#NouvellesGroupeMat – Le CC-295 Kingfisher a achevé le dernier essai d'immersion à froid au laboratoire climatique McKinley de la base aérienne d’Eglin, en Floride. Cet essai sert à assurer la capacité CC-295 Kingfisher à opérer dans l'environnement climatique canadien extrême. Cet essai confirmera que les équipes de recherche et de sauvetage de l'ARC peuvent accéder aux régions les plus septentrionales du Canada en plein hiver, avec un soutien terrestre limité. Les exigences relatives à l'immersion dans le froid exposent l'aéronef à des températures comprises entre -40 ⁰C et -51 ⁰C pendant 24 heures au maximum. Les essais assurent que l'aéronef et les équipements associés fonctionnent dans cette plage de températures. Une campagne d’essais à gamme ouvert s’est déroulée à Yellowknife pour valider la capacité de décollage complet. Cette campagne a permis de recueillir des données qui seront utilisées pour achever la certification de l’avion, mettre en œuvre des modifications spécifiques au temps froid et qualifier l’avion conformément aux exigences contractuelles. #BienÉquipés
Post de Matériel de défense SMA(Mat)
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➡ Le PANG, un porte-avions au cœur (nucléaire) des futurs enjeux stratégiques de la France Depuis quelque temps, le nom du successeur du porte-avions Charles de Gaulle est au cœur des débats. Preuve, s’il en est, de l’importance de ce vecteur stratégique dans l’inconscient collectif. Quels seront l’emploi et les capacités de ce porte-avions de nouvelle génération (PANG) ? Explications. Par Pierre d'Herbès 🇨🇭🇫🇷’ Expert en intelligence économique, fondateur du cabinet dHC Le futur porte-avions sera construit dans le cadre d’un partenariat resserré entre Naval Group et les Chantiers de l’Atlantique. Le coût global du projet, qui devrait entrer en phase de « développement-réalisation » fin 2025 avec la notification de la commande par la Direction générale de l’armement (DGA), est estimé à une bagatelle de 10 milliards d’euros. . La construction navale reconnaissante De quoi donner une nouvelle bouffée d’oxygène au secteur de la construction naval mais « pas de quoi enrayer la dynamique des marchés concurrents, notamment asiatiques » nous explique Axel Trinquier, consultant en intelligence économique chez Affinis Defense. En effet, « si la construction navale française demeure compétitive sur des segments de marché refuge, à l’instar des bâtiments de guerre ou encore des navires de croisières, elle est globalement absente sur le reste ». Le PANG représente un vrai saut quantitatif par rapport à son prédécesseur. Long de 310 mètres, il déplacera 75 000 tonnes contre 262 mètres et 42 500 tonnes pour l’actuel Charles de Gaulle (CDG). Il emportera une quarantaine d’aéronefs dont une trentaine de Rafale Marine, des hélicoptères, des avions radars (E2-D Hawkeye) mais aussi des drones. Surtout, le PANG sera spécifiquement conçu et développé afin d’accueillir le New Generation Fighter (NGF) du programme Système de Combat Aérien du Futur (SCAF). Les deux réacteurs nucléaires développeront chacun une puissance de 220 MW contre 150 pour le CDG. Comme son prédécesseur, le PANG sera un Catobar (Catapult Assisted Take Off Barrier Arrested Recovery) c’est-à-dire équipé de catapultes pour le décollage de ses avions et de brins d’arrêt pour leur atterrissage. Il pourrait toutefois disposer de trois catapultes électromagnétiques contre deux à vapeur actuellement. Une capacité centrale, économe en carburant au décollage et donnant aux avions une plus grande allonge et une plus grande capacité d’emport en termes d’armement. Problème, les catapultes du futur PANG sont produites par les États-Unis qui sont ou plutôt étaient les seuls, avec la France, à en disposer (depuis le lancement en 2022 du 3ᵉ porte-avions chinois, lui-même doté de catapultes électromagnétiques). Certaines voix s’élèvent pour développer la filière en France. Mais, selon Axel Trinquier « les coûts de développement associés seraient énormes et pourraient retarder l’entrée en service du PANG. (...)
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[PROJECTION DE PUISSANCE] Pouvoir intervenir vite et loin au premier signal géostratégique nécessitant un geste politique fort ne s'improvise pas mais s'acquiert dans le temps par un entraînement rigoureux (Cf exercice VOLFA qui vient de s'achever). L'arme aérienne possède de nombreuses vertus et l'une des plus appréciables en ces temps troublés est sa capacité d'adaptation et son agilité tactique. Anticiper les crises pour mieux les juguler le moment venu ou bien y faire face et croiser le fer si nécessaire comme le font tous nos aviateurs depuis... #90ans : au 1013 ou au QFE avec l'ensemble des spécialités qui concourent à sa robustesse et son efficacité opérationnelle. Armée de l’air et de l’espace Dassault Aviation NdR : Le 1013 (hPa) est le calage altimétrique utilisé en haute altitude. Le QFE est celui utilisé au plus près du sol. Allégorie technique pour rendre hommage à tous les spécialistes qui permettent que l'avion décolle ! 90 ans => https://lnkd.in/e5undbTM.
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👷[𝔼𝕏ℙ𝔼ℝ𝕋𝕀𝕊𝔼 𝔻𝕌 𝟚𝟝𝔼𝕄𝔼 ℝ𝔾𝔸] 🚧 Vous savez déjà que la base aérienne 278 est équipée d'une des rares pistes rudimentaires non revêtues dites "piste sommaire". 💡Mais savez-vous comment est-elle entretenue ? Le 25ème régiment du génie de l'air est chargé d'homologuer la portance du sol grâce à pénétromètre à choc et d'évaluer grâce notamment à la distance de la piste la conformité des niveaux de charge autorisés par chaque aéronef pouvant se poser. Les aéronefs pouvant utiliser ce type de piste sont l'A400M, le C130H et le CASA CN235. Suivez les prochaines utilisations de cette piste sur nos réseaux ! #expertise #soutien #infra #genie #forces #armees #piste #avion #amberieu
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#éphéméride 📷 24 novembre 1977 à Mérignac, premier vol d'un avion Super Etendard de série, équipé d’un réacteur Snecma Atar 8 K 50, aux mains de Jacques Jesberger. C’est le premier avion militaire opérationnel français équipé d’un système inertiel de navigation et d’attaque. ⚓ Plus tard, la flottille 11 F de Landivisiau sera la première à être armée de Super-Étendard en septembre 1978. Vient ensuite le tour des flottilles 14 F basée à Landivisiau (1979) et 17 F stationnée à Hyères (1980). En 1991, l’escadrille de chasse embarquée 59 S troque ses Etendard IV M contre les Super-Étendard. 🦅 Le Super-Étendard est le premier avion de combat français à disposer d’un système d’armes moderne. Il représente également, pour Dassault, après l’expérience du Mirage Milan, l’entrée dans les nouveaux systèmes d’armes produits en série. Le 19 janvier 1973, Michel Debré, alors ministre d’Etat chargé de la Défense nationale, décide de faire du Super-Étendard, l’avion d’arme polyvalent de la Marine nationale devant remplacer les Étendard IV, les Crusader et les Alizé. 🇫🇷 Le marché du Super-Étendard est notifié le 4 septembre 1973 pour 100 appareils. Il s’agit du premier contrat à coût forfaitaire passé à Dassault pour un avion. Le premier vol du Super-Étendard 01 (Étendard n° 68) est effectué à Istres, le 28 octobre 1974, par Jacques Jesberger. Cet appareil sert pour le développement du moteur et les essais aérodynamiques. 🇦🇷 En juillet 1979, l’Argentine commande 14 Super-Étendard. En avril 1982, l’occupation des îles Malouines par l’Argentine déclenche un dur conflit avec le Royaume-Uni. La guerre des Malouines terminée, l’Argentine reçoit les neuf appareils restés sous embargo ainsi que les pièces détachées nécessaires à l’exploitation des avions. 🇮🇶 En 1983, 5 appareils sont loués à l’Irak... 📽 Ressentir : https://lnkd.in/eAHTfzvd 📽 Docu. : https://lnkd.in/e9NpUf8y 📖 Plus : https://lnkd.in/ehVSvddB . Sources : Dassault aviation, Wikipedia, Chasse embarquée, Mg
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#éphéméride 📷 23 octobre 2024, poursuite du compte à rebours en vue du déploiement du Charles-de-Gaulle et du groupe aéronaval français, fin 2024 vers l'Indo-Pacifique. Ils auront une série d'innovations à expérimenter durant les quatre à cinq mois de déploiement. (Photo Marine Nationale) 🦅 Le groupe aérien embarqué de la future mission comptera comme d'habitude deux flottilles de Rafale Marine, les 12F et 17F, mais le nombre d'appareils est à ce stade encore à consolider. Le contrat opérationnel du porte-avions est à 24 appareils, mais avec 41 appareils en parc, il s'avère complexe à tenir, surtout si l'âge du Rafale Marine (20 ans pour les premiers) impacte la disponibilités. Et le déploiement du porte-avions ne peut pas non plus assécher la formation qui se poursuivra à Landivisiau avec les appareils restants, au sein de la 11F. 🚁 Deux Hawkeye de la flottille 4F seront aussi sur le pont d'envol, avec des Dauphin et au moins un Caïman Marine. Un Panther devrait être déployé à bord de la frégate de défense aérienne prévue sauf évolution (Forbin) et un Caïman sur la FREMM (a priori la Provence). Le choix de ces navires est notamment lié aux data hubs embarqués (DHE) qu'ils ont déjà utilisés en opérations, que ce soit en Méditerranée orientale ou en mer Rouge (ainsi que des dispositifs optroniques Paseo-XLR). 📡 Le groupe aérien embarqué sera aussi concerné par des expérimentations, notamment dans le domaine des liaisons de données tactiques avec les premiers déploiements de la L22, remplaçant la L11 pour les échanges entre navires, et entre les navires et leurs aéronefs. Sont notamment concernés les Panther, Caïman Marine et l'ATL2 qui accompagnera le GAN dans toute sa mission. ⛽️ Dans le GAN figura aussi vraisemblablement le bâtiment de ravitaillement de force Jacques Chevallier, et un sous-marin nucléaire d'attaque non défini : la durée du déploiement fait qu'il réalisera une relève d'équipage durant la mission. 🚀 La liste des interactions et escales prévues reste encore sous le boisseau, comme le nom du déploiement. Une des rares certitudes est qu'il faudra passer par la mer Rouge : une zone où les Houthis font régulièrement feu de tout bois, avec des drones aériens et de surface, des missiles balistiques, de croisière et anti-navires. ⚓️ Possiblement une zone qui éprouvera comme jamais les ressources du groupe aéronaval, qui n'a jamais été pris à partie depuis sa première sortie opérationnelle au large du Pakistan en 2001. " 📰 L'article complet : https://lnkd.in/gBuJJuwC . Source : Air & Cosmos
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#Chronique du #CESA 📍Le 24 novembre 1909 fut fondée l’école de l’aviation de Pau. A cette époque, l’aviation était-elle l’affaire de quelques audacieux ? 📍Pour le savoir, lisez https://lnkd.in/ezqnkuDX 📍Apparu avec les premiers planeurs, en ce début du XXe siècle, piloter un avion n’est pas une mince affaire. 📍En effet, chaque appareil est unique et son concepteur est bien souvent le premier à le piloter. 📍L’intérêt grandissant du public pour l’aviation, notamment à partir du premier meeting aérien au parc de Bagatelle (Paris) en 1906, fait naître de nombreuses vocations… ✅ Rappelons-nous : 21 novembre 1916 : le Breguet 14 effectue son premier vol 25 novembre 1940 : premier vol du Mosquito 25 novembre 1972 : mort de Henri Coandã 21 novembre 1994 : l’OTAN frappe le terrain d’aviation militaire serbe d’Ubdina https://lnkd.in/eGNyQK4X #CohésionDéfense #NotreDéfense Armée de l’air et de l’espace Ministère des Armées
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#BilanDeLAnnée : En février, l’enquête du BST (A21C0038) sur l’écrasement d’un hélicoptère en 2021 à l’île Griffith (Nunavut) a révélé qu’il n’y a pas d’exigences réglementaires pour que les exploitants d’hélicoptères commerciaux s’assurent que les pilotes ont la formation et la technologie pour sortir de vols par inadvertance dans des conditions météorologiques de vol aux instruments (IIMC). C’est pourquoi le BST a demandé à Transport Canada - Transports Canada d’exiger que les exploitants d’#hélicoptères commerciaux s’assurent que les pilotes ont les compétences nécessaires pour sortir d’un IIMC (A24-01) et qu’ils mettent en œuvre la technologie qui les aidera à éviter les IIMC et à en sortir (A24-02). Pour en savoir plus : https://ow.ly/UIVp50UkQsy #SécuritéAérienne #Aviation #Sécurité #BSTAir
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🆕. #OSAC se mobilise pour construire le 19ème #SymposiumSécurité de la DSAC prévu le 5⃣ décembre au siège de la Direction Generale de l'Aviation Civile. Inscrivez-vous ici ! 👨💻 https://lnkd.in/ejWr-y-m Depuis fin 2023, dans le cadre de sa mission d’information aux usagers, OSAC mobilise ses équipes pour construire le programme et préparer le symposium sécurité de la DSAC 2024. Il portera sur les interfaces entre les acteurs du maintien de navigabilité des aéronefs et abordera les thèmes suivants : ✈️ la réglementation encadrant la navigabilité et les fonctions du CAMO, ✈️ les enjeux de coordination entre acteurs, y compris sous l’angle des procédures et des outils utilisés, ✈️ les incidences de la composante humaine. Mis en oeuvre par OSAC, cet évènement est une occasion unique et privilégiée de partage d’informations et d’échanges entre les acteurs du monde aéronautique, autour de présentations des parties prenantes et de tables rondes. #SécuritéAéronautique #SécuritéAérienne #Aviation
OSAC prépare le Symposium Sécurité de la DSAC
osac.aero
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Mal connue du grand public, la patrouille maritime est pourtant une des composantes les plus essentielles et les plus polyvalentes des forces aériennes et aéronavales françaises. À la foi chasseur de sous-marins, protecteur de la flotte française, gendarme des flottes commerciales et de pêches, et parfois, espion du ciel au profit des forces terrestres, les Atlantique 2, de la Marine nationale, ont été de tous les engagements français depuis 1990, y compris pour la mission de dissuasion. Après l’échec du programme franco-allemand MAWS, la France a lancé, en début d’année 2023, une compétition pour remplacer ses propres Atlantique 2, à l’horizon 2035, des appareils qui auront, alors, tous dépassés les 40 années de bons et loyaux services. Deux avionneurs se sont engagés dans cette compétition, Airbus DS avec la version Patmar du nouvel A321, baptisé A321 MPA, et Dassault Aviation, avec son nouvel avion d’affaires long courrier, le Falcon 10X. Alors que les deux avionneurs doivent prochainement rendre leurs propositions à la DGA, et que l’arbitrage de Paris se rapproche, quels sont les arguments comparés de chaque appareil, et existe-t-il une offre qui s’avèrerait plus séduisante que l’autre ? https://lnkd.in/e2taMdu6
Falcon 10X vs A321 MPA : quelle est la meilleure solution pour la patrouille maritime française ?
https://meta-defense.fr
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Pour apponter ou repartir, le carburant, c’est la clé 🔴 Les Rafale ravitailleurs de la Marine Nationale utilisent la nacelle de ravitaillement nouvelle génération (NARANG) pour transférer du carburant en vol à un autre aéronef notamment lorsque celui-ci revient de mission et que sa réserve de carburant est trop faible pour qu’il puisse se poser sur un porte-avions ou continuer de voler en toute sécurité Cet équipement est similaire à la nacelle de ravitaillement qui équipe les avions ravitailleurs #MRTT sous leurs ailes 🔵 Pour mener cette opération, le Rafale ravitailleur doit adopter une vitesse adéquate au fonctionnement de la nacelle de ravitaillement. La vitesse permet ➡️ de stabiliser le panier qui relie le tuyau de ravitaillement à la perche de l’avion ravitaillé ➡️ d’actionner les pompes par une petite hélice située à l’avant de la nacelle qui tourne grâce à l’effet aérodynamique de l’air. Plus l’avion vol vite, plus l’hélice aura de l’énergie pour faire fonctionner l’ensemble. 💡 Le centre d’expertise et d’essais DGA Essais en vols #DGAEV réalise cet essai pour vérifier si la nacelle qui équipe le Rafale est capable de fonctionner à des vitesses représentatives de celles du futur avion de surveillance embarqué HAWKEYE E2-D en phase de ravitaillement, représenté pour l’essai, par un A400M #NotreExpertise - Ministère des Armées Airbus | Airbus Defence and Space | Dassault Aviation | Safran
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Jefe de área de fianzas de arrendamientos en la Agencia de Vivienda Social de Madrid
5 moisMade in Seville!