[TABLE RONDE]
"Musique et Droit international humanitaire, penser les liens, susciter les résonances". On en parle aujourd'hui à partir de 17h à Sciences Po. Un évènement co-organisé par la FONDATION Croix-Rouge française et la Maison des Arts & de la Création de Sciences Po.
Au moment de célébrer les 160 ans de la Croix-Rouge française, la situation humanitaire dans le monde est alarmante. Les conflits armés et les tensions se multiplient, qu’ils opposent des États ou des groupes armés, et les populations civiles se retrouvent dans des conditions de vulnérabilité extrême. Ces populations prises au piège au cœur des combats voient le droit international humanitaire non respecté, alors que cette année marque les 75 ans des Conventions de Genève. Dans de tels contextes, que peut la musique ? A-t-elle des rôles à jouer ? Est-il possible d’envisager une sensibilisation aux enjeux humanitaires, mais aussi aux règles du droit international grâce à cet art ? Dans quelles mesures les pratiques musicales accompagnent-elles les dynamiques d’aide humanitaire et quels effets ont-elles sur le mise en œuvre de ses principes ?
🎵 La table ronde réunira musiciens, praticiens humanitaires et chercheurs en sciences humaines et sociales.
Détails du programme et inscription 👉 https://bit.ly/3V7rwxN#Musique#DIH#SciencesHumaines
Après une longue et fructueuse collaboration avec la bibliothèque de la cité nous avons le plaisir de vous inviter a l’évènement de clôture de l’exposition envoyé.
LA PART DE FEU
Un spectacle de la Cie Desenchanté.e.s, avec Marion Agoston, Félicia Baillifard, Fjolla Elezi, Era Malaj
Dans le cadre de la thématique BM 2023-2024 : Fais-moi signe !
en collaboration avec les Bibliothèques de la cité
Inscription en ligne sur agenda.ch
Saisonniers dans les années 70, puis réfugiés politique dans les années 90, la diaspora albanaise est installée en Suisse depuis bientôt quatre générations.
Alors qui sont les petits-enfants et les enfants des immigré-e-s ? Que font-ils de l'histoire et des valeurs de leurs grands-parents et parents quand ceux-ci ont traversé des épreuves majeures ?
Ce projet s'intéresse à l'impact des origines familiales sur la vie des personnes en Suisse en prenant pour appui la vie des enfants d'immigré.e.s Kosovare-s mais également celle des Suisses pure souche qui n’ont connu que cette culture si impalpable. Et puis il y a les autres, celles et ceux qui ont perdu le lien avec leur culture d'origine au fil des générations et des nettoyages ethniques...
Quel regard porter sur nos histoires familiales et comment construire notre identité à la fois personnelle et nationale ? Il est temps de célébrer et de façonner cette part de feu en nous.
Retrouvez l'enregistrement de notre dernière conférence avec Michel Tissier (Université Rennes 2) "Les années 1860, entre Empire russe et Etats-Unis : contre la servitude" : https://lnkd.in/em6ZAsDc
Au XIXe siècle, la mise en cause des formes d’asservissement se fait, notamment (mais pas exclusivement), au nom de l’humanité. Dénoncer la servitude, c’est se dire solidaire de celles et ceux dont la dignité humaine est niée. L’abolir, pour un État, c’est prétendre à un nouveau statut international en cet âge « humanitaire » qui est aussi l’ère des impérialismes.
L’Empire russe et les États-Unis sont des ensembles bien différents. L’idée de rapprocher le « servage russe » et « l’esclavage américain » est très disputée, bien qu’elle ait déjà une longue histoire. La proximité des abolitions de l’un (1861) et de l’autre (1863-1865) rend-elle le rapprochement pertinent ?
L’abolitionnisme, pour divisé et contesté qu’il soit, est un mouvement important aux États-Unis au milieu du XIXe siècle. L’Empire russe ne présente rien de tel. Il abolit cependant le servage plus tôt que les États-Unis l’esclavage, et sans passer par une guerre civile. Quelle place accorder aux conditions internes, et en particulier à la question du racisme, pour comprendre ce décalage ?
Les États font du rejet de la servitude un enjeu de puissance. Quels discours et quelles politiques s’y rattachent ? L’idée de « solidarité » y tient-elle une place ?
Rendez-vous le 8 avril avec Carl Bouchard (Université de Montréal), "Que faut-il pour bâtir la paix ? Solidarités au sortir de la première guerre mondiale" sur zoom !
Notre prochain événement : le 8 mai à l’Institut Pierre Werner en collaboration avec le Liser et Les Territoires de la Mémoire
A partir de notre livre, les intervenants de la soirée aborderont les questions de la migration, l’intégration et la citoyenneté en croisant leurs perspectives d'autrices et de chercheurs. Ils interrogeront ensemble ces enjeux - d'actualité toujours brûlante - dans un monde où les crises attisent les inégalités et les fractures tout en mettant en relief l'interdépendance de l'humanité.
Hier, nous avons célébré la Journée internationale des archives. En tant qu'acteur du dialogue pour la cohésion sociale, je tiens à souligner l'importance des archives d’images de l’action humanitaire. Ces archives ne sont pas seulement des témoignages visuels de nos efforts et de nos défis, mais elles sont également des outils puissants pour sensibiliser, éduquer et inspirer.
Les images capturées au fil des ans racontent des histoires de résilience, de solidarité et d’espoir. Elles documentent les moments cruciaux où l'humanité se mobilise pour aider ceux qui en ont le plus besoin. Elles nous rappellent que chaque action compte et que chaque effort collectif contribue à bâtir un monde meilleur.
En préservant et en partageant ces archives, nous honorons les sacrifices de ceux qui se sont engagés dans l’action humanitaire. Nous permettons également aux générations futures de comprendre les défis du passé et d’en tirer des leçons pour l’avenir.
Je vous invite à découvrir et à soutenir les initiatives qui valorisent ces précieuses archives. Ensemble, continuons à promouvoir la cohésion sociale et à œuvrer pour un monde plus juste et solidaire.
#JournéeInternationaleDesArchives#ActionHumanitaire#CohésionSociale#Archives#Leadership
#Selection#avril#archives
📚 Chaque mois, l’équipe de la rédaction d’Alternatives Humanitaires / Humanitarian Alternatives sélectionne quatre articles dans les archives de la revue pour vous permettre de les (re)découvrir.
La sélection d'avril est en ligne ! Rendez-vous sur notre site : https://lnkd.in/eEVDzD4X
« 𝗟𝗮 𝘀𝗼𝗰𝗶𝗲́𝘁𝗲́ 𝗰𝗶𝘃𝗶𝗹𝗲 𝗿𝘂𝘀𝘀𝗲 𝗮̀ 𝗹’𝗲́𝗽𝗿𝗲𝘂𝘃𝗲 𝗱𝗲 𝗹’𝗶𝗻𝘃𝗮𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗹’𝗨𝗸𝗿𝗮𝗶𝗻𝗲 » (2022, n°20)
La société civile russe existe-t-elle encore depuis l’invasion de l’Ukraine ? Après un rappel des conditions de son émergence dans la Russie postsoviétique, Anne Le Huérou et Aude Merlin reviennent sur la montée progressive des logiques répressives depuis le début des années Poutine. Elles montrent que l’invasion de l’Ukraine constitue une sorte de paroxysme, tout en soulignant la persistance de pratiques contestataires, et en évoquant les reconfigurations à l’œuvre.
« 𝗟𝗲𝘀 𝗲𝗻𝗳𝗮𝗻𝘁𝘀, 𝗮𝗰𝘁𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗲𝘀 𝗰𝗿𝗶𝘀𝗲𝘀 : 𝗿𝗲́𝗲́𝘃𝗮𝗹𝘂𝗲𝗿 𝗹𝗮 𝗱𝘆𝗻𝗮𝗺𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗱𝗲 𝗽𝗼𝘂𝘃𝗼𝗶𝗿 𝗮𝗱𝘂𝗹𝘁𝗲-𝗲𝗻𝗳𝗮𝗻𝘁 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹’𝗮𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗵𝘂𝗺𝗮𝗻𝗶𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 » (2022, n°19)
L’adultocentrisme qui gouverne nos sociétés n’épargne pas le secteur humanitaire. Partant de cette notion et de ses traductions concrètes, Kirstin Kreyscher et Sofie Lilli Stoffel déconstruisent cette doxa et ouvrent le champ des possibles à une meilleure prise en compte de la parole et de l’expertise des enfants.
« 𝗙𝗥𝗢𝗡𝗧𝗘𝗫 : 𝗨𝗻𝗲 𝘃𝗼𝗹𝗼𝗻𝘁𝗲́ 𝗰𝗼𝗺𝗺𝘂𝗻𝗮𝘂𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗻𝗼𝗻-𝗿𝗲𝘀𝗽𝗲𝗰𝘁 𝗱𝗲𝘀 𝗱𝗿𝗼𝗶𝘁𝘀 𝗳𝗼𝗻𝗱𝗮𝗺𝗲𝗻𝘁𝗮𝘂𝘅 ? » (2020, rubrique Campus)
Un article de Boubakar dit Abdoul Kader Boubakar Tchannyo et Olivier Guillard, en partenariat avec le Master Développement et Aide Humanitaire du département de science politique de Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, qui questionne ce qui se joue, en termes de droits humains, dans un contexte de renforcement de l'autonomie de l'agence Frontex.
« 𝗟𝗲𝘀 𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗮𝘁𝘀 𝗮̀ 𝗶𝗺𝗽𝗮𝗰𝘁 𝘀𝗼𝗰𝗶𝗮𝗹 𝗼𝘂 𝗹’𝗘́𝘁𝗮𝘁 𝗽𝘆𝗿𝗼𝗺𝗮𝗻𝗲 » (2018, n°7)
Ici Joël Le Corre aborde la question des « contrats à impact social », sous l’angle des entreprises, premières impliquées dans ce dispositif, mais surtout au regard du rôle que joue l’État dans la mise en place de cet outil, certes innovant, mais pour le moins « questionnant » pour les ONG.
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Pour rappel, l'ensemble de nos parutions est disponible en accès libre dans la rubrique "nos parutions" du site : https://lnkd.in/evtKcUdk
Bonne lecture !
Que faire sans repères culturels?
Tout est chamboulé, un champ pour planter irrigué par nos sangs, tous confondus!
Décidons !
Quel avenir?
La voix de tous toutes et celles des enfants, que font toutes ces ONG?
Enfance en Trans, ou est l'humanité?
https://lnkd.in/e49pBk_W
TRANS-, élément formant
cnrtl.
I. − [La base est un adj. de relation dér. d'un subst.; le dér. est un adj. signifiant « qui traverse l'espace ou la limite, qui est de l'autre côté de la limite que désigne le subst. de la base »; trans- a le rôle d'une prép.]
A. − [Le dér. signifie « qui traverse le lieu géogr. ou l'obstacle naturel que désigne le subst. de la base »; en empl. subst. masc., il désigne le moyen de commun. ou de liaison] V. transalpin, transatlantique, transcontinental, transocéanien/transocéanique, transsaharien, transsibérien et aussi:
Contribuer à l’effort mondial pour l’avènement de sociétés pacifiques et inclusives.
Célébrations de la JIVEP 2024 (Journée Internationale du Vivre Ensemble en Paix)
Pour contribuer à relever les défis que traverse l’humanité, la Journée Internationale du Vivre Ensemble en Paix (JIVEP) poursuit sa dynamique qui mobilise les États membres de l’ONU, les ONG, les écoles et la société civile afin de contri- buer à l’effort mondial pour l’avènement de sociétés pacifiques et inclusives. À cette fin, elle œuvre à la création d’une dyna- mique mondiale afin d’introduire l’Éducation à la Culture de Paix dans les programmes scolaires.
C’est la raison pour laquelle la 7ème édition de la JIVEP en 2024 met à l’honneur l’Éducation à la Culture de Paix. En effet, si la discorde et la violence trouvent un terreau fertile dans la conscience humaine, c’est aussi là que les graines de paix doivent être semées et cultivées pour récolter un Vivre Ensemble en Paix tangible dans toutes ses dimensions au sein de nos sociétés.
AISA ONG Internationale organise, en partenariat avec la Ville de Genève, un événement pluridimensionnel qui s’articule au- tour de trois axes qui se renforcent mutuellement pour ré- pondre à sa mission. L’événement connecte les acteurs de la Genève Internationale et de la Genève locale pour pro- mouvoir l’Éducation à la Culture de Paix.
Agir pour la promotion de cette Éducation à la Culture de Paix, c’est converger pour unir nos voix et ériger la défense de la Paix au rang de priorité absolue des objectifs de développe- ment durable n°4 et n°16 de l’agenda 2030 des Nations Unies pour préparer et accompagner l’éclosion d’une humanité réconciliée avec elle-même et avec son environnement.
#Partenariat |💥 Alors que la guerre actuelle à #Gaza et ses répercussions ont des conséquences délétères sur les activités de recherche, le renforcement de l’association professionnelle est plus que jamais nécessaire.
🏛️ La #SEMOMM, la Société des études sur le #MoyentOrient et les #MondesMusulmans, est une association qui a pour objectif de fédérer, soutenir et représenter ceux qui contribuent à l’élaboration, la transmission et la diffusion des connaissances sur le Moyen-Orient et les Mondes Musulmans, notamment par l’organisation d’un congrès des études sur ces sujets et par l’organisation de conférences.
🗓️ Au cours des prochains mois, l’association concentrera ses activités sur les enjeux des #libertésacadémiques dans ses disciplines et sur ses terrains, sur le soutien à la jeune recherche et à sa professionnalisation, ainsi que sur le maintien des liens et la création d’un réseau avec les chercheurs du Moyen-Orient et les mondes musulmans.
🔗 Informations et adhésions sur : https://lnkd.in/eZDbE7-V#hypotheses#rechercheuniversitaire#mondeuniversitaire
Un très bon chef d'œuvre. Bravo à tous les Contribruteurs à cet ouvrage.
À lire vivement pour mieux cerner les questions des Défis identitaires en Afrique.
PhD student in International and Community Law || Part-time lecturer || Financial Auditor (IEF-PR/CEMAC)
Bonjour cher réseau,
J'ai le plaisir de vous annoncer la parution de notre ouvrage collectif sous la direction du Professeur Sariette Batibonak et de Paul BATIBONAK aux Éditions Monange.
Riche de réflexions sociohistoriques et polémologiques, le présent volume est intitulé : “Defis identitaires et constructions statolitaires en Afrique : transformer les polémocènes en irénocènes en Afrique occidentale et centrale”. J'y ai cosigné avec mon confrère Christ Ethisse YANDIA, doctorant en Droit privé et également enseignant vacataire à l'Université de Bangui, une étude intitulée «Coups d’États et droits humains en République centrafricaine : focus sur les droits de la femme et de l’enfant».
Il ressort de cette contribution qu'en RCA, les coups d’État ont largement eu raison des droits de la femme et de l’enfant sur tous les fronts. Ils constituent assurément une terre fertile de la négation desdits droits voire un véritable “compte à rebours”. Ce d'autant plus qu'ils n'ont pas manqué de fragiliser leurs
moyens de défense et de protection. On en a conclu qu'il urge de conjuguer tous les efforts afin de rendre justice aux victimes et de panser ce qui peut encore être pansé, , mais aussi de mettre en place les garde-fous du “plus jamais ça !”
Junior Merlin KRANENDJI
Doctorant en Droit international et communautaire
Enseignant vacataire à l'Université de Bangui
✅ Après une carrière en Rens, en gestion opérationnelle d'entreprise, je me suis retiré pour aider à Sécuriser les ÉCRITS IMPRIMES CONFIDENTIELS avec nos ramettes papiers imprimantes
Les actions égoïstes, ancrées dans la quête de satisfaction personnelle immédiate, sont souvent éphémères.
Elles s'évanouissent aussi vite qu'elles apparaissent, laissant peu de traces durables dans l'histoire. Ces actions, motivées par des intérêts individuels à court terme, tendent à ignorer l'impact qu'elles peuvent avoir sur les autres et sur l'avenir. Leurs conséquences, bien que parfois tangibles à court terme, s'estompent rapidement et ne laissent pas d'héritage significatif pour les générations futures.
En revanche, les actions menées au bénéfice des générations futures sont marquées par une durabilité remarquable. Elles sont souvent le fruit d'une vision à long terme, d'une réflexion approfondie sur l'impact global et d'un engagement à créer un avenir meilleur. Ces actions sont motivées par le désir de laisser un monde meilleur, plus équitable et plus durable pour les générations à venir. Elles nécessitent souvent des sacrifices personnels, mais leurs effets se prolongent bien au-delà de la vie de ceux qui les ont initiées.
Par exemple, les efforts pour protéger l'environnement et lutter contre le changement climatique sont des actions qui bénéficieront principalement aux générations futures. Les politiques d'éducation et de santé publique, visant à améliorer les conditions de vie des enfants d'aujourd'hui, auront des répercussions positives pendant des décennies. Ces initiatives sont des investissements dans le futur, et leur durabilité repose sur leur capacité à s'adapter et à évoluer avec le temps.
L'intemporalité des actions égoïstes réside dans leur répétition incessante à travers l'histoire. Chaque génération voit des individus agir par pur intérêt personnel, souvent aux dépens du bien commun. Ces actions ne sont ni nouvelles ni innovantes ; elles sont des reflets des mêmes comportements humains que l'on retrouve à travers les âges.
En revanche, les actions altruistes, tournées vers l'avenir, sont innovantes et porteuses d'espoir. Elles transcendent les époques, laissant une empreinte indélébile dans le tissu de l'humanité. En fin de compte, la durabilité des actions au bénéfice des générations futures est le véritable catalyseur de progrès et d'évolution. C'est par ces actions que l'humanité peut espérer surmonter les défis de demain et construire un avenir lumineux.
La réflexion sur nos motivations et les conséquences de nos actes nous invite à embrasser une vision plus large, à penser au-delà de notre existence individuelle. En privilégiant les actions durables, nous contribuons à un héritage qui enrichira les vies futures et laissera une empreinte positive sur le monde.
Un modeste essais inspiré par les pensées de notre modèle le #DrClaudeIbalanky
Ambassadeur Itinérant du Chef de l’Etat @ Office of the President of the Republic of the Democratic Republic of Congo
Ibalanky a dit : Nul ne peut occuper votre place, car cette place n’est pas la vôtre. Un jour, des étrangers habiteront vos maisons et profiteront des biens pour lesquels vous vous êtes battus, voire sacrifiés. Tout passe. Qui se souvient du nom, du visage, ou même de la demeure du père de son grand-père ? Qui en garde encore une photo ?
Le Réveil c’est maintenant.
• Œuvrons à bâtir un pays solide, doté d’institutions, d’infrastructures et d’une gouvernance durables, afin que nos arrière-petits-enfants se souviennent de nous.
• Un État fort nécessite des individus forts, et non un État faible avec des individus puissants dont les forteresses s’effondrent peu de temps après leur départ.
- Joyeux Anniversaire Marvin Mbuyi 🎊🎂🎁🎉🎈
Consacrez votre vie et votre combat à construire un Congo grand, fort et prospère, et vous trouverez l’immortalité à travers l’héritage que vous laisserez.
#LePont!
Conseiller - Jeunesse et Engagement
3 sem.Génial ! Ça donne écho à l’exposition temporaire du musée de l’IFRC à Genève, sur la musique dans l’humanitaire.