Post de christian dinet

🌿 [EN DIRECT] La Fédération des Jardineries et Animaleries de France est fière de participer à la journée "Plantes Exotiques Envahissantes et Filières du Végétal" aux côtés des acteurs clés du secteur. 📌 Au programme de cette journée d'échanges : ✔ Présentation des filières et des enjeux liés aux plantes exotiques envahissantes. ✔ Découverte des travaux et outils développés par les différents acteurs pour lutter contre la propagation de ces espèces. ✔ Échanges sur les pistes de travaux collaboratifs pour renforcer notre action commune. 💡 Cette journée est l'occasion pour notre fédération de réaffirmer son engagement en faveur de la préservation de la biodiversité et de la promotion de pratiques respectueuses de l'environnement dans nos jardineries et animaleries. 👉 Nous sommes convaincus que c'est en travaillant ensemble, avec l'ensemble des acteurs de la filière, que nous pourrons relever les défis auxquels nous faisons face et construire un avenir durable pour notre secteur. Unep - Les Entreprises du Paysage VALHOR Plante & Cité Hortis, les responsables d'espaces nature en ville Office français de la biodiversité Comité français de l'UICN SNHF Fédération des Conservatoires botaniques nationaux #Jardineries #Animaleries #Biodiversité #PlantesExotiquesEnvahissantes #FilièreVégétale #Collaboration #DéveloppementDurable

Pourquoi lâcher des buffles d'eau et des "décomposeurs de bouses" dans une réserve en Gironde ? Une idée de la SEPANSO Aquitaine, gestionnaire de la réserve, pour « remettre toutes les briques fonctionnelles de l’écosystème. Or, les briques des grands herbivores et des insectes éparpilleurs de bouses manquaient » analyse Xavier Chevillot, directeur de l'association. Tout ça, on peut le résumer sous le terme "réensauvagement". A.k.a une urgence nationale face au déclin vertigineux de la biodiversité. Sauf que tout le monde n'est pas d'accord sur la manière de le faire. Faut-il l'associer ou l'exclure des pratiques agricoles, au risque de continuer à faire le jeu d'un système destructeur ? En faire un atout touristique pour un territoire ? Ce qui est sûr, pour l'instant, c'est que le réensauvagement reste dérisoire en France : 1 % du territoire bénéficie d’une protection des espaces naturels par une réglementation plus ou moins stricte. Reportage et décryptage pour Basta! média https://lnkd.in/e2w4KEWm

📢 AVIS DE RECHERCHE Lancement de REMA II (Restauration et Entretien des Mares des Antilles - Phase 2024-2026) 🌱 Après plus de 2 ans de projet REMA (2021-2023), le pôle-relais zones humides tropicales se positionne, et est perçu, comme entité incontournable sur cette thématique de restauration. Pour cette phase 2 (2024-2026), son engagement se poursuit donc et s’amplifie en proposant d’intervenir, de manière partenariale, sur un plus grand nombre de mares en Guadeloupe et Martinique. 📖 Le guide technique issu de REMA, éprouvé et validé par la sphère scientifique et les services instructeurs compétents sur le sujet, doit désormais servir au plus grand nombre. 🔎 Lancement d’un avis de recherche ! 👀 🔹 Vous êtes gestionnaire et/ou propriétaire d’une mare en Guadeloupe ou en Martinique ; 🔹 Vous êtes un propriétaire public ou privé ; 🔹 Votre mare fait face à une problématique à laquelle vous ne savez répondre (assèchement, comblement, espèces exotiques envahissantes…etc). Contactez nous ! ☎ 💻 Toutes les informations dans l'article par ici 👉 https://lnkd.in/dWD6deWm Melanie HERTEMAN, Matthieu NORDEN, Office français de la biodiversité, OFFICE DE L'EAU MARTINIQUE,Comité français de l'UICN

L'Oise Agricole 12 février 2024 a 08h00 | Par Pierre Poulain Haies Les communes plantent des haies en faveur de la biodiversité Une opération visant à réimplanter des kilomètres de haies a été lancée par la Fédération nationale des chasseurs en partenariat avec l’Office français de la biodiversité. Au Plessis-Patte-d’Oie et à Golancourt, les communes ont décidé d’y associer les élèves des écoles primaires. Saule cendré, églantier, merisier, poirier, chèvrefeuille des haies, groseilliers à grappes, bourdaine, viorne lantane, troène commun, érable champêtre, charme commun, noisetier commun, pommier domestique et des tuteurs en bambou. Ce sont toutes les essences qui composent le kit de plantation de haie distribué aux élèves des écoles primaires de Golancourt et du Plessis-Patte-d’Oie. «Nous avons choisi les essences nous-mêmes pour que la haie soit à la fois attractive pour la faune, jolie pour les habitants, qu’ils puissent avoir quelques fruits et servir de brise-vent en bordure des cultures agricoles» explique Manon Castaing, chargée de mission environnement à la Fédération des chasseurs de l’Oise. «La quasi-totalité des plants sont des essences locales.» Le chantier s’inscrit dans le cadre de l’opération «Sensibilis’haie», un projet qui vise à replanter des kilomètres de haies, avec un total de 5.500 plants et 5,5 km de haie (1 plant par mètre). Un projet lancé par la Fédération nationale des chasseurs en partenariat avec l’Office français de la biodiversité. «On s’adresse aux collectivités. La seule condition est d’implanter la haie sur un terrain communal.» Des intérêts multiples «Une haie est utile à la nidification des oiseaux. Elle produit des insectes dont ils vont pouvoir se nourrir. Elle favorise aussi la production d’oxygène, explique Régis Margerin, responsable chasse au Plessis-Patte-d’Oie. Pour nous chasseurs, c’est une manière de préserver la biodiversité.» Pour la Fédération des chasseurs, c’est aussi un moyen de faire connaître son travail. «On ne fait pas que de la chasse, on fait aussi de l’aménagement du territoire» reprend Manon Castaing. Pour la commune, c’est aussi un moyen d’utiliser un terrain régulièrement victime de dépôts sauvages. «Si l’on ne fait rien, les dépôts vont revenir après chaque nettoyage. Et le nettoyage a un coût : 1.500 euros environ» raconte Nathalie Margerin, adjointe au maire. «On joue un peu sur la corde sensible : ce sont vos enfants qui ont planté des arbres ici, évitez d’y déposer vos déchets.» Chaque arbre planté est signalé par une pancarte colorée au nom de l’élève. Ces petits panneaux, issus de la récupération de palettes, ont été réalisés par des personnes en situation de handicap au sein de l’Adapei 80, association parentale qui accompagne les personnes en situation de déficience intellectuelle par le travail. À la fin de la journée, les enfants ont pu repartir avec des graines de pommier, à planter dans leur jardin.

L'image et les données que véhiculent Ecocean sont basées sur des recherches scientifiques rigoureuses, soutenues par de nombreuses thèses et publications scientifiques. Nous tenons à rappeler que nous ne pouvons accepter leur utilisation détournée, surtout lorsqu'elle vise à promouvoir des solutions concurrentes. Notre engagement repose sur une base scientifique solide et une transparence totale, assurant ainsi la fiabilité de nos solutions. Nous restons déterminés à protéger et restaurer les écosystèmes marins grâce à des approches innovantes qui allient rigueur scientifique et durabilité des matériaux. 

La rivière s'écoule et... 𝐥𝐞𝐬 𝐩𝐨𝐢𝐬𝐬𝐨𝐧𝐬 𝐩𝐚𝐬𝐬𝐞𝐧𝐭 ! 🐟 L'𝐔𝐧𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐅𝐞́𝐝𝐞́𝐫𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐝𝐞 𝐏𝐞̂𝐜𝐡𝐞 𝐝𝐮 𝐛𝐚𝐬𝐬𝐢𝐧 𝐒𝐞𝐢𝐧𝐞 𝐍𝐨𝐫𝐦𝐚𝐧𝐝𝐢𝐞 est heureux de vous présenter aujourd'hui un projet de restauration de la continuité écologique conciliant à la fois 💧𝐮𝐬𝐚𝐠𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐥'𝐞𝐚𝐮 et 🌱 𝐩𝐫𝐞́𝐬𝐞𝐫𝐯𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐛𝐢𝐨𝐝𝐯𝐞𝐫𝐬𝐢𝐭𝐞́ ! Un projet situé en plein territoire normand et plus précisément dans le département du 𝐂𝐚𝐥𝐯𝐚𝐝𝐨𝐬 (𝟏𝟒). Situé à l'Est des marais du Cotentin et du Bessin, le marais de l'Aure Inférieure est constitué d'une vaste plaine ouverte, dans sa partie aval, vers la mer. Sur ce territoire, les écoulements et les niveaux d'eau étaient gérés par 𝟔 𝐨𝐮𝐯𝐫𝐚𝐠𝐞𝐬 𝐡𝐲𝐝𝐫𝐚𝐮𝐥𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬. Prenant la forme de " vannes levantes ", ces aménagements permettaient de maintenir une 𝐥𝐚𝐦𝐞 𝐝'𝐞𝐚𝐮 𝐚𝐟𝐟𝐥𝐞𝐮𝐫𝐚𝐧𝐭𝐞, hors période de submersion, pour l'alimentation des fossés et le maintien des usages liés à l'𝐚𝐠𝐫𝐢𝐜𝐮𝐥𝐭𝐮𝐫𝐞 et à la 𝐜𝐡𝐚𝐬𝐬𝐞. Parmi ces ouvrages, le 𝐯𝐚𝐧𝐧𝐚𝐠𝐞 𝐝𝐮 𝐩𝐨𝐧𝐭 𝐝𝐞 𝐥'𝐀𝐜𝐫𝐞, sur le 𝐜𝐚𝐧𝐚𝐥 𝐝𝐞 𝐥'𝐄𝐬𝐪𝐮𝐞 près de la commune d'Écrammeville, permettait d'assurer l’alimentation en eau de la 𝐕𝐢𝐞𝐢𝐥𝐥𝐞 𝐀𝐮𝐫𝐞, cours d'eau dont la diffluence se situe quelques centaines de mètres en amont. Présentant une hauteur de chute de 𝟎,𝟖𝟓 𝐦 en période de basses eaux, le dispositif était hélas ❌ 𝐢𝐧𝐟𝐫𝐚𝐧𝐜𝐡𝐢𝐬𝐬𝐚𝐛𝐥𝐞 pour certaines espèces piscicoles cibles du marais : le 𝐁𝐫𝐨𝐜𝐡𝐞𝐭 (𝘌𝘴𝘰𝘹 𝘭𝘶𝘤𝘪𝘶𝘴) et l'𝐀𝐧𝐠𝐮𝐢𝐥𝐥𝐞 𝐄𝐮𝐫𝐨𝐩𝐞́𝐞𝐧𝐧𝐞 (𝘈𝘯𝘨𝘶𝘪𝘭𝘭𝘢 𝘢𝘯𝘨𝘶𝘪𝘭𝘭𝘢). Afin de rétablir le potentiel piscicole du cours d'eau, la 𝐅𝐞́𝐝𝐞́𝐫𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐮 𝐂𝐚𝐥𝐯𝐚𝐝𝐨𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥𝐚 𝐏𝐞̂𝐜𝐡𝐞 𝐞𝐭 𝐥𝐚 𝐏𝐫𝐨𝐭𝐞𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐮 𝐌𝐢𝐥𝐢𝐞𝐮 𝐀𝐪𝐮𝐚𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 s'est porté maître d'ouvrage en 2023 dans le cadre d'un projet de création d'𝐮𝐧𝐞 𝐫𝐢𝐯𝐢𝐞̀𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐨𝐮𝐫𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭, équipée d'une 𝐩𝐚𝐬𝐬𝐞 𝐚̀ 𝐩𝐨𝐢𝐬𝐬𝐨𝐧𝐬, pour permettre le passage des espèces piscicoles durant toute leur période de migration tout en maintenant les fonctionnalités de cet ouvrage. Ce remarquable projet a été rendu possible grâce au soutien financier de l'Agence de l'eau Seine-Normandie et de la Fédération Nationale de la Pêche en France FNPF.

Je ne peux pas rester silencieux face à la récente communication de la Ville de Cannes. Suite à des publications sur Facebook et LinkedIn puis à l'article vidéo ci-dessous concernant l'installation de nouvelles nurseries #REFISH de la société MARINOV dans les ports Canto et Mouré Rouge, il est crucial de clarifier certains points importants. - Utilisation incorrecte de nos images et données Il est inacceptable que des vidéos et photos de nos Biohut soient utilisées pour promouvoir les nurseries #REFISH de MARINOV sans notre consentement et sans mentionner qu'elles sont la propriété d'ECOCEAN. Associer nos résultats écologiques à une technologie concurrente est trompeur et constitue une violation de la loi. - Le mérou royal et nos résultats scientifiques Les listes d'espèces observées, y compris la présence unique et exceptionnelle d'un mérou royal, proviennent des suivis scientifiques réalisés dans et autour de nos #Biohut. Entre 2018 et 2022, nous avons recensé 490 juvéniles appartenant à 24 espèces de poissons et 726 individus de 32 espèces de faune vagile. Nos études, validées scientifiquement et basées sur des années de recherches et suivis écologiques, sont spécifiques aux #Biohut installés dans le port Canto. Ces résultats ne doivent pas être utilisés pour valoriser les #REFISH de MARINOV. - Composition des #REFISH Il est mentionné que les #REFISH de MARINOV sont "100% naturels" car réalisés à partir d'huile de ricin. Cependant, les plastiques biosourcés, même confectionnés à partir d’huile de ricin, restent des plastiques. Le N-butylbenzenesulfonamide est un composant utilisé dans les plastiques biosourcés qui est classé « Aquatic Chronic 3 H412 », signifiant qu'il est nocif pour les organismes aquatiques à long terme ! Ajouter 20 m³ de plastique dans un projet de restauration écologique aquatique est contraire aux principes de durabilité que nous défendons. - Notre engagement pour la biodiversité marine ECOCEAN s'efforce de promouvoir des solutions durables pour les habitats artificiels, en sensibilisant les enfants et les élus à respecter les milieux marins. Notre travail dans les ports, soutenus par des données scientifiques rigoureuses, s'inscrit dans une démarche de protection et de restauration des écosystèmes marins. Je suis profondément engagé depuis plus de 20 ans dans la protection des écosystèmes marins et j'accepte la concurrence. Cependant, la situation actuelle dépasse les limites de la concurrence loyale et trompe le public sur les véritables résultats et impacts écologiques. Je reste ouvert au dialogue et à la collaboration pour le bien de la biodiversité marine. https://lnkd.in/emfsHuPH

merci aux accueillis de l' ESAT de Roye, Adapei 80 L'Oise Agricole 12 février 2024 a 08h00 | Par Pierre Poulain Haies Les communes plantent des haies en faveur de la biodiversité Une opération visant à réimplanter des kilomètres de haies a été lancée par la Fédération nationale des chasseurs en partenariat avec l’Office français de la biodiversité. Au Plessis-Patte-d’Oie et à Golancourt, les communes ont décidé d’y associer les élèves des écoles primaires. Saule cendré, églantier, merisier, poirier, chèvrefeuille des haies, groseilliers à grappes, bourdaine, viorne lantane, troène commun, érable champêtre, charme commun, noisetier commun, pommier domestique et des tuteurs en bambou. Ce sont toutes les essences qui composent le kit de plantation de haie distribué aux élèves des écoles primaires de Golancourt et du Plessis-Patte-d’Oie. «Nous avons choisi les essences nous-mêmes pour que la haie soit à la fois attractive pour la faune, jolie pour les habitants, qu’ils puissent avoir quelques fruits et servir de brise-vent en bordure des cultures agricoles» explique Manon Castaing, chargée de mission environnement à la Fédération des chasseurs de l’Oise. «La quasi-totalité des plants sont des essences locales.» Le chantier s’inscrit dans le cadre de l’opération «Sensibilis’haie», un projet qui vise à replanter des kilomètres de haies, avec un total de 5.500 plants et 5,5 km de haie (1 plant par mètre). Un projet lancé par la Fédération nationale des chasseurs en partenariat avec l’Office français de la biodiversité. «On s’adresse aux collectivités. La seule condition est d’implanter la haie sur un terrain communal.» Des intérêts multiples «Une haie est utile à la nidification des oiseaux. Elle produit des insectes dont ils vont pouvoir se nourrir. Elle favorise aussi la production d’oxygène, explique Régis Margerin, responsable chasse au Plessis-Patte-d’Oie. Pour nous chasseurs, c’est une manière de préserver la biodiversité.» Pour la Fédération des chasseurs, c’est aussi un moyen de faire connaître son travail. «On ne fait pas que de la chasse, on fait aussi de l’aménagement du territoire» reprend Manon Castaing. Pour la commune, c’est aussi un moyen d’utiliser un terrain régulièrement victime de dépôts sauvages. «Si l’on ne fait rien, les dépôts vont revenir après chaque nettoyage. Et le nettoyage a un coût : 1.500 euros environ» raconte Nathalie Margerin, adjointe au maire. «On joue un peu sur la corde sensible : ce sont vos enfants qui ont planté des arbres ici, évitez d’y déposer vos déchets.» Chaque arbre planté est signalé par une pancarte colorée au nom de l’élève. Ces petits panneaux, issus de la récupération de palettes, ont été réalisés par des personnes en situation de handicap au sein de l’Adapei 80, association parentale qui accompagne les personnes en situation de déficience intellectuelle par le travail. À la fin de la journée, les enfants ont pu repartir avec des graines de pommier, à planter dans leur jardin.

Inspirant: au lieu de rester dans la polarité négative et de pleurer sur la disparition des coraux, ils se sont mis dans la polarité positive et ont créé une solution. C’est exactement ce que vous pouvez faire dans n’importe quelle situation négative : pleurer sur la perte ou agir. Et si vous avez besoin d’aide pour retrouver votre polarité positive afin de créer votre solution, je suis là pour vous aider. 🫵🏼 Se remettre en route, sur de bons rails, c’est le moment pour VOUS! https://so-energie.ch/

🎥 Gilles Lecaillon, créateur de l’entreprise ECOCEAN, participe au maintien de la #biodiversité de l'#environnement aquatique. 🐟 Face à la baisse constatée des stocks de poissons, Ecocean a développé 2 solutions complémentaires pour une restauration active des écosystèmes marins : #BioRestore pour repeupler les populations de #poissons et #Biohut des habitats artificiels pour redonner les fonctions de nurseries, perdues par les multiples aménagements côtiers. ⚓️ Ces nurseries artificielles sont principalement placées dans les ports ; elles favorisent le taux de survie des larves, permettent aux poissons de se nourrir à l’abri des prédateurs, et favorisent ainsi leur croissance en toute sécurité. ♻️ Les Biohut sont entièrement recyclables et reçoivent une maintenance une fois par an : leur remplacement est effectué en hiver car les eaux sont plus propres et la vie est en latence, entraînant moins de dommages sur les écosystèmes.