Post de Communication Gouvernementale

LA RÉUSSITE DU RÉFÉRENDUM SE JOUE DANS LA LOGISTIQUE Nous le savons tous, "le Gabon se prépare à organiser un référendum sur la révision de sa constitution, un événement majeur qui vise à redéfinir les bases institutionnelles du pays. Ce référendum, souhaité par les autorités de la transition, a pour objectif d'instaurer une gouvernance plus inclusive, adaptée aux aspirations des citoyens. Ce processus est perçu comme une opportunité historique pour renforcer la démocratie et offrir au peuple gabonais un avenir politique plus stable et équitable." Questions: 👉Quelle est la stratégie logistique mise en place pour l'organisation de ce référendum ? 👉Ou seront localisés les différents bureaux de vote ? 👉Comment s'effectuera le transport des équipes et la distribution du materiel de vote dans les différents lieux de vote ? 👉Comment s'effectueront les opérations d'approvisionnement, de transports , de stockages et de distributions du matériels de vote ? 👉Quels seront les ressources disponibles ? Quels sont les delais constitutionnel à tenir ? 👉Avons nous tirés les leçons des manquement logistiques observées lors des précédentes élections ? 👉Qui pour nous rassurer que LA LOGISTIQUE DU RÉFÉRENDUM à venir est PARFAITEMENT MAÎTRISÉE ? LA COMMUNICATION OUI....MAIS LA MAITRISE PARFAITE DE TOUTE LA CHAÎNE LOGISTIQUE LIÉE À L'ORGANISATION DU RÉFÉRENDUM A VENIR EST PRIMORDIALE. NE VOUS ENFERMEZ PAS DANS VOS BUREAUX...CONSULTEZ, CONSULTEZ AU MAXIMUM LES EXPERTS ET PROFESSIONNELS DE LA CHAÎNE LOGISTIQUE. LA RÉUSSITE DU RÉFÉRENDUM SE JOUE DANS LA LOGISTIQUE J.A

Phase cruciale de la transition": la campagne pour le référendum constitutionnel a ouvert au Gabon Programmé pour le 16 novembre, le référendum constitutionnel marque "un moment clé dans le processus démocratique", selon un communiqué du gouvernement. Voici les principales dispositions de la nouvelle Constitution: ◾️ Le Président est élu au suffrage universel pour 7 ans, avec la possibilité de se représenter une seule fois. Le scrutin est majoritaire uninominal à deux tours; ◾️ Le Président est assisté d’un vice-président du gouvernement qui assure la coordination de l’action gouvernementale ; ◾️ Le service militaire est obligatoire pour tous les citoyens; ◾️ Le français demeure la langue officielle du Gabon; ◾️ La société civile est un acteur majeur du développement "démocratique, économique, social, culturel et environnemental" du pays. sputnik_afrique

CONAKRY-En Guinée, le chronogramme de la transition va connaître un glissement. Initialement annoncées en fin 2024, les joutes électorales (locales, législatives, présidentielles) ne seront pas organisées cette année. C’est du moins ce qu’a dit le Premier ministre Bah Oury, lors d’un tête-à-tête avec des acteurs politiques.Le Chef du Gouvernement invoque des contraintes liées à la mise en œuvre du chronogramme. seul le référendum serait organisé en 2024 ». Le retour à l’ordre constitutionnel quant à lui, ne sera effectif qu’en 2025. Selon le chronogramme consolidé de la transition signé entre les autorités guinéennes et la Cedeao, le retour à l’ordre constitutionnel était prévu en début 2025. Mais depuis sa signature, la mise en œuvre du document a connu peu d’avancées. Les autorités demandent une enveloppe de 600 millions de dollars dont la mobilisation chez les partenaires connait une frilosité. En plus des contraintes financières, il y a que le Recensement Administratif à Vocation d’Etat Civil (RAVEC) duquel sera extrait le fichier électoral n’a pas encore commencé. La constitution qui sera soumis au référendum n’est pas encore publiée. #Chronogrammedelatransition https://lnkd.in/dCKkGu_q

Victoire du OUI au référendum : un moment historique pour notre nation Le verdict des urnes est tombé : avec plus de 91% des voix en faveur de l’adoption du projet de Constitution, le OUI l’emporte largement. C’est une étape décisive dans l’histoire de notre pays, une opportunité de renforcer les bases de notre République. Cependant, nous ne pouvons ignorer le fort taux d’abstention. Ce chiffre doit nous interpeller collectivement et nous pousser à redoubler d’efforts pour encourager une participation plus active à notre vie démocratique. La campagne référendaire, quant à elle, s’est déroulée dans un climat exemplaire, offrant à chaque camp l’opportunité de défendre ses idées dans le respect des convictions de tous. Cette nouvelle Constitution, fruit de la volonté du peuple souverain, constitue un socle fondamental pour bâtir un Gabon plus juste, plus inclusif et tourné vers l’avenir. Il nous appartient désormais, ensemble, de la défendre et de veiller à son application. Unissons-nous, Gabonais et Gabonaises, au-delà de nos différences, pour faire de cette loi fondamentale le ciment de notre cohésion nationale et de notre développement durable. L’histoire s’écrit aujourd’hui et elle nous appelle à être des bâtisseurs de l’avenir de notre nation.

Pourquoi devez-vous aller aux urnes pour le référendum ? En cette période de transition, tout citoyen gabonais doit voter au référendum pour plusieurs raisons cruciales. D’abord, le référendum permet aux citoyens de s’exprimer sur des changements importants qui peuvent façonner l’avenir politique et social du pays. C’est une occasion de participer activement à la définition des nouvelles orientations et des valeurs qui guideront la nation. Il s’agira de vous exprimer sur la nouvelle constitution qui nous sera présentée d’ici peu. Ensuite, voter au référendum renforce la légitimité du processus de transition. En s’impliquant, les citoyens montrent leur engagement envers la démocratie et leur volonté de contribuer à un avenir meilleur. Cela favorise également la cohésion sociale, car le vote peut rassembler les opinions diverses autour d’une vision commune pour le Gabon. Enfin, dans un contexte de changement, chaque voix compte. Le résultat du référendum peut avoir un impact significatif sur la stabilité et le développement du pays. En votant, les citoyens s’assurent que leurs préoccupations et leurs aspirations sont prises en compte dans les décisions qui façonneront leur vie quotidienne. Rendez-vous pris pour le 16 novembre. C’est OUI ou NON. La neutralité n’existe pas.

#Gabon : En marche vers le référendum. Le Gabon se trouve à un tournant décisif avec le référendum constitutionnel en période de transition, un moment où les citoyens doivent choisir la voie pour leur avenir. Pour certains, choisir le "OUI" représente l’espoir d’une refondation des institutions, d’une gouvernance renouvelée et d’une stabilité politique accrue. Les partisans du "OUI" voient dans ce référendum une chance unique de tourner la page des anciennes pratiques, de poser des bases solides pour un Gabon plus inclusif et plus juste, où chaque citoyen pourrait trouver sa place. Selon eux, cette réforme ouvre la voie à un renforcement des droits et responsabilités de tous, signe d’un avenir où l’État serait au service de la population. Cependant, ceux qui soutiennent le "NON" s’inquiètent des risques liés à une concentration excessive des pouvoirs entre les mains du Président. Ils soulignent également que la constitution proposée comporte des aspects exclusifs, empêchant, par exemple, des Gabonais de la diaspora de se porter candidats et imposant une obligation de mariage avec une personne gabonaise pour accéder à certaines fonctions...etc. Malgré ces divergences, ce référendum incarne une avancée démocratique pour le Gabon, même à un stade encore fragile de son développement. Il permet aux citoyens d’exprimer leurs choix et de contribuer activement à la construction de leur pays, démontrant ainsi une volonté de renforcer la voix populaire dans les décisions importantes. Que le "OUI" ou le "NON" l’emporte, ce référendum marque un pas en avant vers une démocratie plus engagée et inclusive. C'est un moment où chaque Gabonais peut peser sur l’avenir de la nation, renforçant la conviction que les réformes, pour être justes et durables, doivent être portées par tous. Dr. Placide Aubiang Nzeh

Par communiqué N°058 du Comité pour la Transition et la Restauration des Institutions , le comité constitutionnel national a été mis en place. Que ce Comité a lourde responsabilité de rédiger la nouvelle constitution qui devra refléter les aspirations du peuple gabonais et ainsi, rétablir une stabilité politique, économique et sociale. Alors que le projet de constitution n'a guère été soumis au Président de la Transition, que des voix s'élèvent en invitant les citoyens à voter le "Oui " ou le "NON" au Référendum avenir... Ce qui serait une entrave au débat démocratique. Qu'à la lecture conjointe des articles 54 et 56 de la constitution de 1991, les projets et propositions de Loi sont, après avis de la chambre administrative, délibérés en Conseil des ministres puis envoyés, pour examen, dans les commissions compétences de l'Assemblée Nationale avant toute délibération en séance plénière. Ma question est celle de savoir pourquoi tant d'agitation au sein de la classe politique ???

Ravi de partager avec mon réseau cette analyse des impacts des élections européennes sur la relation entre acheteurs et fournisseurs. Vers une mutation profonde à l'échelle de l'union mais aussi à l'échelle de la France. Un changement de paradigme qui touche le privé mais aussi le secteur public. Bonne lecture.

L’actualité française mouvementée de ce début d’été tend à nous faire oublier un autre sujet que nous avons un peu oublié. Il fut en effet un temps (lointain) où il avait été question d’élections européennes. Au passage, on les décrivait même comme les plus importante de l’histoire de la construction européenne. D’une certaine manière, vu du côté français, c’est vrai : jamais l’Europe n’avait été rapidement mise sous le tapis après ses élections. Sur ce point, nous, français, pouvons être fiers. Mais trêve de plaisanterie : ce jeudi doit se dérouler à Bruxelles l’élection des prochains acteurs déterminants de la politique européenne à venir. De ce vote dépend nombres de réformes à venir, alors s’y intéresser n’est peut être pas sans importance…

💡Publication du dernier numéro de Juris Associations dédié aux enjeux du futur mandat européen en matière d'économie sociale et solidaire. Aux côtés du Mouvement associatif, France générosités défend la directive européenne relative aux associations transfrontalières européennes adoptée en première lecture par les députés européens il y a quelques semaines. La directive visant à créer un nouveau statut d’association transfrontalière européenne, consacre la liberté d’association comme droit essentiel au bon fonctionnement de la démocratie et à l’exercice des autres droits fondamentaux. Alors que semble émerger de l'Assemblée nationale une remise en question du bien-fondé de dette directive avec le dépôt d'une proposition de résolution par la Commission des affaires européennes visant à s'opposer à celle-ci, il est essentiel de garantir la place des associations et, plus largement, du secteur non lucratif en Europe.