𝗗𝘂 𝟯 𝗮𝘂 𝟵 𝗷𝘂𝗶𝗻 𝟮𝟬𝟮𝟰 𝘀𝗲 𝗱𝗲́𝗿𝗼𝘂𝗹𝗲 𝗹𝗮 𝟯𝗲̀𝗺𝗲 𝗲́𝗱𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗦𝗲𝗺𝗮𝗶𝗻𝗲 𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗮𝗹𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝘀𝗮𝗻𝘁𝗲́ 𝘀𝗲𝘅𝘂𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗽𝗼𝗿𝘁𝗲́𝗲 𝗽𝗮𝗿 𝗹𝗲 𝗺𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗲̀𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗦𝗮𝗻𝘁𝗲́ 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗽𝗿𝗲́𝘃𝗲𝗻𝘁𝗶𝗼𝗻. 🏫 La promotion de la santé sexuelle passe notamment par l’éducation à la vie affective et sexuelle des plus jeunes. Ainsi, depuis 2001, il est prévu qu’une information et une éducation à la sexualité soient dispensées dans les écoles, les collèges et les lycées à raison d'au moins trois séances annuelles et par groupes d'âge. ❌ En dépit de cette obligation légale, réaffirmée dans une circulaire du ministère de l’Education nationale en 2018, celle-ci est loin d’être systématiquement mise en œuvre dans tous les établissements scolaires. Ces carences d’éducation à la sexualité des plus jeunes ne permettent pas une prévention efficace et peuvent emporter des conséquences importantes sur le bien-être, la santé et le respect des droits des enfants et des adolescents qui seront adultes demain. ▶ C’est la raison pour laquelle, le Défenseur des droits recommande depuis plusieurs années de garantir l’effectivité de la loi de 2001 prévoyant au moins trois séances annuelles d’éducation à la sexualité intégrant les dimensions sociales, affectives, de prévention et de soins, ainsi que la lutte contre les violences et pour l’égalité des sexes, des sexualités et des identités de genre. #santé #sexualité #éducation
Post de Défenseur des droits - Occitanie
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Face aux polémiques et attaques autour du futur programme d’éducation à la sexualité prévu pour présentation courant décembre, le Conseil économique, social et environnemental (CESE) réaffirme l’importance du droit à l’éducation à la vie affective, relationnelle et sexuelle (EVARS), comme présenté dans l’avis publié le 10 septembre dernier 🎙️Selon le président du CESE Thierry Beaudet, « L’EVARS n’est pas un acte de militantisme mais une question d’égalité, de consentement, de prévention de violences sexuelles et de protection pour nos enfants ». Alors que l’OMS constate une baisse alarmante de l’utilisation des préservatifs chez les adolescents et un risque accru d’infections sexuellement transmissibles et de grossesses non désirées, l’éducation à la vie affective, relationnelle et sexuelle (EVARS) devient cruciale dans une logique de protection des enfants et des jeunes. Présente à toutes les étapes du développement individuel, se déployant formellement et informellement dans les familles, à l’école et dans divers espaces fréquentés par les jeunes, elle permet de promouvoir les relations affectives saines, l’impératif de consentement, la reconnaissance des orientations sexuelles et des minorités de genre et la lutte contre les inégalités. Elle est également un moyen de prévenir et de combattre les violences sexuelles, et de promouvoir la santé sexuelle. Alors qu’une campagne ciblée vise le futur programme d’éducation à la sexualité, le CESE réaffirme l’importance de la mise en œuvre de ce droit à l’éducation à la vie affective, relationnelle et sexuelle face à un manquement criant du respect de cette obligation : malgré une loi de 2001 imposant trois séances annuelles d’éducation sexuelle tout au long de la scolarité, on estime que moins de 15 % des élèves en bénéficient, et 25 % des établissements scolaires n’ont jamais mis en place ces cours. Face à des conséquences sociales, sanitaires et financières importantes, et à une demande croissante de la part des jeunes générations, la mise en place effective d’une éducation à la vie affective, relationnelle et sexuelle devient un impératif de société. Pour répondre à ces enjeux, le CESE a formulé dans son avis publié en septembre une vingtaine de préconisations concrètes autour de trois axes pour la mise en place d’une stratégie nationale. 📄 Lire l'avis du CESE : https://lnkd.in/esVZb9_W ⏱️ Lire l'essentiel de l'avis : https://lnkd.in/epJhgu6V 🔎 En savoir plus : https://lnkd.in/gWGQjyHD Agathe Hamel - patricia Blancard - Marie-Josée Balducchi - Souâd Belhaddad - Inès BOUCHAUT-CHOISY - Majid El Jarroudi - Helno Eyriey - Benoit Garcia - Antoine Gatet - Valerie GAYTE - Cécile Gondard Lalanne - Catherine GUERNIOU - Evanne JEANNE-ROSE - Aminata NIAKATE - Fabienne TATOT - Jean Pascal THOMASSET - Claire Thoury - ANOUK ULLERN
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Face aux polémiques et attaques autour du futur programme d’éducation à la sexualité prévu pour présentation courant décembre, le Conseil économique, social et environnemental (CESE) réaffirme l’importance du droit à l’éducation à la vie affective, relationnelle et sexuelle (EVARS), comme présenté dans l’avis publié le 10 septembre dernier. Alors que l’OMS constate une baisse alarmante de l’utilisation des préservatifs chez les adolescents et un risque accru d’infections sexuellement transmissibles et de grossesses non désirées, l’éducation à la vie affective, relationnelle et sexuelle (EVARS) devient cruciale dans une logique de protection des enfants et des jeunes. Présente à toutes les étapes du développement individuel, se déployant formellement et informellement dans les familles, à l’école et dans divers espaces fréquentés par les jeunes, elle permet de promouvoir les relations affectives saines, l’impératif de consentement, la reconnaissance des orientations sexuelles et des minorités de genre et la lutte contre les inégalités. Elle est également un moyen de prévenir et de combattre les violences sexuelles, et de promouvoir la santé sexuelle.
Face aux polémiques et attaques autour du futur programme d’éducation à la sexualité prévu pour présentation courant décembre, le Conseil économique, social et environnemental (CESE) réaffirme l’importance du droit à l’éducation à la vie affective, relationnelle et sexuelle (EVARS), comme présenté dans l’avis publié le 10 septembre dernier 🎙️Selon le président du CESE Thierry Beaudet, « L’EVARS n’est pas un acte de militantisme mais une question d’égalité, de consentement, de prévention de violences sexuelles et de protection pour nos enfants ». Alors que l’OMS constate une baisse alarmante de l’utilisation des préservatifs chez les adolescents et un risque accru d’infections sexuellement transmissibles et de grossesses non désirées, l’éducation à la vie affective, relationnelle et sexuelle (EVARS) devient cruciale dans une logique de protection des enfants et des jeunes. Présente à toutes les étapes du développement individuel, se déployant formellement et informellement dans les familles, à l’école et dans divers espaces fréquentés par les jeunes, elle permet de promouvoir les relations affectives saines, l’impératif de consentement, la reconnaissance des orientations sexuelles et des minorités de genre et la lutte contre les inégalités. Elle est également un moyen de prévenir et de combattre les violences sexuelles, et de promouvoir la santé sexuelle. Alors qu’une campagne ciblée vise le futur programme d’éducation à la sexualité, le CESE réaffirme l’importance de la mise en œuvre de ce droit à l’éducation à la vie affective, relationnelle et sexuelle face à un manquement criant du respect de cette obligation : malgré une loi de 2001 imposant trois séances annuelles d’éducation sexuelle tout au long de la scolarité, on estime que moins de 15 % des élèves en bénéficient, et 25 % des établissements scolaires n’ont jamais mis en place ces cours. Face à des conséquences sociales, sanitaires et financières importantes, et à une demande croissante de la part des jeunes générations, la mise en place effective d’une éducation à la vie affective, relationnelle et sexuelle devient un impératif de société. Pour répondre à ces enjeux, le CESE a formulé dans son avis publié en septembre une vingtaine de préconisations concrètes autour de trois axes pour la mise en place d’une stratégie nationale. 📄 Lire l'avis du CESE : https://lnkd.in/esVZb9_W ⏱️ Lire l'essentiel de l'avis : https://lnkd.in/epJhgu6V 🔎 En savoir plus : https://lnkd.in/gWGQjyHD Agathe Hamel - patricia Blancard - Marie-Josée Balducchi - Souâd Belhaddad - Inès BOUCHAUT-CHOISY - Majid El Jarroudi - Helno Eyriey - Benoit Garcia - Antoine Gatet - Valerie GAYTE - Cécile Gondard Lalanne - Catherine GUERNIOU - Evanne JEANNE-ROSE - Aminata NIAKATE - Fabienne TATOT - Jean Pascal THOMASSET - Claire Thoury - ANOUK ULLERN
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Faute de financement, le programme territorial d’éducation à la vie affective, relationnelle et sexuelle (EVRAS) - dit « Sorties Santé » - mené par l’association parisienne de promotion de la santé & éducation populaire AREMEDIA dans plusieurs Quartiers Prioritaires de la Ville (#QPV) du 10ème arrondissement de Paris, est menacé de disparition. En dépit, de la part des chefs d'établissements, d’une demande croissante d’année en année, à laquelle AREMEDIA ne peut répondre Ces actions, qui se déroulent sous forme de « sorties » scolaires, permettent, à la faveur de la médiation externe réalisée par l’association, d'aborder librement avec les jeunes les questions qui les préoccupent Dans un cadre associatif (#PlanningFamilial, associations #LGBTQIA+, etc.) ou, en présence d'un médecin, au sein de lieux ressources de proximité tels que les #CeGIDDs de l'hôpital Fernand-Widal (AP-HP) ou de Belleville (Ville de Paris). Afin de permettre aux élèves de s’approprier les lieux ressource de leur territoire et, le moment venu, d’en lever les freins d’accès Pêle-mêle surgissent au fil de ces échanges diverses interrogations actuelles concernant le jeune âge : la notion de #consentement, les #ViolencesSexuelles, la #pornographie, l'#IVG, la #contraception (y compris d'urgence), les #InfectionsSexuellementTransmissibles (dont le #VIH), la vaccination contre les #papillomavirus, etc. C'est aussi l'occasion, pour les acteurs associatifs d'AREMEDIA, d'échanger spontanément avec les élèves, "hors les murs" de leur école, et, chemin faisant, de s'efforcer de déconstruire, sans jugement, certains stéréotypes spontanés, parfois encore profondément ancrés : #sexisme, #inégalités de #genre, #homophobie et autres #discriminations, etc. A travers une dimension collective, ces interventions brèves (une demie journée) cherchent à renforcer les « compétences psycho-sociales » (estime de soi, gestion des émotions, savoir dire non, respect du corps, tolérance, respect de soi et d’autrui, etc.) Ce programme, qui fait l'objet d'une pré/post-évaluation, obtient des résultats convaincants En pratique, ces actions d’éducation à la vie affective et sexuelle menées au bénéfice des xn--collgien-40a.ne.s ne sont pas réalisées par la communauté éducative qui, il faut le reconnaître, n'en est pas en capacité, pour de multiples raisons, en dépit des recommandations du Ministère Aussi, depuis de longues années l’association de promotion de la santé & éducation populaire AREMEDIA, dans son rôle, s'efforce -t-elle de pallier ce manque Cependant, faute de financement, et bien que reconnu pertinent par de nombreux acteurs du territoire, ce programme, conçu et développé de longue date par l'association AREMEDIA, est aujourd’hui menacé de disparition Signez la pétition https://lnkd.in/g73zdqBJ Ministère de l'Education Nationale Agence Régionale de Santé (ARS) Île-de-France Mairie du 10ème
Malgré la polémique qui entoure le sujet et les fausses informations qui circulent, les programmes d’éducation à la vie affective et relationnelle en primaire, et à la vie affective, relationnelle et sexuelle à partir du collège sont essentiels pour permettre aux jeunes d’avoir des relations épanouies et respectueuses. Pour leur donner les clés vers une sexualité consentie, épanouie et protégée, lorsqu’ils et elles le souhaiteront. Faites entendre vos voix face aux mouvements réactionnaires et signez la pétition de Parents et féministes. Nous avons aussi besoin de vous pour un large partage! Merci infiniment!
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En 2023, un sondage réalisé par Sidaction nous apprends qu’1/4 des jeunes interrogés estime être mal informés sur le vih, 37% pensent qu'il y a un vaccin, 30% pensent qu'on peut l'attraper en s'embrassant. Ces jeunes ont très peu de connaissance sur le depistage, 35% ne savent pas où aller pour en faire un, 18% parlent de prendre un Doliprane pour empêcher la transmission du vih. Que faut il d’autre pour mettre en place ces temps d’information et de prévention indispensables pour qu’ils puissent se protéger et protéger les autres au mieux ?
Malgré la polémique qui entoure le sujet et les fausses informations qui circulent, les programmes d’éducation à la vie affective et relationnelle en primaire, et à la vie affective, relationnelle et sexuelle à partir du collège sont essentiels pour permettre aux jeunes d’avoir des relations épanouies et respectueuses. Pour leur donner les clés vers une sexualité consentie, épanouie et protégée, lorsqu’ils et elles le souhaiteront. Faites entendre vos voix face aux mouvements réactionnaires et signez la pétition de Parents et féministes. Nous avons aussi besoin de vous pour un large partage! Merci infiniment!
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❓Pourquoi les jeunes boudent-ils le préservatif ? Le dernier rapport Inserm/ANRS révèle une réalité préoccupante : l’usage du préservatif lors du premier rapport sexuel est en baisse chez les moins de 30 ans, atteignant 75,2 % pour les femmes et 84,5 % pour les hommes entre 2019 et 2023. Plus encore, seuls 50,5 % des femmes de 18 à 29 ans l’utilisent avec un nouveau partenaire. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : il y a encore un manque de sensibilisation, même dans une société où l’information est accessible. Comme l’explique Caroline Moreau, épidémiologiste à l’Inserm : « Il faut porter plus d’attention à l’éducation à la sexualité, mettre en avant une sexualité choisie, mais sans danger et protégée. » Chez Intim'Ed, nous croyons fermement qu’une éducation complète, inclusive et adaptée aux réalités des jeunes est essentielle pour leur permettre de faire des choix éclairés. Notre plateforme vise à outiller enseignants et élèves en proposant des ressources numériques éducatives engageantes et bienveillantes pour : ✅ Déconstruire les tabous ✅ Renforcer la prévention ✅ Encourager des pratiques sexuelles responsables 📢 La baisse de l’utilisation du préservatif est un signal d’alarme qui appelle à une action collective. Avec Intim’Ed, nous souhaitons faire partie de la solution en accompagnant les jeunes dans cette période clé de leur vie. #ÉducationSexuelle #IST #Prévention #IntimEd #éducation
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Dans le canton de Fribourg, il est possible d'être dispensé des cours d'éducation sexuelle 🧑🏫 Les futurs ateliers de sensibilisation face aux discriminations pourraient être soumis au même régime 🌍. Ces deux thématiques sont pourtant essentielles pour garantir le bien-être et la protection de chaque enfant. C'est pourquoi, avec mon collègue député Alexandre Berset, nous avons déposé une motion pour demander la suppression de cette possibilité de dispense. 💡 L’éducation sexuelle permet de transmettre des informations fiables et nécessaires pour le développement de chaque enfant, tout en jouant un rôle clé dans la prévention des abus sexuels. Protéger nos enfants, c’est les informer ! 🛡️ 🤝 Quant aux ateliers de sensibilisation face aux discriminations, ils contribueront à promouvoir le vivre-ensemble et à lutter contre les préjugés au sein de nos écoles. Aucun enfant ne devrait être privé de cette éducation au respect et à l'inclusion. En supprimant la possibilité de dispense, nous veillons à garantir à tous les enfants du canton de Fribourg l’accès à ces outils éducatifs indispensables. Bien sûr, des solutions adaptées peuvent être proposées pour des situations spécifiques, mais l'objectif reste de protéger chaque élève en lui donnant les moyens de comprendre et de se défendre.
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À propos de l'éducation affective, relationnelle et sexuelle dans les écoles, collèges et lycées. Risque de suicide multiplié par 2,5 pour les jeunes femmes lesbiennes et par 8 pour les jeunes gays et pour les personnes transgenres. Persistance de l’idéal viril conquérant et toxique, au détriment des filles, des femmes, des hommes jugés pas suffisamment masculins, des personnes transgenres ou qui ne se sentent pas à l’aise avec les deux identifications de genre qui leur sont jusqu’ici offertes. Nécessité d’éduquer les jeunes au consentement nécessaire de la (ou du) partenaire. 160 000 enfants sexuellement agressés (il s’agit souvent d’incestes). 30% des jeunes pensent que le sida se transmet par un baiser, 25% en s’asseyant sur des toilettes. 17% seulement des élèves ont eu droit aux séances d’ « éducation affective, relationnelle et sexuelle » pourtant prévues par la loi française. Et que dit Alexandre Portier, le ministre délégué en charge de la réussite scolaire et de l’enseignement professionnel, à propos du programme d’éducation sexuelle bientôt officialisé ? Que « la théorie du genre n’a place à l’école » et que « le militantisme n’a pas non plus sa place dans nos écoles ». Traduisons, si vous voulez bien : si on sensibilise les jeunes scolarisés à la sexualité et à la vie affective, silence sur l’homosexualité (et tant pis pour les 5 à 10% de futurs homos dans chaque classe), silence sur la transidentité (et tant pis pour ces milliers de jeunes persuadés qu’ils n’ont leur place nulle part -pas sûr qu’ils ne finissent pas par avoir raison-), silence sur les violences imposées par de trop nombreux garçons à leur compagne, silence sur les risques liés à des pratiques sexuelles non protégées (grossesse non désirée, VIH et autres infections sexuellement transmissibles). Que reste-t-il? Comment s’y prendre pour faire des bébés dans le cadre du mariage? Pendant des années, à l’époque où les malades du sida tombaient par milliers, avec des centaines de camarades de Aides, parmi lesquels d’autres gays, des lesbiennes, des femmes hétérosexuelles (comment ne pas penser à notre amie Paule, centenaire, ancienne du planning familial ?), nous avons multiplié les interventions en collèges et lycées, palliant aux insuffisances de l’éducation nationale. Que s’est-il passé depuis dans les écoles? En dépit de l’implication de quelques centaines d’enseignant·es, d’infirmier·es et de médecins scolaires, rien ou presque rien. Quand les responsables politiques responsables de cette inaction et de la diffusion de ces idées nauséabondes qui nourrissent encore aujourd’hui le mal-être de tant de jeunes seront-ils poursuivis pour rendre compte devant la Justice? https://lnkd.in/d6gqGbbD
Education à la sexualité : après les propos du ministre délégué Alexandre Portier, la Ciivise et le Planning familial répliquent aux pressions conservatrices
lemonde.fr
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🏫Développer une bonne #estime de soi est crucial, tout comme discuter de l'#impact des images violentes sur les réseaux sociaux.🖥️ 🚼L’éducation à la #sexualité n’est pas #récente, une longue gestation et une obligation légale depuis 2001 📩Une réponse ; La BOAT est un dispositif de #prévention et d'#éducation conçu par le CRIAVS Languedoc-Roussillon, un centre de ressources dédié aux violences #sexuelles et sexistes . Cet outil s'adresse à l'ensemble des professionnels travaillant avec des mineurs de 5 à 18 ans.💯 #éducationsexuelle #école #prévention #santé 🌐Est-ce un défi de #santé #publique en raison d'un phénomène mondial ? Qu'en pensons nous ? 🖍️ https://lnkd.in/e2kgY6JG
Une nouvelle éducation à la sexualité dans les établissements scolaires ?
theconversation.com
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[ÉDUCATION SEXUELLE, ADOLESCENTS, ÉCOLES, SEXUALITÉ, ÉDUCATION À LA SANTÉ] Caractéristiques des programmes d'éducation émotionnelle et sexuelle dans la population scolaire espagnole. Bien que des programmes d’éducation sexuelle existent dans pratiquement toutes les communautés autonomes, les interventions sont principalement menées dans l’enseignement secondaire, sans tenir compte des besoins sexuels des élèves de l’enseignement primaire. Les matières étudiées sont facultatives, ce qui limite leur portée. De plus, les matières du programme sont vouées à disparaître en raison des législations récemment approuvées. Les programmes conformes aux recommandations publiées, ainsi que les matières du programme, peuvent être un bon point de départ pour avancer dans la conception d’une intervention universelle et obligatoire, conformément aux recommandations internationales. Il est essentiel que les gouvernements et les établissements d’enseignement reconnaissent l’importance de l’éducation sexuelle complète comme un droit fondamental des jeunes. Cela signifie inclure l’ESC dans les programmes de manière obligatoire et veiller à ce que les enseignants soient correctement formés pour la dispenser efficacement. En outre, il est nécessaire de promouvoir une culture d’ouverture et de dialogue autour des questions sexuelles et de garantir l’accès aux services de santé sexuelle et reproductive. Les jeunes devraient avoir un accès confidentiel à la contraception et aux tests de dépistage des IST/VIH. Cela nécessite des politiques qui facilitent la disponibilité et l’accessibilité de ces services. En bref, investir dans une éducation sexuelle complète profite non seulement aux jeunes individuellement, mais aussi à la société dans son ensemble en favorisant la santé, l’égalité des sexes et la prévention des maladies. Philippe MARTIN Jenny R. Marion Bayard Harimanda Lova Tiana Serge Gottot Celeste Van den Broeck Ivana Milovanovic Lynda Rita Toussa #ÉducationSexuelle #ÉducationSanté #Adolescents https://lnkd.in/euVT3Fsa
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Qui met réellement les enfants en danger ? La question de l'éducation à la vie affective, relationnelle et se*uelle est au cœur des débats. Dernièrement, l'attaque de certains sénateurs contre le nouveau programme, ainsi que l'intervention du Ministre délégué à la réussite scolaire et à l’enseignement professionnel lui-même, a suscité de vives réactions. Mais qui met réellement les enfants en danger ? J'ai eu l'occasion de répondre aux questions de Xavier Régnier pour débunker certaines fake news et expliquer les implications de ce nouveau programme. Le silence sur des sujets comme le consentement, les violences se*uelles ou la diversité des orientations se*uelles ne fait qu'entretenir des tabous, exposant nos jeunes à des dangers réels. Refuser d’éduquer, c’est les exposer à des risques bien plus grands que ceux que certains prétendent dénoncer. Les agresseurs se nourrissent de ce silence. Les victimes, elles, n’ont ni protection ni soutien. L'éducation à la vie affective, relationnelle et se*xuelle n'est pas un choix, c'est un impératif pour créer une société plus juste et plus sûre alors même qu’en France, toutes les trois minutes, un enfant est victime d'inceste, de viol ou d'agression se*uelle. Alors, qu'est-ce qui met réellement les enfants en danger ? Soyons clairs : ce sont les détracteurs de l'éducation à la vie affective, relationnelle et se*uelle qui cherchent à maintenir les tabous, alimentant ainsi la peur chez les enfants de parler et l'absence de prise en compte de leur réalité. Pour en savoir plus sur cette polémique et les enjeux de cette réforme, lisez cet article de 20 Minutes : https://lnkd.in/egdnUE-p #EVRAS #Consentement #ProtectionDesEnfants #BriserLeSilence #Égalité
Sénateurs LR, fake news... L'éducation à la sexualité encore attaquée
20minutes.fr
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8 moisBonne remarque !