Post de Femmes Entrepreneurs 78

N'y allons pas par quatre chemins ! Un article qui correspond à la mission de Femmes Entrepreneurs 78 Vous lisez cet article, Vous le partagez pour révéler les consciences, afin de passer à l'action. Résultat attendu : du concret. #femmes #entrepreneurs #dirigeants #égalité #égalitédeschances

Les femmes ne se lancent pas dans l'entrepreneuriat pour les mêmes raisons que les hommes ! L'étude conjointe entre Willa, France Digitale et Roland Berger met en évidence les disparités de genre dans l'entrepreneuriat en France. Globalement, les femmes entreprennent plus tardivement, motivées par la quête de sens et confrontées à des difficultés de financement, notamment avec moins d'accès au capital. Les inégalités salariales influencent également leurs débuts d'entreprise. Pour remédier à ces écarts, l'étude recommande un meilleur soutien financier, une sensibilisation aux biais de genre et des mesures incitatives telles que l'égalisation du congé parental et des subventions spécifiques. Et vous, qu’est ce qui vous retenait de vous lancer ? À consulter ici : https://lnkd.in/enNsHxZT #article #étude #entreprendre #entrepreneuse #entreprise #lesentrepreneusesbfc #entrepreneuriat #projet #motivation #femme #réseauxféminins #créatrice

Précarité induite des entrepreneurs et particulièrement en cas de faillite - pas de chômage. Je connais et beaucoup connaissent. On n’en parle pas sur LinkedIn 😊🎈chut! Que du succès! 2 idées : ☀️ comment aider en amont les futurs entrepreneurs à anticiper ces risques et les gérer au mieux ☀️☀️ besoin d’une caisse de solidarité abondée par des entrepreneurs qui ont réussi ? Mais fondamentalement la précarité fait partie de la prise de risque des #entrepreneurs - mindset. sinon guichet La Poste 😊🥹 Qu’en pensez vous?

#OnContinue : après Gabriel Attal, nous sommes allés rencontrer Aurore Bergé, ministre chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes. Notre échange ? Soutenir l'entrepreneuriat porté par les femmes. En France, c'est un entrepreneuriat qui est à la fois manquant et précaire. Sur 100 femmes actives, seules 3,4 sont entrepreneures. C'est le double au Royaume-Uni et quatre fois plus au Canada. Résultat, les entreprises de plus de 10 salariés sont 9 fois sur 10 dirigés par des hommes. 🧐En moyenne, les entrepreneures ont un revenu de 20% inférieur à celui des hommes, selon Urssaf Caisse nationale. Pourquoi ? En raison des multiples obstacles systémiques, de la charge mentale, d'accès au financement, d'isolement, d'absence de soutien... 😅 Selon la dernière étude du Lab’ Bouge ta Boite, 1 dirigeante de TPE sur 2 ne se verse même pas de salaire quand elle est isolée et 67% d’entre-elles gagnent moins que le SMIC après 3 ans d’activité ! 😱 ⏰ Pourquoi il faut agir ?  Parce qu'il faut regarder ces chiffres en face et agir pour plus d'équité. On ne peut pas se contenter de les constater et de les accepter comme un fait qu'on ne peut pas changer. Il faut agir concrètement. Comment ? Pour accompagner les dirigeantes disséminées sur tout le territoire, il faut bien sûr soutenir les réseaux de la création d'entreprise, comme Femmes des Territoires, pour que les entreprises partent sur des bases solides. Et, une fois qu'elles sont lancées, soutenir les réseaux féminins d'affaires qui, comme Bouge ta Boite, travaillent sur tout le territoire pour consolider et développer les entreprises, leur chiffre d'affaires, leur stratégie, leur impact tout au long de leur vie 🙌 Au Canada ou aux Etats-Unis, des plans de grande ampleur ont été déployés pour soutenir l’entrepreneuriat porté par les femmes et cela fonctionne ! Les réseaux féminins, TOUS, font un travail formidable au quotidien pour soutenir des milliers de femmes et enlever les obstacles systémiques pour plus d'équité. Ils ne sont aujourd'hui pas assez reconnus ni financés. La preuve en est : Bouge ta Boite fait appel à l'actionnariat du grand public et aux #BusinessAngels pour continuer à déployer ses activités. Pourtant, plus que jamais, nous avons besoin de toute l'innovation et de tout l'impact des entrepreneures ! Merci à Madame la Ministre et à ses équipes pour leur écoute et leur engagement sur ce sujet. Soyons au rendez-vous. #OnNeLâcheRien #Taspas100balles  #EnsembleToutEstPossible Envie de faire la différence ?  👉Je deviens actionnaire de Bouge ta Boite à partir de 100€ : (https://lnkd.in/eUigc9ye) 👉merci pour vos relais ! A l’image des colibris, nous sommes capables de tout ensemble ! PS : on vient de m’envoyer en MP : c’est plus que Bouge ta Boite, c’est Bouge le Monde ! ( j’adore !)

𝗟𝗲𝘀 𝗳𝗲𝗺𝗺𝗲𝘀 𝗻'𝗼𝗻𝘁 𝗽𝗮𝘀 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝗽𝗲𝘂𝗿 𝗱𝘂 𝗿𝗶𝘀𝗾𝘂𝗲 𝗾𝘂𝗲 𝗹𝗲𝘀 𝗵𝗼𝗺𝗺𝗲𝘀, 𝗲𝗹𝗹𝗲𝘀 𝗼𝗻𝘁 𝗷𝘂𝘀𝘁𝗲 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝗮̀ 𝗽𝗲𝗿𝗱𝗿𝗲.❌ C'est ce qui me saute aux yeux quand je découvre la dernière étude menée par WILLA auprès de plus de 500 entrepreneur·es issu·es de l'écosystème de l'innovation. 👉 Alors oui, 𝟰𝟰% 𝗱𝗲𝘀 𝗳𝗲𝗺𝗺𝗲𝘀 𝗮𝘁𝘁𝗲𝗻𝗱𝗲𝗻𝘁 𝗱’𝗮𝘃𝗼𝗶𝗿 𝟭𝟬 𝗮𝗻𝘀 𝗱’𝗲𝘅𝗽𝗲́𝗿𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲 avant de se lancer dans l'entrepreneuriat contre 25% des hommes. 👉 Oui, 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝟳𝟳% 𝗱'𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗲𝗹𝗹𝗲𝘀, 𝗹𝗮 𝗿𝗲𝗻𝘁𝗮𝗯𝗶𝗹𝗶𝘁𝗲́ 𝗲𝘀𝘁 𝗹𝗲 𝗰𝗿𝗶𝘁𝗲̀𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗿𝗲́𝘂𝘀𝘀𝗶𝘁𝗲 le plus important (VS 63% pour les hommes, derrière le leadership sectoriel). 👉 Oui, 𝟬% 𝗱'𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗲𝗹𝗹𝗲𝘀 𝗻𝗲 𝗱𝗶𝘁 𝗮𝘃𝗼𝗶𝗿 𝗰𝗵𝗼𝗶𝘀𝗶 𝗹'𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲𝗽𝗿𝗲𝗻𝗲𝘂𝗿𝗶𝗮𝘁 𝗽𝗮𝗿 𝘃𝗼𝗰𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 et 28% franchissent le cap seulement suite à une démission, un licenciement ou une rupture conventionnelle (contre respectivement 20% et 12% pour les hommes). MAIS, on ne peut s'arrêter à ces chiffres et en conclure que les femmes ont juste besoin d'être éduquée à la prise de risque et à l'entrepreneuriat. 𝗦𝗶 𝗲𝗹𝗹𝗲𝘀 𝗽𝗿𝗲𝗻𝗻𝗲𝗻𝘁 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝗱𝗲 𝘀𝗲́𝗰𝘂𝗿𝗶𝘁𝗲́, 𝗰'𝗲𝘀𝘁 𝗾𝘂'𝗲𝗹𝗹𝗲𝘀 𝗼𝗻𝘁 𝗯𝗲𝗮𝘂𝗰𝗼𝘂𝗽 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝗮̀ 𝗽𝗲𝗿𝗱𝗿𝗲 𝗾𝘂𝗲 𝗹𝗲𝘀 𝗵𝗼𝗺𝗺𝗲𝘀. Faut-il le rappeler ? En moyenne en France, 𝗹𝗲𝘀 𝗳𝗲𝗺𝗺𝗲𝘀 𝗴𝗮𝗴𝗻𝗲𝗻𝘁 𝟮𝟰% 𝗱𝗲 𝗺𝗼𝗶𝗻𝘀 que les hommes : - Parce qu'elles sont moins bien payées à poste égal - Parce qu'elles prennent plus souvent des mi-temps pour assumer les charges domestiques non-rémunérées. 👩👧 J'ajouterai également que 83% des familles mono-parentales ont à leur tête une femme. Dans ce contexte, difficile de mettre de côté, mais aussi de se libérer du temps et de l'énergie pour se lancer. D'ailleurs, l'étude le souligne : 👉 𝟲𝟱% 𝗱𝗲𝘀 𝗳𝗲𝗺𝗺𝗲𝘀 𝘀𝗲 𝗹𝗮𝗻𝗰𝗲𝗻𝘁 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝘂𝗻 𝗿𝗲𝘃𝗲𝗻𝘂 𝗮𝗻𝗻𝘂𝗲𝗹 𝗶𝗻𝗳𝗲́𝗿𝗶𝗲𝘂𝗿 𝗮̀ 𝟲𝟬 𝟬𝟬𝟬 euros contre 45% pour les hommes. 𝗟𝗲𝘀 𝗳𝗲𝗺𝗺𝗲𝘀 𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲𝗽𝗿𝗲𝗻𝗲𝘂𝗿𝗲𝘀, 𝗾𝘂𝗶 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝗲𝘀𝘁 𝗺𝗲̀𝗿𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗳𝗮𝗺𝗶𝗹𝗹𝗲, 𝘀𝗼𝗻𝘁 𝗱𝗲𝘀 𝗵𝗲́𝗿𝗼𝗶̈𝗻𝗲𝘀. 👸 Elles se lancent peut-être plus tard, mais elles prennent un risque financier souvent bien plus important que les hommes. Il est temps de le dire, et il est temps de les célébrer à leur juste valeur. Chapeau bas à toutes les mères entrepreneures qui m'entourent Héloïse Pierre, Violaine Pierre, Stéphanie d'Esclaibes, Chloe Guillevic, Marie Dasylva, Constance Morel-Grodner, Hélène (Lena) HARIKIOPOULOS - CORDOVA, Flora Doubilet, Pauline Arnaud-Blanchard... Ce que vous faites est incroyable.

En cette journée internationale des droits des femmes, je viens vous parler de mixité et d'égalité.   En effet, il est prouvé que la mixité au sein de conseils d'administration améliore la prise de décision (Les Echos). De même, dans l'entrepreneuriat, avoir plus de diversité au sein des boards et des femmes qui s'engagent comme entrepreneuses est bon pour les startups!   En pourtant, nous recevons encore beaucoup d'équipes fondatrices 'unisexe' car ils ne trouvent pas de femmes qui postulent.   Alors à qui la faute ? A ceux qui cherchent mal ? A celles qui n'osent pas se rendre visible ? La faute au manque de structure réseau ou de soutien ? Aux vestiges de patriarcat?   Une certitude, il n'y a pas assez d'entrepreneuses en Suisse Romande! Et pour changer cela, ça passe aussi par les hommes.   Alors avec un groupe d'entrepreneur·euses à succès (plus d'infos à venir prochainement!!), nous souhaitons changer les choses en travaillant sur chacun des leviers qui aideront les femmes qui le souhaitent à davantage entreprendre. Vous souhaitez rejoindre un des groupes de travail, (et notamment les hommes qui veulent agir!) alors partagez-le en commentaire ou contactez moi en MP.   Et pour finir, un grand merci à tous mes collègues et notamment les 'hommes' de l'équipe David, Christophe, Cyril et Pascal, qui font avancer ces sujets afin de soutenir ou mettre en lumière les entrepreneuses dans le parcours semé d'embuches qu'est l'entrepreneuriat.    #entrepreneuriat #femme #egalité

“Les entreprises dirigées par des femmes sont 30% plus performantes” Pourtant, elles créent moins d’une entreprise sur trois. Toutes les conditions semblent réunies pour favoriser le développement de l'entrepreneuriat des femmes. Les réseaux et les initiatives foisonnent (lire mon post sur le sujet → https://lnkd.in/eY53EmBP). Malgré une progression de la part des entrepreneures en France, le mouvement est encore lent. Par exemple, le nombre d’entrepreneures n’a augmenté que de 1% entre 2021 et 2022. Et pourtant … Les femmes seraient de meilleures gestionnaires que les hommes (selon Women Equity Partners) : «Les entreprises de taille moyenne qui sont dirigées par des femmes sont plus performantes de 30% par rapport à celles qui sont dirigées par des hommes» Alors, pourquoi l'élan tarde-t-il à se concrétiser ? «Les femmes ont tendance à se sous-évaluer» explique Anne-Claire Bennevault, fondatrice de la plateforme d'éducation financière SPAK «Elles sont parfois leurs propres freins”… “Elles n'osent pas forcément se positionner et demander la même chose que leurs confrères masculins” D’où l’importance capitale d’un accompagnement qui sort du cadre purement business et financier. C’est notamment ce que j’essaie de mettre en avant dans mon contenu. Il faut soutenir les réseaux et les initiatives comme l’Adie, qui font de l’entrepreneuriat des femmes un vecteur incroyable sur bien des aspects, autant sociaux qu’économiques. Et il reste encore beaucoup à faire 😉

"Si l’ambition des réseaux féminins est bel et bien que les femmes aient plus accès à l’entrepreneuriat, c’est aussi et surtout qu’elles viennent avec des projets plus fiables et pérennes et des rémunérations qui sont les bonnes. Pour le moment, en termes de parité, 43 % des projets d’entreprise financés et accompagnés par Initiative France sont portés par des femmes. « C’est un demi-succès, commente Guillaume Pepy. Les derniers kilomètres qui nous séparent d’une vraie parité sont beaucoup plus difficiles qu’on ne l’imaginait ». Et de s’interroger : est-ce une question de mentalité, de culture, de biais ? « Il faut en parler haut et fort pour faire bouger les mentalités ». D’autant que les chiffres de l’Insee sur le sujet sont encore plus alarmants : seules un tiers des personnes qui entreprennent dans notre pays sont des femmes. « Un chiffre qui évolue peu et traduit la persistance de freins et obstacles à la décision d’entreprendre », signale le réseau Initiative France."

Un article très intéressant sur les raisons différentes pour les femmes de se lancer dans l'entreprenariat. Un sujet dont nous parlons beaucoup en ce moment avec Pascale Melka - NANOW - DUCIS, Aurélie Beaupel et Gaëlle MOURAD - MOYON au sein du Paref ou je représente les femmes du réseau Femmes de Bretagne et de Loire-Atlantique Un point important et vital est de se faire accompagner. De nombreuses structures existent. Bonne lecture #entreprendre #oser #independantes #femmemmesss #entreprendreaufeminin https://lnkd.in/eAMHxbHv. 

LE MONDE BOUGE, L’ENTREPRENEURIAT AU FEMININ AUSSI …. MAIS PAS AU MÊME DIAPASON   Bien sûr, les Femmes entrepreneures occupent en France, une place de plus en plus importante et le tissu économique tend vers plus de parité. 15% des Chefs d’entreprises de 20 pers et plus sont des Femmes (source INSEE). Mais l’évolution est douce voire ralentie depuis ces deux dernières années après un boum notable par suite du Covid. C’est ainsi que la France compte 16% de Femmes entrepreneures, à l’égal du Royaume-Uni mais derrière l’Afrique du Sud !, chiffre positionnant la France à la 7ème place en Europe (Baromètre Bold by Veuve Cliquot). En 2022, près de 210 000 entreprises ont été créées par des Femmes, soit près de 2 entreprises sur 3. Et elles représentent un peu plus de 33% des entreprises. Nombreuses sont les créations en microentreprise (40% en 2020). Seulement 1 start up sur 5 est créée par des Femmes (2022) et 2% des levées de fonds sont destinés à des Femmes. Il est à noter que les Femmes se lancent plus tardivement que les Hommes dans l’entrepreneuriat car elles souhaitent, pour la plupart, acquérir un champ de compétences professionnelles fortes et attendre souvent la naissance du 1er enfant (1/3 des créatrices d’entreprises), sachant que 28% des Femmes entreprennent à la suite d’un évènement professionnel (licenciement, démission...). Ces données, voire disparités, peuvent s’expliquer par divers facteurs qui s’entrecroisent ou s’additionnent :  - Les stéréotypes parfois prégnants (encore !),  - Les obstacles financiers même s’il est à noter que de nombreux services et accompagnements, dédiés aux Femmes, ont été créés par les organismes financiers et les instances économiques, - L’articulation des temps de vie (58% des Dirigeants hommes ont des conjoint(e)s qui ne travaillent pas alors que 88% des conjoint(e)s des Dirigeantes d’entreprises ont un emploi à plein temps,  - La valorisation financière des compétences, une Dirigeante d’une structure économique de même taille et de même activité qu’un Homme Dirigeant, perçoit une rémunération inférieure (environ 20%) ... rémunération qu’elle estime elle-même !  - Le syndrome de l’imposteur ainsi que la peur de l’échec. Pour autant, les Femmes Chefs d’Entreprises se distinguent très souvent par une gestion pragmatique et prudente de leur entreprise, souvent pérenne et stable dans son employabilité. Elles innovent et s’engagent pour une économie responsable et dans le développement de leurs territoires. Il est évident, que les Femmes ont un rôle majeur à jouer dans l’économie de notre pays. Elles doivent avoir leur juste place car elles sont aussi créatrices d’emplois, de prospectives, d’engagement et de développement territorial. Une société économique prospère se doit d’inclure les Femmes dans les circuits de décision pour bâtir une société égalitaire, moderne et capable d’affronter les enjeux qui se dessinent au niveau européen et international où l’économie est au centre des débats d’avenir.