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Fabrique des territoires – Réaliser une cartographie sensible du territoire en lien avec un projet culturel. Jeudi 10 octobre - 10h-17h, La COcotte numérique, COMMUNE DE MURAT (Cantal 15 - Hautes Terres Communauté) inscrivez-vous : https://lnkd.in/eXRrM6Wk Cet atelier de cartographie sensible est l’occasion de découvrir un outil et une méthodologie préalable à la construction d’un projet de territoire. ll permettra également d’échanger sur la conception et les missions d’un projet culturel sur le territoire, en tenant compte de ses particularités, des partenaires et des destinataires. Déroulé : 1er temps : produire la cartographie 2ème temps : dégager des problématiques collectives 3ème temps : formuler des hypothèses par projet. L’atelier débute en positionnant votre projet dans son territoire, en y incluant les destinataires et les partenaires. Y figurent les enjeux de circulation des habitants et du public, les enjeux autour d’une meilleure prise en compte des habitants de tous âges et tous statuts dans la définition et la mise en œuvre de la politique culturelle et/ou patrimoniale et/ou de lecture et/ou d’enseignement artistique. En quelques mots : tout ce qui semble important pour faire comprendre le territoire et votre mission. Il se poursuit par le regard des autres participants sur la cartographie produite en dégageant des problématiques, puis les pairs formulent des hypothèses, au regard du dessin, de la présentation orale et de la problématique formulée. Le porteur de projet, dont la carte est étudiée, revient sur les hypothèses qu’il a entendues, qui lui font sens, qui le font travailler. Les Fabriques des Territoires sont des rendez-vous collectifs, participatifs et thématiques qui réunissent des professionnels d’un même métier pour échanger sur leurs pratiques professionnelles et les difficultés rencontrées sur le terrain. Ils permettent ainsi d’échanger avec des pairs, de s’interroger sur son métier et de casser son isolement professionnel. #territoire #cartographiesensible #ruralité #cantal #projetculturel

Que représente l’espace public pour les jeunes? Et comment l’aménager pour et avec elles et eux? Cet article décrit une expérience inspirante. Extraits: « Les terrains multisports sont de véritables espaces de sociabilité ; les jeunes s'y retrouvent et y sont très attachés. Bien que l'aspect normé de ces équipements induise des usages plutôt masculins, l'importance de ces espaces dans la vie sociale des jeunes est indéniable. Les projets développés avec les jeunes proposent d'activer de nouvelles pratiques autour et sur ces équipements. Par exemple, le Youri-kit offre la possibilité de détourner l'usage prévu d'un terrain multisport. Un autre projet dessiné à Saint-Denis propose d'activer un terrain de tennis en tant qu'espace de représentation (danse, spectacles, théâtre...). Ces orientations de projet, construites avec les jeunes témoignent du souci de faire de l'espace public un lieu inclusif. » Alors que les espaces libres se réduisent dans des agglomérations toujours plus denses, les hectares de terrains barricadés et réservés aux clubs (de foot surtout), en principe sur des terrains publics, offrent de magnifiques potentiels pour rééquilibrer le partage des espaces non bâtis. #pleineterre #paysage #amenagementduterritoire #jeunes #sport

L’association TEPOP (Territoires à Énergies POPulaires) a accompagné des jeunes de la Courneuve (93) dans la conception et la construction d’un équipement sportif modulable : le Youri-kit. Sa structure protéiforme permet de détourner un terrain multisport, au gré des envies et usages. L’espace public est alors activé en un lieu inclusif et multifonctionnel. 🔧 Démarche itérative au long cours, il est ici question d’adapter nos métiers pour valoriser la parole habitante et son intelligence des lieux quotidiens. C’est aussi un projet en faveur du réemploi, de l’intégration du sport et du jeu au sein de nos cadres de vie. 🗞 Pour en découvrir plus, voici l’article de la Revue Topophile #coconstruction #villeludique #réemploi #concertation

Save the Date 28-29 novembre 2024 Institut Méditerranéen de la Ville et des Territoires Marges de manœuvre # 02 à Marseille L'art comme puissance de faire dans les écoles d'architecture et du paysage J'y serai avec Manon Anne (Studio Caillou) pour animer une Assemblée contributive autour de la question suivante : L’arpentage de terrain : une pratique engagée dans la fabrique du territoire ? L’Assemblée contributive est un acte collectif entre acteur·rices concerné·es par cette question. Plusieurs équipes d’artistes, architectes et paysagistes, praticien·nes, étudiant·es, enseignant·es et chercheur·euses travaillent ensemble pour partager des méthodologies et des enseignements à partir de l’expérience de chacun·e des contributeur·ices et participant·es. Ici, nous interrogeons la pratique de terrain, et notamment l’usage de l’arpentage dans la compréhension et l’analyse d’un site. De quelle façon cette pratique peut-elle conduire vers une vision prospective du territoire ? Manon Anne est paysagiste dplg, co-fondatrice du collectif de paysagistes Studio Caillou et maîtresse de conférences associée en enseignement de projet à l’ENSP-Versailles et l’ENSAP-Lille. Par la rencontre entre art et paysage, ses travaux explorent les transformations des territoires ruraux liées à la crise climatique, de la parcelle au grand paysage, de l’étude pré-opérationnelle à l’objet édité. Nathalie Poisson-Cogez est historienne de l'art, Professeure d’enseignement artistique à l’École supérieure d’art | Dunkerque - Tourcoing et membre de EsäLab | Recherche (Art Société Sciences Nature). À la croisée des champs artistique, socio-culturel et politique, ses recherches et sa pédagogie portent sur les processus de création artistique et les dispositifs participatifs dans les contextes de résidence en territoires. https://lnkd.in/g9858wDB

Cher réseau, Je suis heureuse de partager avec vous une partie du travail cartographique issue de mon projet de fin d'étude, présenté sous forme d'un atlas. Cet atlas met en lumière les problématiques et les enjeux d'aménagements auxquelles le dir de Béni Mellal est confronté, tout en proposant des pistes pour ratrapper ses carences à travers une reconsidération de ses potentiels endogènes chose mise à profit dans le cadre de notre réflexion sur le projet de la commune de Foum El Anceur. Etant donné que tout territoire mérite de trouver sa trajectoire de développement, reconsidérons les potentiels des communes de piémont. #Aménagement, #piémont, #dirdeBéniMellal, #Atlascartographique , #Développementendogène

📚 Actes du séminaire de lancement du programme POPSU « INTENSIFICATIONS METROPOLITAINES » d'Aix-Marseille-Provence 📑 LA PLATEFORME POPSU INTENSIFICATIONS MÉTROPOLITAINES Ce séminaire a réuni une centaine de participants (élus, techniciens, enseignants-chercheurs, professionnels …) pour lancer officiellement la Plateforme d'observation des projets et stratégies urbaines (POPSU) d’Aix-Marseille-Provence. Cette plateforme locale associe une dizaine d’enseignants-chercheurs de l’Institut Méditerranéen de la Ville et des Territoires (IMVT), spécialistes en architecture, urbanisme et paysages. Elle mobilise les deux agences d’urbanisme (AGAM et AUPA), ainsi que Image de Ville. Le portage politique est assuré par Pascal MONTECOT, 1er vice-président d’AMP, maire de Pélissanne. La responsabilité scientifique est assurée par Séverine BONNIN-OLIVEIRA (AMU, IUAR, LIEU). J’ai le plaisir pour ma part d’assurer le pilotage technique du programme. Cette plateforme de 3 ans, co-financée par l’Etat et la Métropole, est un des piliers de la « communauté apprenante » que la Métropole anime sur le défi de l’intensification urbaine. Elle va produire des publications et stimuler les discussions à l’articulation de trois sphères, politique, technique et scientifique. 👀 La note d’orientation de la plateforme est en deuxième partie de ce document. Elle explicite la problématique, les axes de recherche, la composition de l’équipe et ses modalités de travail. 📑 UN PARTAGE DES PRINCIPAUX ENJEUX • Acter la fin du modèle d’étalement urbain. • Exploiter tous les gisements d’intensification, tant par ajout de nouvelles constructions dans la ville déjà là que par meilleur usage du bâti existant. • Faire évoluer le modèle économique de la filière construction • Résoudre l’équation emploi-mobilité-logement en tenant compte des évolutions socio-démographiques et des singularités territoriales. • Inventer des villes du quart d’heure. • Faire preuve d’esprit buissonnier pour ouvrir les imaginaires. • Assurer la pédagogie afin de dépasser les représentations souvent négatives de la densification. • Déployer la capacité des parties prenantes (élus et habitants, acteurs publics et privés) à co-construire la ville de demain. POPSU - Plateforme d'observation des projets et stratégies urbaines PUCA - Plan Urbanisme Construction Architecture Conseil national de l'Ordre des architectes Métropole Aix-Marseille-Provence Fnau CNCD - Coordination nationale des Conseils de développement Cerema France Strategie Institut de la Transition Foncière FNCAUE - Fédération nationale des CAUE CAUE des Bouches-du-Rhône Agence d'urbanisme de l'agglomération marseillaise (Agam) Aupa | Agence d'urbanisme Pays d'Aix - Durance EPF Provence-Alpes-Côte d'Azur Fonciers en débat (FED) La Fabrique de la Cité ADIL des Bouches-du-Rhône Université de la Ville de Demain ANCTerritoires ENSAM IUAR Aix-Marseille École nationale supérieure de paysage #SéverineBonninOliveira #LinaRaad  

⚫ SAISIR L'EMPREINTE DE LA VILLE ⚫ Retrouvez ce bel entretien réalisé avec Frédérique Aït-Touati et la Revue Sur-Mesure, dans lequel nous abordons l'importance de la représentation cartographique : à quel moment la représentation devient-elle prescriptive pour les acteurs de l’aménagement ? Comment représenter la totalité de la terre, le biotique, mais aussi l'abiotique (le sol, la roche, l’eau, l’air, les éléments chimiques) ? Finalement, quelle médiation choisir entre nous et le monde pour le saisir ? La réponse apportée dans les cartes de l'ouvrage Terra Forma est celle des sols, qui constituent une nouvelle préoccupation pour de nombreux acteurs. L'historienne des sciences souligne : « On aborde le sol de bien des manières, par le prisme industriel, écologique, géochimique. Mais le sol recouvre encore autre chose : l’invisible, l’irreprésenté et l’irreprésentable. On ne représente pas le sol, ou mal ; tout comme on ne représente pas certains non-humains, certains micro-organismes, certaines populations. » https://lnkd.in/eXTtk7s6 Merci à l'équipe de Sur-Mesure, et rendez-vous en septembre pour la suite des entretiens du cycle ! #représentations #solsvivants #habitabilité #cartographie

je recommande la lecture de cet article très complet et intéressant, qui interroge nos pratiques aménagistes face à l'urgence de la transition écologique des territoires 🌱

💡 Gouverner les sols vivants, in concreto. Dans le cadre de notre cycle de publication "Saisir l'empreinte de la ville" en partenariat avec la revue Sur-Mesure, retrouvez cette excellente contribution de Sacha Czertok et Jules Peter-Jan ! Via l’atelier des territoires « Mieux aménager avec les sols vivants », ce texte illustre par le terrain les thèses défendues dans le livre fondateur de l'Institut intitulé La Transition Foncière (2023) et qui structurent nos actions et objectifs depuis lors : 🌱 La nécessité d'une discussion nouvelle et perpétuelle entre les sciences du vivant et les aménageurs et urbanistes. 🗺 L'urgence de faire évoluer les représentations cartographique pour qu’elles intègrent les flux souterrains, soit cette fameuse vision en 3D. ⌛ L'importance d'une vision de long terme : en intégrant le coût du temps de reformation d'un sol lorsqu'on dégrade ces fonctions écologiques (i.e. la dette écologique créée), ou encore le temps long de la maitrise foncière voire d'un portage inaliénable de certains espaces NAF. 💰 Enfin, la fameuse question du coût : la priorité d'agir pour intégrer dans la chaine de l'aménagement le coût écologique de nos actions. "Ce que nous disent les sols des politiques territoriales écologiques" : https://lnkd.in/e4Gg387G

Avant la fin de l'exposition, "Des solutions sur mesure pour s’adapter à la rareté et bien vivre nos territoires. Cap sur le ZAN ! ", commanditée par le Ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires (DGALN - Habitat), Urbanisme, Rénovation, sous le commissariat scientifique de Patrick Henry, architecte-urbaniste et professeur à l'Ecole nationale supérieure d'architecture de Paris-Belleville. Nous nous retrouvons à la Maison de l'architecture Ile-de-France, le mercredi 9 octobre 2024 à 18h30 avec Karim Lahiani, lauréat du Palmarès des jeunes urbanistes 2024 en dialogue avec Audrey Brantonne et Charles Rives, doctorante et docteur de l’Éav&t — OCS/AUSser, pour une discussion intitulée "À la recherche de nouveaux imaginaires pour les territoires". Vous pouvez vous inscrire ici : https://lnkd.in/eijS8683 Les modèles d’aménagements ont majoritairement été élaborés pour le modèle d’une ville dense en croissance. Dans un certain nombre de contextes, le modèle s’avère inopérant, voire contreproductif.  La baisse de la démographie, la désindustrialisation, l’effondrement des filières locales ou l’uniformité des productions urbaines ont conduit à la désertification des centres de nombreuses villes et villages et à un désamour de la ville dense.  Dans des contextes de maîtrises d’ouvrage souvent démunies ou au sein même des métropoles s’exprime le désir d’urbanisations moins standardisées et plus adaptées aux spécificités locales. Face à ces questions, de nouveaux imaginaires attentifs aux vivants sont à construire à partir des ressources des territoires. #urbanisme #architecture #sols #solsurbains #solsvivants #sobriétéfoncière