Post de CPME Nouvelle-Calédonie

l’économie doit être au centre de tout, le nouveau modèle calédonien doit s’appuyer sur les entreprises qui elles seules sont capables de créer de la valeur humaine et financière pour faire tourner le secteur public, ce dernier devant être au service de l’initiative privée.

𝟏𝟐𝐞 𝐫𝐞𝐧𝐜𝐨𝐧𝐭𝐫𝐞𝐬 𝐞́𝐜𝐨𝐧𝐨𝐦𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐝𝐮 𝐏𝐚𝐜𝐢𝐟𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐒𝐮𝐝 : 𝐥'𝐮𝐫𝐠𝐞𝐧𝐜𝐞 𝐞𝐬𝐭 𝐝𝐞 𝐦𝐚𝐢𝐧𝐭𝐞𝐧𝐢𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞𝐩𝐫𝐢𝐬𝐞𝐬 𝐜𝐚𝐥𝐞́𝐝𝐨𝐧𝐢𝐞𝐧𝐧𝐞𝐬 𝐞𝐧 𝐯𝐢𝐞 📍 La FEINC était présente aux 12e rencontres économiques du Pacifique Sud, co-organisées par les CPME de Polynésie Française et de Nouvelle-Calédonie fin novembre au ministère des Outre-mer, à Paris. C’était l’occasion d’alerter sur l’𝐔𝐑𝐆𝐄𝐍𝐂𝐄 économique et sociale que rencontre le territoire. Avec près de 800 entreprises détruites, 25 000 emplois menacés (soit près d’un tiers de l’effectif salarié privé) et une chute du PIB évaluée à près de 25 % , les départs s’accélèrent et la Nouvelle-Calédonie se retrouve dans une situation désastreuse. Accompagnée des CPME régionales et nationales, et des élus calédoniens, la voix de toutes les entreprises calédoniennes était portée lors de ce rendez-vous avec des demandes prioritaires : la poursuite du financement par l’Etat du chômage partiel et du fonds de solidarité (FSE), la question des assurances, la prise en compte de la jeunesse.. Il était important de rappeler l’autre urgence du moment dont vont dépendre les entreprises, créatrices de valeur ajoutée humaine et financière pour le territoire : celle du 𝐧𝐨𝐮𝐯𝐞𝐚𝐮 𝐦𝐨𝐝𝐞̀𝐥𝐞 𝐜𝐚𝐥𝐞́𝐝𝐨𝐧𝐢𝐞𝐧 !

#Polynésie #ESS - L’économie sociale et solidaire était le thème de la troisième journée de prospective économique organisée par l’Agence de développement économique. Le Pays veut préparer le terrain juridique et fiscal de ce « secteur d’avenir » déjà très présent au fenua de manière informelle, et qu’il intégrera dans sa feuille de route. Lire l’article intégral sur Radio 1 Tahiti 👉🏽 https://lnkd.in/gNJCtYTt L’économie sociale et solidaire est l’ensemble des activités de structures telles que les coopératives, les mutuelles, les associations, les fondations et les entreprises solidaires reconnues d’utilité publique. Un pan de l’économie qui, en métropole, représente 10% du PIB. Le chiffrage de son poids au fenua n’existe pas encore. Mais elle fait indéniablement partie de l’économie locale. Le ministre de l’Économie Tevaiti-Ariipaea Pomare décrit l’ESS comme « une économie plus résiliente, pour laquelle nous pensons que les Polynésiens ont un ADN particulier. » « C’est un modèle qui existe, parce que la solidarité est bien ancrée dans notre pratique quotidienne et dans notre cœur de Polynésien », renchérit la directrice de l’Agence de développement économique (ADE) Hinano TEANOTOGA. L’enjeu à présent est de construire le cadre juridique, réglementaire et fiscal de ce secteur et de l’intégrer dans la Stratégie de développement économique 2023-2033 du gouvernement. Une « semaine » de l’économie sociale et solidaire se tiendra en novembre, indique Tevaiti Pomare, « et nous inviterons le président d’ESS France Benoit Hamon. »

Le succès de Choose France ? Ça veut quand même dire quelque chose. C’est vrai, en ce moment c’est dur pour beaucoup de #PME. Chaque mois, nous égalons des records en matière de dépôts de bilan et le #chômage remonte. Dans ce contexte, on n’a pas franchement envie de chanter #cocorico. Pourtant, il y a quand même de bonnes nouvelles. L’une d’entre elles est le succès de la politique d’attractivité économique de la France menée par le gouvernement depuis quelques années. Elle s’appelle Choose France. (Moi, je prononce avec l’accent auvergnat. Ça fait chic à New York.) Ses résultats sont là, incontestables. Alors que nous n’avions pas bonne réputation sous François-EnnemiDeLaFinance Hollande, nous accueillons aujourd’hui autant de capitaux étrangers que les Anglais. 26,4 Mld $ contre 26,9 en 2 ans. Et, parce que les Grands Bretons ont eu la courtoisie de quitter l’UE, nous voici le pays le plus attractif d’#Europe ! Les investissements captés en 2024 sont moins créateurs d’#emplois : 24 000 en GB contre la moitié en France. Mais, vu d’où nous partons, c’est déjà une belle performance. J’ai piqué ces infos sur le dernier post de Dominique Delport. Elles sont saisissantes : 📌 2018: €2.1 Mld investments / 11 projects 📌 2021: €3.6 Mld / 22 projects → 7,000 jobs 📌 2022: €10.8 Mld / 35 projects → 4,000 jobs 📌 2023: €13 Mld / 28 projects → 8,000 jobs 📌 2024: €15 Mld / 56 projects → 10,000 jobs   Dans ces projets, une petite moitié sont industriels. Les grands sont sur-représentés, regretteront les partisans des PME industrielles enracinées. Mais pour lire régulièrement l’excellent travail du cabinet Trendeo, animé par David Cousquer (il collabore au think tank FFI), ça n’est pas étonnant. Les grandes unités sont en moyenne plus profitables que les petites. La taille compte aussi en industrie, donc. Et vu qu’on manque de grandes #usines qui ont la capacité d’entraîner les petites par effet de sous-traitance, il n’est pas idiot de chercher à en attirer. Autre élément intéressant : #ChooseFrance séduit aussi les #banques et les fonds d’#investissement. Vous allez dire que la #finance est devenue une obsession chez les FFI. Vous aurez raison. Car l’autre manière de créer des usines rentables, c’est de faire grandir nos PME #madeinfrance en investissant chez elles. Et, pour cela, on manque d’argent privé (l’argent public est déjà là, merci Bpifrance). Il faut donc renforcer la finance qui se met à disposition des PME françaises. Oui, on aurait tous préféré que ce soit une finance française souveraine. Mais comme nous fléchons peu de notre #épargne nationale vers l’investissement dans nos #entreprises, il faut bien qu’elles trouvent ailleurs. À ce propos, réservez votre soirée du 18 juin. On va vous annoncer la création d’un nouveau véhicule d’investissement FFI dédié aux PME #madeinFrance. Vous voulez plus d’info ? Eh bien, vous n’en aurez pas. C’est encore un demi-secret. Inscription sur le site. Bravo #ChooseFrance ! Par Laurent Moisson

📢 A lire - Loïc Gauthier président du Medef Seine et Marne : “Il faut vraiment se focaliser sur la #liberté d’#entreprendre” "Je rappelle quand même une chose fondamentale, comme le soulignait Patrick Martin, à #LaREF24. 100 % de la richesse est créée par l’agriculture et par les entreprises. Les seuls lieux où se crée de la richesse en France, ce sont les entreprises. Si on les freine, si on les bloque, si on leur impose des mesures insurmontables, elles vont créer moins de richesse. Et cette richesse, elle sert évidemment à payer les salaires et à créer les #emplois. Il faut vraiment se focaliser sur la liberté d’entreprendre. Laissez-nous faire et ne vous occupez pas de nous davantage." ➡ https://lnkd.in/g8PcDWAJ Béranger F. Alexandre Lejeune Jennifer Souvanna Lilou Alibert MEDEF Île-de-France Elena Natalitch Virginie Rhea Pôle Adhérents du MEDEF Valérie Colombain Olivier Marcaillou Demay

QUAND EST-CE QUE LES STRATÈGES AFRICAINS ENTRERONT-ILS ENFIN EN LICE ? On pense toujours à tort que le premier maillon de la construction  de la prospérité économique devrait revenir aux économistes Je suis pour ma part convaincu que le premier palier doit être traité par des stratèges visionnaires compétents et rigoureux qui doivent produire les idées et fixer les caps salvateurs. En d'autres termes le PLAN DE VOL Pour donner l'exemple du secteur de la construction, les stratèges sont les architectes, et les maçons les économistes Tres souvent en Afrique,  on neglige  cette première étape des stratèges ce qui amène  à construire n'importe comment. Or, rentabilité croissance et compétitivité sont bien plus le résultat d'une supériorité stratégique que d'avantages dus à la dimension ou à la surface financière. Le stratege analyse les forces et les faiblesses  du pays ainsi que les  opportunités et les menaces de l'environnement en vue de tracer le cap . Tres souvent on saute cette étape clef de la réflexion stratégique  en faisant recours directement aux économistes.  Ces derniers chiffrent les plans analysent sommairement leur faisabilité en copiant aveuglément d'autres modèles extérieurs. Or ces économistes ne doivent intervenir qu en second ressort pour mettre en musique le travail en amont des stratèges En intervenant,  il doivent passer de la simple  gestion budgétaire constituée d’une simple compilation de projets à de véritables politiques économiques. Exemple de stratégie Un pays comme le Sénégal bien situé géographiquement et doté de dividendes géopolitiques avec une tradition de tolérance légendaire aurait pu facilement développer de solides Hub dans le domaine du tertiaire : au plan touristique,  aéroportuaire,  portuaire et pourquoi pas devenir une place financière et médicale forte dans le monde et s'ériger en trait d'union entre les pays développés et ceux d'afrique  subsaharienne . Évidemment se positionnement différencié ne dispense pas le pays des progrès à accomplir dans les domaines vitaux La Côte d'Ivoire pourrait stratégiquement se positionner comme un industriel performant puisque etant "gaté par la nature"en termes de matières premières. il pourrait être un pays réceptacle des meilleurs transferts de technologie et être un exportateur de know how. Cette spécialisation stratégique dans des cœurs de métier à haut effet d'entraînement pourrait constituer de nouveaux moteurs pour le développement de l'Afrique Nous préconisons l'adoption dans les pays d'Afrique de deux organes permanents de réflexion stratégiques et économiques 1 un comité de stratégie économique  rattaché au cabinet du Premier ministre ,2 un cercle de politique économique placé sur le contrôle des ministères en charge de l'économie et des Finances La capacité à disposer de stratèges chevronnés devrait constituer un facteur clé de succès et un avantage concurrentiel certain dans un monde en plein mouvement HEC Paris Magaye GAYE

Aïe aïe aïe 🤨 Le consensus des membres de la Fondation Idea est que la croissance ne sera que de 0,7% pour 2024 et de 1,8% pour 2025. Ce qui inquiète la Fondation, c’est un marché de l’emploi qui se grippe et une croissance qui devient structurellement baissière, ce qui menace le modèle économique luxembourgeois. Le modèle économique luxembourgeois pourra-t-il passer le cap d’une deuxième récession en quatre ans ? Le directeur de la Fondation Idea, Vincent Hein, ne veut pas se montrer pessimiste. Mais pour lui, l’actuelle situation de polycrise met en avant les «angles morts» du système: l’incapacité de créer des logements en nombre suffisant, les effets du vieillissement démographique, l’assèchement progressif du bassin d’emploi transfrontalier ou encore la saturation des infrastructures. Tout cela met le système sous pression. À paramètres inchangés, en particulier sans nouveaux gains de productivité, des limites à la croissance luxembourgeoise existent», estime-t-il. Alors qu’il est désormais possible d’affirmer que l’économie luxembourgeoise a bien résisté aux soubresauts inédits de la pandémie de Covid grâce à une politique gouvernementale volontariste («Et kascht, wat et kascht» – «Ça coûte ce que ça coûte») et à un positionnement sectoriel favorable, le nouveau cycle qui s’est ouvert depuis 2022 avec la guerre en Ukraine apparaît au fil des bulletins économiques comme un épisode plus difficile à encaisser. Avec la récession de 2023, le Grand-Duché a quitté le podium des insolents growth performers de la zone euro en période de crise, le bilan des quatre années écoulées le classant autour de la huitième place sur 20 en matière de croissance économique», poursuit-il. Pour lui, le nouveau gouvernement s’installe dans une séquence où se cumulent ralentissement, incertitudes, défis à relever et attentes à satisfaire et où les marges de manœuvre diminuent. #luxembourg #business #crise https://lnkd.in/eqTTrZNg

" Il faut un changement de paradigme et d'éléments de langage. On a l'habitude de dire que la banlieue coûte au budget de l'État. C'est vrai. Mais elle est aussi rentable. On ne dit jamais combien les banlieues rapportent. Qui sait aujourd'hui que ces 250 000 entreprises dont je parle représentent 75 milliards d'euros de chiffre d'affaires ? Qui sait qu'elles emploient 200 000 équivalents temps plein en emplois directs ? Qui sait que la Seine-Saint-Denis, le troisième département le plus pauvre de France, est le huitième contributeur en matière de cotisations sociales ?" "Il est impératif de remettre la banlieue au cœur de la réflexion stratégique en matière économique. Aujourd'hui, la banlieue n'est pas citée dans le plan de réindustrialisation français de 54 milliards d'euros [le plan France 2030, doté d'un budget de 54 milliards d'euros sur cinq ans, NDLR]. La banlieue n'est pas envisagée comme un outil de ce plan de relance. Ce n'est pas acceptable." https://f24.my/AbIO.L

👩🏽💻L’emprise économique désigne le contrôle ou l'influence qu'un acteur, qu'il soit étatique ou privé, exerce sur une économie ou une partie de celle-ci. 🫰Cette influence peut se manifester par divers moyens, tels que des investissements directs, des politiques économiques, des prêts, ou encore des mesures commerciales. L’objectif principal de cette emprise est généralement de maintenir ou d'accroître une domination économique, souvent au détriment de l'autonomie économique du territoire concerné. 🇳🇨🇫🇷 👀Dans le contexte de la Nouvelle-Calédonie, l'emprise économique peut se voir dans la manière dont les ressources naturelles, en particulier le nickel, sont exploitées. 🎻Les entreprises étrangères et, dans une certaine mesure, les politiques économiques métropolitaines ont une influence significative sur l'économie locale. ♟️La dépendance de la Nouvelle-Calédonie vis-à-vis de ces entreprises et des décisions prises à Paris réduit sa capacité à gérer de manière autonome et durable ses propres ressources et à élaborer des stratégies économiques indépendantes. #ODD 🚨La récession actuelle en Nouvelle-Calédonie illustre cette emprise. Malgré les nombreuses alertes des entreprises locales sur les dangers économiques imminents, les politiques extérieures et les pressions économiques internationales ont conduit à une contraction économique forcée. 📉Les entreprises locales, confrontées à des décisions prises sans tenir compte de la réalité économique calédonienne, se retrouvent en difficulté, exacerbant ainsi la récession. 🏦Cette situation met en lumière les défis auxquels sont confrontés les territoires sous emprise économique : la difficulté de naviguer entre les intérêts locaux et les influences extérieures qui peuvent parfois être en contradiction. #ODD Objectifs de Développement Durable 🌏 https://lnkd.in/gxnCdVuZ