"𝐋’𝐨𝐦𝐛𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐆𝐞𝐫𝐦𝐢𝐧𝐚𝐥 : 𝐋’𝐞𝐱𝐩𝐥𝐨𝐢𝐭𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐦𝐨𝐝𝐞𝐫𝐧𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐭𝐫𝐚𝐯𝐚𝐢𝐥𝐥𝐞𝐮𝐫𝐬" L’exploitation au travail est un fléau qui traverse les époques, et "Germinal" en est l’une des représentations les plus poignantes. Cet après-midi, en regardant à nouveau ce chef-d'œuvre d'Émile Zola, je ressens les mêmes émotions profondes qu'à chaque fois. L’oppression, l’injustice, le sacrifice des travailleurs pour le profit des puissants résonnent en moi avec une force toujours aussi vive. Non, je ne suis pas un "col blanc". Je fais partie de ceux qui travaillent, ceux qui subissent. Et mes mêmes enfants font aussi partie ce milieu. Aujourd'hui encore, des millions de personnes se battent pour des conditions de travail dignes, pour des salaires décents et un respect fondamental. L'exploitation n'a pas disparu, elle s'est simplement transformée. Les pressions sont différentes, parfois plus insidieuses, mais l'essence reste la même : des hommes et des femmes se voient retirer leur droit à un travail juste, à une vie équilibrée, pour satisfaire les exigences d’un système économique qui valorise davantage le profit que l’humain. Nous sommes nombreux à ressentir cette forme moderne de "Germinal", ce déséquilibre entre ceux qui commandent et ceux qui exécutent. Parfois, il ne s’agit pas simplement d’un manque de reconnaissance ou de salaire insuffisant, mais d’une véritable négation de notre humanité, de notre besoin de vivre, et non seulement de survivre. Les travailleurs subissent encore, dans des entrepôts, des usines, des bureaux... Et même si le monde a changé depuis les mines de charbon décrites par Zola, l'exploitation sous ses multiples formes, elle, persiste. Regarder "Germinal" aujourd'hui est un rappel que la lutte pour la dignité et le respect au travail est toujours d'actualité, et que la solidarité entre travailleurs est plus nécessaire que jamais. 📕📗📘📙 Quelles que soient vos conditions de travail, réagissez et partagez votre expérience : l’exploitation touche bien plus de monde qu’on ne le pense. 🔆 𝐂𝐡𝐫𝐢𝐬𝐭𝐨𝐩𝐡𝐞 𝐏𝐈𝐄𝐃𝐍𝐎𝐈𝐑 ▶️ De l'expertise en Santé à l'Engagement dans l'Insertion Professionnelle ▶️ Intérêt pour la Santé, le Handicap et la Réhabilitation
Post de 🔆 Christophe PIEDNOIR
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🎶 Continuons notre exploration avec 𝐈𝐥 𝐞𝐬𝐭 𝐜𝐢𝐧𝐪 𝐡eures, 𝐏𝐚𝐫𝐢𝐬 s'éveille de 𝘑𝘢𝘤𝘲𝘶𝘦𝘴 𝘋𝘶𝘵𝘳𝘰𝘯𝘤. 🌆 Cette chanson nous rappelle que de nombreux travailleurs commencent leur journée bien avant que la majorité de la population ne se réveille. 𝐑𝐞𝐣𝐞𝐭 𝐝𝐞 𝐥'𝐈𝐧𝐯𝐢𝐬𝐢𝐛𝐢𝐥𝐢𝐬𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 : 𝐔𝐧𝐞 𝐐𝐮𝐞𝐬𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝'𝐀𝐜𝐭𝐮𝐚𝐥𝐢𝐭é 🔍 En lien avec les récents mouvements sociaux et les débats sur la justice sociale, il est plus que jamais pertinent de parler de 𝐥'𝐢𝐧𝐯𝐢𝐬𝐢𝐛𝐢𝐥𝐢𝐬𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐜𝐞𝐫𝐭𝐚𝐢𝐧𝐞𝐬 𝐩𝐫𝐨𝐟𝐞𝐬𝐬𝐢𝐨𝐧𝐬. Les récents événements, tels que les grèves des éboueurs ou les revendications des travailleurs de la santé, ont mis en lumière la nécessité de reconnaître ces métiers. • 𝐋𝐞𝐬 é𝐛𝐨𝐮𝐞𝐮𝐫𝐬 : Souvent oubliés, ils jouent un rôle crucial dans le maintien de la propreté urbaine et de la santé publique. • 𝐋𝐞𝐬 𝐭𝐫𝐚𝐯𝐚𝐢𝐥𝐥𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐝𝐮 𝐬𝐞𝐜𝐭𝐞𝐮𝐫 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐬𝐚𝐧𝐭é : Depuis la pandémie, leur travail acharné et souvent sous-estimé est devenu évident pour tous. • 𝐋𝐞𝐬 𝐨𝐮𝐯𝐫𝐢𝐞𝐫𝐬 : Ceux qui travaillent dans des conditions difficiles pour maintenir les infrastructures essentielles en état de marche. Ces travailleurs sont souvent les premiers à ressentir les impacts des crises, qu'elles soient sanitaires, économiques ou sociales. 𝐂𝐨𝐧𝐜𝐥𝐮𝐬𝐢𝐨𝐧 Reconnaître et valoriser ces 𝐩𝐫𝐨𝐟𝐞𝐬𝐬𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐢𝐧𝐯𝐢𝐬𝐢𝐛𝐥𝐞𝐬 est une nécessité pour une société plus juste et équitable. En leur offrant plus de visibilité et en améliorant leurs conditions de travail, nous pouvons avancer vers une société qui reconnaît pleinement l'importance de chaque individu. 𝐐𝐮𝐞𝐬𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐯𝐨𝐮𝐬 🤔 𝐂𝐨𝐦𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐩𝐨𝐮𝐯𝐨𝐧𝐬-𝐧𝐨𝐮𝐬, 𝐞𝐧 𝐭𝐚𝐧𝐭 𝐪𝐮𝐞 𝐬𝐨𝐜𝐢é𝐭é 𝐞𝐭 𝐨𝐫𝐠𝐚𝐧𝐢𝐬𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬, 𝐦𝐢𝐞𝐮𝐱 𝐬𝐨𝐮𝐭𝐞𝐧𝐢𝐫 𝐞𝐭 𝐯𝐚𝐥𝐨𝐫𝐢𝐬𝐞𝐫 𝐜𝐞𝐬 𝐦é𝐭𝐢𝐞𝐫𝐬 𝐞𝐬𝐬𝐞𝐧𝐭𝐢𝐞𝐥𝐬 ? Partagez vos réflexions et propositions en commentaires !
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L’ENTREPRISE, FONDEMENT D’UNE POTENTIELLE DICTATURE (PARTIE 2) Ma première question est : est-il vraiment nécessaire d’avoir tant de « personnel varié » ? Est-il vraiment nécessaire d’avoir une structure hiérarchique complexe, avec plusieurs niveaux ? Cela ne risque-t-il pas plutôt d’exacerber les divisions sociales internes et externes entre les différents départements ? Ces divisions peuvent parfois servir les intérêts des cadres supérieurs en leur permettant un meilleur contrôle sur l’ensemble du personnel. Un ouvrier peut-il s’orienter facilement dans toutes ces strates de l’entreprise ? Et enfin le système de management tel qu’il est proposé par la plupart des entreprises françaises ne contribue-t-il à accentuer le mal-être des employés? Petite anecdote personnelle qui démontre que l’époque d’Emile Zola à aujourd’hui, les choses n’ont pas forcément évoluées dans le bon sens et qu’elles restent totalement d’actualité, mais sous une forme déguisée… Au 19e siècle voir en fin, la classe ouvrière a dû se battre pour améliorer ses conditions de travail telles que les horaires, l’obtention d’un âge légal « décent »pour les enfants, etc., à cette époque , personne ne voulait pas ou plus travailler en usine et les dirigeants avaient dus faire appel à la main-d’œuvre étrangère , une main-d’œuvre moins exigeante et très souvent sous-payée. Néanmoins, qu’en est-il réellement aujourd’hui? Il y a quelques années, j’ai occupé un poste temporaire pendant deux semaines environ. J’ai été stupéfait par l’environnement de travail que je découvrais. Cette entreprise agroalimentaire, fraîchement rénovée et équipée des toutes dernières technologies, fonctionnait à un rythme endiablé. Les signaux lumineux (rouges, oranges, verts) indiquaient les erreurs commises par chaque employé, tandis qu’à la fin de la chaîne, une superviseuse, dissimulée derrière un poteau, notait scrupuleusement les retards et les insuffisances. La majorité des travailleurs étaient des immigrés, contraints d’accepter ces conditions difficiles, faute de meilleures alternatives. Je n’irais pas plus loin dans ces quelques lignes, car cela mériterait un livre entier…et il existe à foison nombre de reportages et de littératures traitant de ce sujet. Ce qui est déplorable, c'est que l'ensemble de la population, qui n'est pas concerné, se fiche totalement de ses voisins, et pourtant si l'on supprimait le monde ouvrier, que se passerait-il??
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#prospect #explore #evolution 1 Histoire sans fin... 1 Histoire de Faim ! Je ne vous apprends rien ! Les Solutions existent... Comment et Quand chaque individu, au sein de la société et des entreprises, peut-il assumer sa Responsabilité pour lutter contre l'exploitation des travailleurs et contribuer à l'amélioration des conditions de travail, tout en naviguant dans un contexte économique et social complexe qui semble nous rapprocher du déclin ? Depuis la nuit des Temps, la Prospection, dans le contexte des ressources naturelles, rejoint souvent l'Exploitation de l'Homme en raison des conditions de travail précaires et des violations des Droits Humains. Dans de nombreuses régions, les Travailleurs employés pour explorer et extraire des ressources comme les minéraux, le pétrole ou les diamants subissent des conditions de travail dangereuses, des salaires insuffisants, et l'absence de protections sociales. Souvent, ces Travailleurs n'ont pas d'autre choix que d'accepter ces emplois en raison du manque d'opportunités économiques, ce qui perpétue un cycle d'exploitation et de vulnérabilité. La Prospection et l'Exploitation des ressources peuvent ainsi exacerber les inégalités sociales et économiques, en profitant de la main-d'œuvre la plus démunie. Aujourd'hui, l'Exploitation de l'Homme se manifeste également dans les entreprises à travers diverses pratiques abusives. Par exemple, les conditions de travail précaires, les horaires excessifs, et la pression constante pour atteindre des objectifs de performance peuvent conduire à un environnement de travail toxique. De nombreux Employés sont sous-payés et travaillent sans avantages sociaux adéquats, tandis que d'autres subissent du harcèlement ou de la discrimination. Les entreprises peuvent également recourir à des contrats temporaires ou à temps partiel pour éviter de fournir des avantages comme l'assurance santé ou les congés payés. Dans certains cas, les Travailleurs, en particulier dans les secteurs à faible revenu comme la vente au détail, la restauration rapide, ou la logistique, sont contraints d'accepter des conditions de travail qui compromettent leur Santé et leur Bien-Être. La mondialisation et la recherche incessante de profits peuvent aggraver ces pratiques, avec des chaînes d'approvisionnement où les conditions de travail sont souvent pires dans les pays en développement ! Les entreprises qui externalisent la production peuvent ignorer ou minimiser les normes de travail locales, contribuant ainsi à l'Exploitation Systémique des Travailleurs...
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#Interim #bien_etre Quel pourait être le sens de ces notions dans un contexte de mondialisation et de forte compétition où le coût de la main d’œuvre est un important facteur d’attractivité. Pourquoi l’Ethiopie est t elle devenue l’usine de la Chine pourquoi le Vietnam est il un des premières destinations pour les IDE… le monde marche malheureusement dans une dynamique de banalisation du droit du travailleur pour rester dans le jeu…. Nous devrions peut être changer de disque… faudrait il que le travail existe avant de parler de bien être et d’intérim…. Il faut opérer certains ruptures, lever le pied sur la protection du travailleur. Le code du travail est un frein pour la création d’emplois dans notre pays… Il faut arriver à lâcher prise… le bien être au travail a un coût…. C peut être un luxe pour nos pays 🤷🏿🤷🏿 ASPRH - Association Sénégalaise des Professionnels des RH
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Pour une fois je suis d'accord avec lui :) Est-ce que nos politiques anticipent cette évolution, est-ce qu'ils sont en train d'accompagner ce changement, est-ce qu'ils tendent d'ors et déjà à réduire le temps de travail des travailleurs, est-ce qu'ils tendent déjà à mettre en place de la gratuité quand les outils le permettent ? Est-ce qu'ils commencent à légiférer sur la propriété des machines et des biens et des services qu'elles produisent etc. Est-ce qu'ils pensent la nouvelle organisation ? Il me semble que nous faisons tout le contraire. Gabriel Attal quel est le plan ? N'est ce pas rentrer dans un régime totalitaire lorsque l'Etat impose aux citoyens de travailler coûte que coûte lorsqu'il ne reste plus que pour une grande partie de la population des emplois abrutissants, voire pas d'empoi du tout ? Lorsque nous sommes face à un mur que reste-t-il de notre humanité ? Pas gran chose, nous nous transformons en légumes, il n'y a plus d'affect. Saviez-vous que l'on constate une réduction de la matière grise en réponse au stress quand on ne va pas jusqu'au suicide comme forme de résistance. #Cruauté J'en appelle à la responsabilité de ceux qui ont prétendu à gouverner tout un peuple. #Responsabilité nb : il y a l'IA mais il y a aussi la nécessité de revoir nos consommations de ressources. Le travail dans sa globalité est consommateur de ressources. (faisons le ratio des dépenses. Ex: Combien pollue le travail ? Combien coûte à la securité sociale les maladies diverses et variées liées directement ou indirectement au travail etc etc, combien nous coûtent les guerres ? combien d'energie le travail consomme-t-il , 10 milions de francais utilisent leur voiture pour se rendre au travail parait-il ?) Il dit : "Je pense que tous les emplois seront facultatifs. Si vous voulez effectuer un travail, vous pourrez l'effectuer comme loisir". Autrement dit, devons-nous nous préparer à l'abolition de l'esclavage moderne ? #Abolition #Esclavage https://lnkd.in/enhtgimz
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De l'auto-efficacité face à « l’employarentabilité » aliénante: « L’auto-efficacité rétablit un équilibre au sein des rapports. Elle apparaît comme un vecteur de sens dans un système à la dérive et offre un point de congruence permettant l’essor des conceptions individuelles, organisationnelles et sociales. » N°31 Juillet-Décembre 2021 • Manager en temps de crise : performances et mutations, Management & Sciences Sociales, 2021 https://lnkd.in/efG9pMdp Dit autrement pour un rapport organique aux forêts il faut intervertir l'ordre d'ordonnance : Industrie -> État -> Communauté -> Individu -> Forêt à Forêt -> Individu -> Communauté -> État -> Industrie Imaginons ce monde!
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LE 1er MAI, JOURNÉE INTERNATIONALE DES TRAVAILLEURS EST-ELLE ENCORE UNE FÊTE DU TRAVAIL ? Sans doute oui si l’on s’en tient aux symboles, aux conquêtes sociales d’antan et de l’hommage à rendre aux syndicalistes américains qui, il y a de cela 134 ans (1890), se sont mobilisés pour obtenir la journée de travail de 8 heures. Mais au Mali, depuis de nombreuses années déjà, peut-on décemment parler de Fête de travail alors même qu’un nombre croissant de Maliens n'a pas accès à l'emploi ou perd son emploi, un autre droit fondamental de l'Homme. En plus des pères et mères de famille, les jeunes, diplômés ou non apparaissent comme les premières victimes du fléau qu'est le chômage. Il est certain que la réconciliation de la jeunesse malienne avec les autres couches sociales et avec les gouvernants passe par une formation adéquate sanctionnée par un emploi rémunérateur. Nous refêterons le travail quand nous nous convaincrons que le Mali n'est pas une entreprise et que nul ne devrait se complaire dans une gestion comptable de notre pays, au mépris de l'homme qui doit être au centre de toutes les décisions. C'est pour cette raison que l'Homme malien, pris en tant que citoyen ou organisé dans un groupe (entreprises, associations, communautés…) doit être replacé au centre du processus de développement économique, social et culturel du Mali. En d'autres termes, il s’agit de faire de chacun de nous : - le décideur pour l'avenir et le devenir de notre pays ; - l'acteur principal du développement ; - enfin le bénéficiaire ultime de ce développement. L’homme, décideur pour l’avenir et le devenir du Mali est en quête de dignité qui est tributaire d’un emploi, d’un travail décent. Pour l’emploi donc nous devons mobiliser toutes nos énergies, en ouvrant de grands chantiers, en recentrant certaines dépenses de l’Etat et en mobilisant le secteur privé. BONNE FÊTE CE JOUR ET MEILLEURE FÊTE DEMAIN ! https://lnkd.in/eSffkFdH
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Absentéisme, démissions, désengagement, les entreprises font face à une démobilisation sans précédent. Beaucoup y voient une crise du travail. Pourtant, il s’agit surtout d’une fracture entre les aspirations sociétales et les entreprises. Celles-ci restent « jupitériennes » dans une société qui aspire à plus de démocratie et de liberté. Elles sont structurées par des chaînes de commandement quand c’est l’influence qui dirige les communautés. Elles imposent un lieu où l’on se réunit pour produire, alors qu’elles doivent construire un projet que l’on rallie pour s’accomplir. Olivier Bas analyse ces failles et nous montre, témoignages à l’appui, qu'une autre voie est possible : celle d’une entreprise plus « élastique » dans son fonctionnement, plus démocratique dans sa gouvernance, plus progressiste dans ses engagements. Liberté, utilité, humanité, voilà la devise qui doit nous animer si nous voulons insuffler un mouvement d’avant-garde, un mouvement qui conduira les entreprises vers la prospérité.
La « has been » compagnie
dunod.com
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L'entreprise libérée, j'ai l'impression que plus personne n'en parle. C'était un concept à la mode il y a quelques années. Puis ? Un silence de plomb sur ce mode de fonctionnement qui semblait prometteur. Il existe encore quelques initiatives, comme récemment l'entreprise Axonaut qui partage son modèle d'entreprise libérée, dans lequel les décisions sont prises collectivement par tous les collaborateurs et où chaque salarié définit son poste comme il l'entend. Mais ces initiatives semblent marginales. Pourtant, l'entreprise libérée semble répondre aux aspirations des travailleurs : ✨ Plus d'horizontalité dans les relations de travail ✨ Plus de flexibilité ✨ Plus de sens au travail et de capacité à agir sur son travail ✨ Le potentiel des salariés libérés ✨ Des congés à la demande ✨ Un nombre réduit de strates hiérarchiques J'ai tout de même l'impression que les entreprises sont venues picorer des bonnes pratiques dans ce modèle, sans changer fondamentalement leur organisation. Ce qui est quand même le principe de base de l'entreprise libérée : changer l'organisation elle-même ! Mais c'est sans doute le plus difficile, voilà pourquoi le concept n'a pas pris autant qu'on aurait put l'espérer, j'imagine. Et vous, connaissez-vous des entreprises libérées ? En avez-vous fait l'expérience ? Dites-le moi en commentaires, le concept peut ne plus être à la mode mais les initiatives continuent peut être à se multiplier 👇
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Sérieusement? C'est maintenant que l'économie suisse réalise qu'il y a un papy boom ? C'est maintenant que l'on se demande comment on va faire pour faire tourner la machine sans le carburant humain ? Et quelles sont les solutions proposées? Travailler plus vieux, alors que les entreprises n'engagent que difficilement les plus de 50 ans! Faire travailler plus de femmes, alors qu'on a refusé de financer une politique familiale digne de ce nom ! Et que fait-on des 4% de sans emploi (chômage, aide social & co) ? Et que fait-on des personnes qui n'ont pas les compétences de demain? J'en ai marre d'entendre l'economiesuisse se plaindre en se regardant le nombril et dire #yaka. Et quand on leur propose une solution (parmi les centaines qu'il faudra mettre en oeuvre pour adresser le problème), faire la fine bouche pour financer 1,5 millions de budget à 42 Lausanne ou 42 Zürich. Si on attend que les autres règlent le problème, on n'est pas sorti d'affaire. C'est tellement facile de dire que c'est la faute des autres. #myopie #pénurie #reconversion D'ci 2035, il manquera 460'000 travailleurs en Suisse, craint l'économie https://lnkd.in/e5YVAtMp
D'ci 2035, il manquera 460'000 travailleurs en Suisse, craint l'économie
lematin.ch
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