Post de Eric Pilat

Voici l’homme le plus influent du monde, et pourtant, beaucoup ne le connaissent pas.… Cet homme contrôle l’économie mondiale. Il est si puissant qu’il manipule l’économie mondiale et les marchés financiers à sa guise. Il dirige dans l’ombre des entreprises qui nous entourent, telles que : Apple, Google, Facebook, Amazon, Disney et même Pfizer. Il possède la plupart des banques américaines et détient également des parts dans tous les domaines : Pharmaceutique, transport, banque, médias. Il occupe également un siège permanent au Conseil de sécurité de l’ONU et détient l’arme atomique. Mais qui est cet homme que beaucoup ne connaissent pas, mais qui contrôle l’économie mondiale ? Les médias ne parlent presque pas de lui, mais cet homme dirige l’une des entreprises les plus puissantes du monde, appelée BLACKROCK. BLACKROCK est si puissante que l'entreprise a atteint 10 000 milliards de dollars d’actifs sous gestion. Soit quatre fois le PIB de la France et la moitié du PIB des États-Unis. L’homme qui se cache derrière BLACKROCK, c'est Larry Fink, né en 1952 à Los Angeles. Il a grandi dans une famille juive, et après des études en sciences politiques, il a trouvé un emploi à la banque First Boston, à Wall Street. À seulement 29 ans, il accède au poste de directeur de la banque, devenant ainsi le plus jeune directeur de l’histoire de l’établissement. Cependant, après avoir commis une erreur ayant coûté 100 millions de dollars à la banque, il a été renvoyé de son poste de directeur. Mais Larry Fink va prendre sa revanche ! Il était prêt à tout pour devenir riche et avoir du pouvoir. Ainsi, avec l’aide d’un ami diplômé de Harvard, il crée en 1988 l’entreprise BLACKROCK. C’est là que tout va basculer pour lui ! En 1990, seulement deux ans après la création de BLACKROCK, un petit groupe d’inconnus invente l’outil le plus puissant de la finance : C’est l’un des secrets les mieux gardés de BlackRock : l'intelligence artificielle ALADDIN. Si vous cherchez sur Google, vous serez terrifié par sa puissance. L'histoire de Larry Fink et de BLACKROCK souligne l'importance de la persévérance, même après des revers. La création de BLACKROCK et le développement de l'intelligence artificielle ALADDIN montrent comment l'innovation peut changer la donne dans le monde financier. Et cela nous rappelle que chaque échec peut être une opportunité de rebondir plus fort.

🌟 Tendances récentes dans la gestion de patrimoine internationale : 🌟 Les dynamiques mondiales évoluent rapidement, et la gestion de patrimoine s'adapte à ces changements. L'essor de l'IA dans l'investissement, la demande croissante pour des produits financiers durables, et l'impact des tensions géopolitiques sur les marchés émergents sont autant de facteurs clés influençant les stratégies actuelles.  🌍 L'investissement ESG: continue de croître, les investisseurs recherchant des solutions plus alignées avec leurs valeurs.  📈 Les obligations: regagnent en popularité dans un contexte d'incertitude économique mondiale.  🤖 L'IA: révolutionne la gestion de portefeuille, avec des algorithmes plus intelligents pour mieux analyser les tendances du marché. Dans ce contexte, l'importance d'une bonne allocation d'actifs, d'une stratégie diversifiée et d'une veille régulière n'a jamais été aussi cruciale. Vous souhaitez en savoir plus ? Contactez-nous ! #obligations #IA #gestion #patrimoine #ESG #globalallocation

Comment investir dans un nouveau cylcle ? Pour Forbes France, un décryptage des transformations du paysage macro-financier et des stratégies d'investissement en cette période de transition. Merci aux experts pour leurs analyses éclairées : 🔹 Lior Katz, CFA de BlackRock qui évoque l'importance des "méga-forces" telles que l'IA et la transition énergétique. 🔹 Roland Kaloyan de la Société Générale qui souligne l'optimisme des investisseurs face à des facteurs macro-économiques variés. 🔹 Cyril Aboujaoude de Tioopo Capital qui met en avant les opportunités dans les PME en transition générationnelle. 🔹 Mathieu Sollier Head market de Family office à Genève qui partage une vision prudente mais optimiste. #Investissement #Economie #Finance #Macroéconomie #StratégiesInvestissement #BlackRock #SocieteGenerale #FamilyOffice #PrivateEquity

Risque géopolitique, Enjeux stratégiques et politiques pour 2024. 📌 Il est souvent mentionné le risque géopolitique dans les allocations d’actifs et nous savons que c’est bien le plus difficile à anticiper pour les marchés financiers. J’ai eu le plaisir d’assister à la présentation organisée par Sanso Longchamp AM du général d’armée Grégoire de Saint Quentin qui est aussi le parrain de l’association La Chimère.  🌏 Le général a su mettre en lumière les risques actuels pesant sur l’ Europe et l’Asie, notamment au regard  des stratégies expansionnistes de la Russie en Occident et de la Chine à l’est, la volonté des américains de rester une grande puissance avec ou sans l’Europe sans oublier les jeux d’influence en Afrique.    📈 Dans le cadre de la gestion financière de Sanso IS, le gérant Cyriaque Dailland a rappelé que la géopolitique génère plus de volatilité que les tendances de marchés. Dans le cadre de la baisse des taux de la BCE, Etienne Gorgeon a mentionné qu’elle offre des opportunités d’investissement sur les obligations d’entreprises de maturité courte. Vous vous interrogez sur la prochaine allocation de vos actifs financiers. Je suis Alexandra Handjian, conseiller en gestion de patrimoine. Je serais ravie de vous accompagner dans la réflexion de vos prochains investissements qui correspondent à votre profil. #gestionprivee

Voilà ce que les stratégistes de BlackRock anticipent pour la fin d'année 👇 Le début 2024 a été marqué par des transformations économiques significatives, influencées par des investissements massifs dans l'intelligence artificielle, la transition vers une économie à faible émission de carbone et la réorganisation des chaînes d'approvisionnement mondiales. BlackRock fait le point sur ce début d'année rempli de péripéties et sur les perspectives les plus probables pour la fin d'année. Ces changements s'inscrivent dans un contexte économique post-pandémique caractérisé par une inflation persistante, des taux d'intérêt élevés, une croissance économique plus faible et une dette publique élevée. Depuis la pandémie, l'économie mondiale a connu une volatilité accrue, en grande partie due à des contraintes d'offre telles que la diminution des populations en âge de travailler. Cette situation a conduit à une inflation plus élevée et à des taux d'intérêt accrus, contrastant avec la période de faible inflation et de taux d'intérêt bas qui a précédé la pandémie. La dette publique reste également à des niveaux élevés, limitant la capacité des gouvernements à stimuler l'économie par des dépenses publiques. Malgré ce contexte macroéconomique difficile, des opportunités d'investissement significatives se profilent à l'horizon, principalement dans trois domaines clés : l'intelligence artificielle, la transition vers une économie à faible émission de carbone et la réorganisation des chaînes d'approvisionnement. Ces investissements pourraient transformer les économies et les marchés de manière similaire aux révolutions technologiques passées. Tout d'abord, l'IA est désormais au cœur de cette transformation, avec des investissements dans les centres de données et les infrastructures nécessaires pour soutenir son développement. Les estimations indiquent que les investissements dans les centres de données pour l'IA pourraient augmenter de 60 à 100% par an dans les années à venir. Cependant, la vitesse et l'ampleur de ces investissements restent incertaines et dépendront de divers facteurs, notamment les contraintes de ressources et les besoins énergétiques. Ensuite, la transition vers une économie à faible émission de carbone stimule également des investissements massifs. Selon le BlackRock Investment Institute, les investissements dans les systèmes énergétiques pourraient atteindre 3,5 trillions de dollars par an cette décennie. Cette transition est également influencée par la fragmentation géopolitique, les pays priorisant la sécurité nationale sur l'efficacité économique. Enfin, la réorganisation des chaînes d'approvisionnement mondiales nécessite également des investissements importants, les pays cherchant à renforcer leur sécurité économique et à réduire leur dépendance vis-à-vis de certaines régions. https://lnkd.in/e8bDZFyY

Une des raisons pour lesquelles je m’intéresse à la finance est sa forte interconnexion avec la politique. Dans le monde volatil d'aujourd'hui, les 𝗿𝗶𝘀𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗴é𝗼𝗽𝗼𝗹𝗶𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 ont un impact énorme sur les marchés financiers. Les événements tels que les guerres commerciales, les conflits militaires et les tensions politiques peuvent fortement influencer les mouvements du marché et changer drastiquement les décisions des gestionnaires de portefeuilles et des investisseurs. 🚀 𝗚𝘂𝗲𝗿𝗿𝗲𝘀 𝗰𝗼𝗺𝗺𝗲𝗿𝗰𝗶𝗮𝗹𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝘁𝗲𝗻𝘀𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗺𝗼𝗻𝗱𝗶𝗮𝗹𝗲𝘀 : Les tensions continuent entre les États-Unis et la Chine en sont un parfait exemple. Ces conflits géopolitiques affectent non seulement les pays impliqués, mais ont également des répercussions mondiales sur le commerce, les chaînes d'approvisionnement et la stabilité des marchés. 💼 𝗠𝗼𝘂𝘃𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗱𝘂 𝗺𝗮𝗿𝗰𝗵é 𝗲𝘁 𝗶𝗻𝗳𝗹𝘂𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗴é𝗼𝗽𝗼𝗹𝗶𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 : Les actions technologiques, les matières premières comme l'or et divers secteurs réagissent souvent immédiatement aux développements géopolitiques. Par exemple, les investisseurs se tournent vers des valeurs refuges comme l'or lorsque les incertitudes politiques augmentent. 🏦 𝗥ô𝗹𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗯𝗮𝗻𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗰𝗲𝗻𝘁𝗿𝗮𝗹𝗲𝘀 : Les banques centrales du monde entier doivent tenir compte des risques géopolitiques dans leurs décisions. Les modifications des taux directeurs et d'autres mesures politiques sont souvent influencées par les développements géopolitiques. 📊 𝗦𝘁𝗿𝗮𝘁é𝗴𝗶𝗲𝘀 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗶𝗻𝘃𝗲𝘀𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝘂𝗿𝘀 : Pour réussir dans cet environnement complexe, les investisseurs doivent gérer activement les risques géopolitiques. Cela signifie rester informé, maintenir des portefeuilles diversifiés et réagir de manière flexible aux conditions mondiales changeantes. La géopolitique n'est plus un sujet marginal, mais un facteur central pour le monde de la finance. Il est très probable que la volatilité géopolitique augmentera dans les années à venir. Il est donc d'autant plus important d’avoir un portefeuille bien diversifié, tant géographiquement qu'industriellement. Pour ma part, j’investis dans plusieurs ETF afin de diversifier mes investissements facilement. Alors oui, je m’intéresse à la géopolitique, mais je n’ai pas envie de passer tout mon temps à analyser les potentielles conséquences des événements politiques sur mon portefeuille et surtout je n'ai pas le temps... Et vous ? Comment gérez-vous les risques géopolitiques dans votre portefeuille ?

Est-ce vraiment opportun d'investir en 2024, au regard du contexte macroéconomique et géopolitique ? La question se posait déjà en 2022, quand le MSCI World chutait de -12,78% en raison notamment : - De la guerre en Ukraine, - De l'inflation et de l'augmentation des taux, - Du ralentissement économique mondial. D'ailleurs, était-ce même déjà raisonnable de commencer à investir en 2020, en pleine pandémie de Covid-19 ? La même question se posait en 2018 - pire année pour les marchés financiers depuis 10 ans - était-il plus sage de patienter ? Nous étions également en droit de nous poser la même question en 2016, avec le Référendum sur le Brexit. Et en 2011, avec la crise de la zone euro et les difficultés de la Grèce ? Et en 2008 avec la crise des subprimes et la chute de Lehman Brothers ? Et en 2006 avec le ralentissement économique suite à la hausse des taux des banques centrales ? Et en 2003 avec la guerre en Irak ? Et en 2001, avec les attentats ? Ou encore en 2000 avec la crise de la bulle internet ? Et si, au contraire, j'avais investi 100 000 € sur le MSCI World en 2000 sans y toucher jusqu'en 2023 ? La performance annualisée du MSCI World sur la période (5,82%) aurait plus que triplé mon capital : → 388  710 €, soit presque 3,89x l'investissement initial. Si je tiens compte de l'inflation annualisée sur la même période (1,68% d'après l'INSEE) : → Net, il serait aujourd'hui de 264 741 €, soit un multiple de presque 2,65x. Et ce, avant même de parler de (ultra)diversification et d'optimisation du portefeuille d'investissement. Conclusion : ne pas confondre patience et attentisme. Le temps est le meilleur allié de l'investisseur. Ce contenu n'est pas un conseil en investissement. Les performances passées ne présagent pas des performances futures. En particulier, l'investisseur potentiel doit être conscient qu'investir présente un risque de perte en capital. _______ The Wealth Office est un cabinet de gestion de patrimoine nouvelle génération. Nous optimisons la trésorerie excédentaire à partir de 100K€ d’investissement. RDV sur mon profil.

BlackRock : L’ombre qui plane sur les décisions mondiales Quel est le point commun entre Apple, Microsoft, Amazon, ou encore Tesla ? Leur premier actionnaire institutionnel n’est autre que BlackRock, le géant américain de la gestion d’actifs, qui cumule près de 9 000 milliards de dollars sous gestion. Avec des participations stratégiques dans les entreprises les plus influentes au monde, BlackRock agit comme une force discrète mais incontournable dans les sphères économiques et politiques. Un acteur omniprésent Des chiffres qui donnent le vertige : - 171 milliards dans Apple, - 155 milliards dans Microsoft, - 63 milliards dans Amazon. Et la liste continue avec des participations massives dans des secteurs clés comme la technologie, la santé, et même l’énergie. Ces investissements colossaux permettent à BlackRock de peser lourd lors des votes d’assemblées générales, où il influence les décisions stratégiques des plus grandes entreprises du monde. La finance au service de la politique ? BlackRock ne se contente pas de gérer des actifs. Le groupe est aussi un conseiller de choix pour les gouvernements et les banques centrales. Pendant la crise financière de 2008 ou la pandémie de Covid-19, il a été mandaté pour piloter la gestion d’actifs toxiques ou orienter les politiques économiques. Cette double casquette – acteur privé et conseiller public – pose une question délicate : jusqu’où s’étend son influence ? Un empire aux ambitions vertes Larry Fink, son PDG emblématique, a fait de la transition énergétique son cheval de bataille. Dans ses lettres annuelles adressées aux dirigeants mondiaux, il presse les entreprises à intégrer des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG). Pourtant, cette posture verte est parfois critiquée : est-ce un engagement sincère ou une stratégie pour garder la mainmise sur les flux financiers mondiaux ? Un pouvoir sous surveillance Avec un accès privilégié à presque tous les marchés, BlackRock façonne indirectement l’économie mondiale. Mais cette hégémonie suscite des débats enflammés : - Trop puissant ? Certains dénoncent une menace pour la souveraineté des États, soumis à ses choix d’investissements. - Conflits d’intérêts ? Son rôle ambigu entre acteur financier et conseiller politique dérange les défenseurs de la transparence. À l’abri des projecteurs, BlackRock continue de tisser sa toile dans un monde où l’argent est roi. Ses décisions façonnent non seulement le visage des entreprises mais aussi celui des nations. Alors, simple gestionnaire ou maître des coulisses ? L’ombre demeure.

🔎 Entre inquiétudes et opportunités : comment les investisseurs abordent 2025 ? Les résultats de l'enquête mondiale de Natixis Investment Managers auprès des investisseurs institutionnels sont disponibles ! Si la crainte d’une récession s’atténue (30% des institutions financières contre 51% en 2024), la France se distingue par un optimisme plus nuancé, en raison de défis spécifiques : coût de la dette, accélération des plans sociaux, dégradation économique plus rapide dans la zone euro, incertitude politique, tensions géopolitiques globales. 📈 Mais ces préoccupations n’effacent pas les opportunités pour 2025 : → Plus de 6 investisseurs sur 10 placent l’Asie (hors Chine) comme l’opportunité la plus intéressante parmi les marchés émergents → 78% anticipent que des baisses de taux d’intérêt stimuleront les transactions sur les actifs privés → Les actifs privés vont continuer à occuper une part croissante dans l’allocation des investisseurs institutionnels Ce que je retiens ? La capacité des investisseurs à ajuster leurs stratégies dans un environnement toujours plus fragmenté et complexe. Fabrice Chemouny Philippe Setbon Dave Goodsell Stéphane VONTHRON, CFA Valérie Rapoport Sophie Courmont Sebastien Sallee, CAIA Jean-Pierre SNELDavid Pariente Sylvie BARBIER de CHALAIS Thomas BENOIST Gauthier Ulmann Philippe G. Anne Macey 👉 Découvrez l’étude complète ici https://bit.ly/3VPsXRV