📅 [AGENDA] Le Damier vous donne rendez-vous le 26 novembre pour la 10ème édition du MIMA : le salon dédié aux professionnels de la filière musicale ! 🕙De 9h à 22h30, vivez un programme riche et varié avant de participer à la soirée anniversaire ouverte à tous, à la Coopérative de Mai. 👉 Consultez le programme : https://bit.ly/4hSCAc5
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On vous présente Nathan Aulin (à gauche) 👀 notre chargé d'accompagnement qui aiguille les artistes et groupes de la scène locale ! Sulka (à droite) est un ancien lauréat Suprême LTM, notre dispositif d’aide à la création et à la professionnalisation. Dans cet article du TMV, vous en saurez plus sur les missions d'accompagnement du Temps Machine ↓↓↓
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FRANCE INTER - Le MIDEM (Marché International du Disque et de l’Edition Musicale) : où en est l'industrie musicale en France ? A l'occasion de l'ouverture prochaine de l'évènement incontournable de l'industrie musicale, le MIDEM, interrogeons la santé de l'industrie du disque. Pourquoi le vinyle a-t-il le vent en poupe ? Comment expliquer le grand retour de la K7 ? Un vent de nostalgie soufflerait-il sur la France ? Le MIDEM, c’était mieux avant ? Bertrand Burgalat est producteur de musique, il a fondé le mythique label Tricatel qui rassemble des artistes aussi atypiques et variés que Valérie Lemercier, Michel Houellebecq ou encore Elena Noguera. Il a également réalisé des titres pour Alain Chamfort, Philippe Katerine et Depeche Mode. Il est aussi musicien et chanteur, et depuis 2020, il est le grand patron du Syndicat national de l'édition phonographique, la SNEP. Un syndicat qui réunit les plus grandes maisons de disques françaises. Il est l’invité de Zoom Zoom Zen à l’occasion de la semaine d l’industrie de la musique à Cannes, le MIDEM. Un événement dont il ne participera pas cette année : « Le MIDEM, c'est un événement qui est très ancien et la ville de Cannes l'a repris il y a quelques années puisque l'opérateur habituel s'en est désintéressé. Cette année, c'est un peu spécial parce que c'est géré par Live Nation et ça montre bien la prééminence actuellement de la scène sur le disque. En tant que label, on est des manants à côté de ces grands promoteurs de spectacle. Au départ, le MIDEM, c’est le marché international du disque et de l’édition musicale. Aujourd’hui, on voit bien qu'une grosse partie de l’industrie se concentre sur le spectacle ». https://lnkd.in/eJHttsfJ
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[Ekhos] [CommuniquédePresse] [Vote] Lundi soir, Ekhoscènes a décidé de voter contre le budget du Centre national de la musique. Inédit, ce vote de rejet était nécessaire : il est désormais urgent de réfléchir à ce que nous voulons vraiment comme politiques publiques pour l’avenir de la filière musicale. Pourquoi ce budget ne convient pas au secteur du spectacle vivant privé ? ❌ Une nouvelle fois, le secteur du spectacle vivant est mis à contribution pour compenser des défaillances qui ne lui sont en rien imputables : ce n’est pas à lui de pallier les manquements de secteurs qui soit ne contribuent pas à la hauteur de leurs obligations, soit ne contribuent pas du tout. C’est évidemment trop facile ! ❌ L’équité, qui a toujours été le prérequis à la solidarité de la filière musicale et de variétés, n’est aujourd’hui pas respectée, malgré les engagements donnés qui reposent sur le travail de l’ancien sénateur Julien BARGETON. Le spectacle vivant privé reste, plus que jamais, le principal contributeur d’un établissement censé pourtant faire rayonner toute la filière musicale et de variétés. ❌ Le CNM pénalise les entreprises du spectacle vivant pour colmater ses propres brèches dans ses programmes d’aides sélectives, en justifiant cette nouvelle ponction par l’encouragement de la « diversité », dont aucune définition n’a pourtant été donnée. Ces mots laissent entendre qu’il y aurait deux types d’entreprises, là où Ekhoscènes a toujours défendu une culture populaire et accessible à tous. ❌ La solidarité a toujours été à la base de notre engagement. De longue date, le spectacle vivant a instauré un modèle lui permettant de continuer à assumer la prise de risque inhérente à son métier tout en aidant davantage les entreprises qui en ont besoin. Il est donc insupportable de découvrir les propos du président du CNM, considérant qu’il y aurait « une logique de copropriétaires qui ne veulent pas payer la cage d’escalier du voisin ». C’est mépriser la contribution essentielle, voire vitale, du spectacle vivant privé au CNM. ❌ Enfin, sur la méthode, malgré l’ouverture et le dialogue d’Ekhoscènes depuis plusieurs mois pour éviter cette situation, le CNM a décidé de faire du spectacle vivant privé la variable d’ajustement de son budget, au détriment de la parole donnée. ❎ Pour le budget 2025, plutôt que ponctionner davantage le spectacle vivant privé, une solution aurait été de déplafonner totalement la taxe sur la billetterie qu’il paye pour contribuer au CNM. Aujourd’hui, ce plafond reste fixé à 50 millions d’euros, le surplus allant au budget général de l’État. Alors que le rendement de la taxe dépassera ce plafond en 2025 (preuve du dynamisme de notre secteur), nous appelons le Gouvernement et les parlementaires à porter une mesure de déplafonnement total dans le prochain projet de loi de finances pour 2025 Notre réaction complète ⬇
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🎭🎶 Mardi, Ekhoscènes était présent au Conseil national des professions du spectacle (CNPS), réunissant tous les représentants du secteur aux côtés de la Ministre de la Culture, Rachida Dati Ekhoscènes a, à cette occasion, réaffirmé ses priorités pour le secteur : ✅ Garantir un modèle de financement juste et pérenne de nos opérateurs ➡Alors que l’équilibre global de financement de la filière musicale n’est pas encore atteint, c'est le secteur privé qui est mis à contribution pour compenser les défaillances. Après notre rejet du budget du CNM pour 2025, nous avons rappelé notre position et plaidons pour une évaluation de l'impact de la baisse du droit de tirage. ➡ Si le soutien de la Ministre de la Culture, Rachida Dati – que nous remercions à nouveau – devrait permettre d’atterrir dans le cadre du PLF 2025 sur un relèvement a minima du plafond de la taxe sur la billetterie affectée au Centre national de la musique, cette solution ne peut être que temporaire car elle sera très insuffisante. Sur le long terme, un déplafonnement de la taxe affectée au CNM mais aussi à l'ASTP-Association pour le Soutien du Théâtre Privé, qui dépend d'une logique similaire, sera nécessaire pour accompagner la dynamique de nos secteurs. ✅Défendre l'instauration d'un droit des producteurs de spectacle pour protéger sa création de valeur, dans le contexte d’un développement exponentiel de la captation de spectacles et de l'essor de l'intelligence artificielle. Dans la continuité de la recommandation du rapport sur l’évaluation de la loi LCAP porté au Sénat en novembre, Ekhoscènes souhaite inscrire ce sujet au coeur des réflexions de la mission annoncée par la ministre sur le modèle économique du spectacle vivant. ✅Penser le modèle économique des festivals de demain pour préserver leur excellence et leur rentabilité. Nous saluons l’installation d'un groupe de travail par la DGCA sur ce sujet dans lequel nous prendrons toute notre part dès le début de cette année. ✅Travailler aux côtés des pouvoirs publics pour davantage outiller les professionnels dans la lutte contre les violences sexistes et sexuelles. Nous nous y sommes engagés hier, lors de notre audition par Sandrine Rousseau et Erwan Balanant dans le cadre de la commission d'enquête sur le sujet à l'Assemblée nationale. ✅Accompagner la nécessaire réforme de l'ASTP, tout garantissant un pilotage de cet outil par les professionnels. C'est une condition indispensable afin que l’ASTP conserve toute son agilité et son efficacité dans l’accompagnement à la prise de risque de la production théâtrale privée. ✅Faire évoluer des règlementations mal adaptées à nos réalités de terrain et que nos entreprises subissent, comme les celle du décret son et l’arrêté sur les ensembles démontables. #Ekhoscenes #SpectacleVivant #CNPS
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Bien que je ne sois pas originaire de cette région, je suis profondément préoccupé par une décision alarmante de sa présidente. Une grande majorité des subventions associatives est supprimée, impactant directement et gravement le secteur culturel. Ces coupes budgétaires touchent : • Les festivals, qui sont le cœur battant de la vie culturelle et le moteur de l’attractivité régionale, • Les associations culturelles, véritables acteurs de terrain qui favorisent l’accès à l’art pour toutes et tous, • Les compagnies artistiques, qui risquent de voir leur activité ralentie, voire disparaître, • Et les initiatives d’éducation artistique et culturelle, indispensables pour les jeunes générations. Ces choix ne concernent pas seulement un secteur professionnel. Ils fragilisent des piliers essentiels de la vie sociale, économique et humaine. La culture, ce n’est pas une dépense, c’est un levier de cohésion sociale et un investissement dans notre futur collectif. Il est urgent de réagir ! Ensemble, refusons que la culture devienne une variable d’ajustement.
🔎 Les coupes budgétaires dans la filière musicale suite aux annonces de la Région Pays de la Loire 🔎 ⚠️ Retrouvez ici la liste non exhaustive des coupes budgétaires officialisées dont le Pôle de coopération de la filière musicale a eu connaissance à ce jour. ✉️ Pour partager vos informations contactez-nous par mail à : ressource@lepole.asso.fr afin que nous puissions mettre à jour régulièrement le recensement. 👉 Pour retrouver les résultats de l’enquête flash portée par les six pôles culturels régionaux, c’est par là : https://lnkd.in/gC_eXfVM ----------- → Pôle arts visuels Pays de la Loire → La Plateforme, Pôle Cinéma Audiovisuel des Pays de La Loire → Le Pôle de coopération pour la filière musicale en PDL → Pôle spectacle vivant des Pays de la Loire → Pôle Patrimoine, réseau de coopération des acteurs du patrimoine culturel en Pays de la Loire → Mobilis Pays de la Loire - pôle de coopération des actrices et acteurs du livre et de la lecture en Pays de la Loire ----------- #enquête #culture #démocratie #poleartsvisuelspaysdelaloire #poleartsvisuels #artsvisuels #paysdelaloire #reseau #professionnels #adherents #accompagnement #developpement #interfilieres #initiativesculturelles #laplateforme #mobilis #lepole #polepatrimoine #polespectaclevivant #financement Angers Nantes Opéra Festival Les Escales Association culturelle de l'été Le Chabada Athénor CNCM - Centre National de Création Musicale Festival Au Foin De La Rue Réseau Chainon Fédération des Radios Associatives en Pays de la Loire Levitation France Quai M Pick Up Production Festival Dub Camp Oz Coopérative Jardin de Verre Superforma Stereolux Trempo La Folle Journée de Nantes
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En lisant le passionnant essai sur l’économie politique de la musique de Jacques Attali, « Bruits », je tombe sur l’anecdote à l’origine de la création de la SACEM, qui je trouve, résonne avec les enjeux actuels de l’IA et de la rémunération des auteurs. A l’époque, en 1848, on interprétait les oeuvres populaires dans les cabarets sans rémunérer leurs auteurs. Un soir un auteur de chansons, Émile Bourget, et deux auteurs de comédies venus assister à une représentation au caf’conc’ des "Ambassadeurs" refusent de payer l’addition après avoir entendu leurs oeuvres lors du spectacle. Le proprétaire du caf'conc' ne veut rien entendre, ils doivent payer l'addition ! Un procès s’ensuit qui donne raison aux auteurs et va même plus loin en indiquant que tout représentation publique d’une oeuvre quelle qu’elle soit ne peut avoir lieu sans le consentement des auteurs. L’histoire aurait dû s’arrêter là car il était alors impossible pour les auteurs de contrôler tous les caf’conc’ et impossible pour leurs propriétaires de tracer et rémunérer tous les auteurs. Mais les trois auteurs, soutenus par l’éditeur Jules Colombier fondent la SACEM en 1850 pour faire appliquer ce jugement partout et relever le défi posé par la traçabilité des œuvres. La bourgeoisie "qui seule jusque là avait le droit d'entretenir des rapports financiers avec la musique" s'est opposée à cette initiative en invoquant la liberté de penser, en moquant le sous-genre de la chanson populaire : seuls les opéras et les symphonies méritaient la postérité. On connait la suite, les A/C ont pu vivre de leur musique de manière plus équitable, sans entraver le développement économique du secteur. Au contraire, la vente des partitions a explosé. Aujourd'hui OGC et ayant-droits demandent une transparence des bases de données et des transformations opérées par l’IAG, ces revendications sont contrecarrées par les arguments des acteurs de la tech au nom du progrès, de la compétitivité et de la liberté. On a vu que l'optout généralisé est inopérant: Udio et Suno.ai ont entraînés des modèles d'IAG redoutablement efficaces, en exploitant le catalogue de la musique enregistrée et ceci dans la plus grande opacité. Il faudrait donc, en écho à 1850, un procès, une décision de justice claire en faveur des auteurs et, une communauté d'ayant-droits et de développeurs mobilisés pour relever ce nouveau défi de la traçabilité des oeuvres servant à l'entrainement de modèles d'IA. Qui peut trouver une solution ? Le procès des majors contre Suno va-t-il déboucher sur un jugement clair ? En tout cas, #Suno a aussi certainement été entrainé sur les fanfares Duchemin d'aujourd'hui ! #sacem #intelligenceartificielle #tracabilité #droitdauteur #optout
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Comment l’IA, peut devenir un moteur de création de valeur ? L’adaptive learning peut-il remédier au décrochage scolaire ? Comment garantir la fiabilité et l'intégrité de l’information à l’ère de l’IA gen ? Comment assurer le passage à l’échelle des plateformes d'IA générative ? Concernant les modèles opérationnels, quels sont les paradigmes qui changent avec l’IA générative ? Autant de questions passionnantes au programme du MIF, que j’ai eu l’honneur et la fierté de préparer sur le côté édito : passionnant !
Très fière d’avoir contribué à la 8ème édition du #MastercardMIF2024 à La Seine Musicale ✅ Des speakers de renom se sont succédés tout au long de la journée pour évoquer les nombreuses thématiques autour de l’#IA, l’éducation, l’éthique, la créativité et l’#innovation 💡 Merci à nos clients, partenaires et intervenants qui ont rendu cette journée passionnante ! 🔴🟠 #MastercardEmployee Pénélope Chautard Judith Tuil Constance de Cambiaire Louise Ekland Brice V. Benoit Ripault Myriam Achaachi Donatienne Douriez Marie Cipriani Marianne Hoballah Boedec Camille LIEGEOIS Charlotte Bouneau Eve Catrix Benjamin Roux Lily Sharpe Titouan J.
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En 2023, nous avons capitalisé sur notre expertise en matière de droits d’auteur pour informer, conseiller et accompagner nos clients qui, tout au long de l’année, diffusent de la musique à travers tous les territoires et font vivre la création. 📈 Résultat ? La Sacem enregistre un niveau de collecte de droits d'auteur inédit (+18,5% de droits généraux par rapport à 2022) grâce à la qualité des accords passés avec ses clients, la puissance de ses outils de traitement des données et l’expertise de toutes les équipes de de son réseau régional ! 🎶 Le dynamisme du secteur du live, la densité de la vie culturelle et la vigueur du lien social dans les territoires, la poursuite du développement du numérique et l’affirmation de nouveaux usages (bars à ambiance musicale, salles de sport, fast channels…) ont également ouvert de nouvelles opportunités de diffusion de la musique, contribuant pleinement à la croissance des revenus en 2023. Cependant, nous sommes bien conscients que de nombreuses difficultés continuent de peser sur le secteur des industries culturelles et créatives. Soucieuse d’aider le retour du public dans les salles, la Sacem a accompagné de nombreux organisateurs de manifestations publiques, du café aux plus grands festivals, grâce à des dispositifs dédiés, tels que #TousEnLive, qui revient pour une 4e saison en 2024. Bravo à toutes les équipes présentes sur tout le territoire pour leur engagement quotidien auprès de nos clients au service de nos membres, les créatrices et créateurs qui nous font rêver ! 👏 Découvrez nos chiffres-clés 👉 https://bit.ly/4c4cE9G #Résultats2023 #Droitdauteur #Sacem
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‼️ 𝗖𝗹𝗮𝗿𝗶𝗳𝗶𝗰𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗜𝗺𝗽𝗼𝗿𝘁𝗮𝗻𝘁𝗲 : 𝗗𝗿𝗼𝗶𝘁𝘀 𝗱𝗲 𝗱𝗶𝗳𝗳𝘂𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗺𝘂𝘀𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗱'𝗲𝗻𝘁𝗲𝗿𝗿𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 Au début d'année 2024, un sujet a suscité de nombreux débats et clarifications dans le secteur des pompes funèbres : les droits de diffusion des musiques lors des enterrements. Voici les faits clés à retenir : ⚖️ 𝗗𝗲́𝗰𝗶𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗝𝘂𝗱𝗶𝗰𝗶𝗮𝗶𝗿𝗲 Le 31 janvier 2024, le tribunal judiciaire de Paris a rendu un verdict important concernant les droits d'auteur des musiques diffusées lors des cérémonies funéraires. OGF, acteur majeur des pompes funèbres en France, a été contraint de verser des droits à la Sacem (Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique) pour l'utilisation des chansons durant les enterrements. 🎼 𝗢𝗯𝗹𝗶𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗣𝗼𝗺𝗽𝗲𝘀 𝗙𝘂𝗻𝗲̀𝗯𝗿𝗲𝘀 Désormais, toutes les entreprises de pompes funèbres doivent s'acquitter des droits de diffusion pour les musiques utilisées lors des funérailles. Cette obligation vise à respecter les droits des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique. https://lnkd.in/ecD89TBG #PompesFunèbres #DroitsDAuteur #Sacem #Prévoyance #Enterrement #MusiqueFunéraire #SuliPrévoyance
Musiques d’enterrement : les pompes funèbres devront bien payer la Sacem pour leur diffusion
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