Les bénéfices économiques des investissements en services sociaux, trop souvent oubliés?🤔 Une nouvelle étude montre que chaque dollar investi dans le système public de garderie rapporte 3,50$ aux mères québécoises. 👩👧Les politiques familiales québécoises ont dégagé des retombées positives considérable pour les femmes. Pouvoir d'achat, retour au travail accéléré, intégration au marché du travail, réduction de la charge mentale, le système public de garderie montre que des mesures audacieuses peuvent favoriser le bien-être. 📉En complément à l'étude, selon nos indicateurs d'égalité, l'écart du taux d'emploi entre les hommes et les femmes au Québec est passé de 12,3% en 1997 à 4,3% en 2022. Ce taux est d'ailleurs plus bas au Québec que dans le reste du Canada depuis 2003. Pour en savoir plus sur les Indicateurs du bien-être au Québec 👉 https://lnkd.in/dbse8vte
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Nos voisins genevois sont donc dans les mêmes questionnements que nous en France : LE MANQUE DE RECONNAISSANCE DES PROFESSIONNEL·LES DANS UN SECTEUR EN CRISE.😪 Toutes les politiques publiques qui visent à augmenter les places en redirigeant des fonds publics plutôt qu'en investissant avec des fonds supplémentaires sont vouées à l'échec en termes de qualité d'accueil et de valorisation des métiers du secteur. Ces politiques conduisent inévitablement dans le mur. Comment peut-on encore se dire que l'on peut faire plus avec moins ???😱 Nous assistons actuellement à un délitement de la petite enfance. Autrefois, il était difficile de trouver un poste d'éducateur de jeunes enfants facilement sur certains territoires en-dehors de Paris et de l'Ile-de-France. Je vous parle de ça il y a 10 ans seulement ! Je ne devrais donc pas dire autrefois ! Aujourd'hui des places d'accueil en crèche sont fermées et on ne sait pas quand elles rouvriront faute de professionnel·les ! C'est quand même fou quand on y pense....😠 Les facteurs sont multiples pour expliquer cette fuite des pros de la petite enfance et ce non renouvellement des générations dans notre secteur professionnel. Mais le 1er c'est quand même les conditions de travail dégradées mêlées à un manque de reconnaissance de nos métiers qui vont au-delà des changes de couches. Quels sont les risques ? Le principal c'est qu'il y aura de moins en moins de places d'accueil pour les jeunes enfants et donc des parents resteront sur la touche professionnelle. Je dis des parents mais nous savons tous ce qui va se passer : CE SONT LES FEMMES QUI SERONT TOUCHÉES LES PREMIÈRES ! Elles ne pourront pas retourner au travail ! J'ai un certain dégoût qui monte en moi quand je pense qu'il n'y a qu'un pas avec la réelle raison qui empêche d'investir plus dans la petite enfance : - les enfants ne votent pas donc pas des besoin de les choyer pour récupérer leur vote - ET/OU les femmes seraient bien mieux à la maison pour garder les gosses 🤢🤮 C'est quand même fou en 2024 d'envisager ça ! 🤯🤯🤯 Heureusement en France nous avons des acteurs qui se battent pour plus de reconnaissance notamment au sein du Comité de Filière Petite Enfance. Le problème c'est que ce n'est pas une instance prescriptive. Il ne fait que des propositions et donne des avis, qui parfois font pencher la balance, mais il a seulement l'importance que lui donne le gouvernement. Alors BATTONS-NOUS pour que les pros soient entendus dans leurs justes revendications pour un accueil de qualité de ceux qui représentent le futur de notre société. #petiteenfance #creche #revalorisation Fneje Nationale Syndicat National des Professionnel·le·s de la Petite Enfance UFNAFAAM association nationale Sandra Onyszko Sarah El Haïry Elisabeth Laithier Pauline Domingo David Blin Catherine Lelièvre Les Pros de la Petite Enfance
Il est temps de reconnaître le travail des crèches - Le Temps
letemps.ch
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9e Grande semaine des tout-petits 🌟 Saviez-vous que les environnements où évolue un tout-petit jouent un rôle crucial dans son développement ? Que ce soit à la maison, à la garderie ou dans les espaces publics, chaque lieu influence son parcours de vie et contribue à l’adulte qu’il deviendra. Découvrez l’importance des interactions et des milieux dans la petite enfance dans cet article de l' Observatoire des tout-petits ici 👇
Dans quels environnements grandissent les tout-petits au Québec?
tout-petits.org
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La politique familiale est nécessaire, mais elle ne suffit pas pour redresser la démographie Une politique familiale est nécessaire, avant toute considération nataliste. Faire et élever des enfants est une tâche majeure, car cela construit l’avenir de la société. Celle-ci ne peut donc qu’y porter une grande attention, en termes de simple justice déjà, et a fortiori au vu des enjeux pour l’avenir. Cela ne veut pas dire qu’une telle politique suffise pour redresser la natalité, tant s’en faut. Ni que le recul de ces prestations en France soit la cause principale de l’effondrement de notre natalité. D’autres facteurs sont aussi à l’œuvre : des comportements collectifs hédonistes, une conception fausse de la famille, et des systèmes de valeurs désespérants. (Article paru dans La Nef) Suite… https://lnkd.in/dnb6wTzc
La politique familiale est nécessaire, mais elle ne suffit pas pour redresser la démographie
pierredelauzun.com
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👉 Voulez-vous apporter un avantage précieux aux jeunes parents actifs de votre entreprise tout en bénéficiant d'avantages fiscaux ? Avez-vous déjà pensé à réserver des places en crèches pour vos salariés ? 🤔 L'Association Marmots et Coquelicots 👶🌹 porte un projet de création d'une micro-crèche durable et solidaire dans la zone d'activités de la Verte Rue, à Bailleul, en bordure de l'A25. Ce projet a été pensé pour soutenir les entreprises locales en garantissant des places pour les parents salariés des entreprises partenaires. En effet, soutenir la parentalité est devenu un enjeu RH stratégique. Lorsque les salariés parents se sentent soutenus, leur engagement et leur performance s'en trouvent renforcés. Un équilibre solide entre vie professionnelle et personnelle ne réduit pas seulement le stress, il améliore aussi la productivité et la rétention des talents ✨ Le projet est bien avancé et la structure devrait ouvrir en septembre 2025. Plusieurs entreprises sont déjà intéressées et ont signé des contrats de pré-réservation. Cependant, nous avons encore besoin de l'engagement de quelques entreprises supplémentaires. La mobilisation des entreprises de Bailleul et des alentours est un levier essentiel pour la concrétisation de ce projet 💪 En tant que structure employeuse, vous avez donc vous aussi la possibilité de nous rejoindre dans cette aventure par le biais de réservations de places. Ce partenariat pourra alors accompagner la croissance et l'attractivité de votre entreprise, assurer le bien-être au travail de vos salariés en leur assurer une place pour un mode de garde fiable tout en bénéficiant de déductions fiscales très avantageuses 🚀 En effet, le coût réel pour vous est compris entre 25% et 35% du coût total, puisque vous bénéficiez d'un crédit d'impôt famille de 50% et d'une déduction d'impôts sur les sociétés. Le reste à votre charge est donc minime et le bénéfice pour votre entreprise et vos salariés est considérable. De plus, nous proposons un projet réellement qualitatif avec une utilité sociale et environnementale 🤝 🌏 ➡ A prix abordables 💶 : Les prix proposés aux parents sont similaires à ceux d'une crèche municipale. Ils sont adaptés à leurs ressources et au nombre d'enfants à charge. ➡ En horaires d'ouverture élargis 🕗 : de 7h15 à 20h15. Cela une vraie réponse aux besoins des parents travaillant en horaires atypiques. Si cela vous intéresse ou vous interroge, nous serions ravis de vous expliquer plus amplement ce projet de vive voix. Au plaisir d'échanger avec vous ! 💬 Et si vous voulez nous soutenir, merci de partager 🙏 #QVCT #RSE #Parentalité #BienÊtreAuTravail #Engagement #MarqueEmployeur #RessoucesHumaines #Creche #BerceauEntreprise #Bailleul #ZoneDeLaVerteRue
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Pour la Journée internationale des droits des enfants, Jérôme Obry, PDG de Rigolo Comme La Vie, a mis en lumière les défis et paradoxes auxquels fait face la petite enfance en France dans une tribune parue dans Les Echos. "Les 1 000 premiers jours sont cruciaux pour l’avenir des enfants et de notre société, mais les actions concrètes peinent à suivre". Jérôme Obry s’appuie sur l’exemple de la Suède, qui a inscrit le droit opposable à l’accueil d’enfants dans sa constitution, pour rappeler qu’un accueil de qualité a des impacts positifs à long terme : scolarité, emploi, égalité... ➡️ "Il est temps d'agir pour sortir la petite enfance du paradoxe français." Dans cette tribune, Jérôme Obry propose 4 chantiers prioritaires pour stabiliser et transformer le secteur : ✔️ Revaloriser les métiers : augmenter les salaires et enrichir les parcours de formation pour attirer et fidéliser les talents. ✔️ Établir des standards nationaux de qualité d'accueil, avec des contrôles réguliers et transparents. ✔️ Simplifier les aides aux familles pour un système plus équitable et accessible. ✔️ Assurer la stabilité financière des structures d'accueil en adaptant les mécanismes de financement pour maintenir et développer l’offre. 📖 Découvrez cette tribune parce que chaque enfant mérite un avenir prometteur, et chaque professionnel une reconnaissance à la hauteur de son engagement. https://lnkd.in/e5MdrUVa Jérôme OBRY • Rigolo Comme La Vie Pierre ARLAUD Delphine Schouteten • Rigolo Comme La Vie Fédération Française des Entreprises de Crèches #PetiteEnfance #1000jours #Crèche #MicroCrèche #Parentalité #lEnfantAuCoeurDeNotreRaisondEtre
Opinion | Sortir la petite enfance du paradoxe français
lesechos.fr
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Je ne sais pas vous, mais moi, je trouve qu’on n’était pas mal cet été. La trêve des JO, le soleil, le temps qui semble ralentir… Qu'on était bien ! Mais voilà, après deux semaines de reprise, le climat s’est sérieusement assombri : - Un nouveau gouvernement plus à droite qu'on ait jamais vu, - Un procès sordide qui ébranle notre foi en l’humanité, - Et enfin, une 𝗲𝗻𝗾𝘂𝗲̂𝘁𝗲 𝗰𝗵𝗼𝗰 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗲 𝗺𝗼𝗻𝗱𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗽𝗲𝘁𝗶𝘁𝗲 𝗲𝗻𝗳𝗮𝗻𝗰𝗲, qui pourrait bien faire reculer le taux de fécondité durant plusieurs décennies... Je n’ai plus d’enfants en âge d’aller en crèche, mais je n’ai pas oublié combien la 𝗴𝗮𝗿𝗱𝗲 𝗱’𝗲𝗻𝗳𝗮𝗻𝘁𝘀 𝗲𝘀𝘁 𝘂𝗻 𝘃𝗿𝗮𝗶 𝗰𝗮𝘀𝘀𝗲-𝘁𝗲̂𝘁𝗲 pour beaucoup de parents, particulièrement pour les mères. Dans Les Ogres, l’enquête choc de Victor Castanet, c’est un système qui repose sur une double pression exercée sur les femmes : - D’un côté, des mères obligées de confier leurs enfants à des crèches privées, parfois maltraitantes, par manque d'alternatives. - De l'autre, des professionnelles de la petite enfance, majoritairement des femmes, épuisées par des politiques de réduction des coûts qui nuisent directement à la qualité des soins apportés aux enfants. Cette enquête met en lumière ce que beaucoup soupçonnaient déjà : 𝘂𝗻 𝗻𝗮𝘂𝗳𝗿𝗮𝗴𝗲 𝗥𝗛. C’est surtout la révélation d'𝘂𝗻 𝘀𝘆𝘀𝘁𝗲̀𝗺𝗲 𝗥𝗛 𝘀𝗼𝘂𝘀 𝗽𝗿𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻. Les ressources humaines des crèches privées, souvent dirigées par des femmes, se retrouvent elles aussi 𝘃𝗶𝗰𝘁𝗶𝗺𝗲𝘀 𝗱’𝘂𝗻 𝗺𝗼𝗱𝗲̀𝗹𝗲 𝗲́𝗰𝗼𝗻𝗼𝗺𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗰𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲́ 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗮 𝗿𝗲𝗻𝘁𝗮𝗯𝗶𝗹𝗶𝘁𝗲́ 𝗮̀ 𝘁𝗼𝘂𝘁 𝗽𝗿𝗶𝘅. Pressées de réduire les coûts et d’optimiser les taux d’occupation, elles peinent à assurer des conditions de travail décentes pour leurs équipes. Malgré les remontées des salariées – 𝘀𝘂𝗿𝗰𝗵𝗮𝗿𝗴𝗲 𝗱𝗲 𝘁𝗿𝗮𝘃𝗮𝗶𝗹, 𝗺𝗮𝗻𝗾𝘂𝗲 𝗱𝗲 𝗳𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗻𝗼𝘂𝘃𝗲𝗹𝗹𝗲𝘀 𝗿𝗲𝗰𝗿𝘂𝗲𝘀, 𝗲́𝗽𝘂𝗶𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗴𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹𝗶𝘀𝗲́ – les RH ont finalement bien peu de marge de manœuvre pour corriger le tir. La priorité accordée à la rentabilité a pour conséquence directe des 𝗰𝗼𝗻𝗱𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗱𝗲 𝘁𝗿𝗮𝘃𝗮𝗶𝗹 𝗱𝗲́𝗴𝗿𝗮𝗱𝗲́𝗲𝘀 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝘀𝗮𝗹𝗮𝗿𝗶𝗲́𝗲𝘀 et un risque accru pour les enfants accueillis. Ce n’est pas un manque de volonté des RH, mais un manque cruel de moyens dans un système où la 𝗽𝗿𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗲́𝗰𝗼𝗻𝗼𝗺𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗹’𝗲𝗺𝗽𝗼𝗿𝘁𝗲 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗲 𝗯𝗶𝗲𝗻-𝗲̂𝘁𝗿𝗲, 𝘁𝗮𝗻𝘁 𝗱𝗲𝘀 𝗽𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗹𝗹𝗲𝘀 𝗾𝘂𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗲𝗻𝗳𝗮𝗻𝘁𝘀. Dans ce cas, est-ce qu'il ne faut pas alors 𝘀𝗼𝗿𝘁𝗶𝗿 𝗱𝗲 𝘀𝗼𝗻 𝘀𝗶𝗺𝗽𝗹𝗲 𝗿𝗼̂𝗹𝗲 𝗱𝗲 𝗥𝗛 et se transformer en 𝗹𝗮𝗻𝗰𝗲𝘂𝗿 𝗱'𝗮𝗹𝗲𝗿𝘁𝗲𝘀, comme l'ont fait certaines professionnelles de la petite enfance en alertant les parents des dangers qu'encouraient leurs enfants...
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📅 Hier avait eu lieu la Journée Internationale des droits de l'enfant, un temps fort important pour notre #syndicat qui œuvre pour accompagner les employeurs et employeuses des établissements d'accueil de jeunes enfants de la Branche #Alisfa. 💡Le saviez-vous ? ➡️Les crèches associatives représentent la 2ème part la plus importante des crèches en France après le secteur public (18%). ➡️Au total, ce sont près de 2 000 structures qui relèvent de la branche Alisfa. Cette journée est aussi l’occasion de rappeler que : 👉 Grâce au soutien à la parentalité, véritable pierre angulaire des EAJE de notre branche, chaque jour les liens enfants-parents sont renforcés et le rôle des parents valorisé. 👉 L’implantation territoriale forte des structures de la Branche, au plus près des besoins des habitantes et des habitants, permet de lutter contre l’exclusion des enfants tout en faisant de nos structures un levier d’insertion essentiel grâce notamment à des services tels que : l’accueil de familles monoparentales, des ateliers parentalité, l’inclusion d’enfants en situation de handicap etc. ✅ 💰Le bonus attractivité actuellement versé aux EAJE PSU de la Branche Alisfa reflète l'appui de l'État et de la Cnaf - Caisse nationale des allocations familiales aux augmentations salariales mises en place depuis le 1er janvier 2024. Plus que jamais, nous avons besoin que l'Etat et les pouvoirs publics nous soutiennent pour faire face aux défis croissants rencontrés par les autres employeurs et employeuses du lien social et familial, et plus largement de l’économie sociale et solidaire, en matière de recrutement, d’attractivité et de maintien des services. 🤝C'est ensemble que nous pourrons continuer à assurer le maintien de la qualité de nos services tout en garantissant des relations de travail justes et attractives. #social #petiteenfance #ESS Acepp nationale Fédération des Centres sociaux et Socioculturels de France UDES
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Un enfant par couple, c'est la seule solution pour sauver la planète ... ... et l'humanité d'elle-même ! En 2023, la population humaine a dépassé les 8 milliards d'individus. Pratiquement la moitié d'entre eux meurent de malnutrition, de maladies, de conflits et d'exploitation indigne ! Par ailleurs chaque enfant qui nait possède de loin la plus grande empreinte carbone avant l'industrie des transports et l'agriculture ! Au 21e siècle, il serait plus simple de leur éviter de naître plutôt que de continuer à entretenir la souffrance de tant d'êtres humains et même d'êtres vivants. En effet, plus de la moitié des espèces animales ont été tuées et leurs milieux naturels détruits pour répondre aux besoins de la seule espèce humaine dont la croissance est toujours illimitée (étant le pire de tous les prédateurs) sur une planète inextensible ! Une politique de 1 enfant par couple ratifié par tous les pays du monde, permettrait de réduire à un effectif supportable pour la Terre, la population humaine ; ce en une seule génération. Une fois ramenée à 4 milliards, maintenir une moyenne de 2 enfants environ par couple permettra de stabiliser la population mondiale. Moins d'enfants, mieux nourris, mieux accompagnés, mieux protégés, mieux "aimés" ... Une décroissance temporaire de la population pour une meilleure qualité de vie et d'éducation, ainsi qu'un meilleur cadre de vie planétaire !
« Un monde de vieux ». L’indicateur de fécondité, qui mesure le nombre d’enfants par femme, est passé, en France, de 2,03 en 2010 à 1,68 en 2023, sous le seuil des 2,1 nécessaires pour assurer le renouvellement des générations. Les politiques familiales ne changent pas la donne.
Pourquoi les Français font moins d’enfants : angoisse climatique, logement, pouvoir d’achat...
lemonde.fr
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Alors que l’été touche à sa fin et que les enfants retournent à l’école, la garde d’enfants demeure un sujet d’actualité. Le dernier rapport du Projet Prospérité souligne le soutien national important au programme sur l'apprentissage et la garde des jeunes enfants (AGJE) et explique pourquoi les gouvernements doivent réorienter leurs efforts vers la création de plus de places. Apprenez-en plus sur le rapport et sur la façon dont toute solution de rechange au #AGJE serait plus coûteuse pour les contribuables et moins avantageuse pour les enfants et les femmes: https://lnkd.in/gXrjFaG8
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16 septembre 2024 - Une lettre ouverte des dirigeant.e.s des CJE du Québec : Soutenons les jeunesses C’est la rentrée ! Qu’elle soit scolaire, professionnelle, culturelle ou encore parlementaire, elle marque l’occasion de redéfinir les priorités, de poser des gestes concrets et d’ouvrir de nouvelles perspectives. Du côté politique, les citoyennes et citoyens espèrent des mesures audacieuses et jugent les initiatives proposées. Que ce soit au gouvernement ou dans l’opposition, vous êtes au cœur de nos attentes. Une question clé émerge : comment accompagner nos jeunesses vers un avenir désirable ? Pour lire la lettre ouverte : https://lnkd.in/ewrJbf3w Ministère du Conseil exécutif du Québec (MCE) Mathieu Lacombe Chantal Rouleau Annie Grand-Mourcel-Brosseau, M. Sc. Ministère de la Culture et des Communications du Québec (MCC) Ministère de l'Emploi et de la Solidarité sociale du Québec
Chômage chez les jeunes | Soutenons les jeunesses
lapresse.ca
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