faire à Bordeaux, c'est bien le mot musée qu'il tape dans son moteur de recherche ou dicte à son #IA désormais (cf. la réponse à la question « Comment avez-vous entendu parler de la Cité du Vin ? » lue récemment dans notre enquête post-visite). Alors avec un peu d'insistance et de persuasion (la dure vie du marketing dans le monde de la #culture 😉), on a réussi à faire accepter l'idée que le mot "musée" avait toute sa place dans le menu de notre site web. Et aujourd'hui, c'est même dans la rue qu'on l'affiche... justement, pour dire qu'on est bien plus que cela : un véritable lieu de vie avec une riche programmation culturelle qui offre une impressionnante palette d'activités ! Quel chemin parcouru, à l'image aussi de ce "parcours" permanent qui s'est renommé "exposition" permanente après son renouvellement l'an dernier. Merci Sophie Kleinpeter pour cette très belle créa qui interpelle et Elsa Goussé (notre meilleure chasseuse d'affiche) pour cette photo. Comme tu le dis si bien, quel bonheur quand on revient à Bordeaux après quelques jours d'absence d'être accueilli à la #gare Saint Jean comme à la maison !

Je partage avec vous les premières lignes du livre de mes lectures en cours. Je parle de Les perce-neige s'éveillent sous les flocons de Sophie Jomain :