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Le #Sahel : échiquier des guerres par procuration entre grandes puissances? Alors que le monde fixe son regard sur l'#Ukraine, une autre poudrière #géopolitique se prépare en coulisses dans les vastes étendues arides du Sahel. Les dernières manœuvres des grandes puissances dans cette région ne sont pas seulement des réactions spontanées à des crises locales multiforme, mais des mouvements délibérés sur un échiquier géopolitique complexe, révélant des vulnérabilités structurelles qui ont fini par s'imposer comme une normalité. Le retrait de la #France des pays du Sahel central (#Burkina Faso, #Mali et #Niger), la fermeture de la base américaine à #Agadez, orchestrée par les exigences d’un régime militaire au Niger, et la rupture abrupte des liens diplomatiques entre le Niger et l'Ukraine, suite à des commentaires sur les récentes escarmouches au Mali, ne sont que les symptômes superficiels d'un malaise plus profond. Derrière ces événements se profile une lutte par procuration potentiellement explosive et cataclysmique entre la #Russie et des puissances occidentales (qui soutiennent l'Ukraine), chacune poussant ses pions avec une précision stratégique. Les récents affrontements dans le nord du Mali, où des séparatistes #Touaregs ont apparemment bénéficié du soutien des services de renseignement ukrainiens contre les forces maliennes et leurs alliés mercenaires de l'#Africa Corps (la réorganisation de #Wagner), transcendent un simple conflit local. C'est plutôt le reflet du conflit ukrainien qui étend son ombre sur le Sahel. Ce théâtre d'opérations est unique : acteurs non étatiques armés, juntas militaires allergiques à toutes velléités d'opposition, et interventions de #milices étrangères déstabilisant le Sahel. Chaque groupe poursuit ses propres objectifs, transformant la région en arène pour les grandes puissances qui exploitent les divisions locales et régionales dans un jeu de stratégie mondial. En tant qu'observateurs et acteurs concernés, devons-nous interroger : allons-nous permettre que le Sahel devienne un dommage collatéral supplémentaire des stratagèmes de ceux qui siègent à des milliers de kilomètres de ces terres asséchées par le soleil et le sang ? La région mérite mieux que de servir de toile de fond à une nouvelle guerre froide remixée. Il est donc crucial que les dirigeants des pays du Sahel et des organisations régionales intensifient leur diplomatie pour dissiper les spectres des discordes, notamment entre la #CEDAO et la nouvelle #AES, et s'attellent à déployer un véritable dispositif de défense et de sécurité collective. Cette démarche est nécessaire pour neutraliser les dynamiques actuelles avant qu'elles n'enflamment toute la région. Ne laissons pas le Sahel devenir un champ de bataille pour des intérêts étrangers déguisés en partenaires de la stabilité. L'inaction pourrait coûter à cette région une déstabilisation irréversible, avec des conséquences qui résonneront bien au-delà de ses frontières arides.

🌐💬 Crise en Ukraine : L'Occident à la Croisée des Chemins Face à la détérioration en Ukraine, il faut réaliser le besoin urgent d'un soutien occidental accru pour éviter une défaite imminente. La Russie profite de l'économie robuste et des divisions occidentales, menaçant les objectifs géopolitiques. 🔍 Enjeux Cruciaux Dans cette tribune, rédigée avec William Thay pour Marianne, nous soulignons l'impératif d'une intervention massive de l'Occident pour renverser la tendance et éviter une défaite ukrainienne. #Ukraine #CriseGéopolitique #Russie #Occident #TroisièmeGuerreMondiale #SoutienInternational #AnalyseGéopolitique #Défense #RéflexionStratégique https://lnkd.in/dEn8cxCr

TÉHÉRAN : VOUS DEVEZ ABSOLUMENT SAVOIR CECI ! Il y a 81 ans, du 28 novembre au 1er décembre 1943, la Conférence de Téhéran réunissait pour la première fois les Alliés en pleine Seconde Guerre mondiale. Ce sommet historique a marqué un tournant décisif, en définissant des stratégies pour mettre fin au conflit mondial et en jetant les bases des Nations Unies et de la coopération internationale que nous connaissons aujourd'hui. La conférence de Téhéran a permis d’accomplir:  - Des alliances stratégiques pour vaincre les forces de l'Axe.  - L'esquisse d'un ordre mondial axé sur la paix et la diplomatie. Aujourd'hui le Liban vit un cessez-le-feu fragile entre Israël et le Hezbollah après des mois de violences ayant causé des milliers de morts et des millions de déplacés. Soutenu par des résolutions internationales, cet accord cherche à protéger les civils et à réduire l'escalade des tensions. De Téhéran au Liban, l’histoire nous enseigne une vérité incontournable : la paix est un choix audacieux et essentiel. Elle demande dialogue, respect des droits humains et solidarité indéfectible.  En ce jour de commémoration, il est important que nous apprenions du passé pour répondre aux défis du présent et construire un avenir où coopération et respect triomphent des divisions.  #ConférenceDeTéhéran #Histoire #Paix #Liban #CessezLeFeu #Dialogue #DroitsHumains #ONU #CoopérationInternationale #Résolutions1701 United Nations Volunteers Pan African Youth Union African Union Youth Volunteer Corps École de Maintien de la Paix Alioune Blondin BEYE de Bamako (EMP-ABB)

Les conflits contemporains sont souvent accompagnés d'une guerre médiatique, partie intégrante de la #guerre psychologique. Les #médias jouent un rôle central dans la formation des perceptions publiques. Certaines chaînes arabes promeuvent désormais une vision d'un "Nouveau Moyen-Orient" alignée avec les intérêts israéliens. A entendre leur narratif, la guerre en cours a décomplexé l'expression d'un "sionisme arabe", voire d'un "sionisme salafiste". Faisant échos à la rhétorique israélienne, ces médias qualifient désormais les groupes armés palestiniens de terroristes, en raison d’attaques contre des civils. Après l’assassinat de figures comme Ismaïl Haniyeh et Hassan Nasrallah, leurs efforts pour promouvoir la #normalisation avec #Israel se sont intensifiés. Ils sont désormais appuyées par des voix religieuses et intellectuelles favorables à une réorientation géopolitique, qui avancent des exemples historiques de "coopération" avec les puissances coloniales, au début du XXe siècle, pour justifier ce changement. Dans cette vision, Israël est positionné comme un acteur clé de la #sécurité régionale, prenant le relai des États-Unis désireux de concentrer leurs efforts sur d'autres priorités, comme la #Chine. Cependant, cette vision ne tient pas compte de la montée en puissance de pays comme la #Turquie, l'#Iran et le #Pakistan, qui ont développé leurs propres capacités militaires. Le développement de drones par la Turquie et de missiles hypersoniques par l’Iran, par exemple, a modifié la donne. Or, malgré sa puissance #militaire, Israël demeure tributaire du soutien des États-Unis et de leurs alliés, comme en témoigne l’assistance continue et le déploiement de systèmes de défense avancés, tels que le THAAD, venu pallier les limites d'un "Dôme de fer" dépassé par les menaces croissantes. Cette dépendance met en lumière que, face à la persistance de la lutte armée même sans soutien militaire arabe, Israël ne peut assurer sa suprématie qu'en s'appuyant sur des partenariats extérieurs. Le "Nouveau Moyen-Orient" ne se dessine donc pas exactement comme prévu par les partisans arabes de la normalisation avec Israël. Les dynamiques géopolitiques, avec la montée de puissances régionales comme la Turquie et l'Iran, ainsi que les intérêts stratégiques des grandes puissances, créent une situation bien plus complexe. Si Israël aspire à jouer un rôle central, les alliances régionales influenceront fortement la recomposition du Moyen-Orient. Une puissance qui ne peut assurer son autonomie ne peut prétendre véritablement au statut de puissance. La capacité des États à produire leur armement et à construire des alliances rend incertaine l’émergence d’un #modèle unique. Le Moyen-Orient semble à un tournant, mais seule l’évolution des rapports de force déterminera si cette recomposition mènera à une stabilité durable ou à un équilibre multipolaire. La vision manichéenne de Netanyahu et de ses alliés arabes relève plus du "wishful thinking" que de la réalité.

"La guerre n’est pas une option, et se joindre à la saisine de l’ONU, c’est avoir le courage de la Paix." ­ Madame, Monsieur, Chers Amis, Les déclarations belliqueuses et répétées du Président Macron à l’encontre de la Russie sont gravissimes. Dans un registre tristement identique, l’accord de coopération du 16 février 2024 signé à l’Elysée entre la France et l’Ukraine sans aucun accord préalable de la représentation nationale ce qu’impose notre Constitution, forme une déclaration de guerre à notre démocratie, à nos institutions, au peuple français. Pire, pressé que le Parlement soit saisi, Emmanuel Macron a fait mettre le sujet à l’ordre du jour. Mais sur fondement de l’article 50-1 de la Constitution qui n’engage pas la responsabilité du Gouvernement alors qu’il aurait fallu qu’elle le soit dans le respect de l’article 53 puisque ce traité engage des dépenses publiques non budgétées. Cette manipulation fait d’Emmanuel Macron, président d’un pays dont il faut rappeler qu’il détient l’arme nucléaire, un propagateur de la guerre, ce que proscrit la Charte des droits de l’Homme des Nations Unies (art. 20 – Pacte international relatif aux droits civils et politiques). " L’article 1er de l’ONU stipule que son but est de maintenir la paix internationale et prendre les mesures collectives efficaces, en vue de prévenir et d’écarter les menaces à la paix. La guerre n’est pas une option, et se joindre à la saisine de l’ONU, c’est avoir le courage de la Paix." "J’enjoins toutes les Françaises et tous les Français à y apporter d’une manière ou d'une autre leur soutien ». Deux façons de le faire : => Par un mail personnel de soutien à cette saisine (en commentaire de ce mail) => Par votre générosité indispensable qui nous permet d'agir, en cliquant ici : https://lnkd.in/gDbdmnyF La Paix est en danger. Peut-on attendre ? Peut-on ne rien faire ? Je compte sur vous pour accompagner, comme je l'ai fait pour notre parti politique, cette excellente et salutaire démarche par vos soutiens massifs. Merci ! Jean-Frédéric POISSON Président de VIA | la voie du peuple Ancien député Administrateur de l'ECPM (European Christian Political Movement)

Invisible mais meurtrières : Les guerres ignorées par les médias mondiaux Aujourd’hui, il est indéniable que l’Ukraine et Gaza occupent une place prépondérante dans les médias. Depuis le début de la guerre en Ukraine le 24 février 2022 et l’escalade du conflit à Gaza le 7 octobre 2023, ces deux régions sont devenues les épicentres de l’attention mondiale. Mais alors que ces conflits dominent les gros titres, d’autres guerres et zones de conflit continuent de faire rage dans un silence presque total. Balemba exprime également sa joie d'avoir participé à ce décryptage aux côtés d’Armelle et de Benoît, soulignant l’importance de poursuivre ces discussions. Pour lui, le dialogue et la réflexion collective sont essentiels pour dénouer les conflits et promouvoir une culture de la paix. Ces échanges doivent continuer, car ils offrent une perspective nécessaire pour comprendre les défis de notre époque et la manière dont nous, en tant que société, pouvons mieux répondre aux crises qui secouent le monde. Donc, la manière dont les conflits mondiaux sont couverts par les médias est le fruit d’une combinaison complexe de choix éditoriaux, de considérations économiques et de contraintes pratiques. Cette situation soulève des questions cruciales sur notre compréhension du monde et les biais qui façonnent cette compréhension. Alors que certains conflits sont projetés sous les feux des projecteurs, d'autres restent dans l'ombre, oubliés par l’histoire immédiate, mais dont les victimes continuent de souffrir en silence. Plus encore, l'appel à la paix lancé par Balemba nous invite à repenser nos priorités collectives et à valoriser les efforts pour la réconciliation plutôt que la confrontation.

“Au #MoyenOrient, les astres semblent s’aligner en faveur des intérêts de la #Russie, laquelle intensifie ses liens diplomatiques et accroit globalement son #influence, jouant désormais un rôle déterminant dans la plupart des conflits. Tirant habilement profit d’une réduction de l’intérêt des États-Unis pour la région et d’un fort ressentiment anti-occidental des populations locales, #Moscou s’emploie progressivement à y substituer, aux côtés de la Chine, une nouvelle pax eurasiatica de nature à bouleverser l’ordre établi après la guerre froide. Les initiatives russes au sein de la sphère moyen-orientale s’inscrivent avant tout dans une démarche visant à s’ériger comme une force d’équilibre pour la stabilité et la #sécurité régionale. En dépit de défis persistants dans chacune des nations visées par cette politique, les efforts russes en vue de pacifier la région démontrent avant tout leur engagement soutenu à réaffirmer leur rang de grande puissance mondiale, alternative fiable face à leurs rivaux occidentaux.” Retrouvez en ligne la version intégrale de ce texte de Erik Burgos qui fait un tour d’horizon non exhaustif des positionnements tactiques et des perspectives à moyen terme de la Russie dans sa gestion des conflits en #Syrie , en #Libye , au #Soudan , en #Iran et à #Gaza . “Les récents développements sur la scène moyen-orientale se révèlent manifestement propices au #Kremlin : en premier lieu, ceux-ci détournent l’attention portée à l’Ukraine. Ils suscitent par ailleurs la discorde au sein des différentes opinions publiques européennes. En outre, ils accélèrent la prise de conscience par les États du « #Sudglobal » de la duplicité des États-Unis (ainsi que de leurs alliés), qui, tout en prétendant œuvrer pour la paix dans leurs discours, continuent de fournir des armes à leur allié israélien. L’activisme russe depuis les événements du 7 octobre 2023 tend, une fois de plus, à réfuter un isolement consécutif à la crise ukrainienne tout en exaltant la nécessité d’un nouvel ordre #international fondé sur la #multipolarité.” “La Russie n’a nullement l’intention de se retirer de la scène moyen-orientale. Elle considère cette présence régionale non seulement comme l’une de ses réussites les plus significatives à ce jour, mais également comme un atout stratégique futur dans le cadre de dialogues potentiels avec divers partenaires — allant des puissances régionales aux États occidentaux.” #géopolitique #stratégie #diplomatie #veille #risk #défense #geopolitics #BRICS #puissance #foreignaffairs #prospective Institut FMES Pascal Ausseur

#Rappel - INVITATION CONFÉRENCE - 📢 💬 Mardi 10 décembre 2024, de 18h30 à 20h, l’IRIS a le plaisir de vous inviter à une conférence-débat sur le thème : Quels scenarii d’avenir pour la guerre en Ukraine ? Autour de 📌 Jean de Gliniasty, ancien ambassadeur de France en Russie, directeur de recherche à l’IRIS 📌Jean-Pierre Maulny, directeur adjoint de l’IRIS 📌Louise Souverbie, chercheuse à l’IRIS, spécialisée sur les questions de défense européennes et sur l’industrie de l’armement Animée par 🎙 Pascal Boniface, directeur de l’IRIS 📋 INSCRIPTION : 📍 En présentiel ➡ https://cutt.ly/ZeLr6Szq 💻 En distanciel ➡ https://cutt.ly/heLtqANf 📚✨ Pascal Boniface en dédicace ! Vente d'ouvrages et séance de dédicaces avant et après la conférence. 📲Précommandez ➡ https://cutt.ly/EeZPvX7a Plus de 1000 jours se sont écoulés depuis le début de la guerre en Ukraine, un conflit qui bouleverse l’ordre international et soulève des questions cruciales sur l’avenir de la région. Alors que les lignes de front demeurent instables et que les négociations semblent dans l’impasse, le conflit interroge : quelles dynamiques militaires et politiques sont susceptibles de redéfinir la suite des événements ? L’élection récente de Donald Trump pourrait redessiner les contours de l’implication américaine dans ce conflit. Quels impacts pourrait avoir ce changement de leadership sur l’aide militaire à l’Ukraine, les relations avec la Russie, ou encore sur la stabilité européenne ? Dans ce contexte d’incertitudes, le conflit ukrainien reste au cœur des préoccupations stratégiques mondiales.

#VidéoiReMMO | ⏪ Retour sur la deuxième table ronde de notre #GrandFormat : « Guerre au Liban : le jeu des acteurs régionaux et internationaux » 🇮🇷 Si l’image d’un #Iran expansionniste persiste, le pays semble aujourd’hui davantage focalisé sur ses intérêts nationaux, notamment en raison des crises économiques aggravées par la rupture de l’accord #nucléaire de 2015 et les #sanctions internationales. Cependant, #Téhéran maintient un soutien mesuré à ses proxys comme le Hezbollah, tout en cherchant à éviter une escalade militaire directe avec Israël, qui pourrait déstabiliser la région et ses propres institutions. Parallèlement, l’Iran tente de renforcer ses partenariats régionaux, notamment avec l’#ArabieSaoudite, pour contrebalancer les alliances israélo-américaines. 🇮🇱 #Israël fait face à une conjoncture délicate, tant sur le plan intérieur qu’international. Alors que le soutien militaire américain reste massif, la capacité de #Washington à imposer des limites à son allié montre des signes d'érosion. Cette interdépendance stratégique complique la gestion des tensions régionales, notamment face à l’Iran. L’image d’Israël se détériore aux #ÉtatsUnis, particulièrement parmi les jeunes générations et la communauté juive, ce qui reflète une #polarisation croissante. 🎤 Bernard Hourcade, géographe, directeur de recherche émérite au CNRS, (Centre de recherche sur le monde iranien, CeRMI). Ses travaux ont porté sur la géographie sociale, politique et culturelle et la géopolitique de l’Iran. Il est également l’auteur de plusieurs ouvrages. 🎤 Sylvain Cypel, journaliste et membre d’Orient XXI. Il a été correspondant du journal Le Monde à New York de 2007 à 2013 et a fait partie de sa rédaction en chef. Il a également été directeur de la rédaction du Courrier international. Il est l’auteur de plusieurs livres portant sur les États-Unis et Israël. 🎤 Modération: Bassem Snaije, enseignant à l’Institut d’études politiques de Paris (Sciences Po) et l’École supérieure des affaires (ESA) de Beyrouth en Économie et finance du monde arabe. 🎥 Vous pouvez voir ou revoir la rencontre sur : https://lnkd.in/e-Yq_rti #TensionsProcheOrient #Conflits #EscaladeMilitaire

La Troisième Guerre Mondiale est devant nous Dans le contexte actuel, nombreux sont ceux qui s’interrogent sur la possibilité d’une troisième guerre mondiale. Les tensions géopolitiques, exacerbées par des rivalités historiques et des crises contemporaines, laissent présager un avenir incertain. Alors que les conflits s’intensifient dans différentes régions du monde, il devient impératif de se préparer à cette éventualité. 1️⃣ Tensions Géopolitiques Croissantes Les relations internationales se détériorent rapidement. Les tensions entre les grandes puissances, telles que les États-Unis, la Russie et la Chine, sont à leur paroxysme. La rivalité pour le contrôle des ressources naturelles, la sécurité nationale et l’influence géopolitique crée un climat propice aux conflits. Les provocations militaires, les sanctions économiques et les jeux d’alliances renforcent la méfiance mutuelle, augmentant le risque d’une confrontation armée. 2️⃣ Conflits Locaux en Éléments Déclencheurs Les conflits régionaux, comme ceux au Moyen-Orient et en Ukraine, peuvent facilement dégénérer en conflits plus larges. Les interventions militaires, souvent justifiées par des raisons humanitaires ou de sécurité, peuvent entraîner une escalade incontrôlée. L’histoire nous enseigne que les petites étincelles peuvent déclencher de grands incendies. 3️⃣ Militarisation et armements La course à l’armement est un autre facteur inquiétant. De nombreux pays augmentent leurs budgets militaires et modernisent leurs arsenaux, investissant dans des technologies avancées. Cette militarisation croissante crée un cercle vicieux où chaque nation cherche à se protéger par la force, rendant la diplomatie encore plus difficile. 4️⃣ Impacts Sociaux et économiques Les conséquences d’un conflit mondial seraient catastrophiques. Sur le plan économique, les perturbations des échanges commerciaux et des marchés financiers pourraient plonger le monde dans une récession profonde. Sur le plan social, les pertes humaines seraient incommensurables, entraînant des déplacements massifs de populations et une crise humanitaire sans précédent. 5️⃣ Nécessité de la Préparation Face à cette menace, il est essentiel de se préparer. La prévention des conflits doit passer par le renforcement de la diplomatie et des efforts de coopération internationale. Les gouvernements doivent développer des stratégies pour désamorcer les tensions et favoriser le dialogue. Les citoyens, de leur côté, doivent être conscients de ces enjeux pour réclamer des politiques qui privilégient la paix plutôt que la guerre. 6️⃣ En synthése La possibilité d’une troisième guerre mondiale ne doit pas être prise à la légère. Préparer un avenir pacifique nécessite des efforts concertés et une volonté politique forte. — La paix est un choix qui demande des sacrifices et un engagement collectif. Pourquoi parait difficile d’avoir une paix durable sans 3ème guerre mondiale ? —