👉🏽La Gambie et la Mutilation Génitale Féminine👈🏽 😳👉🏽Dans les événements récents, la Gambie étudie la possibilité d’annuler l’interdiction de la mutilation génitale féminine (MGF), communément appelée circoncision féminine, qui avait été votée en 2015. 🥲👉🏽La MGF implique l’ablation partielle ou totale des organes génitaux externes des femmes pour des raisons non médicales. Plus de 230 millions de filles dans le monde subissent cette pratique, dont un choquant 73 % des femmes âgées de 15 à 49 ans en Gambie, souvent avant l’âge de 5 ans. 😐👉🏽Cette pratique, justifiée au nom de la tradition et de la religion, ne trouve pas de fondement dans la loi islamique et va à l’encontre de ses enseignements. 🤌🏽 À African Female Voices, nous soutenons fermement le comité gambien et d’autres organisations dans leur lutte contre les pratiques traditionnelles affectant la santé des femmes et des enfants, ainsi que contre le potentiel retrait de cette législation cruciale. Cette loi est essentielle pour protéger les droits humains et la dignité des femmes et des filles en Gambie. 🙏🏾 Maintenir cette interdiction est crucial pour protéger les droits des femmes et éviter l’affaiblissement des protections pour les groupes vulnérables. 🙁👉🏽Nous exhortons le gouvernement gambien à respecter ses engagements en matière d’élimination de la MGF et à promouvoir l’égalité des sexes en renforçant la législation contre cette pratique néfaste lors de la prochaine session de l’Assemblée nationale en juin. 🤝🏽 Ensemble, défendons les droits et l’intégrité des femmes et des filles en Gambie. #StopMGF #DroitsDeLaFemme #DroitsHumains #ÉgalitéDesGenres #Gambie #AfricanFemaleVoices #Plaidoyer #MGF #MutilationGénitaleFéminine
Post de Sophie-Marceau Nguekem
Plus de posts pertinents
-
📢 Mise à jour importante : La Gambie envisage d’annuler l’interdiction de la mutilation génitale féminine (MGF) Dans les événements récents, la Gambie étudie la possibilité d’annuler l’interdiction de la mutilation génitale féminine (MGF), communément appelée circoncision féminine, qui avait été votée en 2015. La MGF implique l’ablation partielle ou totale des organes génitaux externes des femmes pour des raisons non médicales. Plus de 230 millions de filles dans le monde subissent cette pratique, dont un choquant 73 % des femmes âgées de 15 à 49 ans en Gambie, souvent avant l’âge de 5 ans. Cette pratique, justifiée au nom de la tradition et de la religion, ne trouve pas de fondement dans la loi islamique et va à l’encontre de ses enseignements. À African Female Voices, nous soutenons fermement le comité gambien et d’autres organisations dans leur lutte contre les pratiques traditionnelles affectant la santé des femmes et des enfants, ainsi que contre le potentiel retrait de cette législation cruciale. Cette loi est essentielle pour protéger les droits humains et la dignité des femmes et des filles en Gambie. Maintenir cette interdiction est crucial pour protéger les droits des femmes et éviter l’affaiblissement des protections pour les groupes vulnérables. Nous exhortons le gouvernement gambien à respecter ses engagements en matière d’élimination de la MGF et à promouvoir l’égalité des sexes en renforçant la législation contre cette pratique néfaste lors de la prochaine session de l’Assemblée nationale en juin. Ensemble, défendons les droits et l’intégrité des femmes et des filles en Gambie. #StopMGF #DroitsDeLaFemme #DroitsHumains #ÉgalitéDesGenres #Gambie #AfricanFemaleVoices #Plaidoyer #MGF
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
🛑🛑🛑 Le projet de la Gambie de revenir sur l'interdiction de la pratique de l'excision/mutilation génitale féminine fait reculer les droits des filles et des femmes en Afrique de l'Ouest et du Centre. Quelques jours seulement après que le monde a commémoré la Journée internationale de la femme, la Gambie entend revenir sur l'interdiction des mutilations génitales féminines/excisions. ❗Les mutilations génitales féminines constituent une violation manifeste des droits des femmes, qui ne peut être justifiée d'aucune manière. Plan International appelle les législateurs et les décideurs politiques du pays à défendre et à soutenir les femmes et les filles qui risquent d'être victimes de mutilations génitales féminines et à revenir sur leur décision d'annuler l'interdiction historique des mutilations génitales féminines et de l'excision (MGF/E) en Gambie. Lire la déclaration de presse ici 👉🏽 https://lnkd.in/e3ff_ZJ7
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
(bis) Projet de réautorisation des mutilations génitales féminines (MGF) en Gambie : un retour en arrière pour les droits des femmes: Une nette majorité de l'Assemblée nationale de la Gambie a voté en faveur d'un projet de loi visant à annuler l'interdiction des mutilations génitales féminines (MGF). Ce vote constitue une grave menace pour les droits des femmes dans toute la région de l'Afrique de l'Ouest et Centrale et met en danger des décennies de travail pour mettre fin à cette pratique. Les MGF sont une violation manifeste des droits humains, liée à un besoin perçu de contrôler la sexualité féminine, qui cause des dommages physiques et psychologiques irréversibles à des millions de femmes et de filles dans le monde. Il est impératif que les gouvernements respectent leur obligation de protéger les droits de tous les individus et prennent des mesures concrètes pour éliminer les pratiques préjudiciables telles que les MGF, notamment en adoptant une législation efficace et en (...) - Chambre Régionale de l´Economie Sociale des Hauts de France / Solidarité internationale / ONG / Coopération, Cause sociétale / Défense collective / Revendication, Promotion de la santé, Plan International France, Territoires d'économie sociale et solidaire, réservé aux abonné.e.s, Gambie, Alasan Senghore
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
(ter) Projet de réautorisation des mutilations génitales féminines (MGF) en Gambie : un retour en arrière pour les droits des femmes: Une nette majorité de l'Assemblée nationale de la Gambie a voté en faveur d'un projet de loi visant à annuler l'interdiction des mutilations génitales féminines (MGF). Ce vote constitue une grave menace pour les droits des femmes dans toute la région de l'Afrique de l'Ouest et Centrale et met en danger des décennies de travail pour mettre fin à cette pratique. Les MGF sont une violation manifeste des droits humains, liée à un besoin perçu de contrôler la sexualité féminine, qui cause des dommages physiques et psychologiques irréversibles à des millions de femmes et de filles dans le monde. Il est impératif que les gouvernements respectent leur obligation de protéger les droits de tous les individus et prennent des mesures concrètes pour éliminer les pratiques préjudiciables telles que les MGF, notamment en adoptant une législation efficace et en (...) - Chambre Régionale de l´Economie Sociale des Hauts de France / Solidarité internationale / ONG / Coopération, Cause sociétale / Défense collective / Revendication, Promotion de la santé, Plan International France, Territoires d'économie sociale et solidaire, réservé aux abonné.e.s, Gambie, Alasan Senghore
Projet de réautorisation des mutilations génitales féminines (MGF) en Gambie : un retour en arrière pour les droits des femmes
ess-et-societe.net
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
À l'occasion de la Journée internationale des droits des femmes, l'Unicef dénonce la forte hausse du nombre de femmes victimes de mutilations génitales. Le nombre de femmes et de filles ayant survécu à une ablation du clitoris, une excision ou une infibulation (excision plus suture de l'orifice vaginal pour le rétrécir) est désormais estimé à plus 230 millions, doit 15 % de plus qu'en 2016. Des mutilations douloureuses, parfois mortelles, et qui ont aussi des conséquences psychologiques et physiques à long terme, comme des problèmes de fertilité, des complications durant l'accouchement, des bébés morts-nés et des douleurs lors des relations sexuelles. L'Afrique est le continent le plus touché avec plus de 144 millions de survivantes de ces mutilations, devant l'Asie (80 millions) et le Moyen-Orient (six millions), selon le rapport qui se concentre sur 31 pays où la pratique est courante. En Somalie par exemple, 99 % des femmes entre 15 et 49 ans ont subi une mutilation génitale, 95 % en Guinée, 90 % à Djibouti, 89 % au Mali. #8mars #stopMGF #Unicef
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Les mutilations génitales féminines, dont l’excision et pire l’infibulation, demeurent malheureusement encore pratiquées à travers le monde. En mars 2024, l’Assemblée nationale de la Gambie votait pour légaliser à nouveau ces pratiques, interdites depuis 2015. 💔 En Somalie et en Guinée, cette pratique est courante. En Égypte, au Soudan, à Djibouti ou encore au Mali, +80% des jeunes filles subissent cet acte rituel. Ces mutilations génitales féminines sont pratiquées dans de nombreuses régions du monde (230 millions de femmes excisées). Celles-ci sont motivées par des raisons théoriquement et/ou sanitaires, mais en fait, coutumières et ayant pour objet de limiter les désirs des femmes ou leur sexualité. Réalisées majoritairement auprès de populations précaires et peu sensibilisées, ces mutilations génitales ont de graves conséquences sur la santé psychologique et physique des femmes qui les subissent. Découvrez la récente newsletter « The Morning » du New York Times à ce propos : Gambia and The Campaign Against Cutting https://lnkd.in/eYxFUXq9
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Projet de réautorisation des mutilations génitales féminines (MGF) en Gambie : un retour en arrière pour les droits des femmes: Une nette majorité de l'Assemblée nationale de la Gambie a voté en faveur d'un projet de loi visant à annuler l'interdiction des mutilations génitales féminines (MGF). Ce vote constitue une grave menace pour les droits des femmes dans toute la région de l'Afrique de l'Ouest et Centrale et met en danger des décennies de travail pour mettre fin à cette pratique. Les MGF sont une violation manifeste des droits humains, liée à un besoin perçu de contrôler la sexualité féminine, qui cause des dommages physiques et psychologiques irréversibles à des millions de femmes et de filles dans le monde. Il est impératif que les gouvernements respectent leur obligation de protéger les droits de tous les individus et prennent des mesures concrètes pour éliminer les pratiques préjudiciables telles que les MGF, notamment en adoptant une législation efficace et en (...) - Chambre Régionale de l´Economie Sociale des Hauts de France / Solidarité internationale / ONG / Coopération, Cause sociétale / Défense collective / Revendication, Promotion de la santé, Plan International France, Territoires d'économie sociale et solidaire, réservé aux abonné.e.s, Gambie, Alasan Senghore
Projet de réautorisation des mutilations génitales féminines (MGF) en Gambie : un retour en arrière pour les droits des femmes
ess-et-societe.net
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Tenir la promesse de gagner la lutte contre les mutilations génitales féminines au Mali 💪🏾 Changer les croyances, habitudes et normes sociales ancrées dans les coutumes depuis des siècles n'est pas une tâche facile, mais avec la bonne approche, les bonnes personnes et l'objectif commun d'améliorer le sort des filles, nous pouvons y arriver. 1️⃣2️⃣ villages maliens ont signé un accord d'abandon formel, et 1️⃣5️⃣ autres sont en train de le faire. 💡 Comment cela s'est-il produit ? Qui étaient les parties prenantes ? Comment les jeunes et les filles y ont-ils contribué ? 👉🏾 Écoutez l'optimiste déterminée Penouhan DENOU, responsable du projet à Plan International MALI, qui ne ménage pas ses efforts pour que plus aucune fille ne subisse le traumatisme des mutilations génitales féminines. #EndFGM #ProtectOurGirls
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Les directives pour le respect et la sensibilité envers les survivantes de mutilations génitales féminines sont des lignes directrices ou des recommandations sur la manière de traiter avec empathie et respect les femmes et les filles qui ont survécu à cette pratique traumatisante. Ces directives incluent des conseils sur la manière de communiquer avec les survivantes, d'écouter leurs histoires avec sensibilité, de reconnaître leurs souffrances sans les stigmatiser ni les victimiser davantage, et de leur offrir un soutien approprié, qu'il s'agisse de services médicaux, psychologiques, sociaux ou juridiques. Elles visent également à promouvoir une approche holistique et respectueuse de la dignité et des droits des survivantes dans toutes les actions et politiques visant à éliminer les mutilations génitales féminines. Nous partageons avec quelques tips de trucs à ne pas faire ou à faire face à une survivante de mutilations génitales féminines. Si vous avez connaissance d’autres tips vous pouvez les partager avec nous en commentaire. GYC Côte d’Ivoire, leader numéro 1 d’engagement des jeunes dans la lutte contre les mutilations génitales féminines. UNFPA West and Central Africa, UNFPA Afrique de l'Ouest et du Centre UNFPA Côte d'Ivoire Bamba Djakaridja #EndFGM #CartonRouge #GYCMoisDeLaFemme #JeunesEngagés #MenEngage #globalyouthconsortiumciv
-
+3
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire