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‼️📱Le portefeuille de Teresa Ribera fait débat : pour une Europe vraiment compétitive, notre souveraineté numérique doit être une priorité ! Lors de son audition, je la questionnerai sans détour pour garantir que cet enjeu ne passe pas à la trappe, surtout face au retour de Trump et son nouveau bras droit, Elon Musk. Tous les détails dans l’article de La Croix👇 🔗 https://lnkd.in/eWw-fj4J

#DoGe ☆"Projet #Manhattan 2.0" ☆ #1Possible ! #Efficacité gouvernementale. Le bon mot à prononcer serait #efficience ! et surtout évaluation, audit des systèmes. Quid des fonctions régaliennes ? Je suis assuré que le choc doit être violent mais n est ce pas aussi un signe d espérance dans l amélioration du / des systèmes. Espérons un système basé sur l #équité et le soutien au plus faible ! j ose rappeler que l'on juge une grande démocratie à protéger " justement " les plus faibles ! il y a du travail assurément. Courage à nos amis US et surtout espérons un Management humain des transitions et ruptures. L Europe se prépare t elle aussi à ces transitions ? La question qui va certainement envahir nos esprits. phlev Entrepreneur *Il l’a même comparé au «Projet Manhattan de notre temps», du nom du programme de recherche et développement américain pendant la Seconde Guerre mondiale pour créer la bombe atomique. 2000 milliards d économies espérées ! sur un budget de 6500/7000 Md$ Un ministère nommé «#Doge» En anglais, le nouveau ministère d’Elon Musk est intitulé «Department of Government #Efficiency», soit l’acronyme «Doge». Or, «Doge» fait référence à une chienne japonaise de race shiba inu, du nom de Kabosu, mondialement connue sur Internet depuis 2010, grâce à une photo qui a inspiré une vague de blagues décalées et de «mèmes». La chienne est devenue l’emblème du dogecoin, une cryptomonnaie créée à l’origine pour plaisanter, mais dont Elon Musk s’est entichée en 2021. Après des années de «Dogemania», l’homme le plus riche du monde avait annoncé un projet spatial censé être entièrement financé en dogecoin: DOGE-1, un petit satellite que devait lancer sa firme SpaceX. Puis il avait déclaré que cette cryptomonnaie Dogecoin pourrait servir à acheter certains produits Tesla, et en 2023 il a brièvement utilisé une icône du Doge comme logo de Twitter, le réseau social qu’il a racheté et rebaptisé X...

Trump-Musk : alliance révolutionnaire ou bombe à retardement ? Donald Trump vient de nommer officiellement Elon Musk à la tête d’un tout nouveau département de l’« efficacité gouvernementale ». Cette alliance inédite entre le magnat de la tech et le président réélu des États-Unis soulève de nombreuses questions. L’homme derrière Tesla, SpaceX, et d'autres géants de la technologie se voit chargé de restructurer le gouvernement fédéral, de réduire les dépenses et de sabrer la bureaucratie, en partenariat avec Vivek Ramaswamy. Une nomination sous forme de récompense pour les bons et loyaux services d'Elon Musk pendant la campagne présidentielle ? Elon Musk est-il le grand artisan de cette victoire ? Sera-t-il le grand gagnant de cette élection ? Comment cette alliance pourrait-elle transformer la politique américaine, et quels risques de conflit d’intérêts pèsent sur cet improbable duo ? Hicham Amadi, CEO de Toogo Ismail Bargach, CEO de WafR Starlink bientôt disponible au Maroc ?

Le monde entier est focalisé sur l'élection de Trump sans regarder le rôle public puissant joué par Elon Musk auprès de la Silicone Valley dans cette campagne... une alliance entre l'IA,les réseaux sociaux et les satellites..... Deux personnages imprévisibles Trump et Elon Musk (soutenu par la Silicone Valley) à la tête du gouvernement américain risquerait il d'entraîner une dérégulation importante de l'IA avec des conséquences dramatiques sur la planète... Les médias américains évoquent Elon Musk comme "futur directeur de la Tec des E.U": un rôle crucial sur la réglementation technologique..et sur l'éthique dans l'utilisation de l'IA... Certains experts, pensent que sa priorité sera de bannir les normes de protection de la vie privée et la lutte contre les biais signées par Biden... l'IA se joue en Chine et sachant les nombreux intérêts commerciaux d'Elon Musk avec cette dernière (stockage de données à Shanghai,transfert de données de conduite automatique....etc)... Cette nouvelle donne américaine va-t-elle mettre en danger l'adoption de principes éthiques et légaux en matière d'IA adoptés par les anciens gouvernements ..et impactera-t-elle le reste du monde....

Un nouvel épisode s’ajoute à la saga tumultueuse entre le réseau social X, racheté par le fantasque milliardaire Elon Musk, et les régulateurs européens. Vendredi, la Commission européenne a formellement accusé la plateforme de « tromper » les utilisateurs et d’enfreindre les règles de l’UE avec son système controversé de comptes certifiés payants, symbolisés par la fameuse coche bleue. Une mise en demeure qui pourrait se solder par de lourdes amendes. X dans le viseur de Bruxelles pour ses coches bleues payantes Selon la Commission, la manière dont X gère ses abonnements “vérifiés” avec la coche bleue est trompeuse et ne correspond pas aux pratiques de l’industrie. En effet, depuis les changements instaurés par Elon Musk, n’importe qui peut désormais payer pour obtenir ce statut “vérifié”, sans autre forme de contrôle. Une situation qui nuit à la capacité des utilisateurs de faire la distinction entre comptes authentiques et frauduleux. Le Commissaire européen au numérique Thierry Breton a prévenu : « X a maintenant le droit de se défendre, mais si notre point de vue est confirmé, nous imposerons des amendes et exigerons des changements significatifs. » Une première dans le cadre du nouveau règlement sur les services numériques (DSA) entré en vigueur l’an dernier. Quelles conséquences pour X ? Si la plateforme d’Elon Musk ne parvient pas à démontrer sa conformité, elle s’expose à une décision définitive de non-conformité, puis à des sanctions financières pouvant atteindre 6% de son chiffre d’affaires annuel mondial. De quoi faire réfléchir, même pour un géant comme X. Aucun délai n’a cependant été fixé pour clore ces procédures. D’autres griefs à l’encontre du réseau social Les coches bleues ne sont pas le seul talon d’Achille de X dans sa relation tumultueuse avec l’UE. Bruxelles a aussi épinglé le réseau social pour son manque de transparence sur les publicités diffusées et l’accès insuffisant aux données pour les chercheurs souhaitant ausculter la plateforme. Des investigations sont également en cours concernant la quantité de fausses informations circulant sur le réseau, et les efforts jugés insuffisants pour les contrer. Avec le rachat de Twitter par Elon Musk, la modération des contenus a été largement revue à la baisse, suite à une vague massive de licenciements. Le Figaro Les nouvelles obligations des grandes plateformes sous le DSA Le règlement sur les services numériques, nouvelle législation phare de l’UE, impose de nombreuses obligations aux grandes plateformes comme X : Mettre en place un système de signalement des contenus problématiques Agir promptement pour retirer tout contenu illicite dès notification Permettre aux utilisateurs de connaître les paramètres et financeurs des publicités ciblées Donner accès aux données nourrissant les algorithmes à des chercheurs agréés Autant de points sur lesquels X semble pour l’instant pris en défaut. Reste à savoir comment la plateforme réagira face à cet avertisseme...

Elon Musk et Vivek Ramaswamy, à la tête de l’agence DOGE (Department of Government Efficiency), ont annoncé un programme ambitieux visant à restructurer l’administration fédérale américaine. Parmi les mesures phares, ils prévoient des coupes budgétaires de 2 000 milliards de dollars sur un budget total de 6 700 milliards pour 2024, une déréglementation massive, le licenciement de 50 à 75 % des 2 millions de salariés fédéraux, ainsi que la publication des noms et postes jugés symboliques de la gabegie publique. David Sacks, investisseur de la tech, a souligné l’importance de « consolider cette victoire maintenant ». Ce programme suscite des interrogations sur sa légitimité. Les critiques libertariennes visent la bureaucratie, jugée antidémocratique, tout en oubliant que cette organisation repose sur le concours, le mérite et la mission d’intérêt public. Cette structure, plus ancienne que la démocratie américaine, est essentielle au fonctionnement de l’État. Les dirigeants de la DOGE, étant eux-mêmes non élus, alimentent ainsi une contradiction importante. Les mesures envisagées auraient par ailleurs des conséquences majeures. Les licenciements prévus représentent près de 1 % de la population active des États-Unis, affectant à la fois Washington DC et plusieurs États stratégiques comme l’Alabama, l’Oklahoma et le Nouveau-Mexique. L’administration fédérale, premier employeur du pays, joue un rôle économique central dans ces régions. Ces réductions pourraient entraîner une dégradation des services publics, une inquiétude partagée par de nombreux observateurs. Les syndicats fédéraux se mobilisent pour contrer ces réformes. Une stratégie juridique est en cours pour empêcher le basculement des salariés sous le statut "Schedule F", qui supprimerait leurs protections. Ils comptent également sur le soutien des élus républicains des États les plus vulnérables. Par ailleurs, aucune plainte en diffamation n’a encore été déposée contre Elon Musk, mais des actions individuelles ou collectives pourraient émerger prochainement. Enfin, la concentration des pouvoirs entre les mains d’un dirigeant non élu comme Elon Musk pourrait faire l’objet de recours en vertu des lois antitrust. Le sénateur John Sherman, auteur du Sherman Act en 1890, affirmait : « Si nous refusons qu’un roi gouverne notre pays, nous ne pouvons accepter qu’un roi gouverne notre production, nos transports ou la vente de nos produits ». Ces paroles résonnent aujourd’hui dans le débat entourant les actions de la DOGE et de ses dirigeants.

Elon Musk prendra la tête de l'agence « Department of Government Efficiency » (DOGE). Le nom partage le même acronyme qu'une cryptomonnaie, le Dogecoin, soutenue dans le passé par Musk. Elon Musk a promis une réduction de 30% des dépenses fédérales et un gain d'efficacité des services publics, un objectif salué notamment par l'ancienne Prime Minister Liz Truss en Angleterre, le ministre de la Fonction publique Guillaume Kasbarian et la présidente du Conseil Régional d'Ile-de-France Valérie Pécresse. Mais ce programme a pour envers une politique sociale. On pourrait la croire inspirée de la Silicon Valley.   Musk n'a pourtant cessé de prendre ses distances avec cette région, depuis la fin des années 2010, critiquant la fiscalité, le droit du travail, les velléités de syndication des employés de la Tech et le "virus woke" qui sévirait selon lui particulièrement chez Google et Netflix.   Quand il ne voyage pas, il réside le plus souvent à Los Angeles (comme Peter Thiel et Jeff Bezos) ou à Austin (Texas). Il a été vu presque tous les jours du mois de novembre à Mar-a-lago, la villa de Donald Trump en Floride.   La Floride compte également la scène crypto la plus vibrante du pays, depuis que Keith Rabois et David Blumberg s’y sont installés au début de la pandémie. Ces deux investisseurs, parmi les plus influents du secteur, ont invité les entrepreneurs spécialisés à les y rejoindre. Ce secteur est également un des principaux contributeurs à la campagne de Trump. Et si Miami est devenue la capitale des cryptos, la Floride s'apparente plus généralement à un laboratoire politique. Depuis deux ans, en autres mesures, ont été votées: ▶  l’interdiction d'utiliser des fonds publics ou fédéraux pour le financement de programmes de diversité, d'équité et d'inclusion ▶ une loi dite « don’t say gay » interdisant l'enseignement portant sur l'orientation sexuelle et l'identité de genre ▶  l’interdiction de l'accès aux soins liés à la transition pour les personnes trans ▶  des incitations à limiter la vaccination contre le Covid ▶ l’autorisation du port d’arme sans permis ▶  l’extension de la peine de mort ▶ l’interdiction faite aux sans-logis de dormir dans l’espace public et leur relégation dans des camps dédiés ▶ une loi qui retire les références au changement climatique des textes officiels dans un État pourtant particulièrement menacé par le changement climatique.   Si Donald Trump et Vivek Ramaswamy (le futur co-directeur de la DOGE) ont multiplié depuis 2020 les attaques contre le Gouverneur de Floride, Ron De Santis, c’est aussi car il est leur plus sérieux concurrent et une source d’inspiration. En cela, cette élection signe moins le triomphe du modèle Californien que du modèle Floridien, qui préfigure l'Amérique voulue par Donald Trump. Crédits. Article de Camille Descroix dans Ouest France.

Le 4 novembre 2024, un juge en Pennsylvanie a donné son feu vert : Elon Musk peut continuer à distribuer 𝘂𝗻 𝗺𝗶𝗹𝗹𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗱𝗼𝗹𝗹𝗮𝗿𝘀 𝗽𝗮𝗿 𝗷𝗼𝘂𝗿 aux électeurs des États clés soutenant Donald Trump. Et aujourd’hui, 6 novembre, le parti de l’ancien président célèbre une victoire décisive, avec 292 grands électeurs remportés. 🚨 Le retour de Donald Trump au pouvoir ne concerne pas seulement la politique américaine ou internationale, mais aussi 𝗹’𝗮𝘃𝗲𝗻𝗶𝗿 de l’intelligence artificielle (IA) ! Voici le plan IA que Trump compte déployer dès son entrée en fonction : - Alléger les réglementations actuelles pour donner priorité au développement de l'IA aux États-Unis 🇺🇸 - Abroger l'ordre exécutif de Joe Biden imposant des tests de sécurité sur les systèmes d'IA, qu’il juge freinant l’innovation et avantagent les géants technologiques 🛠️ - Accélérer l'intégration de l'IA dans le domaine militaire pour renforcer la position des États-Unis face à la concurrence internationale, notamment celle de la Chine. 🌐 La confiance n'excluant pas le contrôle, cette flexibilité réglementaire pourrait bien poser des défis majeurs, tant sur la rapidité de l’évolution de l'IA que sur les impacts économiques et éthiques à venir. #AI #IA #Trump #ElonMusk #Politique #Intelligence_Artificielle #élections

Elon Musk ne se cache absolument plus en assumant totalement son soutien aux idéologies et idéologues d'extrême-droite. De facto, posséder une Tesla ou vouloir en acquérir une vous rend complice du soutien à un individu foncièrement raciste, réactionnaire, technojovialiste et possédant une puissance de nuisance immense sur l'avenir de la planète. De plus en plus de chercheur-es et de journalistes spécialisé-es osent même dire qu'il a plus de pouvoir que le fasciste Trump, qui prendra officiellement ses fonctions de président du pays possédant la plus puissante armée de la planète. De plus, le modèle Tesla va totalement à l'encontre de ce vers quoi devrait tendre le secteur automobile, c'est-à-dire une diminution forte de son emprise sur les modes de déplacement qui nous mènent toujours plus vers le gouffre, l'électrification du parc automobile tel qu'il se présente étant tout sauf bénéfique pour la planète et le futur.