(bis) Projet de réautorisation des mutilations génitales féminines (MGF) en Gambie : un retour en arrière pour les droits des femmes: Une nette majorité de l'Assemblée nationale de la Gambie a voté en faveur d'un projet de loi visant à annuler l'interdiction des mutilations génitales féminines (MGF). Ce vote constitue une grave menace pour les droits des femmes dans toute la région de l'Afrique de l'Ouest et Centrale et met en danger des décennies de travail pour mettre fin à cette pratique. Les MGF sont une violation manifeste des droits humains, liée à un besoin perçu de contrôler la sexualité féminine, qui cause des dommages physiques et psychologiques irréversibles à des millions de femmes et de filles dans le monde. Il est impératif que les gouvernements respectent leur obligation de protéger les droits de tous les individus et prennent des mesures concrètes pour éliminer les pratiques préjudiciables telles que les MGF, notamment en adoptant une législation efficace et en (...) - Chambre Régionale de l´Economie Sociale des Hauts de France / Solidarité internationale / ONG / Coopération, Cause sociétale / Défense collective / Revendication, Promotion de la santé, Plan International France, Territoires d'économie sociale et solidaire, réservé aux abonné.e.s, Gambie, Alasan Senghore
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(ter) Projet de réautorisation des mutilations génitales féminines (MGF) en Gambie : un retour en arrière pour les droits des femmes: Une nette majorité de l'Assemblée nationale de la Gambie a voté en faveur d'un projet de loi visant à annuler l'interdiction des mutilations génitales féminines (MGF). Ce vote constitue une grave menace pour les droits des femmes dans toute la région de l'Afrique de l'Ouest et Centrale et met en danger des décennies de travail pour mettre fin à cette pratique. Les MGF sont une violation manifeste des droits humains, liée à un besoin perçu de contrôler la sexualité féminine, qui cause des dommages physiques et psychologiques irréversibles à des millions de femmes et de filles dans le monde. Il est impératif que les gouvernements respectent leur obligation de protéger les droits de tous les individus et prennent des mesures concrètes pour éliminer les pratiques préjudiciables telles que les MGF, notamment en adoptant une législation efficace et en (...) - Chambre Régionale de l´Economie Sociale des Hauts de France / Solidarité internationale / ONG / Coopération, Cause sociétale / Défense collective / Revendication, Promotion de la santé, Plan International France, Territoires d'économie sociale et solidaire, réservé aux abonné.e.s, Gambie, Alasan Senghore
Projet de réautorisation des mutilations génitales féminines (MGF) en Gambie : un retour en arrière pour les droits des femmes
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Projet de réautorisation des mutilations génitales féminines (MGF) en Gambie : un retour en arrière pour les droits des femmes: Une nette majorité de l'Assemblée nationale de la Gambie a voté en faveur d'un projet de loi visant à annuler l'interdiction des mutilations génitales féminines (MGF). Ce vote constitue une grave menace pour les droits des femmes dans toute la région de l'Afrique de l'Ouest et Centrale et met en danger des décennies de travail pour mettre fin à cette pratique. Les MGF sont une violation manifeste des droits humains, liée à un besoin perçu de contrôler la sexualité féminine, qui cause des dommages physiques et psychologiques irréversibles à des millions de femmes et de filles dans le monde. Il est impératif que les gouvernements respectent leur obligation de protéger les droits de tous les individus et prennent des mesures concrètes pour éliminer les pratiques préjudiciables telles que les MGF, notamment en adoptant une législation efficace et en (...) - Chambre Régionale de l´Economie Sociale des Hauts de France / Solidarité internationale / ONG / Coopération, Cause sociétale / Défense collective / Revendication, Promotion de la santé, Plan International France, Territoires d'économie sociale et solidaire, réservé aux abonné.e.s, Gambie, Alasan Senghore
Projet de réautorisation des mutilations génitales féminines (MGF) en Gambie : un retour en arrière pour les droits des femmes
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👉🏽La Gambie et la Mutilation Génitale Féminine👈🏽 😳👉🏽Dans les événements récents, la Gambie étudie la possibilité d’annuler l’interdiction de la mutilation génitale féminine (MGF), communément appelée circoncision féminine, qui avait été votée en 2015. 🥲👉🏽La MGF implique l’ablation partielle ou totale des organes génitaux externes des femmes pour des raisons non médicales. Plus de 230 millions de filles dans le monde subissent cette pratique, dont un choquant 73 % des femmes âgées de 15 à 49 ans en Gambie, souvent avant l’âge de 5 ans. 😐👉🏽Cette pratique, justifiée au nom de la tradition et de la religion, ne trouve pas de fondement dans la loi islamique et va à l’encontre de ses enseignements. 🤌🏽 À African Female Voices, nous soutenons fermement le comité gambien et d’autres organisations dans leur lutte contre les pratiques traditionnelles affectant la santé des femmes et des enfants, ainsi que contre le potentiel retrait de cette législation cruciale. Cette loi est essentielle pour protéger les droits humains et la dignité des femmes et des filles en Gambie. 🙏🏾 Maintenir cette interdiction est crucial pour protéger les droits des femmes et éviter l’affaiblissement des protections pour les groupes vulnérables. 🙁👉🏽Nous exhortons le gouvernement gambien à respecter ses engagements en matière d’élimination de la MGF et à promouvoir l’égalité des sexes en renforçant la législation contre cette pratique néfaste lors de la prochaine session de l’Assemblée nationale en juin. 🤝🏽 Ensemble, défendons les droits et l’intégrité des femmes et des filles en Gambie. #StopMGF #DroitsDeLaFemme #DroitsHumains #ÉgalitéDesGenres #Gambie #AfricanFemaleVoices #Plaidoyer #MGF #MutilationGénitaleFéminine
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Les directives pour le respect et la sensibilité envers les survivantes de mutilations génitales féminines sont des lignes directrices ou des recommandations sur la manière de traiter avec empathie et respect les femmes et les filles qui ont survécu à cette pratique traumatisante. Ces directives incluent des conseils sur la manière de communiquer avec les survivantes, d'écouter leurs histoires avec sensibilité, de reconnaître leurs souffrances sans les stigmatiser ni les victimiser davantage, et de leur offrir un soutien approprié, qu'il s'agisse de services médicaux, psychologiques, sociaux ou juridiques. Elles visent également à promouvoir une approche holistique et respectueuse de la dignité et des droits des survivantes dans toutes les actions et politiques visant à éliminer les mutilations génitales féminines. Nous partageons avec quelques tips de trucs à ne pas faire ou à faire face à une survivante de mutilations génitales féminines. Si vous avez connaissance d’autres tips vous pouvez les partager avec nous en commentaire. GYC Côte d’Ivoire, leader numéro 1 d’engagement des jeunes dans la lutte contre les mutilations génitales féminines. UNFPA West and Central Africa, UNFPA Afrique de l'Ouest et du Centre UNFPA Côte d'Ivoire Bamba Djakaridja #EndFGM #CartonRouge #GYCMoisDeLaFemme #JeunesEngagés #MenEngage #globalyouthconsortiumciv
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Day 1️⃣0️⃣8️⃣- Post 1️⃣2️⃣9️⃣✨ La Gambie fait partie des 10 pays où le taux de mutilations génitales féminines est le plus élevé. Environ 76 % des filles et des femmes de 15 à 49 ans ont subi des mutilations génitales féminines en Gambie d’après le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF) et 3 filles sur 4 en ont fait l’expérience avant l’âge de 6 ans. Mais selon certaines ONG, dans plusieurs régions, la pratique est encore plus répandue - jusqu’à 95 % Un rapport des Nations Unies datant de mars indique que plus de 230 millions de filles et de femmes dans le monde ont survécu après avoir été victimes de ces pratiques. En outre, chaque année, on estime que 3 millions de filles risquent de subir de telles interventions, la majorité d’entre elles étant mutilées avant l’âge de 15 ans. La décision de la Gambie de maintenir l’interdiction des mutilations génitales féminines représente une victoire pour les droits des filles et des femmes . Il est toujours aussi impératif de soutenir les victimes de mutilations génitales féminines. Beaucoup souffrent de problèmes physiques et psychologiques à long terme induits par la procédure et ont besoin d’une prise en charge médicale et psychologique globale pour refermer les cicatrices infligées par cette pratique nocive.
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🇬🇲 Les mutilations génitales féminines sont interdites en Gambie depuis 2015, mais des modifications proposées au Parlement pourraient réautoriser certaines pratiques, soulevant des préoccupations concernant les droits des femmes. 👉 La Gambie, sous l'ancien président Yahya Jammeh, a adopté des lois progressistes sur le genre, y compris l'interdiction des mutilations génitales féminines, mais le pays fait désormais face à un possible recul sur ces avancées. 🇿🇦 Les pratiques traditionnelles et religieuses, ainsi que les pressions internationales, influencent les débats sur l'égalité des sexes en Gambie et dans d'autres pays africains. #gambie #mutilationsgénitales #afrique #stopviolenceagainstwomen #protectthem #justiceforgirls
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Les mutilations génitales féminines, dont l’excision et pire l’infibulation, demeurent malheureusement encore pratiquées à travers le monde. En mars 2024, l’Assemblée nationale de la Gambie votait pour légaliser à nouveau ces pratiques, interdites depuis 2015. 💔 En Somalie et en Guinée, cette pratique est courante. En Égypte, au Soudan, à Djibouti ou encore au Mali, +80% des jeunes filles subissent cet acte rituel. Ces mutilations génitales féminines sont pratiquées dans de nombreuses régions du monde (230 millions de femmes excisées). Celles-ci sont motivées par des raisons théoriquement et/ou sanitaires, mais en fait, coutumières et ayant pour objet de limiter les désirs des femmes ou leur sexualité. Réalisées majoritairement auprès de populations précaires et peu sensibilisées, ces mutilations génitales ont de graves conséquences sur la santé psychologique et physique des femmes qui les subissent. Découvrez la récente newsletter « The Morning » du New York Times à ce propos : Gambia and The Campaign Against Cutting https://lnkd.in/eYxFUXq9
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Panel Discussion on the Repeal of FGM Law, Banjul, Gambie 28 mai 2024 Le 28 mai, à Banjul en Gambie, en ma qualité de Rapporteure Spéciale de l'Union Africaine sur les mariages d'enfants et les autres pratiques néfastes, j'ai pris part au panel de discussion autour de la tentative de réforme de la législation sur les droits de la femme tendant à décriminaliser les mutilations génitales féminines. Ont pris part aux travaux, les experts des organes de l'Union africaine, des Nations Unies, les experts gouvernementaux et les pionnières de la lutte pour les droits des femmes en Gambie incluant l'ancienne Vice-Présidente du pays, les anciennes Directrices du Bureau des Femmes, l'ancienne Vice présidente de la Commission Vérité et Réconciliation. Il faut dire qu'en septembre 2023, à la suite de la condamnation de trois femmes pour mutilations génitales féminines, le processus de révision de la loi de 2015 sur les mutilations génitales féminines a été enclenché avec un débat au Parlement. L'initiative s'est consolidée avec le dépôt d'un Private Member Bill au parlement gambien. Le projet de loi a fait l'objet d'une discussion au sein du Comité en charge des questions de Genre. La discussion en plénière est projetée pour le 04 juillet 2024. L'activité a permis de discuter des stratégies pour empêcher la réforme envisagée et maintenir les acquis de la lutte pour les droits des femmes et des filles.
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Quatre-vingt-seize féminicides conjugaux dénombrés l’an dernier en France, selon un bilan actualisé Quatre-vingt-seize féminicides ont été commis l’an dernier en France dans le cadre conjugal, un chiffre en baisse de 19 % par rapport à 2022, selon le dernier bilan du ministère de l’intérieur publié lundi 25 novembre, à l’occasion de la Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes. Selon l’étude nationale sur les morts violentes au sein d’un couple, 119 décès d’hommes et de femmes ont été recensés en 2023 par les services de police et les unités de gendarmerie, contre 145 l’année précédente, ce qui fait « en moyenne » un décès tous les trois jours. Comme les années précédentes, les femmes en sont les principales victimes, puisqu’elles représentent 81 % du total. Le dernier bilan officiel, publié le 19 novembre par la Mission interministérielle pour la protection des femmes
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À l'occasion de la Journée internationale des droits des femmes, l'Unicef dénonce la forte hausse du nombre de femmes victimes de mutilations génitales. Le nombre de femmes et de filles ayant survécu à une ablation du clitoris, une excision ou une infibulation (excision plus suture de l'orifice vaginal pour le rétrécir) est désormais estimé à plus 230 millions, doit 15 % de plus qu'en 2016. Des mutilations douloureuses, parfois mortelles, et qui ont aussi des conséquences psychologiques et physiques à long terme, comme des problèmes de fertilité, des complications durant l'accouchement, des bébés morts-nés et des douleurs lors des relations sexuelles. L'Afrique est le continent le plus touché avec plus de 144 millions de survivantes de ces mutilations, devant l'Asie (80 millions) et le Moyen-Orient (six millions), selon le rapport qui se concentre sur 31 pays où la pratique est courante. En Somalie par exemple, 99 % des femmes entre 15 et 49 ans ont subi une mutilation génitale, 95 % en Guinée, 90 % à Djibouti, 89 % au Mali. #8mars #stopMGF #Unicef
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