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La revue de presse du retail : Pourquoi des Pères Noël à moto seront dans les supermarchés du Lot et vont défiler ...: ... grande distribution pour collecter des friandises, afin de les distribuer aux enfants des bénéficiaires des Restos du Cœur du Lot. À lire aussi. ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #retail #distribution #commerce

𝗡𝗢𝗨𝗩𝗘𝗟 𝗔𝗥𝗧𝗜𝗖𝗟𝗘 : Le boycott de la grande distribution. - https://lnkd.in/eZTbnRm8 Le RPPRAC et son leader Rodrigue Petitot La Martinique ont laissé pour devoir de vacances à ses militants et sympathisants, pour ce qui est appelé la phase 2 du mouvement, de boycotter les enseignes de la grande distribution pour réduire leurs profits et leur faire fermer boutique. L’économiste JM. NOL prend cela très au sérieux et pense qu’un tel boycott pourrait avoir des répercussions négatives pour les consommateurs, entraînant une diminution de l’offre et une éventuelle hausse des prix, accentuant ainsi le problème de la vie chère. Que les grands groupes pourraient se retrouver dans une situation financière délicate, rendant ANTILLA MARTINIQUE

Il suffit parfois de demander ! C’est une initiative géniale et inédite. L’avenir est dans la création de filières régies par l’intérêt mutuel du consommateur, du producteur, du transformateur et du distributeur. Cela paraît nécessaire de mettre en place de plus en plus de circuits « vertueux » qui permettent à tous de bien vivre. CQLP a montré grandeur nature que c’est possible et que cela apporte de bonnes choses à tous les niveaux. À suivre … de près

La revue de presse du retail : Villefranche : plus de 100 repas cuisinés pour les sans-abris - mesinfos: Unissant leurs forces, résidents de l'Oasis, scouts de France et restaurateurs ont retroussé les manches avant une grande distribution en face de ... ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #retail #distribution #commerce

Une initiative inspirante que j'aimerais voir en Nouvelle-Calédonie ! L'initiative "C'est qui le Patron" est un exemple parfait de ce que j'aimerais voir ici : des consommateurs qui deviennent de véritables partenaires des producteurs. Dans cette démarche, les consommateurs comprennent l'importance de soutenir ceux qui nous nourrissent, et je trouve cette approche remarquable. Ici, en Nouvelle-Calédonie, nos agriculteurs et éleveurs sont des travailleurs passionnés et résilients, avec un savoir-faire unique. Pourtant, ils sont trop souvent ignorés et dévalorisés par les autorités publiques et les consommateurs, et même rabaissés par certains acteurs qui discréditent honteusement leurs métiers. Nous avons des producteurs locaux incroyablement compétents, qui méritent une reconnaissance à la hauteur de leurs efforts et de vivre dignement de leur métier. Je rêve de voir une initiative similaire émerger sur notre territoire, où les consommateurs prendraient conscience de l'importance des filières agricoles locales, les soutiendraient activement et les aideraient à obtenir la reconnaissance qu'ils méritent. Ensemble, nous pourrions créer une dynamique vertueuse qui valorise nos producteurs et renforce notre économie locale.

La saison de la fraise française est compliquée en raison d'un sous-approvisionnement causé par des conditions météorologiques défavorables. Cette situation devrait prolonger la campagne jusqu'à fin juin, nécessitant le soutien continu des grandes surfaces. Malgré cela, la qualité des fraises reste bonne grâce aux températures modérées du printemps. Quant aux framboises, la campagne a commencé mi-mai avec des volumes encore limités, mais l'origine française devrait gagner en importance jusqu'à l'automne. https://lnkd.in/eP6YAF2y

La revue de presse du retail : JO : les athlètes britanniques qui s'entrainent à Reims offrent 100 kgs de denrées ...: Des produits vendus 20 fois moins cher qu'en grande surface. Immédiatement mis en rayon, ces produits connaissent déjà un grand succès. "Ce sont ... ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #retail #distribution #commerce

Souhaitez-vous connaître le secret pour multiplier par 2 vos ventes dans le rayon festif ? 😉 Nous avons eu la chance d’interviewer Delphine Pjanic, directrice adjointe de la Foir’Fouille Avranches. 🎤 Delphine travaille avec nous depuis plus de 2 ans. Elle nous fait confiance depuis le début et le résultat est concluant. Le magasin Foir’Fouille Avranches a doublé ses ventes dans le rayon P’tit Clown ! 🎊 Elle nous explique la nouvelle organisation mise en place en début d’année avec P'tit Clown, son chargé de compte Karine et les résultats générés. Découvrez son interview sur la page Trustfolio de P’tit Clown 🔗 Lien en commentaire

HALLE À VIANDE : LA VILLE SERAIT-ELLE… BOUCHÉE ? - https://lnkd.in/ekqNNZzF commerçants non-bouchers de la halle des bouchers, au marché des Lices, sont en colère. À partir du 1er janvier 2025, ils devront payer un tarif bien plus élevé pour leurs étals, ce qu’ils jugent injuste et inapplicable dans les conditions actuelles. « C’est comme si on voulait tuer le commerce », s’indigne Bertrand Dauleux, chocolatier et porte-parole. « Il y a douze ans, nous avions accepté de nous installer dans cet espace, encouragés par la ville, pour redynamiser cet espace. Mais aujourd’hui, on nous impose le tarif des bouchers : 25 euros pour deux mètres d’étal, contre 4,30 euros aujourd’hui, soit une augmentation de 500 % ! » « Une Augmentation Sans Contrepartie » Pour beaucoup d’entre eux, une hausse peut se justifier lorsqu’elle s’accompagne d’une amélioration des infrastructures ou de services supplémentaires. Ce n’est pourtant pas le cas ici. « En général, quand les tarifs augmentent, c’est pour compenser de nouvelles prestations ou des travaux de modernisation. Mais là, rien ne change. Au contraire, l’état de la halle est lamentable. Depuis quarante ans, l’endroit n’a pas été nettoyé. Il est infesté de rats. Nous avons même des câbles de nos vitrines réfrigérées qui sont dévorés par les rongeurs. C’est inadmissible de payer cinq fois plus cher pour des conditions qui se dégradent ! », s’insurge un commerçant qui souhaite rester anonyme. Chaque samedi, les problèmes sanitaires sont au cœur des préoccupations. « Le matin, les bouchers doivent commencer leur journée en nettoyant les déjections de ces nuisibles. La ville n’intervient pas, mais elle n’hésite pas à augmenter les coûts », peste Bertrand Dauleux. Une pétition a été lancée pour exiger un lavage en profondeur de la halle, recueillant plus de 120 signatures en quelques jours. Contactée par les commerçants, la ville de Rennes justifie cette augmentation par une harmonisation des tarifs et par une concertation. « C’est faux ! Nous n’avons jamais eu notre mot à dire. Même le syndicat s’est fait berner. » Pour les commerçants du marché, l’avenir est plus incertain que jamais. « Si la situation ne change pas, beaucoup d’entre nous devront quitter les Lices. C’est la fin d’une époque et l’attractivité des lieux va en pâtir. Les clients ne viennent pas seulement pour les bouchers, ils se déplacent pour l’ensemble de l’offre. Si nous partons, tout le monde en souffrira », estime Bertrand Dauleux.

HALLE À VIANDE : LA VILLE SERAIT-ELLE… BOUCHÉE ? - https://lnkd.in/ekqNNZzF commerçants non-bouchers de la halle des bouchers, au marché des Lices, sont en colère. À partir du 1er janvier 2025, ils devront payer un tarif bien plus élevé pour leurs étals, ce qu’ils jugent injuste et inapplicable dans les conditions actuelles. « C’est comme si on voulait tuer le commerce », s’indigne Bertrand Dauleux, chocolatier et porte-parole. « Il y a douze ans, nous avions accepté de nous installer dans cet espace, encouragés par la ville, pour redynamiser cet espace. Mais aujourd’hui, on nous impose le tarif des bouchers : 25 euros pour deux mètres d’étal, contre 4,30 euros aujourd’hui, soit une augmentation de 500 % ! » « Une Augmentation Sans Contrepartie » Pour beaucoup d’entre eux, une hausse peut se justifier lorsqu’elle s’accompagne d’une amélioration des infrastructures ou de services supplémentaires. Ce n’est pourtant pas le cas ici. « En général, quand les tarifs augmentent, c’est pour compenser de nouvelles prestations ou des travaux de modernisation. Mais là, rien ne change. Au contraire, l’état de la halle est lamentable. Depuis quarante ans, l’endroit n’a pas été nettoyé. Il est infesté de rats. Nous avons même des câbles de nos vitrines réfrigérées qui sont dévorés par les rongeurs. C’est inadmissible de payer cinq fois plus cher pour des conditions qui se dégradent ! », s’insurge un commerçant qui souhaite rester anonyme. Chaque samedi, les problèmes sanitaires sont au cœur des préoccupations. « Le matin, les bouchers doivent commencer leur journée en nettoyant les déjections de ces nuisibles. La ville n’intervient pas, mais elle n’hésite pas à augmenter les coûts », peste Bertrand Dauleux. Une pétition a été lancée pour exiger un lavage en profondeur de la halle, recueillant plus de 120 signatures en quelques jours. Contactée par les commerçants, la ville de Rennes justifie cette augmentation par une harmonisation des tarifs et par une concertation. « C’est faux ! Nous n’avons jamais eu notre mot à dire. Même le syndicat s’est fait berner. » Pour les commerçants du marché, l’avenir est plus incertain que jamais. « Si la situation ne change pas, beaucoup d’entre nous devront quitter les Lices. C’est la fin d’une époque et l’attractivité des lieux va en pâtir. Les clients ne viennent pas seulement pour les bouchers, ils se déplacent pour l’ensemble de l’offre. Si nous partons, tout le monde en souffrira », estime Bertrand Dauleux.