📣 𝗣𝗮𝗿𝘁𝗶𝗰𝗶𝗽𝗲𝘇 à 𝘂𝗻𝗲 𝗲𝗻𝗾𝘂ê𝘁𝗲 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗮 𝘀𝗮𝗻𝘁é 𝘀𝗲𝘅𝘂𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗳𝗲𝗺𝗺𝗲 👩 Pour étudier la santé de la femme et plus particulièrement les soins de santé gynécologiques, l’Université de Strasbourg, l’ANR (Agence nationale de la recherche), l’Inserm et le CNRS - Centre national de la recherche scientifique lancent une grande enquête conjointe à destination des gynécologues, médecins généralistes et sages-femmes. 🎯 Objectifs ? Comprendre les composantes de l’activité de soins de santé de la femme, les caractéristiques de l’activité libérale et du praticien, les relations interprofessionnelles et la formation continue. 💡 Cette enquête fait partie du projet ANR : « Gynécologues, médecins généralistes et sages-femmes : évolution de l’offre, pratiques professionnelles et accès aux soins en matière de santé sexuelle ». 👉 Pour répondre à l’enquête, c’est ici : https://bit.ly/4c4GhIm #enquête #santésexuelle #santédelafemme #gyneco #médecin #sagefemme
Post de FémasIF
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À l’occasion du 5e congrès scientifique dédié à la santé de la femme Pari(s) Santé Femmes nous voulions rappeler l’importance de la santé intime des femmes. En effet, le suivi gynécologique est crucial tout au long de la vie d’une femme, notamment pour la contraception, la sexualité et le dépistage de cancers. Cependant, plus de la moitié des femmes renoncent à ces soins. 𝗨𝗻𝗲 𝗲𝗻𝗾𝘂𝗲̂𝘁𝗲 𝗜𝗳𝗼𝗽 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗤𝗮𝗿𝗲 𝗿𝗲́𝘃𝗲̀𝗹𝗲 𝗾𝘂𝗲 𝟭 𝗳𝗲𝗺𝗺𝗲 𝘀𝘂𝗿 𝟯 𝗻’𝗮 𝗽𝗮𝘀 𝗰𝗼𝗻𝘀𝘂𝗹𝘁𝗲́ 𝗱𝗲 𝗴𝘆𝗻𝗲́𝗰𝗼𝗹𝗼𝗴𝘂𝗲 𝗱𝗲𝗽𝘂𝗶𝘀 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝗱𝗲 𝟮 𝗮𝗻𝘀. Les principales raisons sont les délais d’attente, un emploi du temps chargé, un malaise lié à l’auscultation et les déserts médicaux. Certaines femmes se tournent vers leurs généralistes ou se renseignent sur Internet… ⚠️ Et 40% ne consultent personne. Or, il existe de nombreuses alternatives : ➡️Sages-femmes pour assurer le suivi gynécologique ➡️Les téléconsultations pour des troubles nécessitant des consultations moins invasives ou se faire prescrire des examens complémentaires. Medisur a fait de la santé de la femme une de ses priorités et croit fermement que l’entreprise a un rôle à jouer pour offrir à chaque femme les soins de santé qu’elles méritent. Chaque année, nous organisons des milliers de 𝘀𝗲𝗻𝘀𝗶𝗯𝗶𝗹𝗶𝘀𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝘀𝘂𝗶𝘃𝗶 𝗴𝘆𝗻𝗲́𝗰𝗼𝗹𝗼𝗴𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗱𝗲 𝗽𝗿𝗲́𝘃𝗲𝗻𝘁𝗶𝗼𝗻 sur site. Notre volonté : faciliter l’accès à l’information, aux soins et à la santé partout pour toutes ! ✊ 💡N'oubliez pas que la prévention est un processus continu. Il est important de rester à l'écoute des besoins des femmes et d'adapter les actions de sensibilisations en conséquence. #santedesfemmes #octobrerose #prevention #masantemonentreprise
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📣[SANTÉ DES FEMMES] 📣 La Fondation de l'Académie de Médecine (FAM) lance de son nouveau cycle de débat : La santé des femmes. 👩🩺 A travers cette thématique, la Fondation de l'Académie de Médecine veut questionner à la lumière de la société actuelle, en dehors de tout jugement de valeur, les éléments de santé spécifiques au sexe féminin : la maternité, les maladies gynécologiques (endométriose, cancers, MST…) mais aussi tout le champ des pathologies sous l’angle féminin : la maternité, la santé des femmes au fil des âges et la santé des femmes au travail. 📹 Retrouvez l'interview du Pr Catherine Barthélémy, Présidente de l'ACADEMIE NATIONALE DE MEDECINE DE FRANCE, qui répond à nos questions sur "la santé des femmes en 2024", thème du premier débat qui aura lieu le 4 Avril. 🔗 Inscrivez-vous dès à présent : https://lnkd.in/eZNKh7QA C'est une occasion unique de contribuer à la discussion et d'en apprendre davantage sur les questions cruciales qui touchent la vie des femmes. Les dates à ne pas manquer : 📆 Jeudi 4 avril 2024 de 14h30 à 17h30 - Grand débat à l’Académie nationale de médecine - 16 rue Bonaparte 75006 Paris - La santé des femmes en 2024 : où en est-on ? 📆 Jeudi 16 mai 2024 de 8h30 à 10h - Webinaire - Santé des femmes au fil des âges : l’adolescence 📆 Jeudi 13 juin 2024 de 8h30 à 10h - Webinaire -Santé des femmes au fil des âges : la femme adulte jusqu’à la ménopause 📆 Jeudi 4 juillet 2024 de 8h30 à 10h - Webinaire - Santé des femmes au fil des âges : le grand-âge 👉Pour prévenir, il faut d'abord comprendre. La Fondation de l'Académie de Médecine vous offre : - les clés pour être acteur de votre santé et de celle des autres au travers son nouveau cycle de débats - une porte d'entrée vers un savoir certifié grâce à la présence d'experts. Ensemble continuons à sensibiliser, prévenir et innover pour favoriser l'accès au meilleur de la santé. #SantéDesFemmes #DébatMédical #EngagementPourLaSanté
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L'équipe de l'étude #MisTher "Intérêt d'une prise en charge psychologique courte précoce des femmes ayant fait une fausse couche" est à la recherche de sages-femmes et de gynécologues (libéraux ou hospitaliers) pouvant distribuer le flyer d'information de l'étude auprès des femmes venant de vivre une fausse couche précoce. 👉 Il s'agit d'une étude clinique comparative randomisée ayant pour objectif d'évaluer chez les femmes ayant fait une fausse couche précoce, l'effet d'une prise en charge psychologique courte précoce sur l'anxiété, la dépression et le trouble de stress post-traumatique. L'information des femmes concernant l'étude se fait par la distribution d'un flyer par les professionnels de santé les prenant en charge. ➡ Diffuser l'information concernant l'étude, c'est : - distribuer le flyer d'information aux femmes ayant fait une fausse couche précoce (au moment du diagnostic de la fausse couche ou lors d'une consultation de suivi), - transmettre les coordonnées de la femme à la cheffe de projet si la femme ne s'y oppose pas. ⚠ Si vous acceptez de diffuser l'information concernant l'étude #MisTher aux femmes que vous prenez en charge, contactez la cheffe de projet Émilie Charillon au 06 61 71 55 04 ou emilie.charillon1@univ-reims.fr 😃 Rejoignez l'équipe de l'étude, quel que soit le nombre de fausses couches que vous prenez en charge, toute participation est importante! #faussecouche #sagefemme Coralie Barbe
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🌈✨ La Consultation Idéale en Médecine Générale pour les Personnes Transgenres ✨🌈 Un travail de thèse innovant révèle les clés pour une prise en charge médicale respectueuse des personnes transgenres. Entre obstacles tels que la transphobie et solutions pour un accueil non discriminant, les autrices mettent en avant ce qui rend une consultation vraiment inclusive. 💖👩⚕️👨⚕️ Des entretiens approfondis avec des personnes transgenres et non binaires mettent en évidence le besoin de reconnaissance, d'écoute, et de respect de l'autodétermination. Pour une médecine générale qui voit et entend vraiment tout le monde. 🏳️⚧️❤️ https://lnkd.in/e6vpSK2x #SantéTransgenre #MédecineInclusive #RespectEtÉcoute #SoinsSansDiscrimination #TransRightsAreHumanRights #InclusivitéSanté #ÉgalitéDesSoins #ConsultationTransFriendly #PriseEnChargeRespectueuse #SoutienTransgenres
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Après…« les femmes sont-elles de meilleurs chirurgiens que les hommes » (cf ancien post sur Linkedin)…. https://lnkd.in/eVeXiSkh https://lnkd.in/ei7pjf4Q … « les femmes sont-elles de meilleurs médecins que les hommes ? » Cette semaine dans Ann Intern Med 2024 Apr 23; https://lnkd.in/eUR-e_4h Etude rétrospective réalisée aux USA - 20% de patients hospitalisés entre 2016 et 2019 (800 000) - base de données Medicare mentionnant le sexe du patient et le nom du médecin « hospitaliste »: médecin aux États-Unis qui s'occupe exclusivement de patients hospitalisés non critiques et qui n'a pas de cabinet. - adultes de plus de 65 ans admis à hors urgence sur tout le territoire américain - évaluation des effets du genre du médecin sur les résultats à l'hôpital : mortalité et taux de réadmission et corrélation au sexe du patient 👉 les patientes obtiennent des résultats légèrement meilleurs lorsque leurs médecins sont des femmes 👉 les taux de mortalité et de réadmission sont encore plus élevés chez les patientes soignées par des médecins hommes que par des femmes médecins. 👉 effet relativement faible en valeur absolue mais multiplié par des millions d’hospitalisations par an …. 👉 = 5 000 vies de femmes sauvées chaque année. Pourquoi ? ➡️ les patientes femmes sont moins susceptibles d’être victimes de problèmes de communication, d’incompréhension et de préjugés lorsqu’elles sont traitées par des femmes médecins ? ➡️ les femmes médecins privilégient le qualitatif au quantitatif avec un travail concerté et en équipe / hommes ? Autres constats préoccupants : 1/ Pourquoi les femmes et les patientes issues de minorités sont jusqu’à 30 % plus susceptibles d’être mal diagnostiquées par rapport aux « hommes blancs » aux USA ? 2/ Pourquoi trop de stéréotypes sexistes à l’égard des femmes persistent, quel que soit leur âge, avec comme idée que les symptômes des femmes soient plus « émotionnels » ou que leur douleur soit moins grave ou d’origine plus « psychologique » ? 3/ Combien de diagnostics d’embolie pulmonaire ou d’AVC ou d’infarctus du myocarde sont ratés tous les ans … chez des femmes et encore plus si elles sont noires ou issues de minorités comme le suggèrent les données ethniques autorisées aux USA ? C’est pour toutes ces raison qu’il faut : 👉 s’occuper du ❤️ des femmes de nos patientes et de mieux communiquer sur les biais ou préjugés persistants . 👉 inclure la diversité y compris de genre avec des femmes médecins qui au quotidien nous enrichissent de leurs softs skills - intelligence relationnelle et émotionnelle - gestion du temps - prise de décision - créativité et communication - agilité organisationnelle Donner des ELLES à la santé American Hospital of Paris
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Lorsqu'il s’agit d’une première consultation gynécologique, nous devrions tous avoir la bonne attitude, surtout lorsque la jeune fille, souvent très pudique, se marie bientôt. Au Maroc, elles nous disent venir pour "vérifier leur virginité", mais ils faut être conscients qu’elles ne savent même pas ce que c’est, et qu’elles se posent de nombreuses questions (ce qu’elle n’osera jamais faire et qu’elle ne pourra pas verbaliser). Soyons vigilants à ne pas les traumatiser, à ne pas les induire en erreur, et surtout, apprenons leur à faire connaissance et à s’approprier leur corps. Prendre le temps d’entrouvir le sujet de leur entrée en sexualité afin que leur nuit de noces ne se termine pas par un viol encore "consenti" dans nos contrées. Et je rejoins le Dr. Burté, lorsqu’elle pose sa question. N’oublions pas que cette première fois peut être traumatisante pour le garçon également: dans notre culture et nos traditions, c'est le moment pour lui de prouver sa virilité, alors imaginons l'angoisse de performance dans laquelle il va se trouver... C’est à nous, professionnels de santé, grâce à nos connaissances, de pouvoir détruire enfin les mythes et les fausses croyances qui entourent la sexualité, en particuliers des jeunes adultes. Encore faudrait-il donner les bons outils et les arguments solides à nos médecins! qui se trouvent eux-mêmes démunis pour aborder le sujet...
Santé publique France "Conçue pour préparer au mieux les jeunes filles et les aider à établir une relation de confiance qui facilitera un meilleur suivi gynécologique, la brochure entend rassurer, sans banaliser ni sous-estimer leurs difficultés à aborder des questions intimes avec un professionnel, à se dénuder et à se faire examiner. Ce document peut être présenté ou remis dans le cadre : d'une action d'éducation à la sexualité en milieu scolaire, d'un entretien individuel ou d'une animation collective d'information (planning familial, centre de planification, infirmerie scolaire, maison des adolescents, consultation pour adolescents), d'une consultation (médecin généraliste, gynécologue, sage-femme)." https://lnkd.in/ehhbyQFU
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Cet article, "La construction d’une problématique de recherche : de l’histoire d’une femme atteinte de sclérose en plaques à une recherche en sciences infirmières dans le domaine de la santé sexuelle" proposé par sandrine LEFEBVRE et Ljiljana Jovic nous permet d'appréhender toutes les étapes menant à un projet de recherche à partir d'une situation clinique. L'analyse approfondie de la situation et la mobilisation de différents concepts constituent le départ d'une recherche scientifique. #recherche #infirmier #sciencesinfirmieres #santesexuelle https://lnkd.in/e5hZyq-9
La construction d’une problématique de recherche : de l’histoire d’une femme atteinte de sclérose en plaques à une recherche en sciences infirmières dans le domaine de la santé sexuelle
stm.cairn.info
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La Bienveillance dans les Soins Gynécologiques et Obstétriques Les consultations et interventions gynécologiques et obstétriques peuvent souvent laisser des traces profondes chez les femmes, générant des traumatismes qui peuvent perdurer longtemps après l'acte médical. Malheureusement, la voix des patientes n'est pas toujours suffisamment écoutée, et les multiples témoignages de dénonciation ne peuvent plus être ignorés. Au cœur de cette problématique se trouve le respect du consentement. La loi française de 2002 stipule clairement l'obligation pour les médecins de recueillir le consentement éclairé des patients avant toute intervention ou examen. Il est essentiel de reconnaître que les femmes ne sont pas dépourvues de bon sens et qu'il est impératif de leur accorder le temps nécessaire pour comprendre les procédures médicales qui leur sont proposées. En cas de refus, il est crucial de respecter leur décision sans les culpabiliser même si cela oblige, bouscule de trouver d’autres solutions peut-être les croyances personnelles de certaines personnes. La difficulté de parler de ces expériences est souvent exacerbée par le caractère très technique de la médecine en France. Bien que réputée pour son excellence, la médecine française doit davantage intégrer la bienveillance dans sa pratique. Il est impossible de prodiguer des soins efficaces tout en méprisant les patients, en leur infligeant des examens douloureux ou en ignorant leur parole. Cette approche risque non seulement de causer des blessures physiques mais aussi psychologiques, compromettant ainsi le processus de guérison. Pour remédier à cette situation, il est essentiel d'impliquer les patientes dans la formation continue et initiale des professionnels de santé, à l'instar de ce qui se fait au Canada. Il s'agit d'établir un partenariat solide entre soignants et soignés, reconnaissant que le patient est le premier concerné par les décisions médicales le concernant. Cette approche permet de briser l'infantilisation du patient et de favoriser une relation de confiance mutuelle, essentielle pour des soins de qualité. Les médecins ont pour vocation de soigner et d'aider, mais il est primordial de se rappeler que chaque corps qui demande du soin est habité par un être humain doué de sensibilité et de mémoire. Bien que la distance professionnelle soit importante pour se protéger, elle ne doit pas conduire à l'indifférence ou à l'insensibilité envers les besoins et les souffrances des patients. En reconnaissant la parole et besoins des patientes, en prenant le temps d'expliquer les procédures et en favorisant un partenariat équilibré entre soignants et soignés, nous pouvons créer un environnement médical plus humain pour tou.tes.s. #VOG #consentement #femme Aurore Bergé https://lnkd.in/eTnd9a96
Violences gynécologiques : "Les femmes ont raison, nous pouvons pratiquer avec plus de délicatesse", assure une gynécologue
radiofrance.fr
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🚨 #urgence vitale : est-ce que vous aurez 50% de chance en moins d'être pris ? 1 réalité choquante sur le triage révélée par 1 étude auprès de 1563 professionnels de #santé 😳 Ce n'est pas 1 poisson d'avril (lien vers l'étude en commentaire). 🏥 1 étude faite entre le 14 juillet et le 15 août 2023 montre que 𝐥𝐞𝐬 𝐡𝐨𝐦𝐦𝐞𝐬 𝐨𝐧𝐭 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐝𝐞 𝐜𝐡𝐚𝐧𝐜𝐞𝐬 𝐝'𝐞̂𝐭𝐫𝐞 𝐩𝐫𝐢𝐬 𝐞𝐧 𝐮𝐫𝐠𝐞𝐧𝐜𝐞 𝐯𝐢𝐭𝐚𝐥𝐞 𝐪𝐮𝐞 𝐥𝐞𝐬 𝐟𝐞𝐦𝐦𝐞𝐬, même avec des symptômes identiques. 1563 médecins et infirmiers urgentistes étaient chargés de trier des patients à leur arrivée aux urgences sur la base d'1 description des symptômes et d'1 photo du patient. ➡️ 𝐒𝐲𝐦𝐩𝐭𝐨̂𝐦𝐞𝐬 𝐢𝐝𝐞𝐧𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬, 𝐭𝐫𝐚𝐢𝐭𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐢𝐟𝐟𝐞́𝐫𝐞𝐧𝐭 : 62% des hommes contre seulement 49% des femmes jugés en urgence vitale. Et pire encore, les disparités s'accentuent selon le profil "ethnique", avec 63% des hommes blancs contre seulement 42% des femmes noires. Les femmes noires ont donc 50% de chance en moins Ce n'est pas une question de santé mais de société. 𝐂𝐞𝐭 𝐞́𝐜𝐚𝐫𝐭 𝐝𝐞 𝐩𝐫𝐢𝐬𝐞 𝐞𝐧 𝐜𝐡𝐚𝐫𝐠𝐞 𝐞𝐬𝐭 𝐜𝐚𝐮𝐬𝐞́ 𝐩𝐚𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐩𝐫𝐞́𝐣𝐮𝐠𝐞́𝐬, 𝐥𝐞𝐬 𝐬𝐭𝐞́𝐫𝐞́𝐨𝐭𝐲𝐩𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐥𝐞𝐬 𝐜𝐥𝐢𝐜𝐡𝐞́𝐬 𝐯𝐞́𝐡𝐢𝐜𝐮𝐥𝐞́𝐬 𝐚𝐮 𝐪𝐮𝐨𝐭𝐢𝐝𝐢𝐞𝐧 : il est important d'arrêter de présenter les femmes comme des chochottes qui se plaignent pour 1 rien, et les hommes comme des boloss qui sauvent le monde. Les femmes s'occupent majoritairement aujourd'hui de la santé de toute la famille et des proches mais elles sont moins bien traitées 😥 Partagez cet article pour sensibiliser votre réseau à cette réalité et favoriser 1 prise de conscience sur la nécessité de lutter contre les préjugés sexistes et racistes et leur impact dans la santé. Chaque partage contribue à faire avancer le débat et promouvoir une prise en charge équitable pour tous. #ÉgalitéDeTraitement #Sensibilisation #StopPréjugés https://lnkd.in/dq-eE8Ek
Urgences : une étude pointe des différences dans les diagnostics en fonction du genre ou de la couleur de peau
radiofrance.fr
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Tout changement passe par une prise de conscience.
[VIOLENCES GYNÉCOLOGIQUES] « Accouchements traumatiques, paternalisme dans les soins, fausses couches passées sous silence, absence de consentement, médecins brutaux… Jamais le milieu de la #gynécologie-obstétrique n’a été aussi frontalement remis en question. Les femmes protestent mais elles nous parlent et il est temps pour nous, soignants, de les écouter. Parce que j’ai été formée par mes pairs, héritiers de siècles de médecine patriarcale, j’ai moi aussi appris la maltraitance gynécologique, jusqu’à ce que j’opère un virage à 180 degrés. À mes confrères comme aux patientes, je pose ces questions : quelle obstétrique voulons-nous pour demain ? Quels moyens sommes-nous prêts à mobiliser pour une médecine bientraitante ? Les femmes méritent mieux, les soignants aussi. » Ces mots, ce sont ceux de Amina Yamgnane, gynécologue obstétricienne, fondatrice de la Clinique des Femmes à Paris, dans un livre qui vient de paraître « Prendre soin des femmes - Pour en finir avec les violences gynécologiques » publié chez Flammarion. « A la faculté de médecine, on ne nous enseigne pas l’empathie, mais exactement l’inverse, c’est-à-dire à ne jamais nous mettre à la place du patient ». Résultat, elle a été maltraitante « sans aucune intention de l’être, et sans jamais comprendre que ce que je disais aux #femmes ou faisais subir à leur corps, pouvait renfermer pour elles une grande #violence. » Un livre qu'on vous conseille vivement ainsi que l'article de Louise Auvitu pour Le Nouvel Obs ici : https://lnkd.in/e9Gu5Cjh En complément sur ce sujet des violences gynécologiques, on vous recommande également le podcast de Jeanne Casez et Louise Vallée en trois épisodes intitulé « Après le #viol - Les femmes victimes de #violences #sexuelles face aux gynécologues ». Il s'intéresse aux femmes qui ont subies des violences sexuelles et qui, presque inévitablement, devront retourner un jour chez le gynécologue. Pieds dans les étriers face à un corps médical conservateur, elles vivent parfois les examens comme un second traumatisme. Un podcast disponible sur le site Les Jours ici : https://lnkd.in/eHgpBWH2
« Autour de l’utérus, il y a une femme » : Amina Yamgnane a été une gynécologue maltraitrante. Elle ne l’est plus
nouvelobs.com
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