Découvrez les détails des films gagnants et les récits puissants et émouvants qui explorent la mémoire, la perte et la résilience.
Post de LE MATIN
Plus de posts pertinents
-
Voici deux semaines complètes de bons conseils car je serai au Festival de Busan, en Corée du Sud, ces prochains jours… Ainsi donc, avec passion… Si vous aimez, avec les meilleures nouveautés en salles ces deux prochains mercredis… 1. La suite d’un film qui a changé un paradigme 2. Les portraits de femmes aux destins extraordinaires Et à la télévision… 3. Les faux documentaires féministes 4. Les loups-garous qui font rire (même Michael Jackson) 5. Les thrillers sur fond de pédophilie 6. Les histoires de divorces compliqués 7. Les débuts miraculeux de Jaoui-Bacri 8. Ce que Jim Carrey a apporté de plus émouvant au cinéma 9. Les films de montagne qui font souffrir celles et ceux qui, comme moi, ont le vertige sur un tabouret 10. La vaisselle cassée 11. Les films tibétains qui défient le Chine 12. Les films de procès basés sur des histoires vraies qui retournent l’estomac 13. Les films de cambriolage avec Michael Caine 14. Fantomas sans Louis de Funès 15. Les hommages au cinéma asiatique dont la musique fait shazamer 16. Les visites dans la tête d’un grand comédien mais aussi, toujours en salles, 17. Les thrillers dans les cartels mexicains complètement réinventés et qui déplaisent à l’extrême-droite 18. Les comédies qui aboient 19. Les films qui défient toute notion de courage 20. Les nouvelles réalisatrices suisses qui déchirent 21. Les films de profs aux méthodes inédites… … alors vous allez forcément trouver votre bonheur dans ma petite sélection de films qui sortent en salles ou sont diffusés à la télévision ces prochains jours. Comme chaque semaine, tout est sur Cinémamour, façonné par la passion, forcément partial et, je l’espère, très utile pour aller à l’essentiel. Très belles semaines à toutes et tous. Découvrez mon post de blog https://wix.to/tHH3eDw #nouveaupostdeblog
Les bons films jusqu’au 13 octobre!
cinemamour.com
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
C'est le film que les cinéphiles du monde entier ont hâte de découvrir, depuis son sacre à Venise. Je vous donne toutes les clés pour comprendre pourquoi The Brutalist pourrait être le meilleur film de l'année, voire plus ! À lire sur Le Point
« The Brutalist » : pourquoi ce film a sidéré les festivals de Venise et de Toronto
lepoint.fr
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
🚨 Lionsgate et le fiasco de Megalopolis : L’#IA échappe au contrôle ! Lionsgate se retrouve dans la tourmente après la diffusion de la bande-annonce dans le cadre de la promotion de #Megalopolis, le dernier chef-d'œuvre de #FrancisFordCoppola 🙌 🎬 L’objectif de la bande-annonce de ce film était clair : démontrer comment les critiques initiales des films de Coppola ont évolué avec le temps pour illustrer le génie intemporel du #réalisateur. Cependant, le plan a pris une tournure inattendue : les citations utilisées étaient entièrement 𝗴𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗲́𝗲𝘀 𝗽𝗮𝗿 𝗜𝗔 et elles ont été mal attribuées 📉 La bande annonce montrait que des #critiques célèbres, comme 𝗣𝗮𝘂𝗹𝗶𝗻𝗲 𝗞𝗮𝗲𝗹, avaient écrit des critiques négatives, pourtant, Kael avait en réalité encensé le film 🔍 Les #erreurs ont été rapidement découvertes, entraînant le 𝗿𝗲𝘁𝗿𝗮𝗶𝘁 𝗶𝗺𝗺𝗲́𝗱𝗶𝗮𝘁 de la bande annonce et des 𝗲𝘅𝗰𝘂𝘀𝗲𝘀 𝗽𝘂𝗯𝗹𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 de Lionsgate 🤯 Lionsgate a mis fin à sa collaboration avec le consultant en charge même si aucune mauvaise intention n'est à l'origine de cette erreur, seul le manque de 𝘃𝗲́𝗿𝗶𝗳𝗶𝗰𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗵𝘂𝗺𝗮𝗶𝗻𝗲 a permis à l'IA de produire ces citations erronées 🤖 Cet incident met en lumière les #𝗱𝗮𝗻𝗴𝗲𝗿𝘀 de l’IA lorsqu'elle est utilisée sans supervision adéquate et sans #interventionhumaine Bien que l’IA puisse générer des #contenus convaincants, elle doit être accompagnée d’une 𝘃𝗲́𝗿𝗶𝗳𝗶𝗰𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗵𝘂𝗺𝗮𝗶𝗻𝗲 𝗿𝗶𝗴𝗼𝘂𝗿𝗲𝘂𝘀𝗲 pour éviter des erreurs coûteuses et des malentendus 📅 Sinon le film Megalopolis sort le 25 septembre, c'est l’occasion de tourner la page https://lnkd.in/eZpyUV-T
La bande annonce de « Megalopolis », le prochain film de Francis-Ford Coppola, piégée par l'IA
01net.com
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
On l’a fait. 400 personnes ont rigolé, pleuré et pleinement vécu l’histoire du Premier Mot, le film réalisé par Victoire de Parscau et co-produit par Eliott Nouaille et moi-même, diffusé en avant-première hier au cinéma Le Balzac. Pourtant rien n’était joué : on partait sans aucune expérience de production, sans budget, sans connaissance du monde du cinéma, sans la conviction que notre film parviendrait à retranscrire avec précision toute l’émotion vécue lors du concours qu’il retraçait, le Prix National Cyrano. Quelques retours de spectateurs nous ont prouvé le contraire (promis on les a pas payés) : "𝐶𝑦𝑟𝑎𝑛𝑜 𝑛'𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑗𝑢𝑠𝑡𝑒 𝑢𝑛 𝑐𝑜𝑛𝑐𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑑'é𝑙𝑜𝑞𝑢𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑒 𝑝𝑙𝑢𝑠. 𝐼𝑙 𝑎𝑝𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒 𝑢𝑛𝑒 𝑣𝑟𝑎𝑖𝑒 𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑒𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑓𝑟𝑎𝑖𝑐ℎ𝑒𝑢𝑟 𝑛𝑜𝑢𝑣𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠. 𝐵𝑒𝑎𝑢𝑐𝑜𝑢𝑝 𝑑𝑒 𝑔𝑒́𝑛𝑒́𝑟𝑜𝑠𝑖𝑡𝑒́ 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑣𝑜𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑜𝑐𝑢𝑚𝑒𝑛𝑡𝑎𝑖𝑟𝑒." "P𝑙𝑢𝑠 𝑞𝑢'𝑢𝑛 𝑓𝑖𝑙𝑚, 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑢𝑛 𝑚𝑎𝑛𝑖𝑓𝑒𝑠𝑡𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑢𝑛𝑒 𝑣𝑖𝑠𝑖𝑜𝑛 ℎ𝑢𝑚𝑎𝑖𝑛𝑒 𝑑𝑒 𝑙'𝑒́𝑙𝑜𝑞𝑢𝑒𝑛𝑐𝑒 (...). 𝐼𝑙 𝑚𝑒́𝑟𝑖𝑡𝑒𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑑'𝑒̂𝑡𝑟𝑒 𝑙𝑒 𝑓𝑖𝑙𝑚 𝑑𝑒 𝑐ℎ𝑒𝑣𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑜𝑓𝑠 𝑑𝑒 𝑓𝑟𝑎𝑛𝑐̧𝑎𝑖𝑠 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑢𝑛𝑖𝑐𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛" "𝐷𝑒𝑠 𝑐𝑎𝑛𝑑𝑖𝑑𝑎𝑡𝑠 𝑎𝑢𝑥𝑞𝑢𝑒𝑙𝑠 𝑜𝑛 𝑠'𝑎𝑡𝑡𝑎𝑐ℎ𝑒 𝑎̀ 𝑢𝑛𝑒 𝑣𝑖𝑡𝑒𝑠𝑠𝑒 𝑖𝑚𝑝𝑟𝑒𝑠𝑠𝑖𝑜𝑛𝑛𝑎𝑛𝑡𝑒, 𝑑𝑒𝑠 𝑚𝑒𝑠𝑠𝑎𝑔𝑒𝑠, 𝑒𝑡 𝑢𝑛 𝑑𝑒́𝑣𝑜𝑖𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑝𝑢𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑒 𝑙'𝑒𝑥𝑝𝑟𝑒𝑠𝑠𝑖𝑜𝑛." "𝑈𝑛 𝑜𝑑𝑒 𝑎𝑢 𝑐𝑜𝑢𝑟𝑎𝑔𝑒 𝑒𝑡 𝑎̀ 𝑙'𝑎𝑢𝑑𝑎𝑐𝑒. 𝑈𝑛 𝑏𝑖𝑗𝑜𝑢 𝑟𝑎𝑟𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑎𝑙𝑙𝑖𝑒 𝑝𝑢𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑒𝑡 𝑣𝑢𝑙𝑛𝑒́𝑟𝑎𝑏𝑖𝑙𝑖𝑡𝑒́. L𝑎 𝑝𝑎𝑟𝑜𝑙𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑎𝑟𝑚𝑒, 𝑢𝑛𝑒 𝑓𝑜𝑟𝑐𝑒 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒́𝑒 𝑑𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑠." "𝐴 𝑙𝑎 𝑠𝑜𝑟𝑡𝑖𝑒 𝑑𝑢 𝑓𝑖𝑙𝑚, 𝑜𝑛 𝑎 𝑒𝑛𝑣𝑖𝑒 𝑑'𝑒𝑛 𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑟𝑒 ! 𝑈𝑛 𝑓𝑜𝑟𝑚𝑎𝑡 𝑞𝑢𝑖 𝑠𝑒 𝑝𝑟𝑒̂𝑡𝑒𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑠𝑢𝑝𝑒𝑟 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑎̀ 𝑢𝑛𝑒 𝑠𝑒́𝑟𝑖𝑒 (𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑢𝑛 𝑓𝑜𝑟𝑚𝑎𝑡 𝑠𝑖𝑚𝑖𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑎̀ "𝐶𝑜𝑚𝑒𝑑𝑦 𝐶𝑙𝑎𝑠𝑠")... 𝐵𝑟𝑎𝑣𝑜 𝑎̀ 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑙'𝑒́𝑞𝑢𝑖𝑝𝑒 !" La suite : une tournée dans les grandes villes de France qu'on doit désormais lancer pour le mois de janvier. De nouvelles dates seront bientôt annoncées. Et surtout, une phase commerciale pour tenter de convaincre un producteur et un diffuseur, de nous fournir les moyens audiovisuels pour faire de la saison 2 de notre prix Cyrano un grand divertissement culturel et populaire pour la télé ou les plateformes. Si vous pouvez nous y aider, soyez nos ambassadeurs ! Vous étiez présents hier ? On vous écoute en commentaires. ⬇️
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Le cinéma nous rend-il meilleurs ? Cette question apparemment anodine est plus sérieuse qu'il n'y parait. La force des images vient de ce qu'elles nous touchent directement à un niveau infra-rationnel, rencontrant en nous ce que Ralph Waldo Emerson a appelé les « maîtres de nos vies », ces idées aussi fortes que résistantes qui sont à l'origine de décisions que nous prenons dans notre vie, qu'il s'agisse de notre vie quotidienne ou notre vie professionnelle. Ainsi par exemple l’idée de la continuité des processus aléatoires de la dynamique des prix, fondement des formules de Black, Scholes et Merton ou de Harrison Kreps et Pliska, était devenue une idée résistante, profondément ancrée à un niveau infra-rationnel en chacun des professionnels financiers, infra-rationnel car aucun test statistique ne validait les hypothèses de Black, Scholes, Merton, Harrison, Kreps et Pliska. Cette idée résistante avait pris le contrôle des décisions des professionnels en agissant comme un virus dans leurs pensées. C’est la raison pour laquelle j’avais appelé cette idée résistante le « virus brownien ». Le virus brownien était devenu un « maître de la vie » des financiers, conduisant à la catastrophe de 2008. Le livre d’Hugo Clémot au titre étrange de Cinéthique, que je commente dans un article publié dans la nouvelle revue en ligne Littér'art créée par Erwan Mas précise ces perspectives en montrant comment le cinéma permet de toucher directement ces virus de la pensée qui nous contaminent sans que nous en ayons conscience. En ce sens, le cinéma produit une vraie éthique d'où la "cinéthique". L'article est en ligne ici : https://lnkd.in/eSqpaAfX Le cycle de projection “L’image de l’argent au cinéma” (Ciné-Money) organisé avec Bouchaud Elisabeth au Théâtre La Reine Blanche s’inscrit dans cette perspective. Que nous apprend le cinéma sur l’argent, pas tant sur l’argent « en soi », ce qui serait une sorte de cours d’économie ennuyeux, mais sur l’argent « pour nous » en tant que nous réagissons aux images sur l’argent et la finance que les metteurs en scène nous proposent, chacun dans son style propre. La prochaine séance du cycle de projections “L’image de l’argent au cinéma” au Théâtre La Reine Blanche, 2 bis Passage Ruelle, 75018 Paris (métro ligne 2 station La Chapelle) aura lieu le dimanche 17 mars à 18h00 avec la projection du film La banquière (1980) de Francis Girod. La projection sera suivie d’un dîner-débat au cours duquel Raphaëlle Moine, professeure en études cinématographiques, Université Sorbonne Nouvelle, nous présentera un exposé sur : « Les scandales financiers au prisme des biopics français » Seront abordés l’affaire Stavisky (Stavisky, d’Alain Resnais, 1974) et l’affaire Kerviel (L’Outsider, de Christophe Barratier, 2016). Billetterie ici : https://lnkd.in/e5xUBu8K
Le cinéma peut-il nous rendre meilleurs ? Cinéthique (2008) - d’Hugo Clémot
litterart26.wixsite.com
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
C'est inadmissible. LFI et ses alliés islamistes cherchent à imposer la peur et le chaos. Il est temps de rétablir les grands principes républicains et de défendre la démocratie contre ceux qui la manipule pour la détruire et instaurer des régimes totalitaires nihilistes. Pour rappel, l'OLP et le Hezbollah sont des inventions du KGB et des Frères musulmans. Ces derniers furent des alliés des Nazis et sont le fer de lance de leurs idées abjectes. Leur arme à tous ces apprentis dictateurs, c'est l'occupation de l'espace public, la "bordélisation", dans la lignée de la doctrine révolutionnaire pensée par Lénine. Pour mémoire, comme Mélenchon, il était un grand admirateur de Robespierre. Une fois au pouvoir, c'est l'application d'une répression comme celle ordonnée par Trotsky, Staline, ou Daesh, Khomeni et les Talibans. C'est l'un ou l'autre sui gagnerai en fonction de qui aura le plus d'armes et d'hommes. Mais, le discours cynique et diffamatoire est déjà le même. Ces gens avides de pouvoir se cachent derrière la désignation d'ennemis et mettent des cibles sur des innocents afin de museler quiconque qui oserait contester leur mission destructrice. Mais, il est temps d'oser le faire. Leur opprobre relayée par une partie des médias en mal de buzz est creuse car la majorité des français est exaspérée par cette complaisanse crasse et une classe politique court-termiste et dépassée. L'histoire tragique de l'Iran en est la preuve. L'Afghanistan est un drame où ces deux idéologies se sont affrontées avec une issue dramatique pour un peuple aujourd'hui livrés à l'obscurantisme. L'objectif est de prendre chaque peuple en otage et lui imposer de se soumettre à la peste ou au choléra. Tous ceux dans leurs rangs qui ont proféré des menaces ou des incitations à la haine raciale doivent être traduit en justice. Il en va de la survie des nos droits garantis par les fondamentaux de la République Française.
Comment peut-on scander le “cessez-le-feu”, à toutes les manifestations, tout en menaçant de mort en parallèle ? La 16e édition du festival du film israélien Shalom Europa est annulée. Les organisateurs et le personnel du cinéma ont reçu des “pressions” dangereuses sur les réseaux. Tristesse pour le Festival de cinéma Shalom. Tristesse pour l’art et la culture. Tristesse pour notre pays. #vivre #libre #art #cinema #culture #france #strasbourg #shalom 🎬🕊️
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
🚨 101 SECRETS DE CINÉMA QUI FONT LES GRANDS FILMS 👉🏿 Début, milieu, fin Lors de la mise au point scénaristique d’une nouvelle histoire, pendant la production pour donner vie au film, ou bien encore pendant la postproduction pour modifier le déroulé des événements, les efforts du cinéaste doivent presque toujours porter sur l'établissement et le renforcement d’une structure en trois actes : Acte | - Mise en place du problème. Montrer le quotidien du protagoniste, puis introduire l'incident initial qui perturbe son existence, énoncer clairement les enjeux de la situation et les conséquences de son échec éventuel. Acte Il - Accentuation du problème. Le conflit croît en intensité et la première réponse trouvée par le protagoniste à son problème s’avère inadéquate. Acte III - Résolution du problème. Les événements atteignent leur inévitable climax et finissent par trouver leur issue. Auteurs : Neil Landau | Matthew Frederick
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
C'est le 3ème volet de notre série mêlant cinéma et démocratie. Et quoi de plus actuel qu'une analyse des dictatures et de l'autoritarisme en ces temps troublés.
Filmocratie, ep.3 - Qu'est-ce que les films rappellent de l'Histoire et imaginent pour le futur ? Dans ce nouvel épisode, et au regard de l'actualité #politique , on voulait interroger les ressorts de l'#autoritarisme. Face à la montée de l'extrême droite en Europe mais plus globalement des courants autoritaires ou autocratiques, de quoi nous avertit le #cinema ? Que disent des #films inspirés de la réalité comme La Vague ou la Zone d'intérêt ? Qu'imaginent les œuvres plus inventives (La servante écarlate ou District 9) de notre époque et de ses dangers ? Naviguons ensemble dans ces fictions qui nous mettent en garde pour éviter le pire. Réalisation et montage : Elliot Clarke / © MOB Références : La vague - Dennis Gansel / District 9 - Neill Blomkamp La Servante écarlate - Bruce Miller / Minority Report - Steven Spielberg / La Zone d’intérêt - Jonathan Glazer / La Rafle - Roselyne Bosch / 1917 - Sam Mendès / Dans les coulisses de la zone d’intérêt - BacFilms
Le cinéma face à la vague autoritaire
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Si vous aimez… 1. Les enquêtes criminelles asiatiques vertigineuses 2. Les démantèlements de trafics de drogue dans les années 70 3. Les affrontements d’acteurs burinés dans la forêt 4. Les films biographiques aiguisés comme des patins à glace 5. Les chefs-d’œuvre qui auraient pu être tournés en Suisse (si quelqu’un en avait eu l’idée et le talent) 6. Les hymnes à la vie et à la douceur dans un monde de brutes 7. Les films cultes des années 80 qui influençaient le look de tous les jeunes 8. Les intrigues hitchcockiennes réalisées par quelqu’un d’autre que le grand Alfred (… mais aussi les films de profs aux méthodes inédites, les films de motards façon années 60, les combats de femmes dans les systèmes les plus patriarcaux, les satires sociales frappadingues, ou encore les retrouvailles entre anciennes et anciens lycéennes et lycéens…) … alors vous allez forcément trouver votre bonheur dans ma petite sélection de films qui sortent en salles ou sont diffusés à la télévision ces prochains jours. Comme chaque semaine, tout est sur Cinémamour, façonné par la passion, forcément partial et, je l’espère, très utile pour aller à l’essentiel. Très belle semaine à toutes et tous. Découvrez mon post de blog https://wix.to/FW3y9I0 #nouveaupostdeblog
Les plaisirs de cinéma jusqu’au 14 juillet
cinemamour.com
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Gladiator 2 : suite convenable mais imparfaite Malgré l'ombre omniprésente du premier volet, le film n'en est pas pour autant impacté. Si la majorité des spectateurs semble plutôt remettre en question la narration quasi identique à celle de la "version originale", le vrai problème se situe autre part. Dans le premier volet, Maximus est opposé à Commode, un personnage froid, vicieux mais qui reste tout de même charismatique. Dans cette nouvelle version, Lucius fait face aux empereurs Geta et Caracalla. Au delà même d'être des personnages très oubliables en dépit du fait qu'ils soient les antagonistes principaux, la performance d'acting est calamiteuse. Peu inspirants, des dialogues qui sonnent creux, ils paraissent davantage ridicules que terrifiants. Est-ce alors un moyen de faire écho à nos sociétés actuelles pour dénoncer le fait que nos dirigeants sont des clowns ? Peut être. Néanmoins, pour nuancer les performances très moyennes des empereurs et de Lucilla (Connie Nielsen), il faut également parler du bon. Le trio Paul Mescal, Pedro Pascal, Denzel Washington porte le poids du film. Avec des dynamiques différentes, chacun suit sa trajectoire tout en ne dérivant pas trop. Quelque peu regrettable de ne pas voir davantage Pedro Pascal qui déborde de talent et de charisme. Paul Mescal, lui, reste plutôt stoïque. Hormis quelques envolées, il délivre ainsi une performance satisfaisante qui vient s'ajouter à une carrière déjà bien fournie. Denzel Washington fait son petit bout de chemin. Avec un personnage totalement différent du reste, il incarne son rôle à la perfection. La vraie force de Gladiator 2 réside dans l'équilibre entre les scènes d'action et de dialogues. Pas besoin de faire de grands mouvements de caméra pour créer un engouement (le film le fait très bien). Les dialogues, eux, auraient pu être un peu mieux écrits. Il est ici difficile d'échapper à la comparaison avec le premier volet. Note : 3.5⭐/5 #Gladiator2 #ridleyscott #paulmescal #cinéma #film #rome #denzelwashington #action
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
51 228 abonnés