Post de French forces in the Caribbean / Forces armées aux Antilles

#Engagement #Valeur #Guyane Souveraineté de l'État Outre-Mer, sauvegarde de l'espace vital des populations amazoniennes, lutte contre les pollutions liées à l'exploitation aurifère clandestine, lutte contre le pillage des ressources halieutique de l'Amazone et du littoral guyanais, protection des populations, défense des intérêts de la France... les enjeux stratégiques de la présence des forces armées et des forces de sécurité intérieure 🇫🇷 en Guyane sont multiples. Sur le plan tactique, il revient notamment aux gendarmes navigants de notre section aérienne de gendarmerie (SAG) de Cayenne d'assurer, en plus de leurs missions opérationnelles judiciaires et militaires, le soutien de cette présence vitale à la survie des populations et des écosystèmes en Guyane française. Merci au SIRPA Gendarmerie d'avoir mis en lumière l'engagement quotidien de nos pilotes et mécaniciens de bord de la SAG de Cayenne dans l'accomplissement de ces missions "du haut du spectre" majeures pour le présent comme pour l'avenir de la Guyane Française. #Harpie #Titan #Aviation Ministère de l'Intérieur et des Outre-mer Ministère des Armées Direction générale des outre-mer (DGOM) Gendarmerie Nationale Gendarmerie des Outre-mer Forces aériennes de la gendarmerie nationale (FAGN) CESAN • Commandement pour l'environnement et la santé OCLAESP • Office central de lutte contre les atteintes à l’environnement et à la santé publique Groupement Blindé de Gendarmerie Mobile (GBGM) Commandement de la gendarmerie de la Guyane-Française Légion étrangère CACL GUYANE IHEDN GUYANE GUYANE SANTE

Le 23 mai 2024, le centre d’instruction naval de Brest a eu l’honneur d’accueillir le vice-amiral d’escadre (2S) Philippe Dutrieux, ancien préfet maritime pour la Manche et la mer du Nord et délégué départemental de la SNSM pour le Finistère, pour une conférence dédiée à l’action de l’Etat en mer. 🎤 Il a notamment exposé les différentes menaces et problématiques que pouvait rencontrer un préfet maritime telles que la crise migratoire, l’augmentation des champs éoliens par exemple ou encore les risques liés à une très forte densité des navires de tous types et à des conditions météorologiques particulièrement difficiles dans cette zone.  La Marine contribue à ces missions au côté des autres administrations à vocation maritime telles que les douanes, les affaires maritimes ou la gendarmerie. 🌊   Grâce à cette conférence, les élèves ont pu mieux appréhender le contexte particulier de la Manche et la mer du Nord, mais aussi comprendre pourquoi la sécurité maritime est au cœur des préoccupations d’un préfet maritime. 👍

Mer Rouge: retour sur le déploiement de la frégate Languedoc Premier bâtiment de la Marine nationale affrontant des attaques aériennes depuis des décennies, la frégate multi-missions (FREMM) Languedoc a été l’une des premières unités militaires occidentales engagées en mer Rouge pour protéger le trafic commercial contre les drones et missiles lancés par les Houthis depuis le Yémen. Une mission sous haute tension, exigeante et éprouvante pour les marins français, dont l’entrainement et la résilience ont subi l’enchainement des alertes et l’épreuve du feu. Cela, face à une nouvelle forme de combat naval et un adversaire qui se montre aussi inventif qu’agile et dangereux. Mer et Marine revient sur ce déploiement avec le capitaine de vaisseau Laurent Saunois, commandant de l’équipage A du Languedoc. Par Vincent Groizeleau - 02/04/2024 Mer et Marine https://lnkd.in/eBVa-X5D

⚓️ GUÉPRATTE ⚓️🇫🇷 Tous les jours, on voit naviguer dans la rade de Toulon, au milieux des voiles blanches ⛵️, les vaisseaux de guerre de la Marine Nationale. 🌊 Aujourd’hui l’atelier illustre le Guépratte, une frégate légère furtive, dans les couleurs d’un coucher de soleil azuréen sur les plages du Mourillon. 🌅 Ces frégates ont été conçues principalement pour faire respecter les intérêts maritimes de l'État français dans les espaces d'outre-mer, mais elles peuvent aussi assurer d'autres missions telles que l'intégration à une force d'intervention, la protection du trafic maritime, l'accompagnement d'un groupe aéronaval, réaliser des missions spéciales ou humanitaires. #MarineNationale #France #ForcesNavales #Maritime

Au large des côtes de Taïwan, un drame maritime s’est déroulé dans la fureur du typhon Gaemi. Un cargo battant pavillon tanzanien a sombré, emportant avec lui neuf membres d’équipage birmans dans les flots déchaînés. Une course contre la montre s’engage pour tenter de retrouver les marins disparus. Le typhon Gaemi frappe de plein fouet Le typhon Gaemi s’est abattu avec une violence inouïe sur Taïwan, portant des vents d’une force dévastatrice. C’est dans ce contexte de tempête extrême que le cargo tanzanien a été pris au piège. Malgré les efforts de l’équipage pour maintenir le cap, les éléments se sont déchaînés, rendant toute manœuvre impossible. Ils sont tombés à la mer et flottaient avec des gilets de sauvetage – Hsiao Huan-chang, pompier Un autre navire appelé à la rescousse Face à cette situation critique, un autre cargo a été dépêché sur les lieux du naufrage pour porter secours aux marins en détresse. Une lueur d’espoir dans la nuit noire et tumultueuse. Mais les conditions météorologiques extrêmes rendent les opérations de sauvetage particulièrement périlleuses. Les sauveteurs sont prêts à intervenir dès que la météo le permettra, a précisé Hsiao Huan-chang. Une attente insoutenable pour les proches des disparus, suspendue au sort de ces hommes perdus entre les vagues. L’angoisse des familles des marins disparus Pour les familles des neuf marins birmans portés disparus, l’inquiétude est à son comble. Chaque minute qui passe réduit les chances de retrouver leurs proches sains et saufs. L’attente est insupportable, rythmée par les bulletins météo peu rassurants et les maigres nouvelles des secours. Au Myanmar, pays d’origine de ces marins, c’est tout une nation qui retient son souffle. Les autorités suivent de près l’évolution de la situation, espérant un dénouement heureux à cette terrible épreuve. La sécurité maritime en question Ce drame remet une fois de plus en lumière les dangers auxquels sont confrontés les marins au quotidien. Malgré les progrès technologiques et les normes de sécurité de plus en plus strictes, la mer reste un environnement hostile et imprévisible. Les conditions de travail à bord des cargos, souvent sous pavillon de complaisance, sont régulièrement pointées du doigt. Équipages réduits, fatigue, formation insuffisante… Autant de facteurs qui augmentent les risques d’accidents. La sécurité des marins doit être une priorité absolue. Il est temps d’agir pour éviter de nouveaux drames. – Un responsable syndical maritime Ce naufrage tragique au large de Taïwan est un rappel brutal de la fragilité de la vie humaine face aux éléments déchaînés. Tandis que les secours luttent sans relâche pour retrouver les disparus, c’est toute une profession qui s’interroge sur les moyens de renforcer la sécurité de ces hommes et femmes qui sillonnent les océans. Dans l’immédiat, tous les espoirs sont permis pour que les neuf marins birmans soient retrouvés sains et saufs. Une attente insoutenable pour leurs pr...

La Marine nationale fait évoluer le modèle d’emploi de ses réservistes opérationnels en créant des flottilles et escouades de réserve côtières tout le long du littoral, en métropole comme outre-mer. C'est dans ce contexte que se déploie la flottille de réserve côtière Atlantique à partir de son état-major et au travers d’escouades côtières réparties géographiquement le long du littoral entre le

En #Polynésie, l’action de l’État en mer va monter en puissance en 2024 ➡️Le haut-commissaire et le commandant de la zone Asie-#Pacifique et des forces armées en Polynésie français ont présenté le bilan 2023 de l’État de l’action en mer, qui a suivi davantage de navires et mené plus d’opérations de sauvetage. L’année 2024 doit voir un renforcement des moyens d’action sur mer et dans les airs, ainsi que des moyens du JRCC, et un rôle accru de la France dans la région

L'avis présenté au nom de la commission des affaires étrangères - https://lnkd.in/eZpHTHBf s'étend largement sur les aspects maritimes, quelques passages : "L’exacerbation des tensions en plusieurs points de la planète – qu’il s’agisse de la guerre en Ukraine, du conflit au Proche‑Orient, des confrontations en mer de Chine ou encore de la menace terroriste transnationale – menace l’ordre international et aggrave l’insécurité globale. La multiplication des crises, a entraîné des effets de débordement de la terre à la mer, mettant ainsi en lumière notre dépendance aux flux maritimes pour nos approvisionnements commerciaux et énergétiques. De la sorte, la question de la liberté de navigation, et plus particulièrement de la sûreté maritime, est revenue au centre des enjeux stratégiques". Revenue ? Quelle surprise ! Interrogé par Pierre-Yves Cadalen sur la construction et la mise en service des nouveaux patrouilleurs de haute mer [lire patrouilleurs hauturiers], Laurent Mazaury répond que "la marine nous a assuré que la réalisation du programme des patrouilleurs et des frégates respecte le plan de marche tel qu’il avait été décidé pour la LPM ; le taux de réalisation avoisinait les 86 % au début du mois d’octobre 2024. Ici aussi, nous devons continuer à faire preuve de vigilance". J'aimerais bien comprendre d'où sortent ces 86 % avec zéro patrouilleur hauturier et une frégate "de taille intermédiaire" [SIC] en phase d'essais à la mer. Et toujours un petit sourire narquois et une pensée pour les Parisiens de la rue Royale du début des années 2000 en lisant que "la marine nationale a fait le choix d’augmenter la taille de ses équipages sur FREMM et FREMM‑DA, afin notamment d’augmenter la résilience au combat de ses navires. Tous ces bâtiments ont été déployés avec un équipage complet et des capacités tant en matière de personnels qu’opérationnelles maximales". Il aurait été tellement plus simple d'écouter les marins qui naviguent et d'augmenter le nombre de banettes à la construction plutôt que d'ajouter en catastrophe des lits gigogne 😉. #plf2025 #marinenationale

✅ La Marine nationale précise ses plans pour l’avenir de sa réserve opérationnelle La Loi de programmation militaire [LPM] 2024-30 prévoit d’accroître significativement le format de la réserve opérationnelle, avec l’objectif d’atteindre le ratio d’un réserviste pour deux militaires d’actives à l’horizon 2035… Ce qui supposera de recruter et de fidéliser environ 105’000 volontaires. Il s’agira ainsi de conforter la « pertinence du modèle d’armée professionnelle » grâce à une « réserve opérationnelle plus nombreuse et mieux équipée, pleinement intégrée à l’armée active et polyvalente dans ses missions, dont l’emploi sera intensifié ». En outre, comme l’a souligné le contre-amiral Laurent Berlizot, chef du pôle « Cohésion nationale » au sein de l’État-major de la Marine nationale, lors du dernier point de presse du ministère des Armées, ce renforcement de la réserve opérationnelle vise aussi à renforcer la « résilience de la Nation ». Selon son site dédié au recrutement, la Marine nationale compte actuellement 15% de réservistes opérationnelles dans ses rangs, soit 6000 volontaires. Que feront ceux qui seront recrutés dans les années à venir ? L’été dernier, alors qu’il s’apprêtait à quitter ses fonctions de chef d’état-major de la Marine nationale [CEMM], l’amiral Pierre Vandier avait évoqué le projet de créer des « flottilles côtières de réserve », afin de « durcir » la défense maritime et de combler les « angles morts » en matière de surveillance. Ces nouvelles unités de réservistes opérationnelles sont sur le point de voir le jour. En effet, le contre-amiral Berlizot a annoncé que l’état-major d’une première flottille côtière de réserve sera formé à Brest d’ici l’été 2024, avec deux escouades associées, l’une à Bayonne, l’autre à La Rochelle. Ces entités seront dotées d’embarcations semi-rigides [le modèle n’est pas encore arrêté] et de mini-drones de type Anafi. « Dans sa forme aboutie, le dispositif prévoit la création de trois flottilles côtières adossées aux façades littorales de l’Atlantique [Brest], de la Méditerranée [Toulon] et de la Manche et mer du Nord [Cherbourg] », a précisé le contre-amiral Berlizot. Une flottille côtière de réserve sera constituée de dix escouades, comptant chacune 70 marins réservistes. En outre, six autres escouades seront créées en outre-mer. Au total, ce dispositif mobilisera 3000 volontaires, susceptibles d’être sollicités pendant une trentaine de jours par an. Ils auront à assurer quatre types de missions : « patrouiller » [intégration dans la fonction « garde-côtes »], « observer » [renforcement de la posture permanente de sauvegarde maritime], « protéger » [intégration au dispositif de l’action de l’État en mer] et « rayonner ». (...)

⚓ Présentation du bilan de l'AEM 2023 en PF et défis à venir pour 2024