🌐Mission letters 3/6 : Marchés financiers 🌐 Les priorités de la Commission pour les années à venir visent à renforcer le secteur financier européen : 1️⃣ Créer une Union de l'épargne et de l'investissement pour stimuler les marchés financiers européens, en levant les obstacles à l'investissement des particuliers. 2️⃣ Achever l'union bancaire pour assurer une stabilité et une intégration financière plus profondes. 3️⃣ Simplifier le cadre de la finance durable pour le rendre plus efficace et accessible, en plaçant la durabilité au cœur des pratiques financières. 4️⃣ Renforcer la protection des consommateurs face à des marchés de services financiers de plus en plus numériques et influencés par l'IA. 5️⃣ Réaliser l'euro numérique, bien que notre expert des marchés financiers Philipp Eckhardt n’en voit pas la nécessité. Philipp Eckhardt souligne l'importance de renforcer l'accès à l'épargne et à l'investissement pour les clients privés en levant les barrières à l'investissement, en évitant les interdictions de commission, en optimisant les processus de conseil et en améliorant les connaissances financières des citoyens. Pour lui, la révision du cadre européen de la finance durable devrait être une priorité absolue. #UnionEuropéenne #FinanceDurable #EuroNumérique #Investissement #InnovationFinancière #ProtectionDesConsommateurs #cep
Post de Centre de Politique Européenne
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🌍💼 L'impact croissant des institutions européennes sur les finances locales Les évolutions macroéconomiques et les décisions de la Banque centrale européenne (BCE) ont un impact significatif sur les collectivités locales et leurs finances. Fluctuations des taux d'intérêt : Depuis la crise du Covid, les directeurs financiers surveillent attentivement les décisions de la BCE. En 2022, la BCE a durci sa politique monétaire pour lutter contre l'inflation, entraînant une hausse des taux d'intérêt. Chaque décision du Conseil des gouverneurs est attendue avec impatience, car elle influence directement les frais financiers et la capacité d'investissement des collectivités. Transition vers des financements durables : Les produits financiers durables, comme les prêts verts et les green bonds, sont en plein essor. La réglementation européenne SFRD exige désormais des déclarations pour mesurer les impacts négatifs des investissements. Les banques et les collectivités doivent collaborer étroitement pour aligner leurs projets avec les objectifs environnementaux et sociétaux. Le rôle de la Banque européenne d'investissement (BEI) : La BEI joue un rôle de plus en plus important sur le marché bancaire, avec la France recevant près de 11 milliards d'euros en 2023. Elle développe des offres pour rendre accessibles les financements européens aux projets de moins de 25 millions d'euros. Cependant, ces financements nécessitent des évaluations rigoureuses et des diagnostics coûteux, poussant les collectivités à renforcer leur transversalité et leur attention aux politiques européennes. Chez SIMCO, nous sommes attentifs à ces évolutions et déterminés à soutenir nos collectivités dans la transition vers des financements durables et responsables. Source : La Gazette des Communes #Finance #CollectivitésLocales #BCE #BEI #TransitionÉcologique #SIMCO #GreenFinance #Macroéconomie
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« RIS » : Nouvelle donne pour l'investissement des particuliers en Europe Seulement 20% : c'est la part du patrimoine des ménages de l'UE investi en titres financiers (actions, obligations, etc.), soit bien en dessous des ménages américains. Favoriser le retour des investisseurs privés sur le marché européen et faire de l’UE un lieu d’épargne encore plus sûr, c’est l’ambition de la proposition « RIS » (Retail Investment Strategy for Europe), portée par la Commission Européenne ! Amélioration de la protection des investisseurs, promotion de l’éducation financière, renforcement des compétences des professionnels, accroissement de la surveillance transfrontalière… On vous décrypte tout ce qui va changer pour les banques avec cette nouvelle réglementation dans cet article : https://lnkd.in/ep-q-z67 Anissa Laidoudi Fatimata Bidanessy
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Ce soir au Cercle de la Régulation et de la Supervision Financière (CRSF), un débat très riche sur l'Union des Marchés de Capitaux. Un grand merci à Giordano Stephane. pour sa présentation très complète, et à Robert Ophèle pour avoir partagé sa vision. Mes réflexions après notre débat : 1. Il ne peut pas y avoir de supervision unique des marchés sans, au préalable, un véritable Single Rulebook, et une gouvernance déléguée à un nombre restreint d'exécutifs, et non a un Board composé des 27 pays 2. Le développement de la titrisation est un des rares leviers permettant à court terme de faire face d'une part aux besoins de financement massifs, et d'autre part à l'augmentation des contraintes pesant sur les banques avec la mise en oeuvre de CRR3. Cela suppose à la fois de résoudre les obstacles réglementaires et de supervision, pour les banques et les assurances, et de réfléchir à la mise en place d'une garantie européenne, potentiellement opérée par le European Investment Fund (EIF), associée à des critères stricts. 3. Le développement de l'investissement en actions nécessite d'accepter la prise de risque. Il faudra aussi mettre en place des incitations fiscales, et developper des produits d'épargne salariale, d'épargne retraite et d'épargne patrimoniale. 4. Quand on parle de réallocation de l'épargne, il ne faut pas oublier que l'argent qui va s'investir dans ces nouveaux produits ne financera plus les actifs existants, comme la dette publique ou, dans le cas du Livret A, le logement social. Il faut donc réallouer en priorité les sommes investies par les européens en dehors de l'Union (l'Europe étant largement exportatrice de capitaux) et veiller à l'attractivité des marchés européens pour les investisseurs de pays tiers. 5. Comme il est difficile d'avancer à 27, il faut organiser des "coalitions of the willings" 6. Le principal risque est que les bonnes intentions qui figureront dans ces rapports peinent à se traduire par des avancées concrètes et rapides, faute de quoi l'économie européenne continuera à décrocher. Nul doute que le débat se poursuivra dans les prochaines semaines, avec les publications très attendues du rapport de Christian Noyer et de celui d'Enrico Letta
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📢 Pour une Europe souveraine et durablement en croissance : propositions des banques françaises pour 2024-2029 Pour la prochaine mandature de la Commission européenne, la Fédération bancaire française (FBF) publie un document qui liste les propositions des banques françaises organisées selon trois grandes priorités. 💶 Financer les besoins futurs du continent : il s’agit de garantir la capacité des banques à financer l’économie et d’accroître les sources de financement en développant le modèle européen de banque universelle et la croissance des marchés de capitaux. Le projet d’euro numérique, susceptible de mettre à mal un modèle dont la pertinence est attestée, doit aussi être revu. 💪 Développer le secteur bancaire européen : il s’agit de créer une véritable union bancaire pour faciliter la circulation des capitaux et des liquidités et, pour que la solidité des banques ne devienne pas leur point de faiblesse, d’établir un cadre prudentiel équitable vis-à-vis des acteurs bancaires et de marché non-européens. La compétitivité des banques européennes doit être une priorité des superviseurs dans leur mission de surveillance. 🌱 Réussir ensemble la transition écologique : il s’agit d’accélérer la transition vers une économie décarbonée en définissant des trajectoires cibles par secteurs d’activités et en simplifiant les obligations relatives aux données extra-financières pour une meilleure efficacité. Les technologies de rupture prometteuses doivent aussi être favorisées afin d’embarquer toutes les forces vives européennes. 💬 Pour Maya Atig, Directrice générale de la FBF : « Ces priorités sont essentielles pour assurer la transformation durable de l’économie et pour ne pas rater – faute de financements européens suffisants – les révolutions industrielles que constituent les transitions numérique et écologique. Il en va de l’autonomie de l’Union européenne. Nous souhaitons, avec ces propositions, participer à la construction ambitieuse d’une Europe souveraine et durablement en croissance, au bénéfice des États membres, des entreprises et des citoyens. » 🔍 Les propositions détaillées : https://lnkd.in/eVSMS97T #Europe #Banques #Propositions
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La Fédération bancaire française (FBF) publie aujourd’hui 18 propositions pour la période 2024-2029 afin que l’Europe se dote des moyens financiers indispensables à la réalisation de ses ambitions en termes de transitions écologiques, de performance digitale et renforce son autonomie stratégique économique. Nos propositions s’articulent autour de trois grandes priorités : 👉 le financement de l’économie 👉 le développement du secteur bancaire européen 👉 la transition écologique. À trois mois de la prochaine mandature de la Commission européenne, les positions des banques françaises sont guidées par la volonté de participer à la construction ambitieuse d’une Europe souveraine et durablement en croissance, au bénéfice des États membres, des entreprises et des citoyens. Ces priorités sont en effet essentielles pour assurer la transformation durable de l’économie et pour ne pas rater – faute de financements européens suffisants – les révolutions industrielles que constituent les transitions numérique et écologique. Il en va de l’autonomie de l’Union européenne. 🔗 Retrouvez ma Tribune publiée dans Euractiv France : https://lnkd.in/gZJDmydx 🔗 Les propositions détaillées des banques françaises sont disponibles sur le site de la FBF : https://lnkd.in/geREPpwN
Pour une Europe souveraine et durablement en croissance : propositions des banques françaises pour 2024-2029 - Communiqués de presse - Fédération bancaire française (FBF)
fbf.fr
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🇪🇺 🇵🇹 📢 Pour ceux qui n’auraient pas pu suivre l’audition de la Commissaire désignée Maria Luís Albuquerque pour le portefeuille Services financiers et Union de l’épargne et de l’investissement, ci-dessous un petit récap de son intervention. 👉 Création de l'Union de l'Epargne et des Investissements (SIU) qui doit favoriser la participation des investisseurs particuliers et la consolidation transfrontalière; 👉 Stabilité du système financier de l'UE pour une prospérité économique par la mise en oeuvre complète de Bale III tout en évitant une dérégulation excessive; 👉 Renforcement des efforts pour prévenir le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme, via le soutien de la future Autorité anti-blanchiment européenne (AMLA); 👉 Importance de continuer l'orientation des capitaux privés vers des projets durables, tout en simplifiant le cadre réglementaire pour éviter le greenwashing et en rendant ce cadre plus utilisable pour tous; 👉 L'éducation financière est un des indicateurs de la non-confiance envers le système financier. Elle souhaite promouvoir l'éducation financière pour permettre aux citoyens EU de mieux comprendre et d'utiliser les services financiers; 👉Faire correspondre les avantages de l'IA notamment pour la tech, tout en prévenant les risques comme par exemple sur la protection des individus; 👉Diminution de la bureaucratie par une réduction des coûts et de la charge administrative pesant sur les entreprises. Pour revivre l'ensemble des échanges: https://lnkd.in/eZF5yJ-u #EU #EUparliament #Europeancommission #EuropeanCouncil #Europe #Comittee #ECON #OIF #climate #greenfinance #sustainablefinance #sustainability #finance #euro #fintech #UnionÉpargneInvestissement #ÉpargneEuropéenne #InvestissementEU #StabilitéFinancière #LutteContreBlanchiment #AntiBlanchiment #SécuritéFinancière #AMLA #FinanceVerte #TransitionÉcologique #ÉducationFinancière #TransformationNumérique #Eurodigital #NumériqueResponsable #IA #AI #épargne #investissement European Commission European Parliament AMLA - The EU Anti-Money Laundering Authority Council of the European Union
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Lecture utile pour qui croit, comme moi, à l'indispensable union des marchés de capitaux. Ce que l'union bancaire est à l'offre (manque notamment la garantie des dépôts à échelle européenne, qui se heurte à la résistance allemande), l'Union des marchés des capitaux l'est pour les "consommateurs" (entreprises et particuliers). Cela commence par la titrisation et les bourses et se termine par les produits d'épargne. Tous ces produits sont encore définis au niveau national, soumis à des taxes différentes, etc. ... alors qu'il faut permettre à l'épargne européenne de financer bla croissance et la création du nord au sud de l'Europe. L'essentiel est en effet de pouvoir maintenir notre compétitivité, en premier lieu face aux Américains.
« 13.000 milliards : c'est cela, le potentiel de l'Union des marchés de capitaux »
lesechos.fr
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L’investissement à long terme : un enjeu pour l’avenir de l’Europe. lL'OBSERVATOIRE DE L'EPARGNE EUROPÉENNE (OEE) a participé au numéro spécial de la Revue Banque et Association française des marchés financiers - AMAFI (Nº893BIS, juin 2024) dédié à l’investissement à long terme en Europe. L’#épargne des ménages européens demeure au cœur des enjeux économiques et financiers actuels et futurs. Il serait souhaitable qu’elle ait une teneur de long terme aussi élevée que possible afin de répondre aux besoins de financement des transitions énergétique, digitale et démographique. Cet article compare la répartition du patrimoine des ménages dans différents pays européens, entre les différentes classes d’actifs, afin d’identifier la capacité de l’épargne privée à être mobilisée pour les enjeux financiers et sociétaux amenés à croître et à durer. Retrouvez l’article de Laetitia Gabaut et Grégoire Naacke : Les leviers existent pour inciter à une épargne de long terme (Revue Banque Nº893bis (revue-banque.fr))
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#europe et Union des Marchés de Capitaux #UMC : une nécessaire clarification du débat par Thierry Philipponnat de Finance Watch. À consommer sans modération pour tous ceux qui travaillent en #France dans la #Finance, les #banques, la #banque ou l' #assurance, qui s'intéressent à l'#epargne, la #bourse, les #marchés, bref à l'#économie, à la #conjoncture, la #regulation ou bien la #fiscalité... Sans oublier le #CAC40 l'#assurancevie... et l'#enseignement IUP Banque Finance Assurance - IAE Caen IAE Caen Alumni Master G2C - Gestion d'actifs, Contrôle des risques et Conformité Autorité des marchés financiers (AMF) – France Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) Banque de France Direction générale du Trésor (French Treasury) sylvie Cieply Slim S. Claire El Moudden Sandy Campart Philippe Waechter
Confusion des confusions ou le débat sur l’union des marchés de capitaux Le titre (Confusion de Confusiones) du livre de Joseph de la Vega publié en 1688 (et l’un des premiers livres jamais écrit décrivant les mécanismes boursiers) me vient irrésistiblement à l’esprit quand j’entends certains discours visant à promouvoir l’union des marchés de capitaux (UMC). La profondeur et la diversité du marché de capitaux américain confèrent effectivement aux entreprises innovantes américaines un avantage considérable dans la course à la domination mondiale, et les marchés européens n’apportent pas le même avantage aux entreprises venant y chercher des capitaux. Les initiatives visant à corriger cette situation et renforcer la capacité des entreprises européennes à se financer par le biais de fonds propres reposent par conséquent sur une logique forte, particulièrement dans un contexte de concurrence internationale aiguë. Cela étant dit, certaines affirmations officielles semblent devoir être approfondies si nous voulons nous donner une chance de mener à bien la réflexion sur ce sujet essentiel: ✔ « Ça suffit cet argent qui dort sur les comptes bancaires” : Avec un taux Ester (prix de l’argent au jour le jour) à 3,91%, les 6.247 milliards d’euros de dépôts des banques françaises, dont 2.646 milliards d’euros de la clientèle non financière résidente, (chiffres à fin 2022 - ACPR) représentent une manne de plusieurs dizaines de milliards d’euros par an. Est-ce là de l’argent qui dort ? ✔ « Ça suffit cet argent qui ne finance pas les investissements en Europe » : Les dépôts (les comptes bancaires) représentaient 68% des ressources financières des banques françaises à la fin de l’année 2022. Les banques ne financeraient donc pas les investissements ? ✔ « Il n’y a pas de puissance sans une finance forte” : Comme l’ont (à nouveau) montré les faillites récentes de Crédit Suisse et de Silicon Valley Bank, quand les dépôts quittent les banques, les banques font faillite. Peut-on concevoir une finance forte sans banques ? ✔ Concernant la titrisation : comment comprendre la logique consistant à dire d’une part que l’UMC a comme objectif de permettre aux entreprises européennes de se financer plus sur les marchés et moins par le système bancaire et, simultanément, à affirmer que le développement de la titrisation est essentiel pour réaliser l’UMC car elle libérera de la capacité bancaire et permettra ainsi aux banques de prêter plus aux entreprises européennes ? L’UMC aurait-elle en fait, de façon inavouée, comme objectif d’augmenter le financement bancaire de l’économie européenne grâce à la titrisation ? Pour aboutir à un résultat satisfaisant, le débat sur l'UMC doit être posé rigoureusement et les moyens développés être en accord avec les objectifs. Finance Watch
Bruno Le Maire propose la création d’un produit d’épargne européen, pour des marchés de capitaux plus efficaces
leparisien.fr
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L'innovation financière occupe une place prépondérante dans le développement économique de l'Union européenne. La récente proposition du ministre français des Finances, Bruno Le Maire, d'introduire un produit d'épargne européen, s'inscrit dans cette dynamique. Cette initiative vise à dynamiser l'économie de l'UE en mobilisant une partie des 35.000 milliards d'euros d'épargne européenne, dont plus de 10.000 milliards sont actuellement inactifs sur des comptes bancaires. 🇪🇺 Le produit d'épargne européen a pour objectif de canaliser ces capitaux dormants vers des investissements productifs, soutenant ainsi la croissance, l'innovation et la recherche au sein de l'Union. En offrant des rendements attractifs aux épargnants, cette proposition promet de contribuer significativement au développement économique de l'UE. Toutefois, la réussite de cette initiative nécessite de surmonter la fragmentation des marchés de capitaux européens et d'encourager une collaboration étroite entre les États membres volontaires. Quelques informations complémentaires : - 🌍 Bruno Le Maire propose une "supervision européenne volontaire" pour renforcer la collaboration entre les gestionnaires d'actifs, les banques et les bourses européennes. - 💼 L'introduction d'une "garantie pour la titrisation" afin de réduire la charge des titres sur le bilan des banques, permettant ainsi un meilleur accès au financement pour les particuliers et les entreprises. - ⏳ L'urgence de mettre en place l'Union des marchés de capitaux est soulignée par Le Maire, qui appelle à des progrès concrets dès 2024 pour éviter que l'épargne européenne continue de "dormir". Que pensez-vous de cette initiative ? Partagez votre opinion en commentaire. 👇 #ProduitDépargneEuropéen #ÉpargneEtPlacements #Ocfinances
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