La question de la vie chère en Martinique est un véritable enjeu pour les habitants de l'île. Il ne s'agit pas seulement d'un problème économique, mais aussi d'une question d'équité et de justice sociale. Les écarts de prix par rapport à la métropole, que ce soit sur les produits de première nécessité ou les services, sont difficiles à justifier, surtout dans un contexte où le pouvoir d'achat des Martiniquais est généralement plus faible. Il est temps d'agir pour que tous les Martiniquais ainsi que les autres départements d’outremer puissent vivre dignement, malgré les contraintes spécifiques liées à leur territoire insulaire.
Post de Davy Saingré
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𝗡𝗢𝗨𝗩𝗘𝗟 𝗔𝗥𝗧𝗜𝗖𝗟𝗘 : Un accord historique pour la lutte contre la vie chère en Martinique - https://lnkd.in/eJTGfGEz Fort-de-France, le 16 octobre 2024 – Après plus de 60 heures de négociations intenses, un accord majeur a été signé le mercredi 16 octobre entre la Collectivité Territoriale de Martinique (CTM), l’État, les parlementaires, ainsi que plusieurs acteurs économiques de premier plan. Cet accord, résultat de la septième table ronde de discussions, représente un tournant important dans la lutte contre la vie chère en Martinique. Ce protocole d’objectifs et de moyens vise à soulager les familles martiniquaises en baissant les prix sur des milliers de produits essentiels, tout en renforçant la production locale et en instaurant davantage de transparence dans ANTILLA MARTINIQUE
Un accord historique pour la lutte contre la vie chère en Martinique
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La revue de presse du retail : Ostréiculture : Un an après, la crise sanitaire des huîtres se fait-elle encore ressentir ?: Olivier Laban consent que du côté de la grande distribution, la situation est tout de même particulière. « Certes, elle a fait le choix d'abaisser ... ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #retail #distribution #commerce
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𝗠𝗮𝗿𝘁𝗶𝗻𝗶𝗾𝘂𝗲 - 𝗩𝗲𝗿𝘀 𝗨𝗻 𝗘𝗺𝗯𝗿𝗮𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗜𝗺𝗺𝗶𝗻𝗲𝗻𝘁? Il faut vraiment arrêter de dire et d'écrire que « La Martinique est en proie à une mobilisation contre la vie chère ». La réalité est que La Martinique est en proie à de véritables émeutes de la faim. Les causes racines du coût de la vie qui explose sont pourtant connues : 1️⃣ En Martinique, plusieurs familles Béké (descendants des colons européens) dominent l’économie locale, entre autres toute la grande distribution. Ces familles ont une influence considérable sur l’économie martiniquaise en raison de leur part de marché majoritaire dans le commerce alimentaire, l’agro-industrie et l’immobilier : 1. 𝙂𝙧𝙤𝙪𝙥𝙚 𝘽𝙚𝙧𝙣𝙖𝙧𝙙 𝙃𝙖𝙮𝙤𝙩 (𝙂𝘽𝙃) : Le plus influent en Martinique, ce groupe est un acteur majeur dans la grande distribution, mais aussi dans d’autres secteurs comme l’automobile, l’industrie, et la construction. En matière de grande distribution, le groupe GBH gère plusieurs enseignes importantes comme Carrefour, Hyper U, et Mr. Bricolage. 2. 𝙁𝙖𝙢𝙞𝙡𝙡𝙚 𝘿𝙚𝙨𝙥𝙤𝙞𝙣𝙩𝙚𝙨 : Cette famille détient plusieurs enseignes sous l’égide du groupe Cora. Elle contrôle également des enseignes de supermarchés et hypermarchés comme Match. Son influence est surtout marquée dans la distribution alimentaire. 3. 𝙂𝙧𝙤𝙪𝙥𝙚 𝙃𝙤 𝙃𝙞𝙤 𝙃𝙚𝙣 : Cette famille contrôle notamment Hyper Casino et ses supermarchés associés. 2️⃣ Transport Maritime : le frêt qui alimente l'île est largement contrôlé par le Groupe CMA-CGM (Rodolphe Saadé, très proche de notre président), qui peut facilement influencer le prix des containers acheminés en Martinique, et qui ne s'en prive pas. 𝗖𝗼𝗺𝗺𝗲 𝗹𝗲 𝗰𝗵𝗮𝗻𝘁𝗮𝗶𝘁 𝘀𝗶 𝗯𝗶𝗲𝗻 𝗚𝗲𝗼𝗿𝗴𝗲𝘀 𝗕𝗿𝗮𝘀𝘀𝗲𝗻𝘀 : C'était pas des amis choisis Par Montaigne et La Boétie Sur le ventre, ils se tapaient fort Les copains d'abord C'était pas des anges non plus L'Évangile, ils l'avaient pas lu Mais ils s'aimaient toutes voiles dehors Toutes voiles dehors Jean, Pierre, Paul et compagnie C'était leur seule litanie Leur Credo, leur Confiteor Aux copains d'abord...
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La revue de presse du retail : En Martinique, les citoyens ont des propositions concrètes contre la vie chère - Basta!: ... grande distribution, et au laisser-faire de l'État ... Ils font face à l'opacité des marges de la grande distribution, et au laisser-faire de l'État. ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #retail #distribution #commerce
En Martinique, les citoyens ont des propositions concrètes contre la vie chère
basta.media
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Les distributeurs locaux ne pratiquant pas de marges supérieures à celles en vigueur en Métropole, désigner les acteurs privés à la vindicte populaire s’avère aussi populiste que contreproductif. A court et moyen termes, seul l’Etat peut, par des mesures fiscales ciblées, rééquilibrer le différentiel de prix et soulager les ménages martiniquais. Une réflexion doit par ailleurs être engagée dans les territoires ultramarins sur les moyens de parvenir, à plus long terme, à plus d’autonomie alimentaire
Martinique : comment sortir de la spirale de la vie chère ? – par Cyrille Lachèvre
lopinion.fr
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La revue de presse du retail : Vie chère : caddie rempli et caddie abandonné en Guadeloupe: ... alerter sur le coût des produits de grande distribution. Une manière de s'aligner sur la mobilisation du RPPRAC en Martinique. ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #retail #distribution #commerce
Vie chère : caddie rempli et caddie abandonné en Guadeloupe
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🗞️ 𝐀𝐫𝐭𝐢𝐜𝐥𝐞 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐋’𝐈𝐧𝐝é𝐩𝐞𝐧𝐝𝐚𝐧𝐭 𝐝𝐮 𝐝𝐢𝐦𝐚𝐧𝐜𝐡𝐞 𝟐𝟒 𝐧𝐨𝐯𝐞𝐦𝐛𝐫𝐞 - 𝐩𝐫𝐨𝐣𝐞𝐭 𝐝’é𝐥𝐚𝐫𝐠𝐢𝐬𝐬𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐮 𝐩é𝐫𝐢𝐦è𝐭𝐫𝐞 𝐝𝐮 𝐌𝐚𝐫𝐜𝐡é 𝐝𝐞 𝐠𝐫𝐨𝐬 𝐓𝐞𝐫𝐫𝐨𝐢𝐫𝐬 𝐏𝐫𝐢𝐦𝐞𝐮𝐫𝐬 👨🌾 Perpignan Méditerranée Métropole Marché de Gros Perpignan Méditerranée ✍🏼 Nous sommes loin de la bataille au sujet de l’accord de libre-échange avec le Mercosur que souhaite imposer Ursula von der Leyen, présidente de la commission européenne, à la France et aux États membres. Accord qui vise à éliminer les barrières tarifaires des échanges commerciaux internes et qui aurait pour conséquence d’instaurer une concurrence totalement déloyale et insupportable pour l’agriculture française qui est la plus rigoureuse du monde. Nous en sommes loin, mais je veux que l’on agisse concrètement pour le quotidien de nos producteurs et notamment ceux de notre marché de gros Terroirs Primeurs qui sont engagés dans une pratique éthique et ne travaillent qu’en circuit court. L’ouverture du périmètre du Marché de gros est la condition de son développement. Le politique doit s’emparer de ce projet qui est nécessaire à le revitalisation de ce lieu historique. En créant une continuité entre les halles agroalimentaire et aux carreaux, en donnant la possibilité à nos agriculteurs et maraîchers de se diversifier auprès de nouvelles clientèles, en y installant la SCIC Le Local qui distribue des produits locaux et bio pour la restauration collective, nous donnerons une nouvelle dynamique au Marché de gros et offrirons surtout aux petits producteurs une diversification des ventes autour de nouvelles clientèles. Il ne s’agit plus de dire « qu’il faut consommer local, favoriser les circuits courts et les productions raisonnées. » Il s’agit de s’en donner les moyens et de le pratiquer dans les faits ! L’ouverture du périmètre du Marché de gros est un enjeu de territoire pour tous nos petits producteurs du département qui souffrent de conditions climatiques dramatiques, de la proximité avec l’Espagne et qui peinent à survivre dans un contexte réglementaire dérégulé et foncièrement inéquitable. Donnons-leur les moyens de se développer en élargissant le périmètre du Marché de gros Terroirs Primeurs ! FMGF - Fédération des Marchés de Gros de France Stéphane Layani
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La revue de presse du retail : Martinique sous couvre-feu : pourquoi les citoyens se mobilisent contre la vie chère - Basta!: D'après la grande distribution, les prix élevés en Martinique sont liés au grand nombre d'intermédiaires entre les fournisseurs et les magasins. © ... ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #retail #distribution #commerce
La Martinique sous couvre-feu : pourquoi les citoyens se mobilisent contre la vie chère
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David MOUTOUSSAMY Félicitations pour cette analyse ! C’est bien notre consommation qui est en question. Comme en 2009 une crise de consommation pousse la population dans les bras de populistes qui imaginent une solution simpliste. Si la forme de la contestation est aberrante, le fond l’est tout autant. Croire que la baisse des prix des produits importés serait bénéfique pour notre économie et la population, n’est qu’un pis-aller ! À court terme, nous consommerions plus certes, mais deviendrons encore plus dépendants de l’import. À long terme la crise de consommation reviendra encore et encore. Si nous sommes un peuple, alors prenons le partie pris des produits et marques de notre territoire. Si l’entreprise génère de la valeur ajoutée par des emplois et des investissements « bô kay », même si elle importe sa matière première pour la valoriser, elle doit être perçue comme locale. Et c’est aux consommateurs de faire le choix ! Et aux politiques de ne pas charger ces produits en taxes ! Ne nous trompons pas c’est bien notre rôle de nous libérer du 100% importation commerciale. C’est vrai pour l’alimentation, mais aussi pour les marchés publics. La préférence locale c’est le bon choix. 👍🏾
An nou arrêté sa ! STOP 🛑 ! Se réveiller le matin et constater que son entreprise a été incendiée dans la nuit est un choc inimaginable. J’adresse mes pensées les plus sincères à tous ces chefs d’entreprises touchés par cette situation. Je n’arrive même pas à imaginer la tristesse et le désarroi des dirigeants et employés concernés. Les entreprises Martiniquaises contribuent aux besoins de l’île. Certains peuvent croire qu’il y a des injustices dans le pays mais le marché s’adapte tout simplement en fonction de la demande du peuple qui lui aussi devrait se remettre en question sur le mode de consommation… Il y a beaucoup de choses à revoir, nous sommes tous concernés et unis dans cette grande aventure qu’est le succès de la Martinique ! Chers politiciens, chers importateurs, Monsieur le Préfet de la Martinique, Monsieur le Ministre membres du gouvernement Français, les leviers sont entre vos mains pour trouver la meilleure issue pour les Martiniquais ! Bien à vous,
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