ICYMI: Non à la privatisation du magazine 60 millions de consommateurs et au démantèlement de l'Institut National de la Consommation: L'Union nationale des associations familiales (UNAF) a appris l'intention du gouvernement de céder le titre 60 millions de consommateurs. Adossé à l'Institut National de la Consommation, 60 millions de consommateurs est le seul titre de presse qui présente des exigences de neutralité totale vis-à-vis les acteurs économiques. Cette décision est d'autant plus incompréhensible qu'en 2024 avait été acté par le Ministère de l'Economie et des finances un plan de transformation doté de 3,2 millions d'euros en 2025 pour appuyer la transformation numérique du site internet du magazine et la production de supports permettant de générer de nouvelles recettes. Vendre 60 millions de consommateurs conduira à affaiblir l'Institut National de la Consommation (INC) et priverait durement les associations de consommateurs de ressources et d'expertise pour mener leurs missions (...) - Union Nationale des Associations Familiales / Commerce / Artisanat / VPC, Plaidoyer, Union Nationale des Associations Familiales (UNAF), Institut national de la consommation (INC), réservé aux abonné.e.s
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Non à la privatisation du magazine 60 millions de consommateurs et au démantèlement de l'Institut National de la Consommation: L'Union nationale des associations familiales (UNAF) a appris l'intention du gouvernement de céder le titre 60 millions de consommateurs. Adossé à l'Institut National de la Consommation, 60 millions de consommateurs est le seul titre de presse qui présente des exigences de neutralité totale vis-à-vis les acteurs économiques. Cette décision est d'autant plus incompréhensible qu'en 2024 avait été acté par le Ministère de l'Economie et des finances un plan de transformation doté de 3,2 millions d'euros en 2025 pour appuyer la transformation numérique du site internet du magazine et la production de supports permettant de générer de nouvelles recettes. Vendre 60 millions de consommateurs conduira à affaiblir l'Institut National de la Consommation (INC) et priverait durement les associations de consommateurs de ressources et d'expertise pour mener leurs missions (...) - Union Nationale des Associations Familiales / Commerce / Artisanat / VPC, Plaidoyer, Union Nationale des Associations Familiales (UNAF), Institut national de la consommation (INC), réservé aux abonné.e.s
Non à la privatisation du magazine 60 millions de consommateurs et au démantèlement de l’Institut National de la Consommation
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🛒 ACTUALITÉ : Publication du bilan d'activité 2023 de la DGCCRF et de ses perspectives pour 2024 ! 🗝 L'activité de la DGCCRF en 2023 en quelques chiffres clés : - 156 enquêtes nationales, - 66.240 établissements et sites internet ont été contrôlés et la DGCCRF a procédé à 95 360 visites, - 20.560 avertissements, - 2.247 amendes administratives ont été notifiées, représentant un montant de 49,3 millions d'euros, - La majorité des contentieux pénaux transmis au Parquet porte sur des pratiques commerciales trompeuses. Quels axes d’action en 2023 et quelles priorités pour 2024 ? 1️⃣ Préserver le pouvoir d'achat, 2️⃣ Protéger les consommateurs, 3️⃣ Assurer la sécurité des produits non alimentaires, 4️⃣ Veiller à l'équilibre des relations entre les entreprises, 5️⃣ Accompagner la transition écologique, et 6️⃣ Intégrer la transformation numérique. 🔎 Revenons sur certains de ces axes : 1️⃣ L'année 2023 a été marquée par un contexte inflationniste. Aussi, la protection du pouvoir d'achat des ménages a été l’une des priorités de la DGCCRF et continuera de l'être pour 2024 ! 🕵♂️ Les contrôles et enquêtes ont porté sur les négociations commerciales entre la grande distribution et les fournisseurs. La DGCCRF a notamment veillé au respect des engagements des acteurs de la grande distribution en vue de maîtriser la hausse des prix. Elle a notamment contribué à l’élaboration de la loi du 17 novembre 2023 portant mesures d’urgence pour lutter contre l’inflation concernant les PGC, laquelle prévoit un avancement des négociations commerciales afin de faire bénéficier les consommateurs de la baisse des prix prévue en 2024. Elle s'est également montrée attentive aux informations mises à disposition du consommateur pour toujours plus de transparence. Rappelons à ce titre l'entrée en vigueur le 1er juillet prochain de l'arrêté #Shrinkflation ou #Réduflation du 16 avril 2024 dont le respect sera contrôlé de près par les équipes de la DGCCRF. 4️⃣ Afin de "veiller à l'équilibre des relations entre les entreprises", la DGCCRF veille à la loyauté des relations commerciales entre les entreprises et lutte contre les ententes et pratiques anticoncurrentielles. 🕵♀️ À ce titre, elle s’assure notamment du respect par les opérateurs des dispositions de la loi Descrozaille du 30 mars 2023 tendant à renforcer l’équilibre dans les relations entre fournisseurs et distributeurs dès lors que les produits sont commercialisés en France. La DGCCRF continue également d’agir contre les retards de paiement entre entreprises qui fragilisent notamment les PME. Ainsi en 2023, plus de 700 entreprises ont été contrôlées, donnant lieu à plus de 230 injonctions et 171 procès-verbaux. 🔜 Perspectives 2024 s’agissant des relations interentreprises : 10 enquêtes nouvelles, renforcées ou reconduites portant notamment sur la contractualisation dans le secteur agroalimentaire et sur le respect des dispositions des lois EGAlim.
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La revue de presse du retail : Table ronde sur la vie chère : une « mission flash » d'experts financiers et fiscalistes ...: Pendant près de 3h ce matin (jeudi 12 septembre), les services de l'Etat, les acteurs de la grande distribution, les élus, les associations de ... ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #retail #distribution #commerce
Table ronde sur la vie chère : une « mission flash » d’experts financiers et fiscalistes attendue ce lundi
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En #Polynésie, le gouvernement allonge la liste des produits de première nécessité avant sa réforme ➡️ https://lnkd.in/eXJF-E_r 🛒Le gouvernement de la Polynésie française a annoncé un allongement de la liste des produits de première nécessité (PPN) qui font l’objet de marges réglementées. En parallèle, l’exécutif travaille sur un projet de réforme de ce mécanisme, réforme visant à limiter les PPN à un « panier réduit » accessible seulement « aux plus nécessiteux », et signer en compensation des « accords de modération » des prix avec les commerçants
En Polynésie, le gouvernement allonge la liste des produits de première nécessité avant sa réforme
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Le gouvernement va-t-il vendre « 60 Millions de consommateurs » au privé ? La secrétaire d’État à la Consommation, Laurence Garnier, a reçu le vendredi 15 novembre les représentants des salariés de l’Institut national de la consommation (INC), éditeur de 60 millions de consommateurs, pour leur annoncer qu’elle allait céder le titre à un groupe privé. Stupéfaction et sidération ! Stupéfaction, car Olivia Gregoire, précédente ministre déléguée chargée de la Consommation, avait fait le choix, en mai dernier, d’investir des moyens financiers dans un plan de relance et de transformation de l’INC et de « 60 Millions ». Les équipes, fortement mobilisées, ont travaillé tout cet été pour détailler ces axes de développement. Ce plan a été adopté à l’unanimité du CA de l’INC en septembre, CA qui comprend les représentants de l’État et ceux des associations de consommateurs. Son financement avait été validé par le ministre de l’Économie et des Finances, Bruno Le Maire. Sidération, car Laurence Garnier, nommée secrétaire d’État fin septembre, a reçu une première fois les élus de l’INC le 30 octobre, leur annonçant que, nouvelle dans la fonction, il lui fallait du temps pour bien considérer la situation. Quinze jours plus tard, elle annonce le projet de vente du journal ! Et cela, sans fournir de réponse aux élus sur les modalités de vente, le sort du personnel, les conséquences pour l’INC, pour les consommateurs et leurs associations… Cette décision, si elle devait aller jusqu’à son terme, entraînerait la fin d’un titre qui, depuis 1970, informe les consommateurs sur leurs droits, les conseille sur les produits et services, et les alerte en cas de composition problématique ou de pratiques déloyales. L’existence de « 60 Millions » est liée à la mission d’intérêt général confiée par le législateur à l’INC dans le code de la consommation : publier des essais, des enquêtes et des études pour informer les consommateurs de manière indépendante des intérêts privés. De par ce fondement juridique, « 60 Millions » est un #média de service public. Cette décision est désatreuse, car elle affaiblira considérablement l’information experte indépendante au service des consommateurs, laissant davantage de place aux monologues sponsorisés des influenceurs et aux fake news sur les problèmes de consommation. La première secrétaire d’État exclusivement dédiée à la consommation va-t-elle sonner le glas de l’Institut national de la consommation et de son journal ? Nous en appelons au Premier ministre. Nous demandons le maintien et l’application du plan de relance, qui doit être inscrit dans un contrat d’objectif et de moyens signé avec l’État dès 2025.
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Le torchon brûle entre le gouvernement et la grande distribution. Alors que l’exécutif demande aux enseignes un “effort exceptionnel et ponctuel” dans le cadre du budget 2025, ces dernières montent au créneau, n’hésitant pas à parler de “matraquage fiscal”. Un bras de fer qui pourrait bien se répercuter sur les prix en rayons. La grogne des enseignes face à l’appel du gouvernement Lundi, la Fédération du Commerce et de la Distribution (FCD), principale organisation patronale du secteur, a fustigé dans un communiqué le “matraquage fiscal organisé par le gouvernement Barnier”, estimant qu’il revenait à “l’État d’endosser l’effort de redressement des comptes publics au lieu de transférer la responsabilité de son déficit sur les entreprises”. Une sortie qui intervient après les propos de la ministre de la Consommation Laurence Garnier, laquelle avait appelé les acteurs concernés à “mesurer l’impératif d’accepter de faire un effort”. Une injonction mal accueillie par la grande distribution, déjà échaudée par les discussions houleuses autour de la loi Alimentation en début d’année. Si on nous taxe, cela va se répercuter par l’augmentation des prix en rayon ou par de l’emploi qui sera détruit. – Thierry Cotillard, patron des Mousquetaires/Intermarché Les enseignes brandiront-elles la menace des licenciements et hausses de prix ? Début octobre, le dirigeant des Mousquetaires/Intermarché Thierry Cotillard avait déjà tiré la sonnette d’alarme : “Si on nous taxe, cela va se répercuter par l’augmentation des prix en rayon ou par de l’emploi qui sera détruit”. Des menaces qui font écho à celles proférées lors des débats sur la loi Egalim 2. Mais du côté du gouvernement, on se veut inflexible. “Si certains font le choix de répercuter cela sur l’augmentation des prix, la loi du marché s’appliquera, les consommateurs feront leur choix”, a averti Laurence Garnier, renvoyant la balle dans le camp des distributeurs. Lire la suite L’hôtellerie-restauration monte aussi au front La fronde anti-fiscale ne se limite pas à la grande distribution. Mercredi, c’est l’hôtellerie-restauration qui est montée au créneau via un communiqué incendiaire de l’Union des Métiers et des Industries de l’Hôtellerie (Umih). L’organisation professionnelle y dénonce pêle-mêle la “hausse du coût de l’embauche d’un apprenti”, le “transfert vers les entreprises d’une partie de l’indemnisation des arrêts maladie”, ou encore “l’augmentation des tarifs non réglementés” de l’électricité. Ces différentes mesures risquent d’aggraver la situation économique de dizaines de milliers de TPE/PME du secteur qui peinent déjà à se relever des effets de la crise sanitaire. – L’Umih dans un communiqué Un coup de semonce qui illustre le climat de défiance entre le gouvernement et le monde de l’entreprise, sur fond de ralentissement économique et d’envolée de l’inflation. Reste à savoir si l’exécutif tiendra bon face à la bronca des professionnels, ou s’il finira par lâcher...
Le torchon brûle entre le gouvernement et la grande distribution. Alors que l’exécutif demande aux enseignes un “effort exceptionnel et ponctuel” dans le cadre du budget 2025, ces dernières montent au créneau, n’hésitant pas à parler de “matraquage fiscal”. Un bras de fer qui pourrait bien se répercuter sur les prix en rayons. La grogne des enseignes face à l’appel du gouvernement Lundi, la...
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La revue de presse du retail : Les entreprises sous le choc de la censure du gouvernement - Les Echos: · L'utilisation des titres-restaurant en grande surface en attente. Le texte prorogeant l'extension de la liste des produits éligibles au paiement ... ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #retail #distribution #commerce
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lesechos.fr
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France Inter ce matin, Telerama ce soir…la presse et les organisations de consommateurs se mobilisent auprès de la rédaction de 60 Millions de consommateurs. Pourquoi ? Parce que le magazine est menacé de disparaître. Et pourtant….ce magazine est une publication de l’INC, l’Institut National de la Consommation, un EPIC en partie piloté par la DGCCRF, dont la mission de service public est inscrite dans le Code de la Consommation. 60 Millions est produit grâce à la participation de ses abonnés et des achats en kiosque, il ne perçoit aucune recette publicitaire. Grâce au travail minutieux des journalistes et d’ingénieurs salariés de l’INC financés par des fonds publics, le magazine diffuse des informations techniques de qualité, gratuitement sur le site internet et sur demande des professionnels. Ce mode de financement hybride garantit l’indépendance (choix des sujets traités, résultat des tests, campagnes de sensibilisation des citoyens). Nous savons que la ministre Olivia Gregoire en est consciente et mobilisée. Car les questions traitées par l’INC-60 Millions de consommateurs sont au coeur de l’actualité et répondent à sa feuille de route. Or, le temps presse…le magazine a besoin d’un plan pour sa modernisation et la trésorerie vient à manquer, les équipes sont épuisées. Avec Un Bout des Médias, nous sommes aux côtés de 60 millions de consommateurs.
Le magazine “60 millions de consommateurs” menacé de disparition
telerama.fr
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"60 MILLIONS DE CONSOMMATEURS" EN VENTE C'est juste une information comme une autre. Par les temps qui courent rien n'avance. L'industrie va mal, la chimie aussi, les établissements publics pas mieux. La presse publique .... n'en parlons pas. On a appris dimanche que l'ESJ Paris - Ecole supérieure de journalisme de Paris a été rachetée par Vincent Bolloré and Co..... A croire que le système économique tel qu'il est raisonné ainsi depuis longtemps porte ce genre de déflagration. Tout l'un ou tout l'autre. Pas d'entre deux possibles. Ce n'est pas ce qu'on porte à la CFE-CGC. On croit aux points d'équilibre. L'INC AU BORD DU GOUFFRE ? L'Institut National de la Consommation éditrice et conceptrice de 60 millions de consommateurs, ne va pas fort. Sa revue phare va être mise en vente. Rappelons le : l'Institut National de la Consommation est un EPIC. Le magazine emploie une cinquantaine de personnes. Le cabinet de la secrétaire d'Etat à la consommation, Laurence Garnier informe que le magazine rencontre des "difficultés majeures", avec un nombre d'abonnés passés de 140 000 en 2019 à 76 000 en 2024, et "un déficit persistant depuis sept ans, qui a épuisé sa trésorerie". FAIRE PLUS AVEC MOINS ? EST-CE POSSIBLE ? Un rapport parlementaire en 2022 mentionnait déjà une "baisse progressive du montant de subventions" à l'INC entre 2012 et 2020, passé de 6,3 millions d'euros à 2,7 millions d'euros. Un plan de « réorganisation » a eu lieu en 2021, conduisant à la suppression de 11 postes et au licenciement de 7 salariés. CFE-CGC ANDRÉ THOMAS Ingrid Sworst Laurent Duval EPIC CFE CGC Services Publics CFE-CGC
L'Institut national de la consommation (INC) au bord du gouffre
cbnews.fr
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Quand la charité se fout de l’hôpital : qui est le plus silencieux, desormais ? Une amende qui tombe le 14 août c’est l’assurance d’un bruit médiatique aussi puissant que l’influence de Chostakovitch sur la musique de Christophe Mahé. Et c’est bien dommage… car Michel Edouard Leclerc qui s’autoproclame champion du pouvoir d’achat des ménages est pris la main dans le pot de confiture à refuser de négocier avec ses partenaires… 64 d’entre eux en l’occurrence. Il préfère payer 38 millions d’euros d’amende que de payer dignement celles et ceux qui se mettent en faillite en essayant de nourrir la population. Le modèle des hypermarchés est mort, dépassé depuis longtemps mais il se débat encore comme un canard sans tete et tient sur ses réserves historiques. La bataille du bien manger passe par la juste rémunération des agriculteurices de ce pays. La commande publique peut jouer son rôle avec les cantines, les acteurs s’organisent avec des initiatives comme C'est qui le Patron ?! La Marque du Consommateur mais les géants de la distribution doivent revoir leur modèle sous peine de disparaître. Merci à la DGCCRF pour ce coup de semonce à 38 millions, la prochaine fois il faudra frapper plus fort, le margoulin ne comprend que l’atteinte à son porte-monnaie.
E. Leclerc sanctionné d’une amende de 38 millions d’euros pour avoir dépassé la date limite des négociations commerciales avec des fournisseurs
lemonde.fr
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