Et si nous nous autorisions de parler du deuil qui nous touche, bouleverse nos vies : y compris la vie professionnelle. Venez et/ou partagez cette opportunité auprès de personnes qui traversent (sont traversées) par l'expérience de la perte d'un proche, une personne chère. Séverine LUCCHESI, accompagnante "Couleur Plume", vous accompagne avec respect et dignité dans la compréhension du deuil, dans le partage de votre vécu et à cheminer à votre rythme sur 5 séances. Limité à 8 participants. Inscriptions à : contact@eipas.org
Post de EIPAS (Espace Investigation Prévention Accompagnement du Stress)
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🧑💻 Cette semaine internationale de la médiation est l’occasion de faire un parallèle entre le travail de deuil abordé en médiation familiale et le processus exploré par Brigitte Giraud dans son ouvrage « Vivre vite ». L’auteure cherche à comprendre ce qui a conduit à l’accident de moto qui a coûté la vie à son mari. Chaque chapitre s’ouvre sur un « si » — un mot que j’entends fréquemment en médiation familiale. Ce petit mot reflète souvent la difficulté de surmonter la perte de quelqu’un ou de quelque chose de précieux. Ces « si » incarnent les regrets, les questions sans réponse, et les hypothèses sur ce qui aurait pu se passer différemment. Lorsqu’on est en deuil, il est naturel de se demander « et si… ? », dans une tentative de comprendre ou de rejouer mentalement les événements. Dans le contexte d’une séparation ou de conflits familiaux, les questions de la perte et du deuil sont tout aussi omniprésentes. Cependant, ces « si » peuvent devenir un frein au processus de deuil, car ils nous ancrent dans le passé, empêchant d’avancer vers l’acceptation et la reconstruction. La médiation familiale offre un espace permettant d’exprimer ses sentiments tristesse, colère, regret ou soulagement sans crainte de jugement. La reconnaissance de ces émotions est essentielle pour initier un travail de deuil, tout comme Brigitte Giraud le fait à travers son écriture, en explorant toute une gamme d’émotions. La médiation familiale peut ainsi accompagner le deuil d’une relation, en aidant les personnes à traiter leurs ressentis, à accepter la réalité de la séparation, et à envisager l’avenir de manière constructive et apaisée. ✨ Belle semaine de la médiation ! Ensemble, continuons à promouvoir les effets positifs de la communication et du dialogue dans notre société 💬✨ APMF Caroline Blondeau christine froger Lise Prince Sébastien CUINET
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📚 Je suis convaincue que lire sur le deuil est essentiel quand on travaille dans les métiers de soins à la personne. Voici pourquoi. En tant que professionnelle accompagnant des personnes dans des moments de vulnérabilité, je me rends compte à quel point le deuil est une expérience universelle, mais aussi profondément personnelle. Lire des ouvrages sur ce sujet m’a permis de mieux comprendre les différentes facettes du deuil : les émotions qu’il suscite, les étapes qu’il traverse, et les ressources que chacun mobilise pour y faire face. Ces lectures m’ont apporté : ✅ Une compréhension plus fine des réactions humaines face à la perte ✅ Des clés pour écouter et soutenir avec empathie et respect ✅ Des pistes pour prendre soin de moi afin d’être pleinement disponible pour les autres Je crois profondément que cette exploration enrichit notre pratique, quel que soit notre rôle dans l’accompagnement. Cela nous permet d’être non seulement des professionnels compétents, mais aussi des humains présents et à l’écoute. 👉 Et vous, avez-vous un livre ou une ressource sur le deuil qui vous a particulièrement marqué·e ? J’aimerais beaucoup découvrir vos suggestions. Retrouvez une (petite mais en constante évolution !) sélection de lecture autour du deuil sur mon site internet, juste ici 👇 https://lnkd.in/dzcGz43U #deuil #livres #soinsalapersonne #formationcontinue #empathie
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“Depuis que je suis en deuil, tout le monde décide à ma place” C’est le cri du cœur d’un endeuillé que je rencontre. Je le comprends et cela m’interroge depuis longtemps ! ▶️ Pourquoi pense-t-on qu'obligatoirement la vulnérabilité d’une personne réduit sa capacité réflexive et décisionnelle ? ▶️ Pourquoi avons-nous fait ce magnifique raccourci que la seule manière de prendre soin de l’autre en milieu professionnel était de lui retirer des dossiers ou des missions ? Je ne parle pas de situations médicales extrêmes mais des situations courantes dont le deuil fait partie. Effectivement, dans certaines phases du processus de deuil la fatigue, la douleur peuvent facilement envahir la personne. Mais nous n’avons pas tous les mêmes armes pour lutter. Pour certains le travail peut être un ilot de paix - un lieu neutre - , la présence des collègues un soutien extrêmement précieux, le lancement d’un nouveau projet un appui pour aller de l’avant. D’autres auront besoin au contraire de lâcher certains dossiers quelques semaines, de pouvoir se reposer à midi, d’éviter les trajets le temps de réorganiser la vie familiale ou d’aller faire du sport… Il n’y a pas de règle. Juste une question à poser face à un collaborateur qui vit un deuil : “De quoi as-tu besoin aujourd’hui ?” Le deuil déséquilibre certes. Mais il rend rarement mutique ou incapable de raisonnement. Dans de nombreux cas même, il offre une plus grande clairvoyance sur ce qui est nécessaire, prioritaire et ouvre de nouveau horizon en termes de discernement. #faireface #discernement _________________________________________________________________________________ Je suis 𝐀𝐦é𝐥𝐢𝐞 𝐑𝐨𝐮𝐥𝐥𝐢𝐞𝐫, 𝐜𝐨𝐚𝐜𝐡 𝐞𝐭 𝐚𝐜𝐜𝐨𝐦𝐩𝐚𝐠𝐧𝐚𝐭𝐫𝐢𝐜𝐞 𝐝𝐮 𝐝𝐞𝐮𝐢𝐥. Je parle du #deuil sur LinkedIn pour aider ceux qui n’osent pas le faire ! Et surtout, j’accompagne les personnes endeuillées des larmes à un nouveau rayonnement.
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Introduction : La perte d'un être cher est une épreuve universelle, mais chaque expérience de deuil est profondément unique. Comment naviguons-nous à travers cette tempête émotionnelle ? Points clés : Le deuil est un voyage composé de plusieurs étapes : du choc initial et du déni aux vagues de colère et de négociation, jusqu'à la profonde tristesse et, enfin, l'acceptation. Mais il n'existe pas de mode d'emploi universel ; chacun ressent et traverse le deuil à sa manière. L'important est de reconnaître ses émotions et de chercher du soutien, que ce soit auprès de ses proches ou de professionnels de la santé mentale. Appel à l'action : Partagez vos expériences de soutien ou vos conseils pour ceux qui traversent une période de deuil et aidons-nous mutuellement à comprendre ce processus important. Pour plus d'informations : https://lnkd.in/e2wEUykM #santementale
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Une autre vision du deuil... Cet article propose une vision différente d’appréhender le deuil grâce à l’approche des pratiques narratives, issues de l’approche systémique. ➡️Lors de la disparition d’un être cher, la tradition occidentale incite à « dire adieu », tâche difficile et parfois culpabilisante que certains n’arrivent jamais à faire. Au début du XXe siècle, Freud suggère que l’achèvement du processus de deuil exige de ceux qui restent qu’ils développent une nouvelle réalité cessant d’inclure l’objet de la perte « La vie continue ». Pourtant, ceux qui restent et continuent à souffrir donnent l’impression d’avoir perdu leur propre soi autant que l’être cher et un sentiment de vide et d’inutilité les habitent parfois. Certains ne s’en remettent jamais. ➡️Mickaël White, co-créateur de la Thérapie narrative avec David Epson voit les choses différemment. Il part du postulat que les personnes disparaissent mais que les relations ne meurent pas et se fondent sur le fait de « remembrer la vie », jeu de mot sur « remember » intraduisible signifiant en anglais à la fois « remembrer » (rassembler en un seul tenant) et se souvenir. ➡️Dans son ouvrage « Saying Hullo again » et à partir d’un questionnement précis entre le thérapeute et une personne endeuillée, Mickaël White propose de restaurer la personne perdue en l’intégrant de façon permanente dans notre présent et d’en conserver la mémoire pour se remettre de sa disparition physique. Il invite à se souvenir de notre relation avec elle et l’honorer de toutes les façons possibles au lieu de s’attacher à l’oublier et se résigner. ➡️« Dire bonjour à nouveau » est une manière de célébrer les façons dont la relation, les liens avec la personne disparue éclaire, enrichit notre vie, nous permettent de nous sentir à nouveau bien et d’appréhender la vie autrement. "Dire bonjour à nouveau" - L'approche narrative pour les personnes, les familles et les entreprises en deuil. Sous la coordination de Catherine Mengelle et Pierre Blanc-Sahnoun. Edition SATAS Sigalas Marion Stéphanie Leboucher CONSULTING Hanna K. Catherine Kettner Julie Airieau DANET-RODES DELPHINE Michele SALLEMBIEN Florence Bled François PEYRARD
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🌸Ce périple de 3 jours, je choisis de le raconter sous l’angle des rencontres. Aujourd'hui, j'ai envie de vous parler de Sarah Dumont, la fondatrice d’Happyend.life. 🙏Avant de faire connaissance avec Sarah, je connaissais ses actions, ses engagements, et j'étais très admirative. J’ai eu la chance de la croiser lors d’une formation organisée par son organisme sur « Comprendre le deuil pour mieux l’accompagner ». J’ai été impressionnée par sa présence et sa compréhension profonde du deuil. Il m’a fallu une bonne dose de courage pour lui parler des Cartes de Transmission, mais elle a instantanément compris leur essence. 🙏Depuis, Sarah a été et est un soutien inestimable. Elle a propulsé les Cartes de Transmission et permis qu’elles arrivent entre les mains de nombreuses familles et thérapeutes, traversant les frontières pour atteindre ceux qui en ont besoin. Sarah est une femme engagée qui contribue à travers de multiples actions, dont la création d’Happyend, le premier média spécialisé sur la mort. Ce média offre aux internautes un éventail d’informations sur l’organisation des obsèques, sur la préparation du départ, et accompagne les endeuillés à travers des ressources et annuaires pour trouver des thérapeutes ou des groupes de parole. 💜Un simple post ne suffit pas à décrire l'étendue de son travail et de son engagement. Je vous invite donc, pour celles et ceux qui ne la connaissent pas déjà, à visiter son site internet Happyend.life. Ps : J'ai profité de ce moment pour lui acheter en direct son nouvel ouvrage "Mon journal de deuil". #sarahdumont #happyendlife #happyend #mort #tabou #deuil #defunt
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Et si l'on parlait de deuil aujourd'hui ? Nous avons tous et toutes été confronté(e)s à cette étape de vie, et nous le serons encore.... cela fait partie de notre existence et nous n'avons d'autre choix que de l'accepter. Le deuil, si intense lorsqu'il survient, est un processus nécessaire, un cheminement intérieur qui doit impérativement se faire pour continuer à avancer. Ce processus n'est pas suffisamment connu et soutenu dans notre Société. Lorsque la perte d'un proche survient, cela provoque une crise dans la vie de la personne qui reste, un changement radical s'opère dans la situation établie jusqu'à présent. Les conséquences se font alors ressentir aussi bien dans la sphère privée que professionnelle. La prise en charge globale de la personne endeuillée nécessite une connaissance approfondie du processus de deuil et des outils spécifiques pour mieux l'accompagner. Cette formation a été conçue pour aider les professionnel(le)s à connaître les différentes étapes du deuil. Elle leur permettra d'adapter leur accompagnement en fonction des réactions émotionnelles de la personne touchée par le deuil. Il reste des places pour la session du 25 novembre 2024, pour consulter le programme détaillé et vous inscrire : https://lnkd.in/eH8E-qd9 #formationprofessionnelle #deuil
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Nouvel article blog ! "Toute souffrance psychologique est révélatrice d’un deuil non fait, selon Roméo COURNAL, formateur en Neurosciences. Lorsque nous n’avons pas totalement fait le deuil d’une situation, d’une expérience, cela s’appelle un trauma. Faire le deuil ne se limite pas à la mort d’une personne, il se pose aussi bien lors d’une séparation qu’un déménagement, la perte d’un travail, d’un lieu, d’une habitude, la perte de temps… Dans cet article extrait de La Sagesse du Deuil nous verrons que faire le deuil va bien au-delà du lâcher prise, de l’acceptation ou de la résilience. De notre capacité à bien faire nos deuils dépend qui l’on devient, les obstacles que l’on rencontre, notre condition physique…vous l’aurez compris, c’est vital..." Lire l'article :
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Nous célébrons aujourd’hui la Journée nationale du deuil. Le deuil peut sembler insurmontable et lorsque quelqu’un que nous connaissons fait face à une perte, nous ne savons pas toujours quoi dire, ou nous avons peur de dire ce qu’il ne faut pas. Alors, comment soutenir une personne en deuil? Le simple fait d’écouter et de faire preuve de compassion peut être d’une grande importance pour une personne qui subit une perte. Personne ne devrait avoir à faire son deuil sans soutien. Consultez et partagez ces ressources : https://ow.ly/iYXS50Uachv #SensibilisationAuDeuil #JournéeNationaleDuDeuil #SoutiendansleDeuil
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Le deuil est une expérience complexe, loin d'être linéaire ou prédictible. Dans notre société moderne, reconnaître la diversité des expériences de deuil et offrir un soutien adapté à chacun·e est crucial. C’est une étape inévitable de la vie, est une expérience universelle, mais ses manifestations et son cheminement sont propres à chaque personne. Dans cet article je propose de redéfinir ce qu'est le deuil, comment aider une personne endeuillée et comment s'aider soi-même en période de deuil. Les moments difficiles et douloureux font aussi partie de la vie, nous pouvons les accepter et même les accueillir. Prudence https://lnkd.in/e5gVzRQg #deuil #résilience #santémentale
Comprendre le deuil, une étape inévitable de la vie
mapsyforme.com
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