À quelques jours de la présidentielle américaine, les sondages ne font état d’aucun favori clair entre Donald Trump et Kamala Harris 🇺🇸 Le site spécialisé FiveThirtyEight mesure les chances du milliardaire républicain de l’emporter à 54 %, contre 46 % pour l’actuelle vice-présidente démocrate. Mais les États-Unis possèdent un système électoral assez particulier pour leur élection présidentielle, où le vainqueur n’est pas déterminé par le vote populaire comme en France. 👉 Chaque État américain se voit attribuer un nombre de grands électeurs, en fonction de sa population. Dans la grande majorité des États, on applique le système du Winner takes all : le candidat qui arrive en tête dans un État se voit attribuer l’ensemble des grands électeurs. Et là encore, les projections donnent les deux candidats au coude-à-coude. 🏆 Le premier, de Kamala Harris ou de Donald Trump, qui franchit la barre fatidique des 270 grands électeurs sera déclaré vainqueur. Cependant, il existe plusieurs cas de figure où les deux candidats finissent le décompte avec 269 grands électeurs chacun. Dans ce scénario, appelé "contingent election", le processus se complexifie alors un peu plus...
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Début novembre, les Américains seront appelés aux urnes pour élire leur nouveau président. Entre la démocrate Kamala Harris et le républicain Donald Trump, la bataille s’annonce une nouvelle fois serrée et indécise. Qui s’installera à la Maison Blanche pour les quatre prochaines années ? Quels sont les enjeux de cette élection pas comme les autres ? On vous dit tout dans notre guide complet. Le fonctionnement du scrutin présidentiel américain Aux États-Unis, le président est élu au suffrage universel indirect. Les citoyens américains ne votent pas directement pour un candidat, mais pour des grands électeurs qui éliront ensuite le président. Chaque État dispose d’un nombre de grands électeurs différent, calculé en fonction de sa population. Pour l’emporter, un candidat doit remporter la majorité des 538 grands électeurs en jeu, soit 270 voix. Il est donc possible qu’un prétendant gagne le vote populaire au niveau national sans être élu, comme ce fut le cas pour Hillary Clinton en 2016. Qui peut voter ? La plupart des citoyens américains âgés de 18 ans ou plus peuvent participer au scrutin. Mais chaque État a ses propres règles concernant l’inscription sur les listes électorales. Selon les estimations, environ 244 millions d’Américains seront en mesure de voter cette année. Les autres enjeux du scrutin du 5 novembre Les électeurs ne choisiront pas seulement leur président. Ils renouvelleront également une partie du Congrès : 34 sièges de sénateurs sur 100 et l’intégralité des 435 sièges de la Chambre des représentants sont en jeu. Démocrates et républicains espèrent faire basculer la majorité dans leur camp au sein des deux chambres. Des élections locales auront aussi lieu dans de nombreux États, pour désigner des gouverneurs, des shérifs ou encore des représentants aux assemblées. Kamala Harris vs Donald Trump, un duel au sommet Cette élection présidentielle sera un nouveau face-à-face entre la démocrate Kamala Harris, actuelle vice-présidente, et l’ancien président républicain Donald Trump. Ce dernier tentera de reconquérir la Maison Blanche après sa défaite en 2020. Kamala Harris, l’espoir des démocrates Suite au retrait de Joe Biden, poussé à renoncer après un début de campagne catastrophique, sa vice-présidente Kamala Harris a décidé de se lancer dans la course. Première femme, première personne noire et première personne d’origine asiatique à accéder à la vice-présidence, elle incarne la diversité et le renouveau au sein du parti. Mais l’ancienne sénatrice de Californie doit encore convaincre au sein de son propre camp. Des doutes persistent sur sa capacité à rassembler l’aile gauche du parti et son manque de charisme est parfois pointé du doigt. Son colistier, le gouverneur du Minnesota Tim Walz, doit l’aider à reconquérir l’Amérique des swing states. Donald Trump, déterminé à prendre sa revanche Du côté républicain, Donald Trump a facilement remporté l’investiture de son parti grâce à sa large avance sur ses concurrents....
Début novembre, les Américains seront appelés aux urnes pour élire leur nouveau président. Entre la démocrate Kamala Harris et le républicain Donald Trump, la bataille s’annonce une nouvelle fois serrée et indécise. Qui s’installera à la Maison Blanche pour les quatre prochaines années ? Quels sont les enjeux de cette élection pas comme les autres ? On vous dit tout dans notre guide...
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Comprendre l’élection présidentielle américaine en 4 questions : un modèle unique aux enjeux décisifs ! 🗳️🇺🇸 🔎 Combien de candidats se présentent ? Contrairement à ce que l’on pourrait penser, ils ne sont pas deux… mais cinq : - Kamala Harris (parti démocrate) - Chase Oliver (parti libertarien) - Jill Stein (parti vert) - Donald Trump (parti républicain) - Cornel West (indépendant) 👉 Kamala Harris et Donald Trump sont bien sûr les deux grands favoris. À eux deux, ils récoltent plus de 95% des intentions de votes selon les derniers sondages. 🔎 Qu’est-ce que le système des grands électeurs ? Les citoyens votent indirectement pour élire le président. Chaque État dispose d'un certain nombre de «grands électeurs» en fonction de sa population, qui votent pour le candidat ayant remporté le scrutin populaire dans leur État. Pour être élu, un candidat doit obtenir au moins 270 des 538 grands électeurs. 👉 Point important : le candidat arrivé en tête dans un État remporte la totalité des grands électeurs (excepté dans le Maine et le Nebraska). C’est la règle du «winner takes all». 🔎 Qu’est-ce que les «swing states» ? Certains États oscillent régulièrement entre le vote démocrate et républicain. Ils sont donc qualifiés de «swing states» (Etats pivots en français). On en compte 7 en 2024 : l'Arizona, la Caroline du Nord, la Géorgie, le Michigan, le Nevada, la Pennsylvanie et le Wisconsin. Ils représentent une réserve de 93 grands électeurs, qui peut faire basculer le résultat de l’élection. 👉 Voilà pourquoi les candidats y passent davantage de temps au cours de leur campagne. 🔎 Est-ce que tous les citoyens voteront le 5 novembre ? Non. Contrairement à la France, l’élection ne se tient pas seulement sur une journée. Les États-Unis ont mis en place le système du vote anticipé, où chaque État décide de la date d’ouverture du scrutin sur son territoire. Par exemple, les habitants de la Géorgie peuvent voter depuis le 15 octobre. 👉 Le vote anticipé permet de mieux gérer une élection lors de laquelle plus de 240 millions de citoyens sont appelés aux urnes. #ElectionUS2024 #PolitiqueAméricaine #momemo #newsletter #infos ******************************************************************************** 🖐️ Je suis Théo Gautherot, fondateur de la newsletter Momemo. Notre mission ? Vous offrir un résumé clair et concis de l’actualité, deux fois par semaine. 📱Rejoignez-nous pour un essai gratuit de 30 jours et faites l’expérience d’une information apaisée !
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Alors que plus de 200 millions d’Américains s’apprêtent à voter le 5 novembre prochain pour élire leur 47e président, c’est en réalité un groupe restreint et méconnu qui aura le dernier mot : les grands électeurs. Ce système complexe, en place depuis 1787, continue de façonner la démocratie américaine. Plongeons dans les arcanes de ce scrutin indirect qui oppose cette année le républicain Donald Trump à la démocrate Kamala Harris. Un compromis à l’américaine Les pères fondateurs de la nation américaine, soucieux de trouver un équilibre entre vote populaire et pouvoir du Congrès, ont imaginé ce mécanisme original. Les grands électeurs, dont le nombre varie selon les États, sont ainsi chargés de désigner le locataire de la Maison Blanche. Un entre-deux démocratique qui ne fait pourtant pas l’unanimité. 538 “sages” pour une élection Au total, 538 grands électeurs composent le Collège électoral. Leur répartition dépend de la population de chaque État, avec un minimum de trois par territoire. Ainsi, la Californie en compte 55 quand le Wyoming n’en a que trois. Le candidat qui remporte la majorité dans un État rafle généralement tous ses grands électeurs, selon le principe du “winner-takes-all”. Quand le vote populaire ne suffit pas Si ce système peut paraître plus équitable, il a aussi donné lieu à des résultats controversés. À cinq reprises dans l’histoire, dont deux fois au 21e siècle, le candidat ayant remporté le vote populaire a été battu au Collège électoral. Ce fut notamment le cas en 2000 avec la victoire de George W. Bush face à Al Gore, et en 2016 avec le succès de Donald Trump contre Hillary Clinton. Le Collège électoral est une relique du passé qui n’a plus sa place dans une démocratie moderne. Alexandria Ocasio-Cortez, représentante démocrate Des électeurs sous surveillance Bien que tenus de respecter le vote populaire de leur État, certains grands électeurs ont par le passé fait défection, devenant des “faithless electors”. Un phénomène suffisamment préoccupant pour que la Cour suprême décide en juillet 2020 que ces électeurs déloyaux pouvaient être sanctionnés. Une décision qui renforce le poids de ce scrutin atypique. 2024, une élection sous haute tension À trois semaines du scrutin, Donald Trump et Kamala Harris sont au coude-à-coude dans les sondages. Si l’ancien président mise sur sa base fidèle pour l’emporter, la vice-présidente espère mobiliser l’électorat démocrate, notamment dans les swing states clés comme la Pennsylvanie ou le Michigan. Mais au final, ce sont bien les grands électeurs qui décideront de l’issue de cette bataille acharnée. Malgré les critiques récurrentes et les appels à une réforme en profondeur, le Collège électoral reste au cœur du système politique américain. Une tradition qui façonne l’issue des élections et met en lumière les particularités de la plus grande démocratie du monde. Rendez-vous le 5 novembre pour un nouveau chapitre de cette saga électorale hors norme. The post...
Alors que plus de 200 millions d’Américains s’apprêtent à voter le 5 novembre prochain pour élire leur 47e président, c’est en réalité un groupe restreint et méconnu qui aura le dernier mot : les grands électeurs. Ce système complexe, en place depuis 1787, continue de façonner la démocratie américaine. Plongeons dans les arcanes de ce scrutin indirect qui oppose cette année le républicain...
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Un débat désolant en soi et qui n’avait rien d’amicalement vôtre. L’image de deux individus, aux parcours si parallèles et si différents, devenus les faire valoir sur une chaîne publique d’un spectacle #politique dénué de toute légitimité au regard de la nature de la prochaine échéance électorale, m’a étrangement interpellé. Les #élections législatives européennes fonctionnent selon un modèle proportionnel, les Français sont appelés à choisir leurs représentants en votant chacun pour une liste de candidats. Toute liste obtenant plus de 5% des voix pourra envoyer des députés à ce parlement au prorata des scores obtenus. Il n’y a pas en soi de légitimité de privilégier telle ou telle liste. Quels que soient les sondages, le peuple reste souverain et chacun est bien libre de voter pour la liste qui lui convient. Cela est donc démocratiquement problématique de réduire le débat aux listes les plus susceptibles a priori de passer la barre des 5% en ce que cela crée en soi une forme de prophétie autoréalisatrice. Cela devient particulièrement inquiétant lorsque le débat se polarise autour des deux mouvements politiques en tête des sondages. Cela devient encore plus problématique lorsque l’un des protagonistes n’est pas un candidat. On peut se demander pourquoi Valérie Hayer n’était sur le plateau de télévision. Les femmes en politique ne sont-elles là que pour être des quotas ou sont-elles de véritables leaders politiques? Il est bien loin le temps au Simone Veil portait courageusement le projet européen. Pire, que vient donc faire un premier ministre dans un débat avec une des têtes de liste? Souhaite-t-il dénaturer encore un peu plus une élection qui à chaque fois a tendance à se transformer en référendum de la politique gouvernementale? Et que dire de son contradicteur qui refuse volontiers d’être mis sur un pied d’égalité avec tous les autres candidats et n’accepterait que les débats en face à face. Quelle légitimité a-t-il pour imposer ses propres règles dans le débat démocratique ? Cet affrontement est d’abord un exercice de marketing politique, il vise à ancrer dans la pensée commune que sortis du parti gouvernemental et du rassemblement national, il ne peut exister pour les citoyens d’alternative politique. Le plus triste est évidemment que la télévision publique s’en fasse la complice. Et malgré leur jeunesse, je ne parviens même pas à leur donner le crédit du renouveau politique. Ils ne sont en fait que les deux faces d’une cristallisation d’une société tentant vainement de résister à l’inéluctable, préférant s’accrocher à ses croyances plutôt que s’exposer aux faits d’un monde fini. Ils construisent leur carrière en cultivant nos a priori. Ironie ultime, ils sont d’une génération qui n’a même pas connu la guerre froide, et qui a certainement oublié ce que pouvait être la guerre. Tout cela est désolant car à la fin de la soirée, il me semble qu’il n’y a eu qu’une seule véritable perdante: la #démocratie.
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À seulement une semaine du jour J de l’élection présidentielle américaine, la bataille fait rage entre les deux finalistes. Dans un scrutin qui s’annonce historiquement serré, la démocrate Kamala Harris et le républicain Donald Trump jettent toutes leurs forces dans les derniers États indécis susceptibles de faire basculer le résultat. Comme le veut la tradition des fins de campagne, les deux candidats enchaînent les meetings dans les fameux “swing states”, ces États pivots où l’électorat est le plus volatil. Un véritable duel à distance sous haute tension, pour tenter d’arracher les ultimes voix qui feront la différence le 3 novembre. La bataille des swing states Lundi, Kamala Harris a fait escale dans le Michigan, aux côtés du gouverneur Tim Waltz. Un déplacement stratégique pour rassurer la communauté arabo-américaine, très présente dans cet État et inquiète du soutien inconditionnel de Washington à Israël. De son côté, Donald Trump était en meeting en Géorgie devant une assemblée de pasteurs évangéliques, un électorat-clé républicain. Ces deux États leur sont indispensables pour l’emporter, avec d’autres “battlegrounds” comme la Pennsylvanie, le Wisconsin ou l’Arizona. Selon les projections, une poignée de grands électeurs issus d’une petite dizaine d’États feront la décision. Le nerf de la guerre : mobiliser les abstentionnistes À ce stade, les sondages donnent les deux candidats au coude-à-coude au niveau national. Mais dans le système du collège électoral américain, c’est la position État par État qui compte. D’où l’importance pour chaque camp de galvaniser ses troupes jusqu’au bout pour s’assurer une victoire. Pour faire la différence, Harris et Trump ciblent en priorité deux catégories d’électeurs : Les indécis, ces électeurs qui hésitent encore entre les deux finalistes. Ils représenteraient environ 5% du corps électoral selon les études d’opinion. Les abstentionnistes chroniques, qui ne votent traditionnellement pas mais pourraient cette fois se déplacer, motivés par l’enjeu exceptionnel de ce scrutin. Il faut aller chercher chaque voix, chaque bulletin peut faire basculer l’élection. C’est pour ça que la mobilisation du camp démocrate comme républicain est à son maximum. Un stratège politique proche de l’équipe de campagne de Kamala Harris. Un niveau de participation record ? Les chiffres du vote anticipé confirment cet engouement : plus de 41 millions d’Américains ont déjà voté à J-8 selon l’US Election Project. Un record absolu, qui pourrait présager d’une participation finale inédite. Face à ce niveau de mobilisation, le suspense est total. Beaucoup d’observateurs refusent de faire un pronostic, échaudés par la surprise de 2016 quand Donald Trump avait créé la sensation. La seule certitude, c’est que le vainqueur ne sera pas forcément connu le soir du 3 novembre. Le dépouillement risque de prendre plus de temps que d’habitude, surtout si les résultats sont serrés dans les swing states. Selon une source proche...
À seulement une semaine du jour J de l’élection présidentielle américaine, la bataille fait rage entre les deux finalistes. Dans un scrutin qui s’annonce historiquement serré, la démocrate Kamala Harris et le républicain Donald Trump jettent toutes leurs forces dans les derniers États indécis susceptibles de faire basculer le résultat. Comme le veut la tradition des fins de campagne, les deux...
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#ElectionsAmericaines #05Novembre Nous sommes Lundi 04 novembre veille du 1er Mardi du mois Novembre et comme chaque 1er Mardi de Novembre c'est le jour des élections américaines Cette année le format et enjeux sont inédits : entre #Harris Kamala qui deviendra la 1ère femme, ainsi que la première personne afro-asio américaine et #Trump qui pourrait être de de retour avec un 2nd mandat .....Explications ci-dessous Un duel toujours aussi serré. Alors que Donald Trump est certain de remporter 219 des 538 #grands #électeurs et Kamala Harris 226, tout se jouera dans les sept "swing states". Sept territoires qui peuvent à eux seuls décider du candidat qui accédera la Maison Blanche. Les Américains les qualifient de « #swing #states », États « clés » ou « pivots » Mais à deux jours du scrutin, la publication de ces enquêtes plutôt favorables à la vice-présidente a redonné un coup de fouet aux démocrates. #Nevada À en croire le dernier sondage du New York Times, publié ce dimanche 3 novembre, Kamala Harris est désormais en tête ce stade 49 % dans ce « swing state » qui n’a plus voté pour un républicain à la présidentielle depuis George W. Bush en 2004. Il s’agit de l’un des plus gros écarts entre les deux candidats dans les États clés. #Carolinedu #Nord Seul « swing state » à avoir voté républicain en 2020, la Caroline du Nord présente un écart relativement similaire à celui du Nevada, même si l’avance de Kamala Harris y est moindre, avec 48 % d’intentions de vote à deux jours de la présidentielle. #Wisconsin Bien qu’il s’agisse de l’État où le parti républicain a été créé, c’est toujours Kamala Harris qui fait la course en tête. Elle dispose de 49 % des intentions de vote, contre 47 % pour Donald Trump, selon les prédictions de vote du New York Times et d’ABC News. #Géorgie Un seul point d’écart sépare donc les deux candidats selon le sondage du New York Times. À 48 % pour la démocrate contre 47 pour son adversaire républicain. Les intentions de vote sont les mêmes, mais inversées dans l’agrégateur de sondages d’ABC. #Michigan S’il s’agit d’un bastion démocrate historique, le Michigan tend vers Donald Trump dans la dernière ligne droite avant l’élection. Car si les sondages donnent une égalité à 47 % d’intentions de vote pour les deux candidats, la marge d’erreur favorise légèrement Donald Trump selon ces dernières estimations. #Arizona Dans cet État qui penche plutôt côté républicain, l’avance de Donald Trump reste plutôt nette dans les sondages. Il dispose de 49 % des voix, contre 45 pour Kamala Harris, avec une marge d’erreur faible. ABC donne un écart similaire à ce stade de l’élection. #Pennsylvanie Dernier « swing state » la Pennsylvanie coche toutes les cases pour être l’arbitre de cette élection américaine. L’État le plus convoité en 2024 donne une égalité quasi parfaite entre les deux prétendants. 48 % contre 48 % Et vous quel est votre #candidat(e) #préféré(e) ? Votre avis en commentaire
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À seulement huit jours du scrutin présidentiel américain, les deux candidats Kamala Harris et Donald Trump se livrent une bataille sans merci pour conquérir les fameux “swing states”, ces États pivots qui pourraient faire basculer l’élection. Alors que les sondages les donnent au coude-à-coude, chaque voix compte dans cette course qui s’annonce d’ores et déjà comme la plus serrée de l’histoire moderne des États-Unis. La chasse aux électeurs indécis dans les États-clés En cette dernière ligne droite, les deux candidats concentrent leurs efforts sur une poignée d’États où l’issue du scrutin reste incertaine. Leur objectif : aller chercher les électeurs qui n’ont pas encore fait leur choix, ceux qui s’abstiennent habituellement, pour grappiller ces quelques milliers de voix qui pourraient être décisives le 3 novembre. Harris au chevet du Michigan, Trump en Géorgie Ce lundi, Kamala Harris a ainsi fait étape dans le Michigan, aux côtés du gouverneur démocrate Tim Walz. Un déplacement stratégique, pour tenter de rassurer la communauté arabo-américaine, nombreuse dans cet État et inquiète du soutien indéfectible des États-Unis à Israël. De son côté, Donald Trump a choisi la Géorgie, un État traditionnellement républicain mais qui pourrait basculer cette année. Il y a rencontré des pasteurs évangéliques, un électorat-clé pour le parti conservateur. Déjà 41 millions d’Américains ont voté par anticipation Signe de l’enjeu, et des craintes liées à la pandémie, le vote anticipé bat des records cette année : selon les derniers chiffres, plus de 41 millions d’Américains ont déjà glissé leur bulletin dans l’urne, soit près de 30% du nombre total de votants en 2016. Un niveau de participation inédit, qui pourrait rebattre les cartes le jour J. Ce scrutin est le plus important de notre vie. L’Amérique ne peut pas se permettre quatre ans de plus de division et de haine. Kamala Harris, candidate démocrate Deux visions radicalement opposées pour l’Amérique Au-delà de la bataille des territoires, c’est un duel entre deux visions antagonistes des États-Unis qui se joue. D’un côté, Kamala Harris promet de restaurer «l’âme de l’Amérique», de rassembler un pays profondément divisé, de s’attaquer à la crise sanitaire et économique. De l’autre, Donald Trump joue la carte du président sortant, mettant en avant son bilan et agitant la menace d’une «Amérique socialiste». Les démocrates favoris, les républicains confiants À ce stade, les démocrates restent favoris dans les sondages nationaux, avec une avance moyenne de 7 à 8 points. Mais l’écart se resserre dans plusieurs swing states comme la Floride, la Pennsylvanie ou le Wisconsin. De quoi laisser espérer les républicains, qui comptent sur une «majorité silencieuse» le jour du vote. Ne croyez pas les sondages bidons. On va gagner, et ce sera une victoire magnifique, comme en 2016 ! Donald Trump, candidat républicain Une seule certitude à J-8 : rien n’est encore joué dans cette élection à suspense, qui...
À seulement huit jours du scrutin présidentiel américain, les deux candidats Kamala Harris et Donald Trump se livrent une bataille sans merci pour conquérir les fameux “swing states”, ces États pivots qui pourraient faire basculer l’élection. Alors que les sondages les donnent au coude-à-coude, chaque voix compte dans cette course qui s’annonce d’ores et déjà comme la plus serrée de l’histoire...
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Je suis halluciné par le manque de curiosité et de compréhension de certains… 😱j’entends tout et son contraire et malheureusement auprès de nos jeunes, sans parler des publications vidéos…Parents, il va falloir leur expliquer 🙏 Essayons d’être clair🙈 Lors d’une élection, une triangulaire se produit lorsque trois candidats parviennent à se qualifier pour le second tour. Cela rend l’issue du scrutin très imprévisible, car aucun des candidats ne peut se permettre de négliger l’autre. 👀 Si un candidat arrive troisième et ne se désiste pas, il risque de diviser les voix et de favoriser un adversaire. 👎 En effet, ne pas donner de consignes de vote dans ce contexte peut avoir des conséquences importantes.🤒 Pour ces élections législatives, le leader insoumis, Jean-Luc Mélenchon, a appelé à ne pas laisser une voix ni siège de plus au Rassemblement national. En cas de triangulaire, il a demandé à ses camarades de se retirer pour laisser davantage de chances au mieux placé de battre le RN. ✊ De même, le camp Macron a annoncé le retrait au cas par cas de leurs candidats arrivés en troisième position, afin d’éviter l’élection de députés RN ou LFI. ✊ Ainsi, ne pas se maintenir dans une triangulaire et ne pas donner de consignes de vote peut influencer considérablement le résultat final. Alors ceux qui ont fait campagne au premier tour et qui nous ont promis monde et merveille, assumez maintenant et donnez vos consignes de votes au lieu de faire l’autruche. Vous êtes OUT de toutes les façons. Mettez vos tripes sur la table jusqu’au bout au lieu de chercher des excuses à votre échec. 😣
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La candidature de Jill Stein, représentante du Parti écologiste, ne fait pas l’unanimité à l’approche de l’élection présidentielle américaine. Pour la troisième fois de sa carrière politique, l’écologiste tente sa chance dans la course à la Maison Blanche. Si ses chances de victoire sont quasi nulles, elle pourrait néanmoins jouer un rôle décisif dans certains États clés. Une candidature qui divise Des membres du parti démocrate s’inquiètent en effet que Jill Stein ne parvienne à rallier à sa cause des électeurs progressistes, qui auraient pu faire pencher la balance en faveur de Kamala Harris. Avec des sondages au coude-à-coude, chaque voix comptera dans ce scrutin crucial. Selon une source proche du dossier, la famille même de Jill Stein lui aurait demandé de se retirer de la course, craignant qu’elle ne contribue involontairement à la réélection de l’actuel président. Mais la candidate écologiste campe sur ses positions. Une alternative aux “deux options diaboliques” Après qu’une plainte visant à l’exclure des candidatures dans le Wisconsin a été déboutée en août dernier, Jill Stein n’a pas mâché ses mots. Elle a renvoyé dos à dos le Parti démocrate et le Parti républicain, les qualifiant de “deux options diaboliques”. Les démocrates ne sont pas un moindre mal. Nous avons deux options diaboliques. Les deux sont un vote pour le génocide. Jill Stein Une position radicale dans laquelle se reconnaissent certains démocrates déçus de Joe Biden et Kamala Harris, notamment sur leur gestion du conflit israélo-palestinien. C’est particulièrement le cas au sein de la population arabo-américaine, dont la majorité vit dans le Michigan, identifié comme l’un des “swing states” où tout va se jouer. Le spectre de 2016 Or les derniers sondages montrent que dans cet État qui permet d’obtenir 16 grands électeurs, le président sortant est actuellement en tête avec 48,4% des intentions de vote, contre 47,2% pour Kamala Harris. Jill Stein est créditée d’un peu plus de 1%. Un report de ses voix sur la candidate démocrate pourrait donc faire basculer le Michigan, et peut-être la présidentielle. Ces accusations font écho à celles de 2016, où la campagne d’Hillary Clinton avait également pointé du doigt Jill Stein après la défaite de la candidate démocrate face à Donald Trump. Cette année, le parti de Biden compte bien ne pas revivre le même scénario. Des panneaux publicitaires fleurissent ainsi dans les “swing states” pour mettre en garde les électeurs : “Jill Stein a déjà aidé Trump. Ne la laissez pas recommencer.” Mais à quelques jours du scrutin, il n’est pas certain que cela suffise à convaincre les partisans de l’écologiste de changer leur vote. The post La candidate écologiste Jill Stein accusée de nuire à Kamala Harris first appeared on ViralMag.
La candidature de Jill Stein, représentante du Parti écologiste, ne fait pas l’unanimité à l’approche de l’élection présidentielle américaine. Pour la troisième fois de sa carrière politique, l’écologiste tente sa chance dans la course à la Maison Blanche. Si ses chances de victoire sont quasi nulles, elle pourrait néanmoins jouer un rôle décisif dans certains États clés. Une candidature qui...
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