Post de Entreprises Occitanie

✈ 📈 « Nous réalisons un excellent exercice 2023/24 à l’issue duquel nous avons atteint ou dépassé l’ensemble de nos objectifs financiers, et ce, pour la troisième année consécutive. » Jean-Claude Maillard est un PDG de Figeac Aero satisfait après la présentation des derniers résultats de l'entreprise lotoise. Cette dernière a enregistré un chiffre d'affaires de 397,2 millions d'euros pour l'exercice 2023/2024, soit une croissance organique de 19,3 % par rapport à l'année précédente, malgré un effet de change défavorable de 10,5 millions d'euros. De plus, le marché de l'aéronautique civil continue de montrer une forte dynamique. Après une croissance de 36,9 % en 2023, le trafic aérien passager a augmenté de 15,5 % au 30 avril 2024, dépassant les niveaux d'avant-crise. Cette croissance profite aux appareils court, moyen et long-courrier, avec une demande accrue pour les gros-porteurs comme l'Airbus A350, un programme phare pour Figeac Aéro. Tous les détails des résultats 2023-2024 de Figeac Aéro sont à retrouver dans notre article complet ⤵ #lot #occitanie #aeronautique Jean-Claude Maillard CCI du Lot Jalil Benabdillah GIFAS - Groupement des Industries Françaises Aéronautiques et Spatiales Didier KATZENMAYER UIMM Occitanie

Figeac Aéro remporte 3 nouveaux marchés auprès de clients nord-américains Figeac Aéro annonce avoir remporté 3 nouveaux marchés de pièces d’aérostructures auprès de clients nord-américains. Ces marchés « représenteront en vitesse de croisière un chiffre d’affaires annuel cumulé d’environ 6 M€, sans nécessiter d’investissements capacitaires », indique Figeac Aéro. Ils couvrent un large éventail d’activités, telles que l’usinage, la tôlerie et le traitement de surface. Les pièces sont destinées à différents composants, allant de la voilure à la nacelle, de programmes de jets d’affaires ainsi que des monocouloirs A220 et de la famille A320. Thomas Girard, directeur général adjoint de Figeac Aéro, commente : « Dans le cadre de notre nouveau plan stratégique PILOT 28, l’un de nos points de focalisation en matière de développement commercial est l’Amérique du Nord. Le gain de ces nouveaux marchés nous conforte sur le fait que nous avons une offre industrielle particulièrement pertinente ». La durée des contrats s’étale entre 3 et 5 ans, avec une valeur totale combinée de près de 20 M€. La Dépêche du Midi

En France on possède plus d'une soixantaine d'aéroports civils dans nos régions qui sont sous perfusion de subventions pour fonctionner faute de passagers et désertes suffisantes. Alors certains aéroports pourraient se diversifier en accueillant des avions civils à recycler. C'est une économie circulaire qui permet à Airbus de promouvoir des pièces mécaniques, hydrauliques et électroniques reconditionnées comme pièces détachées d'avions. On peut recycler plus de 90% d'un avion de ligne afin de récupérer des matières premières. Ce projet permettrait de promouvoir l'emploi et des activités dans certaines régions françaises. C'est une voie de réindustrialisation. Airbus est un constructeur et concepteur d'avions , un acteur majeur de la maintenance et du suivi de ces avions de lignes, un acteur futur dans le recyclage et le reconditionnement de pièces détachées.

📍 [ INTERVIEW ]📍 🎙️ Groupe MECACHROME : "50% de notre chiffre d'affaires est sécurisé au-delà de 2030" (ARTICLE EN ACCÈS LIBRE) 👉Basé à Blagnac (Haute-Garonne) et fabricant de pièces et sous-ensembles métalliques (automobile, défense, naval, énergie...), Mecachrome compte parmi les cinq plus grands fabricants de pièces pour l’#aéronautique en Europe. 👉Président de Mecachrome, christian Cornille revient sur l'essor du groupe de 5 000 salariés, dans le sillage notamment d' Airbus Dassault Aviation et Thalès. Avec une année record en 2023 et une année 2024 toujours en croissance. "Globalement, le marché est très bien orienté. Nous avons également une très belle couverture contractuelle : 50 % de notre chiffre d’affaires est sécurisé au-delà de 2030", indique le dirigeant. 👉Mais le dirigeant évoque aussi les difficultés rencontrées, avec "deux accidents industriels" : - les difficultés de #Boeing - la décision d’#Alpine d’arrêter le développement de moteur de Formule 1 👉Christian Cornille revient enfin sur la complexité de suivre la montée en cadence de la filière aéronautique. "Notre croissance nous amène à investir, à faire des travaux dans nos usines, à procéder à de nombreux achats de matières en avance de phase. Ceci creuse notre trésorerie"... Mais le soutien du secteur bancaire "n’est pas là". Mecachrome a toutefois pu s'appuyer sur certains clients qui ont offert des garanties pour obtenir des prêts ou fourni des avances de cash. Une interview long format de Philippe KALLENBRUNN à lire en intégralité dans Le Journal des Entreprises Occitanie 👇 https://lnkd.in/ehKTj_nm 💡 Le site du Journal des entreprises est entièrement #gratuit cette semaine (toutes éditions), profitez-en ! Pascal Farella | Anne-Annabelle BEGEY | Aurelie Lemahieu | Jean-Dominique Thevenin | Yannick Assouad | Frédéric Lecha | Evrard Didier | Alexandre Bonnarme | Olivier COEURDRAY | Benjamin Tichané | Mathieu ROSSI | Anthony Rey | stéphane vandangeon | Thales Aerospace

👉 Un article complet sur les enjeux et perspectives du Groupe MECACHROME.

Ces grands sous-traitants français de l’aéronautique dont le risque de défaillance inquiète Quelque 40 grands sous-traitants aéronautiques sont en risque de défaillance, selon une étude confidentielle de la Banque de France. Ils représentent environ 20% des principaux fournisseurs d’Airbus et de Safran. Un constat préoccupant pour le premier secteur exportateur français. Les dirigeants de la filière déploient des outils pour éviter le point de non-retour. https://lnkd.in/eaRFeUN7

#AERONAUTIQUE & #ECONOMIECIRCULAIRE - "Les activités de services après-vente, #maintenance et formation, pèsent de plus en plus lourd dans les résultats d'Airbus et de Boeing. (...) L'activité de loin la plus importante restera la maintenance des appareils, qui représente un marché de 126 milliards de dollars, en hausse de 3,5 % par an en moyenne. Cependant, l'activité susceptible de connaître la plus forte croissance dans les prochaines années, est le #recyclage des avions. Son marché devrait tripler de taille d'ici à 2043, avec la mise à la retraite programmée de 18.460 avions d'ancienne génération au cours des 20 prochaines années. Un juteux #marché en perspective. Il est en effet possible de recycler jusqu'à 90 % du poids d'un avion. Et pas seulement en canettes de bière. Car un grand nombre de pièces et d'éléments très coûteux peuvent être revendus et réutilisées.  (...) Certains experts du secteur y voient déjà un changement progressif de modèle économique pour les avionneurs, si la majorité des profits devaient durablement provenir des services après-vente, plutôt que des marges sur les avions. A terme, les compagnies aériennes pourraient ainsi se délester totalement du souci de la maintenance de leurs avions en conditions opérationnelles et acheter aux avionneurs non plus seulement des avions, mais des heures de vol garanties contre tous les aléas mécaniques. A condition d'acheter en même temps l'avion et le contrat d'entretien chez le même fournisseur."

L'aérospatial au secours du commerce extérieur français Si elle n’a pas encore renoué avec les chiffres pré-Covid, la filière aérospatiale française a bouclé l’année 2023 avec un excédent commercial (30,8 milliards) proche des records, selon les chiffres publiés hier par le GIFAS - Groupement des Industries Françaises Aéronautiques et Spatiales. Selon l'OFCE, le secteur pourrait rapporter 0,4 point de PIB supplémentaire à la France sur les deux prochaines années, un ordre de grandeur évoqué également hier par Guillaume Faury Gros plan sur une filière stratégique, qui aura effacé cette année les effets de la crise Covid (abonnés) Airbus Airbus Helicopters Airbus Defence and Space Thales Safran LISI GROUP ARESIA Figeac Aero Ratier-Figeac Thales Alenia Space Dassault Aviation Daher Airbus Atlantic Latecoere

Merci à Olivier James et L'Usine Nouvelle pour ce nécessaire travail d’information du public. J’appelle singulièrement nos décideurs à s’intéresser de près à ce papier et à la réalité économique qu’il décrit, celle d’une quarantaine de sous-traitants de la filière #aéronautique française avec un risque élevé de défaillances. Dans un climat où certains souhaitent accroître la charge déjà lourde pesant sur les entreprises, la plus grande précaution est à adopter pour ne pas signer le coup d’arrêt de plusieurs acteurs économiques. La première des solutions est de redonner de l’oxygène et de la lisibilité à ces entreprises pour qu’elles puissent répondre aux commandes d’abord et ensuite investir, notamment dans la R&D. J’en profite pour rafraîchir la mémoire de ceux qui l’auraient oublié : l’aéronautique représente 4,3% de notre PIB, 1 000 entreprises, 250 000 salariés. Dit plus simplement, c’est une filière qui pèse lourd sur notre économie, mais aussi sur notre compétitivité à l’échelle européenne et mondiale car nous avons des champions et des savoir-faire reconnus à l’international. Une détérioration supplémentaire des conditions financières, industrielles, etc. pourrait être fatale. Vigilance maximale donc.  GIFAS - Groupement des Industries Françaises Aéronautiques et Spatiales

FIGEAC AÉRO : Affiche des résultats positifs pour la rentrée 2024, avec une légère hausse de son chiffre d’affaires de 0,7 % à 94 M€ pour le 1er trimestre de l’exercice 2024/2025. Cette performance est portée par la croissance des divisions Aérostructures & Aéromoteurs (+4%), et malgré des contretemps liés aux retards dans certains programmes comme le Boeing 737 MAX et l’A320neo. Les Activités de Diversification ont tout de même reculé de 23,7% en raison d'un effet de base défavorable. L'entreprise reste en phase avec ses objectifs de développement et bénéficie d’un carnet de commandes solide. Figeac Aéro mise avant tout sur une accélération de la production, soutenue par la forte demande de nouveaux appareils.