𝐐𝐮𝐚𝐧𝐝 𝐮𝐧 𝐩𝐚𝐫𝐤𝐢𝐧𝐠 𝐝𝐞𝐯𝐢𝐞𝐧𝐭 𝐮𝐧 𝐜𝐚𝐬𝐬𝐞-𝐭𝐞̂𝐭𝐞 𝐜𝐨𝐥𝐥𝐞𝐜𝐭𝐢𝐟 : 𝐞𝐭 𝐬𝐢 𝐮𝐧𝐞 𝐬𝐨𝐥𝐮𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐬𝐢𝐦𝐩𝐥𝐞 𝐞́𝐭𝐚𝐢𝐭 𝐝𝐞́𝐣𝐚̀ 𝐬𝐨𝐮𝐬 𝐧𝐨𝐬 𝐲𝐞𝐮𝐱 ? En copropriété, la gestion des parkings est souvent un terrain de tensions. Dans notre résidence, nous avons pris les devants : 72 places sécurisées pour 192 logements, avec un badge par appartement, visible sur chaque véhicule. Cela permet de limiter les abus et d’identifier facilement les véhicules étrangers pour, si besoin, les faire retirer. Mais juste à côté, un autre casse-tête persiste : un petit parking de 4 places, sans marquage ni barrière, en bordure de la copropriété. Au fil du temps, cet espace est devenu une zone de stationnement "libre" : épaves, camping-cars d’amis de locataires, véhicules sans lien avec la résidence… Même quand un commerçant voisin a contacté la police pour faire retirer une épave, la réponse a été sans appel : sans délimitation officielle, tous les véhicules devraient être déplacés ou aucun. Résultat ? Rien ne bouge ! Pourtant, des solutions pourraient être envisagées : ce commerce voisin pourrait racheter ces places, les transformer en stationnement client, avec des lots bien définis. Une autre piste serait de réserver ces places pour des véhicules électriques, une option de plus en plus demandée. Mais avant d’avancer, il nous faut convaincre les copropriétaires et obtenir la double majorité. Pas simple ! Et vous, avez-vous rencontré des situations similaires dans votre copropriété ? Quels systèmes avez-vous mis en place pour organiser vos espaces de stationnement ? Partagez vos retours et bonnes idées ! #GestionDeCopropriété #Stationnement #Parking #ConseilSyndical #Syndic #StationnementÉlectrique
Post de Eric Bardoul
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« No parking, no business » en centre-ville : un mythe à déconstruire 👉Dans cet article, je reviens sur les 4 enseignements qu'on retrouve systématiquement dans les enquêtes sur la mobilité des clients des commerces de centre-ville et leurs souhaits en matière d'évolution des espaces publics. Des résultats bien loin des idées-reçues : 1️⃣ La plupart des clients vivent à proximité 2️⃣ La majorité des clients sont piétons ou utilisent les transports collectifs 3️⃣ Les clients veulent un espace avec moins de voitures 4️⃣ Les commerçants surestiment systématiquement l'utilisation de la voiture par leurs clients Ce 4e point est sans doute le plus important et il permet de comprendre les points de crispations et les blocages qui surgissent dans la plupart des projets d'aménagement des centres-villes. 👉 La solution ? Reproduire, en amont des projets d'aménagements urbains, ce type d'enquêtes de terrain afin d'avoir des données réelles sur la mobilité des clients et ce qu'ils souhaitent. Ceci afin d'avoir des réflexions et débats sur la base de données objectives plutôt que sur le ressenti de chacun. https://lnkd.in/gFwtAqfH
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Plongez dans les archives pour découvrir l’avant-gardisme de la ville de Rouen qui en 1970 piétonisa la rue du gros horloge. La fréquentation des commerces a alors augmentée de 50%. Aujourd’hui cette rue est devenue le centre névralgique de Rouen où déambulent habitants et touristes ! 👉📽️https://lnkd.in/eh9zG4ks Exemple illustrant parfaitement les propos de Mathieu Chassignet ci dessous. A retenir : les ressentis sont souvent trompeurs, rien ne vaut une étude sérieuse sur les comportements et les attentes des usagers!
« No parking, no business » en centre-ville : un mythe à déconstruire 👉Dans cet article, je reviens sur les 4 enseignements qu'on retrouve systématiquement dans les enquêtes sur la mobilité des clients des commerces de centre-ville et leurs souhaits en matière d'évolution des espaces publics. Des résultats bien loin des idées-reçues : 1️⃣ La plupart des clients vivent à proximité 2️⃣ La majorité des clients sont piétons ou utilisent les transports collectifs 3️⃣ Les clients veulent un espace avec moins de voitures 4️⃣ Les commerçants surestiment systématiquement l'utilisation de la voiture par leurs clients Ce 4e point est sans doute le plus important et il permet de comprendre les points de crispations et les blocages qui surgissent dans la plupart des projets d'aménagement des centres-villes. 👉 La solution ? Reproduire, en amont des projets d'aménagements urbains, ce type d'enquêtes de terrain afin d'avoir des données réelles sur la mobilité des clients et ce qu'ils souhaitent. Ceci afin d'avoir des réflexions et débats sur la base de données objectives plutôt que sur le ressenti de chacun. https://lnkd.in/gFwtAqfH
« No parking, no business » en centre-ville : un mythe à déconstruire
theconversation.com
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Petite histoire de parcomètre en ce vendredi (pour l’instant) ensoleillé Le stationnement gratuit est vendu depuis de nombreuses années comme un outil indispensable à l’attractivité commerciale. Les concepts de malls, power center et autres types de centres commerciaux sont d’ailleurs basés en grande partie sur la logique d’une offre de stationnement gratuite et quasiment illimitée (car dimensionnée sur l’hyperpointe de la période des fêtes). L’impact de cette priorité donnée au stationnement gratuit génère par ailleurs des choix modaux quasiment exclusivement en voiture, la localisation rendant souvent difficile une desserte efficace en transports collectifs et en transports actifs. Si ce choix de fournir un stationnement gratuit et presque illimité est encore possible pour des centres commerciaux, il devient le plus souvent un miroir aux alouettes pour les rues commerciales en zones denses. En effet, la pression sur le stationnement fait en sorte que la demande est multiple, et mécaniquement, les véhicules se stationnant le plus longtemps vont avoir la priorité et occuper l’espace. La rotation des véhicules et du stationnement est donc un sujet essentiel pour l’attractivité des rues commerciales. Et le seul outil efficace aujourd’hui pour assurer la rotation, ce sont les places tarifées, car c’est une règlementation qu’il est possible de surveiller efficacement. D’ailleurs si l’on revient aux origines du parcomètre, il est intéressant de se rappeler qu’il a été inventé pour les commerçants en 1935 à Oklahoma City, par Carl Magee, à l’initiative de la Chambre de commerce locale qui souhaitait trouver un moyen d’assurer la rotation des véhicules sur les espaces de stationnement de son centre-ville, pour permettre au maximum de clients d’accéder aux commerces. Le succès a été immédiat, tant par son effet sur la mobilité, que par les revenus qu’il générait pour ceux qui le géraient. Au Canada, le premier parcomètre a été mis en place à Sudbury en Ontario en 1950 et à Montréal, les sources divergent entre 1954 et 1958. Si la priorité pour améliorer l’attractivité et l’accessibilité commerciale en zone dense devrait être de favoriser les modes durables qui permettent à beaucoup plus de clients d’accéder aux commerces, que ce soit via des rues piétonnes, des infrastructures pour le vélo (pistes cyclables, stationnements sécurisés, stations de vélo en libre-service etc.) ou pour le transport collectif, le stationnement tarifé reste une mesure complémentaire efficace, qui permet d’optimiser l’usage de l’espace et d’assurer une rotation. Pour l'Agence de mobilité durable, il s'agit d'un outil essentiel qui permet d'enclencher un cercle vertueux d'écofiscalité, tout en soutenant l'attractivité commerciale des zones urbaines denses. Source de l'image : Oklahoma History Center https://lnkd.in/em5qGxH9
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ça va faire les affaires des Zones commerciales en périphérie au détriment du petit commerce en centre ville et il fait espérer qu' il sera toujours possible d avoir accès aux établissements et autres acteurs de la santé !!! Stationnement : ces villes où les voitures perdent des places À Grenoble, le stationnement fait l'objet de toute l'attention des habitants et se garer relève du défi. La preuve, TF1 a fait le test en sillonnant les rues en quête du moindre emplacement. Malgré nos efforts, il est impossible de se garer. Les Grenoblois sont confrontés à ce casse-tête tous les jours. Plus de 1000 places en voirie ont été supprimées en moins de dix ans au profit de pistes cyclables, d'espaces verts ou encore de rues piétonnes. En parallèle, de nouveaux parkings gratuits fleurissent un peu partout en périphérie. Pas moins de huit chantiers sont en projet pour cette année. En attendant, les commerçants sont inquiets, car la mairie pourrait supprimer plus d'une centaine de places de stationnement. Grenoble n'est pas la seule métropole concernée. Dans une large partie de la France, de plus en plus de communes repensent leur politique de stationnement avec en ligne de mire un but bien précis selon Emmanuel Perrin, chef de projets stratégie mobilité au Cerema. "Mieux partagé en fait l'espace pour aussi proposer des espaces qui soient plus agréables et aussi plus adaptés aux nouveaux enjeux d'aujourd'hui", explique l'expert. La stratégie est différente à Dinan (Côtes-d'Armor). En plein cœur de ville, commerçants et habitants disposent d'un abonnement au prix attractif pour une place assurée à l'année. Hors de question de supprimer des emplacements, mais certains parkings, sont, en revanche, devenus payants. Il s'agit d'un moyen pour la municipalité de financer d'autres parkings. D'ici la fin de l'année 2024, le chantier qui est en cours devrait offrir 50 emplacements supplémentaires. De plus en plus de mairie tentent de trouver la meilleure équation pour stationner en ville. Entre 2022 et 2023, deux fois plus d'horodateurs ont été vendus dans toute la France. TF1 | Reportage B. Garguy-Chartier, K. Gaignoux.
Stationnement : ces villes où les voitures perdent des places - Journal de 20 heures | TF1
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La voiture en ville pour lutter contre la sur-consommation ? 😅 Les commerçants sont régulièrement contre les projets de pietonnisation. La Ville d'Antony leur a d’ailleurs donné raison dans son projet de « ZFE » de la rue commerçante. Finalement, les études et retours d’expérience montrent le contraire. Le fait de pouvoir déambuler dans les rues et de circuler librement à pied, facilite l’accès aux commerces et les piétons sont dans de meilleures dispositions pour consommer. Pour que le concept reste vertueux, il faut bien choisir les commerces implantés, favoriser les lieux de rencontre, rendre le centre accessible à la périphérie en mobilité douce. Proposer autre chose est aussi le meilleur moyen de se démarquer les centres commerciaux, surtout que dans la rue, il n’y a pas de chauffage en hiver, ni climatisation en été, ni de toit quand il pleut. Finalement, les projets de piétonnisations sont des projets où la concertation est indispensable pour que chacun puisse exprimer ses craintes, ses besoins, ses envies et que le projet qui en découle soit co-construit. #centre_ville #commerces #mobilité #piéton #concertation
« No parking, no business » en centre-ville : un mythe à déconstruire
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Etude très intéressante relayée par la Gazette des communes. Elle balaie bon nombre d'idées reçues, notamment que beaucoup de clients des commerces de centre-ville viendraient en voiture. En réalité, dans les villes de plus de 50 000 habitants, la voiture est minoritaire et la plupart des acheteurs viennent à pied et en transport en commun. Mieux encore : dans les villes qui ont opté pour un meilleur partage de l'espace public en faveur des piétons et vélo, l'attractivité économique a progressé ! https://lnkd.in/eV-vyi9Y
« No parking, no business » en centre-ville : un mythe à déconstruire
lagazettedescommunes.com
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Faut-il plus de places de parkings pour redynamiser le commerce en centre-ville ? ➡ un article intéressant pour déconstruire un mythe tenace ⚠️ A nuancer en fonction de la taille des centres-villes et des réalités locales #parking #commerce #centreville
🚶🚗 NO PARKING, MORE BUSINESS ? 🅿 🛍️ Stationnement et commerçants Les mesures visant à apaiser les centres-villes se multiplient pour réduire la pollution et rendre les espaces plus agréables. Cependant, elles suscitent souvent l’opposition des commerçants locaux, déjà affectés par la concurrence en ligne et les zones commerciales périphériques. 🚸 Sur cette thématique, deux approches s’opposent souvent pour revitaliser les commerces de centre-ville : - Faciliter la circulation et le stationnement pour attirer les clients; - Améliorer l’ambiance urbaine et les espaces publics pour attirer les piétons et favoriser la consommation locale. 🔎 Plusieurs faits intéressants pour nuancer ces approches : - les commerçants ont tendance à surestimer la part de clientèle qui se déplace en voiture. C'est particulièrement vrai dans les grandes villes. A Nancy, les commerçants interrogés croyaient que 77 % de leurs clients venaient en voiture : c’est en réalité le cas de… 35 % d’entre eux. Des études similaires ont été menées à Bruxelles et à Namur et présentent le même type de résultats. - les clients automobilistes insatisfaits ont tendance à facilement exprimer leur mécontentement, ce qui biaise la perception des commerçants qui perçoivent le stationnement comme un réel frein à leur business. - La plupart des études menées après les projets de piétonnisation montrent que la majorité des commerçants (et de leurs clients) ne voudraient pas revenir en arrière et sont satisfaits des changements opérés. 🎯Au cours de nos études, nous avons souvent été amenés à analyser ces impacts : diminution du stationnement, piétonnisation (temporaire ou définitive) de certaines rues commerçantes, modification des politiques tarifaires de stationnement, etc. Force est de constater qu'il est souvent crucial d'objectiver des croyances, perceptions qui peuvent influencer les prises de décision. Chaque territoire est unique, une solution pour un centre-ville ne pourra peut-être pas s'appliquer à un autre. Toutes les variables doivent donc être prises en compte avant d'adapter la stratégie à mettre en place. Si le sujet vous intéresse, nous sommes à votre disposition --> UP-city 😉 👇Découvrez les nuances de ce débat dans l'article complet. 📚 😉 à la Ville de Namur avec qui nous avons beaucoup abordé ce sujet ! Michel JEHAES Stephanie Scailquin Sylvie André Frank Marchal Dylan Baras #parking #centreville #pieton #commerce
« No parking, no business » en centre-ville : un mythe à déconstruire
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🚶🚗 NO PARKING, MORE BUSINESS ? 🅿 🛍️ Stationnement et commerçants Les mesures visant à apaiser les centres-villes se multiplient pour réduire la pollution et rendre les espaces plus agréables. Cependant, elles suscitent souvent l’opposition des commerçants locaux, déjà affectés par la concurrence en ligne et les zones commerciales périphériques. 🚸 Sur cette thématique, deux approches s’opposent souvent pour revitaliser les commerces de centre-ville : - Faciliter la circulation et le stationnement pour attirer les clients; - Améliorer l’ambiance urbaine et les espaces publics pour attirer les piétons et favoriser la consommation locale. 🔎 Plusieurs faits intéressants pour nuancer ces approches : - les commerçants ont tendance à surestimer la part de clientèle qui se déplace en voiture. C'est particulièrement vrai dans les grandes villes. A Nancy, les commerçants interrogés croyaient que 77 % de leurs clients venaient en voiture : c’est en réalité le cas de… 35 % d’entre eux. Des études similaires ont été menées à Bruxelles et à Namur et présentent le même type de résultats. - les clients automobilistes insatisfaits ont tendance à facilement exprimer leur mécontentement, ce qui biaise la perception des commerçants qui perçoivent le stationnement comme un réel frein à leur business. - La plupart des études menées après les projets de piétonnisation montrent que la majorité des commerçants (et de leurs clients) ne voudraient pas revenir en arrière et sont satisfaits des changements opérés. 🎯Au cours de nos études, nous avons souvent été amenés à analyser ces impacts : diminution du stationnement, piétonnisation (temporaire ou définitive) de certaines rues commerçantes, modification des politiques tarifaires de stationnement, etc. Force est de constater qu'il est souvent crucial d'objectiver des croyances, perceptions qui peuvent influencer les prises de décision. Chaque territoire est unique, une solution pour un centre-ville ne pourra peut-être pas s'appliquer à un autre. Toutes les variables doivent donc être prises en compte avant d'adapter la stratégie à mettre en place. Si le sujet vous intéresse, nous sommes à votre disposition --> UP-city 😉 👇Découvrez les nuances de ce débat dans l'article complet. 📚 😉 à la Ville de Namur avec qui nous avons beaucoup abordé ce sujet ! Michel JEHAES Stephanie Scailquin Sylvie André Frank Marchal Dylan Baras #parking #centreville #pieton #commerce
« No parking, no business » en centre-ville : un mythe à déconstruire
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La politique de stationnement de Fougères évolue ! Elle fait suite à une étude conduite par Sareco pour la Ville en 2021, dans le cadre du programme Action Cœur de Ville. L’étude mettait en évidence les difficultés rencontrées par les visiteurs pour stationner en centre-ville. Et pourtant, l’offre de stationnement n’était pas déficitaire : elle permettait aisément de répondre à la demande des visiteurs, mais également des résidents qui ne disposaient pas de garages privés. Le plan de stationnement élaboré par Sareco consiste à libérer le centre-ville d’une partie des employés qui stationnaient à la journée sur les places les plus prisées, notamment proches des commerces. En partie sous la contrainte, avec une mise en règlementation de certains parcs au sol, mais également avec une amélioration de la qualité de service offerte sur les parkings plus périphériques, pour les rendre plus attractifs. Un ascenseur urbain a par exemple ainsi été installé sur le parking du Nançon, idéalement localisé par rapport au centre-ville, mais situé en contrebas, avec un important dénivelé. Car une politique de stationnement doit en effet combiner deux approches : 1/ prioriser certains usagers dans l’accès aux places les plus attractives 2/ proposer des alternatives crédibles aux autres : reports de stationnement en périphérie, report sur les modes actifs, etc. Une bonne concertation peut également être une clé de la réussite ; à Fougères, les commerçants, associés à plusieurs reprises à la fabrique du plan de stationnement, ont apporté leur soutien au projet. Mairie de Fougères #stationnement #commerces #actioncoeurdeville #petitesvillesdedemain
Fougères : le parking de la Douve va passer en stationnement payant dès le 3 juin 2024
ouest-france.fr
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A l'heure de l'e-commerce, de la concurrence des centres commerciaux périphériques, et de l'augmentation du prix des matières premières, que faut-il faire pour soutenir les commerçants de centre-villes ? Offrir des facilités de circulation et de stationnement aux clients automobilistes est une solution préconisée par quelques élus et pas mal de commerçants pensant attirer de lointains clients. Ne vaut-il pas mieux au contraire offrir une expérience agréable aux chalands, un espace public de qualité, un trafic apaisé, la possibilité de marcher ou de circuler à vélo en sécurité, une ambiance urbaine qui donne envie de se promener que les centre-villes ? Rien de très récent dans l'article de Mathieu Chassignet ci-dessous, mais il rappelle la grande différence qui existe entre la mobilité des clients et celle que les commerçants leur attribuent. Les commerçants ont tendance en moyenne à surestimer fortement la part de leurs clients qui se déplacent en voiture et se trompent bien souvent sur les attentes de leurs clients. Ce constat est fait sur une série de villes française de différentes tailles. Il a été fait également à Bruxelles dans une étude datant de 2011 https://lnkd.in/e3B_p_Hs. Il va sans dire qu'avec l'explosion de l'usage du vélo depuis lors, les chiffres ont certainement évolué. Offrons un avenir à nos centre villes en donnant envie à tous de s'y trouver, de s'y retrouver et d'y passer un bon moment. La facilité de s'y garer n'est pas un indicateur de qualité d'un centre-ville. En octobre se tiendront les élections communales en Belgique. Dans votre commune, quels sont les projets proposés pour le centre-ville ? https://lnkd.in/eG9dbHY7
« No parking, no business » en centre-ville : un mythe à déconstruire
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