𝐀𝐥𝐠𝐞́𝐫𝐢𝐞 : 𝐥𝐞𝐬 𝐚𝐮𝐭𝐨𝐫𝐢𝐭𝐞́𝐬 𝐚𝐦𝐛𝐢𝐭𝐢𝐨𝐧𝐧𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐞 𝐬𝐚𝐭𝐢𝐬𝐟𝐚𝐢𝐫𝐞 𝟔𝟓 % 𝐝𝐞𝐬 𝐛𝐞𝐬𝐨𝐢𝐧𝐬 𝐧𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐚𝐮𝐱 𝐞𝐧 𝐞𝐚𝐮 𝐩𝐨𝐭𝐚𝐛𝐥𝐞 𝐝’𝐢𝐜𝐢 𝟐𝟎𝟑𝟎 : En Algérie, les sources d’eau douce sont limitées depuis les années 90, ce qui a conduit les autorités à exploiter des ressources non conventionnelles, notamment le dessalement de l’eau de mer. Ainsi, la construction de la station de dessalement de Cap Djanet, qui s’étend sur quinze hectares et possède une capacité de traitement de 300 000 mètres cubes par jour, s’inscrit dans cette démarche. Au cours des années 90, le stress hydrique a fortement touché l’Algérie, conduisant les autorités à lancer un programme d’urgence pour sécuriser l’approvisionnement en eau potable des zones côtières par le biais du dessalement de l’eau de mer. Les travaux de construction de la station de dessalement de Cap Djanet, couvrant une superficie de quinze hectares, progressent rapidement soulignent les autorités. Avec une capacité de traitement de 300 000 mètres cubes par jour, cette station géante devrait jouer un rôle clé dans la fourniture continue d’eau potable pour la wilaya de Boumerdès et les régions voisines.
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La Mauritanie présente plusieurs avantages pour le dessalement de l’eau de mer : 1-Accès à l’eau de mer : La Mauritanie dispose d’une longue côte atlantique, ce qui facilite l’accès à l’eau de mer pour les unités de dessalement. 2-Énergie solaire abondante : Le pays bénéficie d’un fort ensoleillement, ce qui permet d’utiliser l’énergie solaire pour alimenter les installations de dessalement, réduisant ainsi les coûts énergétiques. 3-Réduction de la pression sur les ressources en eau douce : Le dessalement permet de diversifier les sources d’approvisionnement en eau potable, réduisant la dépendance aux nappes phréatiques et aux rivières. 3-Amélioration de l’accès à l’eau potable : En fournissant de l’eau potable dans les régions où l’eau douce est rare ou contaminée, le dessalement contribue à prévenir les maladies liées à la consommation d’eau non potable. Ces avantages font du dessalement une solution prometteuse pour répondre aux défis de l’accès à l’eau en Mauritanie.
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Dans le cadre de l’accélération du vaste projet d’#interconnexion des #bassins #hydrauliques du #Sebou et du #Bouregreg, le ministère de l’Équipement et de l’Eau a récemment signé une convention spécifique régissant la gestion et l’exploitation des ouvrages et installations de la tranche urgente de ce projet stratégique. Cette convention, d’une #durée de 10 ans, engage les ministères des Finances et de l’Équipement et de l’Eau, les Agences de #bassins #hydrauliques du #Sebou, du #Bouregreg et de la #Chaouia, ainsi que l’ ONEE-Branche Eau. Elle définit les engagements et responsabilités de chaque partie dans la gestion opérationnelle de cette infrastructure cruciale pour la mobilisation des ressources en eau au Maroc. 381 MDH par an à l’ONEE-Branche Eau pour la gestion de l’autoroute de l’eau. Le budget annuel mobilisé par le ministère des Finances est estimé à 381,1 millions de dirhams (MDH). L’ONEE, désigné comme #opérateur #technique, se voit confier l’exploitation et la maintenance de l’ensemble des installations, avec un #cahier des #charges strict visant à en assurer un fonctionnement optimal dans le respect des normes techniques en vigueur. Dans ce cadre, l’Office aura la responsabilité d’exploiter et d’entretenir en bon état de fonctionnement l’ensemble des ouvrages et équipements qui lui seront confiés. L’office mettra en place les modes de gestion technique et commerciale appropriés, similaires à ceux utilisés pour ses propres installations. Il assurera également un #suivi rigoureux de la #qualité de l’#eau du #barrage de garde #Sebou afin d’éviter tout risque de contamination du barrage Sidi Mohammed Ben Abdellah. En vertu de la convention, le ministère de l’Équipement et de l’Eau s’engage à mettre gratuitement à la disposition de l’ONEE tous les ouvrages, installations et terrains liés au projet. Il fournira également l’ensemble de la documentation technique, des plans, notices d’exploitation et pièces de rechange nécessaires. Le ministère assurera par ailleurs le financement de l’exploitation, de la maintenance, du renouvellement et de la réhabilitation des infrastructures. Au-delà des aspects techniques et financiers, cette convention prévoit une #coordination #étroite entre toutes les parties prenantes. L’ONEE devra ainsi transmettre régulièrement des #rapports d’#activité au ministère de l’Équipement et de l’Eau, ce dernier s’engageant à tenir compte des recommandations émises par l’Office en vue d’optimiser la gestion de cette infrastructure stratégique. https://lnkd.in/dpxaZxS4
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SAR le Prince Héritier Moulay El Hassan a procédé, lundi à la Commune Lamharza Essahel relevant de la province d’El Jadida, au lancement des travaux de construction de la station de dessalement de l’eau de mer de Casablanca, la plus grande usine du genre en Afrique avec, à terme, une capacité annuelle de production de 300 millions de m3 et une population bénéficiaire estimée à 7,5 millions d’habitants. Ce projet s’inscrit dans le cadre de l’intérêt et de la Haute Sollicitude qu’accorde Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L’assiste, à la question stratégique de l’eau, particulièrement dans le contexte actuel marqué par un déficit pluviométrique notable et une très forte pression sur les ressources hydriques conventionnelles dans les différentes régions du Royaume. Il fait partie intégrante de l’axe “Amélioration de l’offre hydrique” du Programme national d’approvisionnement en eau potable et d’irrigation 2020-2027, lancé en 2020 par Sa Majesté le Roi et dont le coût global devra atteindre 143 milliards de dirhams. La future station, qui permettra de répondre à la demande croissante en eau du Grand Casablanca, des villes de Settat, de Berrechid et de Bir Jdid et des régions avoisinantes, sera réalisée en deux tranches sur un terrain de 50 ha et nécessitera un investissement global de 6,5 milliards de dirhams, mobilisé grâce à un partenariat public-privé. Lors de la première tranche, dont la mise en service est prévue fin 2026, la station doit atteindre une capacité de 548.000 m3 d’eau traitée par jour (200 millions de m3 par an), extensible, dans une deuxième phase (prévue pour la mi-2028) à 822.000 m3 par jour, soit 100 millions de m3 supplémentaires par an, dont 50 millions à usage agricole. Ce projet d’envergure porte sur la réalisation d’une unité de dessalement d’eau de mer par osmose inverse et la mise en place d’un système de transport de l’eau potable produite comprenant trois stations de pompages, trois réservoirs de stockage et un réseau de distribution de près de 130 kilomètres de conduites d’adduction. Ce système de transport d’eau potable nécessitera, pour sa part, une enveloppe de 3 milliards de dirhams financés par des fonds publics. De dernière génération, la station de dessalement de l’eau de mer de Casablanca comportera deux conduites d’amenée d’eau de mer de 1850 ml de longueur, un émissaire de rejet de 2500 ml de longueur, des installations de dessalement par osmose inverse (des filtres sous pression et des micro filtres), une unité de traitement des boues, un Centre de contrôle et de gestion et des stations de pompage, outre un réservoir de stockage de l’eau potable produite. Avec un coût de production d’eau potable estimé à 4,48 DH/m3, la future station sera alimentée à 100 pc par de l’énergie renouvelable et sa gestion sera entièrement automatisée.
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⭕ Le 3e Plan départemental de l’eau est structuré autour de six axes. 🔲 Tout d’abord, le premier axe consiste à fédérer les acteurs autour de la politique de l’eau. ⬇ Quels sont les deux autres axes ? Département de Seine-et-Marne #eau #pde #seineetmarne #mesinfos
Le Plan départemental de l’eau approuvé
mesinfos.fr
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pour assurer la sécurité hydrique en Algérie.
🔴 Réalisation des usines de dessalement de l'eau de mer pour assurer et la sécurité hydrique en Algérie : L'Algérie a lancé un programme de réalisation des usines de dessalement de l'eau de mer (cinq nouveaux projets), le long de son littoral maritime. Cette étape vise à accélérer le rythme de fourniture d'eau potable pour faire face au changement climatique et à la diminution des précipitations. Dans une démarche proactive pour répondre aux besoins en eau à l'avenir, les autorités parient sur la contribution de ces stations à fournir plus du double aux citoyens en eau potable afin d'améliorer la sécurité de l'eau, car ces dernières années, il est devenue un pari international prioritaire. Des stations qui placent l'Algérie première en Afrique. Selon les chiffres officiels, avec l'achèvement de ces nouvelles stations, l'Algérie sera la première en Afrique et la deuxième dans le monde arabe après l'Arabie Saoudite relative aux capacités de production d'eau de mer dessalée avec une capacité totale estimée à 3,7 millions m3 par jour. La capacité de production totale des cinq stations est estimée à 1,5 million de mètres cubes par jour, ce qui permettra de faire passer la contribution des usines de dessalement d'eau de mer sur toute la côte algérienne d'environ 17% actuellement à 42% d'ici fin 2024. Le programme souligné est la réalisation de cinq usines de dessalement d'eau de mer, toutes en cours d'achèvement dans les wilayas suivantes : ⭕ Cap Djinet à Boumerdès. ⭕ Fouka 2 à Tipaza. ⭕ Rass Labiad à Oran. ⭕ Koudiat Draouch à El Taref. ⭕Tighrimet Toudja à Béjaïa. Le délais de réalisation est de 24 mois maximum. A noter que l'usine de dessalement d'eau de mer d'une capacité de 300.000 m3, le montant de construction est de 300 millions de dollars. Faouzi DJOUDI Un citoyen algérien
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L’État va revoir sa Stratégie nationale de l’eau à l’horizon 2050 La montée du stress hydrique au Maroc incite l’État à enclencher d’urgence un re-paramétrage en profondeur de ses plans et programmes de l’eau. En effet, le Royaume s’apprête à réviser substantiellement sa Stratégie nationale de l’eau à l’horizon 2050. Ainsi, plusieurs ajustements seront introduits dans le secteur de l’eau, notamment le recours de plus en plus aux eaux non conventionnelles comme le dessalement et la mobilisation des eaux de surface. Ce qui nécessitera une actualisation des bilans hydrauliques et des schémas d’aménagement des ressources en eau et donc une actualisation de l’ensemble des documents de planification. https://lnkd.in/eVPrRf_C
L’État va revoir sa Stratégie nationale de l’eau à l’horizon 2050
lematin.ma
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ODD6... Le secteur de l'eau continue de se mobiliser
Saint-Louis : l’île de Boppou Thior a désormais accès à l’eau potable Longtemps décrite comme « l’île de la soif » ou « l’île sans eau ou électricité », Boppou Thior, située à deux kilomètres de Saint-Louis, est connectée au réseau d’eau potable depuis le mardi 11 juin 2024 à la suite de la mise en service des travaux réalisés par la Société nationale des Eaux du Sénégal (SONES) pour le compte de l’Etat du Sénégal. Au terme d’une visite technique et en relation avec le premier partenaire, la SEN’EAU, le constat a été fait que les ouvrages peuvent maintenant fonctionner, mettant fin à un stress hydrique pour cette île vieille de plus de deux siècles. Pour y arriver, la SONES a réalisé, à partir de septembre 2023, un système d’alimentation connecté au nouveau réseau de transfert d’eau à partir de la localité de Ndiock Sall située à une cinquantaine de kilomètres de Saint-Louis. L’eau du forage est convoyée à Saint-Louis par une conduite de transfert pour améliorer l’alimentation de la ville, particulièrement les zones déficitaires de Pikine, Gokhou Mbathie, Boudiouck, Ngallèle et Sanar. Au passage, le mausolée de Ghoulam Rassoul, à quelques encablures de Boppou Thior, a été alimenté grâce à une borne fontaine. L’Etat en a profité pour régler le problème de l’île de Boppou Thior. Ce qui a été un défi technique ayant nécessité deux traversées fluviales pour les conduites. A Boppou Thior, six (06) bornes fontaines à deux robinets ont été posées. Un réservoir d’une capacité de 5 m 3 (5000 litres) a été construite sur une hauteur de dix mètres. Un surpresseur a également été posé. #ile_boppou_thior #sones_constructeur_de_bien_être
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🛠 𝗥𝗲́𝗵𝗮𝗯𝗶𝗹𝗶𝘁𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗯𝗮𝘀𝘀𝗶𝗻𝘀 𝗱’𝗲𝗮𝘂 𝗯𝗿𝘂𝘁𝗲 𝗱𝗲 𝗹’𝗢𝘂𝘃𝗶𝗲̀𝗿𝗲 𝗮̀ 𝗙𝘂𝘃𝗲𝗮𝘂 (𝟭𝟯) 💧 En 2022, la station de production d'eau potable de l'Ouvière à Fuveau a connu une modernisation d’envergure avec le remplacement de ses quatre groupes de pompage. Suite à cette mise à niveau, des travaux de réhabilitation des bassins d'eau brute ont été entrepris afin de 𝗺𝗶𝗻𝗶𝗺𝗶𝘀𝗲𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗽𝗲𝗿𝘁𝗲𝘀 𝗱'𝗲𝗮𝘂. 🌟Le GROUPE GALOPIN a joué un rôle clé en intervenant sur les bassins 1 et 2 pour le compte du SIBAM (Régie des eaux et de l’assainissement du bassin minier et du Garlaban), organisme responsable de la gestion de l'approvisionnement en eau potable, des collecteurs d'assainissement et de la construction des stations d'épuration dans 12 communes. 🤝 L'interface entre le Groupe Galopin et le groupement composé de quatre entreprises du groupe NGE - BTP a facilité la mise en place d’un dispositif d'étanchéité et de drainage par géomembrane en PVC certifié ACS, d'une épaisseur de 2 mm. Au total, les équipes du Groupe Galopin ont posé 10 500 m² d'étanchéité par géomembrane, démontrant une gestion efficace et une cadence optimale lors de la pose de ces dispositifs cruciaux. 👏 𝗕𝗿𝗮𝘃𝗼 𝗮̀ 𝘁𝗼𝘂𝘀 𝗹𝗲𝘀 𝗶𝗻𝘁𝗲𝗿𝘃𝗲𝗻𝗮𝗻𝘁𝘀 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗲𝘂𝗿 𝗲𝗻𝗴𝗮𝗴𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 ! La réhabilitation des bassins d'eau brute de l'Ouvière marque une étape significative dans la 𝗽𝗿𝗲́𝘀𝗲𝗿𝘃𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗾𝘂𝗮𝗹𝗶𝘁𝗲́ 𝗱𝗲 𝗹'𝗲𝗮𝘂 𝗽𝗼𝘁𝗮𝗯𝗹𝗲, illustrant l’engagement constant des acteurs locaux envers la 𝗰𝗼𝗻𝘀𝗲𝗿𝘃𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗿𝗲𝘀𝘀𝗼𝘂𝗿𝗰𝗲𝘀 𝗵𝘆𝗱𝗿𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 et la 𝗱𝘂𝗿𝗮𝗯𝗶𝗹𝗶𝘁𝗲́ 𝗲𝗻𝘃𝗶𝗿𝗼𝗻𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁𝗮𝗹𝗲 🌍🔧
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Les grands moyens 320 millions d’euros d’ici 2027 pour moderniser le réseau d’eau et d’assainissement de l’archipel Guadeloupe. Dont 250 millions pour les travaux de 2024 et ceux de 2025. Les autorités ont décidé de mettre les bouchées doubles, par une gouvernance à quatre — Etat, Région, Département, SMGEAG (syndicat de l’eau) — afin d’aller plus vite et de rationaliser les travaux : réseaux, usines de production, stations d’épuration. Parmi les priorités, les forages. Jusqu’ici, l’eau était produite par captages dans les rivières avec deux risques : celui de rivières assechées par les périodes de sécheresse et de rivières charriant des impuretés en période de grosses pluies. L’eau des forages est saine, en abondance compte tenu des pluies fréquentes sur les reliefs de la Basse-Terre. Si l’on parle beaucoup des réseaux d’eau qui doivent permettre, d’ici 2027, de garantir de l’eau en quantité et en qualité dans les robinets des particuliers, les autorités n’oublient pas le volet assainissement. Actuellement sinistrés, le réseau et les stations d’épuration ne remplissent pas leur office. De grands travaux de mise en conformité du réseau et des stations sont en cours. hebdoantillesguyane.com
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5 stations de dessalement d'eau de mer réalisées en un temps record! C’est l'un des programmes que l’Algérie a le mieux réussi. Ce programme est un élément clé de la stratégie de l'Algérie pour assurer la sécurité hydrique de sa population et promouvoir le développement durable. L'Algérie renforce ses capacités de dessalement avec cinq (5) nouvelles stations en cours de construction avec des moyens locaux. Ces stations de dessalement, d'une capacité de production de 300 000 m3/jour chacune, lancées en 2022, sont déjà réalisées à 80%. Elles permettront d'augmenter la capacité de production d'eau dessalée de 1,5 million de m3/jour, ce qui devra porter la production totale à 3,7 millions de m3/jour à la fin de l’année en cours. L'objectif à l’horizon 2030 est de sécuriser l'approvisionnement en eau potable de 60% des besoins de la population algérienne face au stress hydrique croissant, grâce à la mise en service de sept (7) nouvelles stations : Mostaganem, Tlemcen, Skikda, Chlef, Jijel et Tizi Ouzou (2 stations). L'Algérie ambitionne également de développer des stations de dessalement mobiles pour répondre aux besoins des zones rurales. En outre, le pays vise à produire localement tous les intrants et les équipements nécessaires au dessalement, afin de réduire les coûts et de créer des opportunités économiques. L'Algérie a également l'ambition d'exporter son savoir-faire en matière de dessalement vers d'autres pays notamment en Afrique. Cependant ce programme serait extraordinaire si on utiliserait les énergies renouvelables pour ces stations et qu’on arriverait à valoriser les rejets de saumure.
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