Post de Cità di Portivechju

Recul du trait de côte : aménager pour s'adapter, mais à quel prix ?  Un débat s'est tenu le 20 novembre au Congrès des maires sur le recul du trait de côte, préoccupation majeure des élus littoraux, aux avant-postes du changement climatique. Des stratégies locales sont mises en place, malgré un cadre juridique et financier incertain.  Par Caroline Reinhart Pris entre deux eaux – la mer et le ZAN –, les élus littoraux n’ont pas attendu l’État pour se préoccuper de leurs côtes. L’AMF non plus, avec son groupe de travail Littoral coprésidé par Dominique Cap, maire de Plougastel-Daoulas (29) et Yannick Moreau, maire des Sables d’Olonne (85), président de l’Association nationale des élus du littoral (Anel), tous deux présents ce 20 novembre, lors du forum dédié au 106e Congrès des maires.  Au même moment, les deux associations d’élus lançaient un appel solennel « pour alerter sur l’urgence absolue de mettre en place un financement dédié à la gestion de la bande côtière » et exhorter l’État à assumer ses responsabilités. Car « sans une prise en charge nationale forte et pérenne, les communes littorales se verront bientôt incapables d’assurer la sécurité de leurs habitants et de préserver leurs infrastructures essentielles. ».  Pour mémoire, la loi Climat et résilience de 2021 a transféré la charge du recul du trait de côte aux communes, tenues d’établir une cartographie des zones exposées et de se projeter aux horizons 30 et 100 ans. Mais à l’heure du budget 2025, la question du financement n’est pas tranchée. Comment alors réaménager les zones concernées, en conservant leur attractivité ? Qui doit payer les conséquences de ce phénomène mondial ?  Coût de l’inaction 20 % des côtes françaises en recul, 500 communes et 16 000 ouvrages de protection concernés : les chiffres rappelés par Sébastien Dupray, directeur « Risques, eaux, maritime » au Cerema, donnent le tournis. Accessibles sur Géolittoral, les travaux du Cerema sur l’évaluation des enjeux exposés au recul du trait de côte ont permis d’établir des scenarii, selon le degré d’action à trois échéances : 2028, 2050 et 2100.  « En 2100, si rien n’est fait, 450 000 logements, 55 000 locaux d’activité et 1 800 km de réseau routier seraient touchés (avec une montée du niveau de la mer d’un mètre, conjuguée à l’érosion côtière) ». Estimation du coût de l’inaction pour les seuls logements : 85 milliards d’euros (valeur vénale au prix du marché).

C’est le sort d’une déviation qui se joue au tribunal administratif de Clermont-Ferrand. Celle de la RN88 qui doit contourner deux villages de Haute-Loire. Ces 10 km sont au cœur d’une discorde où se mêlent enjeux écologiques, économiques et d’aménagement du territoire.

Le président du PMCO Patrice VERGRIETE a présenté ses vœux à l'issue du Comité syndical réuni vendredi 24 janvier à la Communauté urbaine de Dunkerque. Il a dressé un bilan des activités du Pôle en 2024 et dessiné les perspectives pour 2025 : 💡 poursuite et conclusion des études stratégiques - santé - mobilité - changement climatique 🚆 après la labellisation du SERM - Service express régional métropolitain de la Côte d'Opale, objectif : obtention du statut 🌊 construction de l'outil d'aide à la décision sur la prévision des événements maritimes : SIRENES - Système d'Information et de Renseignement contre l’Érosion et la Submersion 📈 établissement d'une feuille de route pour le développement économique durable afin de renforcer la coopération à l'échelle métropolitaine, et mise en place d'un réseau d'acteurs territoriaux 🌳 promotion d'un schéma des sites naturels de compensation, de restauration et de renaturation 🐟 poursuite de l'animation du Groupe d'action locale pour la pêche et l'aquaculture Flandre maritime 🔬 soutien à l'enseignement supérieur et à la recherche à l'Université du Littoral Côte d'Opale ⛵ animation du réseau des ports de plaisance CCHF - Communauté de Communes des Hauts de Flandre, Communauté de Communes de la Région d'Audruicq, Communauté de Communes Pays d'Opale, Communauté de Communes de Desvres-Samer, Communauté de Communes du Pays de Lumbres, CA2BM - Communauté d'Agglomération des 2 Baies en Montreuillois, Communauté d'Agglomération du Pays de Saint-Omer, Communauté d'agglomération du Boulonnais, Grand Calais Terres & Mers, Département du Nord, DEPARTEMENT DU PAS DE CALAIS Agence d'urbanisme et de développement de la région Flandre-Dunkerque, L'Agence d'urbanisme, de développement et du patrimoine du Pays de Saint-Omer, BOULOGNE-SUR-MER DEVELOPPEMENT COTE D'OPALE FFPP Fédération Française des Ports de Plaisance

C’est le sort d’une déviation qui se joue au tribunal administratif de Clermont-Ferrand. Celle de la RN88 qui doit contourner deux villages de Haute-Loire. Ces 10 km sont au cœur d’une discorde où se mêlent enjeux écologiques, économiques et d’aménagement du territoire.

🎉 Alors qu'il y a déjà un an la coalition citoyenne "la Déroute des routes" lançait publiquement une demande pour un moratoire sur les projets routiers, le département du Val d'Oise semble avoir saisi l'ampleur des enjeux de notre temps, et a annoncé hier l'abandon du BIP (Boulevard Intercommunal du Parisis, créant une jonction entre l'A1 et l'A15), un projet routier pensé 15 ans auparavant. De nombreux élus locaux, associations et militants se sont mobilisés pour faire pression sur ce projet d'un autre temps. Et malgré une validation du Conseil d'État de la déclaration "d'utilité publique" du projet en juin dernier, la présidente du Conseil départemental du Val d'Oise, Marie-Christine Cavecchi, a pris la décision de mettre un coup d'arrêt à ce projet. 👏🏽 Preuve que la mobilisation citoyenne paye et qu'elle se révèle être d'utilité publique majeure à l'heure où les politiques traînent à prendre leur responsabilité. ✊🏽💥 Preuve que l'avenir des transports et de notre mobilité repose sur d'autres modèles garants d'un monde vivable.🍃 En espérant que cette victoire puisse inspirer certain.e.s autres décisionnaires sur le non-sens des projets routiers, et donner du courage à ceux qui continuent le combat sur leur territoire 🌟 👉🏽 Pour + d'infos sur la lutte et cette belle victoire du Val d'Oise : https://lnkd.in/eJwhhHhT @CollectifVivresansBIP @Amis de la Terre Val d'Oise @France Nature Environnement Val d'Oise France Nature Environnement Ile-de-France Les Amis de la Terre France #laderoutedesroutes #vivresansleBIP #moratoireprojetsroutiers #A69

𝐋'𝐢𝐧𝐬𝐭𝐚𝐧𝐭𝐚𝐧𝐞́ 𝐖𝐄𝐀𝐌𝐄𝐂 ☕ 𝑈𝑛𝑒 𝑏𝑜𝑛𝑛𝑒 𝑑𝑜𝑠𝑒 𝑑'𝑒́𝑛𝑒𝑟𝑔𝑖𝑒 𝑖𝑜𝑑𝑒́𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑎𝑛𝑐𝑒𝑟 𝑡𝑎 𝑗𝑜𝑢𝑟𝑛𝑒́𝑒 𝗟𝗲 𝗴𝗼𝘂𝘃𝗲𝗿𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗮𝗻𝗻𝗼𝗻𝗰𝗲 𝗹𝗮 𝗽𝘂𝗯𝗹𝗶𝗰𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗶𝗺𝗺𝗶𝗻𝗲𝗻𝘁𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗰𝗮𝗿𝘁𝗲𝘀 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹’𝗲́𝗼𝗹𝗶𝗲𝗻 𝗲𝗻 𝗺𝗲𝗿 ! Le 27 septembre, l’État a confirmé la publication prochaine des cartes des zones prioritaires pour l’éolien offshore ainsi que des zones de protection forte (ZPF) pour la biodiversité marine. Cette étape marque une avancée cruciale dans la planification maritime de la France, avec pour objectif d’atteindre 18 GW d’éolien en mer en service d’ici 2035 🌬️. 📅 𝗟𝗮𝗻𝗰𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲 𝗹’𝗮𝗽𝗽𝗲𝗹 𝗱’𝗼𝗳𝗳𝗿𝗲𝘀 𝗻° 𝟭𝟬 𝗱’𝗶𝗰𝗶 𝗳𝗶𝗻 𝟮𝟬𝟮𝟰 Le communiqué annonce le lancement du 10e appel d’offres pour l’éolien en mer d’ici la fin de l’année, avec une puissance totale comprise entre 8 et 10 GW. Une nouvelle encourageante pour la filière, qui se prépare à renforcer sa contribution à la transition énergétique française ⚡. Ce projet vise à atteindre une équité territoriale entre les différentes façades maritimes du pays d’ici 2050. 🌱 𝗘́𝗾𝘂𝗶𝗹𝗶𝗯𝗿𝗲 𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗱𝗲́𝘃𝗲𝗹𝗼𝗽𝗽𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗲𝘁 𝗽𝗿𝗼𝘁𝗲𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 Le gouvernement a également réaffirmé son engagement à conciler production énergétique, activités de pêche et préservation de la biodiversité. Les zones de protection forte couvriront 5 % de l’espace maritime français d’ici 2030, garantissant une protection accrue des écosystèmes marins. Les ministres en charge ont souligné l’importance de la transparence et de la concertation pour mener à bien cette planification. 🔍 𝗖𝗲 𝗾𝘂𝗲 𝗰𝗲𝗹𝗮 𝘀𝗶𝗴𝗻𝗶𝗳𝗶𝗲 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗮 𝗳𝗶𝗹𝗶𝗲̀𝗿𝗲 Cette annonce rassure les acteurs du secteur sur la trajectoire soutenue par le nouveau gouvernement. Les cartes, attendues dans les prochaines semaines, permettront de définir clairement la localisation des futurs parcs éoliens et leur distance par rapport aux côtes. Cette planification est cruciale pour garantir l’adhésion des territoires et répondre aux défis de la transition énergétique tout en respectant les enjeux environnementaux et économiques locaux. Avec ces nouvelles cartes, la France accélère son ambition de devenir un leader dans le domaine des énergies marines renouvelables tout en préservant ses écosystèmes marins 🌍. #EolienEnMer #TransitionEnergétique #EnergiesRenouvelables #PlanificationMaritime #Biodiversité #France2030 #AO10

Projet indispensable pour la sécurité de la circulation dans la vallée de la Dordogne, les écologistes prônent le maintien du chaos routier à Beynac…

La Bretagne labellisée pour déployer un Service Express Régional Métropolitain Le Ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires vient de labelliser la #Bretagne pour la mise en place d’un Service Express Régional Métropolitain (#SERM) à l’échelle de la région. Cette reconnaissance concerne bien toute la Bretagne et pas uniquement les métropoles, comme c'est le cas dans les autres régions. L’objectif d’améliorer la qualité des transports du quotidien et le désenclavement des territoires périurbains et ruraux. #transport #mobilité #transitionecologique #Bretagne https://lnkd.in/eusTS2mZ Région Bretagne Préfecture de la région Bretagne

Retour sur ma déclaration générale sur la mission Outre-mer ⬇️ 🦎 🚊 Mes propositions d'amendements visant à maintenir les crédits en faveur de la continuité territoriale au niveau de 2024, à renforcer les effectifs de la DGCCRF dans les Outre-mer, à créer une équipe spécialisée Outre-mer au sein de l'Autorité de la concurrence, à créer un Fonds pour les transports publics Outre-mer ou un Fonds pour la protection de la Biodiversité Outre-mer n'ont pas été adoptées. Elles participaient pourtant à ce que doit être l'avenir de nos Outre-mer avec : ➕ de concurrence ➖ de monopoles ➕ de protection du climat ➕ de protection de la biodiversité Je continuerai néanmoins le combat 🚌 🪲

📢 Lancement de la stratégie locale 1ère génération de la CARA ▶ Portée par la Communauté d'agglomération Royan Atlantique en partenariat étroit avec les communes littorales, dans un objectif de définir un cadre local de gestion partagé du risque érosion pour la préservation à la fois de l'attractivité du territoire et la sécurité des biens et des personnes. ▶ Premier programme d’actions 2024-2028 en cohérence avec les choix de gestion et la hiérarchisation des interventions définis par la CARA, présenté par son Président, M. Vincent Barraud, et discuté avec l'ensemble des partenaires en Comité régional de suivi des stratégies animé par M. Henri Sabarot, Président du GIP Littoral, le 3 avril dernier. ▶ Des actions connectées et interdépendantes pour une approche intégrée des risques littoraux, chiffrées à 5,2 M€ HT pour la période 2024-2028. Dossiers en cours de montage pour une première phase 2024-2025 et visant une aide de l'Europe en Nouvelle-Aquitaine, la Région Nouvelle-Aquitaine, la Préfecture de la Charente-Maritime, le Département de la Charente-Maritime, la Communauté d'agglomération Royan Atlantique et les communes littorales concernées. #erosion #submersion #risqueslittoraux #partenariat https://lnkd.in/gmeeWWvg