Trump/Musk Le premier a nommé le second, avec Vivek Ramaswamy, pour "sabrer" dans le budget fédéral et les contours de cette nouvelle politique se dessinent. - Suppression des aides au Planning familial, ce qui ajouter à l'interdiction de l'avortement dans certains états va avoir des conséquences dramatiques pour des milliers de femmes. - Limitation du champs d'action de l’Agence de protection de l’environnement (EPA) a son périmètre initiale lors de sa création en 1970, donc quand le dérèglement climatique n'en faisait pas partie. Parmi les coupes budgétaires annoncées: 535 millions de dollars accordés au service public de radio-télévision 300 millions de dollars versés aux associations progressistes, comme le Planning familial 1,5 milliard de dollars attribués aux organisations internationales. Mais plus surprenant, le budget du pentagone est aussi dans le viseur des deux entrepreneurs que Donald Trump a chargé de ces coupes. Le "petit" détail qui semble avoir échappé à Donald Trump est qu'il a confié cette "mission" à un homme, Elon Musk, dont deux entreprises ont bénéficié des aides fédérales ou vivent de la commande publique: Starlink et Space X. Mais ne doutons pas qu'Elon Musk sera impitoyable avec les entreprises de Musk Elon si cela s'avère nécessaire. PS: Si vous ne savez pas qui est Vivek Ramaswamy, sa page Wikipedia est très rassurante: Conservateur, libertarien et climato-négationniste, ce financier a créé puis revendu ses affaires dans l'industrie pharmaceutique alors qu'aucune n'a jamais été bénéficiaire... Mieux encore: "Il lève une centaine de millions et rachète à GlaxoSmithKline un traitement contre la maladie d’Alzheimer à très bas prix. Avant même d’avoir fini les tests, il lance une campagne de communication vantant l'efficacité du médicament et cède une partie de ses actions à un fonds d’investissement, réalisant d'importants bénéfices. Pourtant, le médicament est un échec." Escroc? https://lnkd.in/eNqYWR5U
Post de Hervé Naillon
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Lors d'une intervention à New York le 5 septembre, le candidat républicain Donald Trump a annoncé qu'il confierait à Elon Musk, patron de Tesla, SpaceX et du réseau social X, un rôle clé dans une potentielle nouvelle administration s'il remportait l'élection présidentielle américaine du 5 novembre. Donald Trump a précisé qu'Elon Musk dirigerait une commission chargée d’auditer le gouvernement fédéral, tant sur le plan financier que de la performance, afin de proposer des réformes drastiques. Il a souligné l’importance de ces changements, affirmant que la situation actuelle ne pouvait perdurer. Elon Musk, de son côté, a exprimé sur X son enthousiasme à l’idée de servir les États-Unis, précisant qu’il n’attendait ni salaire, ni titre, ni reconnaissance pour ce rôle. Donald Trump a également profité de cette intervention pour critiquer violemment le programme économique de Kamala Harris, actuelle vice-présidente et candidate démocrate à l’élection, qu'il accuse de promouvoir une politique de gauche radicale menaçant la prospérité des familles américaines. Il a dépeint la situation économique du pays comme étant en crise, affirmant que les États-Unis sont devenus une « nation faillie ». Il a poursuivi ses attaques contre la gestion de Joe Biden, qu’il rend responsable de cette « catastrophe économique ». Développant brièvement certains axes de son programme économique, Donald Trump a promis de faire des États-Unis la « capitale mondiale du bitcoin et des cryptomonnaies » s'il est élu. Ce n'est pas la première fois qu'il évoque sa volonté de collaborer avec Elon Musk, mais cette annonce marque un tournant plus concret en ce qui concerne la nature des responsabilités qu'il souhaite confier au milliardaire. Pendant ce temps, Kamala Harris s'est rendue en Pennsylvanie, un État crucial pour l’élection présidentielle à venir, où Donald Trump l’avait emporté de justesse en 2016, avant que Joe Biden ne le remporte en 2020. À une semaine d’un débat très attendu entre les deux candidats, prévu le 10 septembre, les enjeux se concentrent particulièrement sur cet État, souvent considéré comme déterminant pour l'issue du scrutin.
Donald Trump veut charger Elon Musk d’un « audit » du gouvernement américain pour le « réformer » en profondeur, s’il est élu
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Donald Trump et Elon Musk - ou comment le milliardaire sud-africain veut révolutionner l'administration américaine ! 🌍 Une révolution administrative en marche ? Avec l’arrivée du président élu Donald Trump, un vent de changement souffle sur les États-Unis. Elon Musk, épaulé par Vivek Ramaswamy, dirige le tout nouveau Department of Government Efficiency (DOGE), une initiative visant à transformer profondément la gestion fédérale. 🔑 Les axes prioritaires du DOGE : 1️⃣ Réduction des dépenses fédérales : annulation des fonds COVID-19 non utilisés et suppression de certaines aides jugées non essentielles. 2️⃣ Fin des initiatives DEI (diversité, équité, inclusion) : une décision controversée visant à recentrer les priorités budgétaires sur d’autres programmes stratégiques. 3️⃣ Dérégulation et simplification : alléger la bureaucratie pour redynamiser l’économie. 4️⃣ Révision des priorités écologiques : abroger les mesures de l’administration précédente concernant la transition écologique. 5️⃣ Bataille budgétaire : rationaliser les dépenses dans les agences fédérales et repenser les programmes sociaux obligatoires. ⚖️ Des défis complexes à relever : 👉 Quelles seront les conséquences économiques et sociales ? Si ces réformes promettent une administration plus efficace, elles pourraient également redistribuer les cartes pour certaines industries et communautés. 👉 Un projet sous haute surveillance : Alors que ces propositions font débat, elles seront scrutées pour leur capacité à concilier modernisation et équité. 🛠️ Vers une nouvelle ère économique ? Le leadership d'Elon Musk et de Vivek Ramaswamy au sein du DOGE pourrait marquer un tournant dans l’histoire économique des États-Unis. Reste à voir si cette vision d’efficacité gouvernementale saura séduire ou diviser l’opinion publique. Lusignan Multi Family Office - Paul Guadagnin, CFA, CAIA - Benoit Houlès
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Une alliance surprenante se profile à l’horizon de l’élection présidentielle américaine de 2024. L’ancien président Donald Trump a récemment déclaré qu’il serait prêt à offrir un poste de ministre, ou un rôle de conseiller, au milliardaire Elon Musk en cas de victoire. Cette annonce suscite de nombreuses spéculations quant à l’avenir politique des États-Unis et aux répercussions potentielles d’une telle collaboration entre deux personnalités influentes et controversées. Un rapprochement stratégique Le rapprochement entre Donald Trump et Elon Musk ne date pas d’hier. Les deux hommes entretiennent une relation cordiale depuis plusieurs mois, comme en témoigne le soutien public apporté par Musk à la candidature de Trump pour 2024. Leur entente semble reposer sur une vision commune des problèmes auxquels font face les États-Unis, comme l’a souligné Trump lors d’une conférence de presse : Je respecte beaucoup Elon Musk, et il me respecte. Comme moi, il pense que ce pays a de gros problèmes et est en grand danger. – Donald Trump Cette alliance stratégique pourrait s’avérer déterminante dans la course à la Maison-Blanche, en mobilisant les soutiens respectifs des deux hommes et en combinant leurs ressources financières et médiatiques considérables. Un poste taillé sur mesure pour Musk ? Si Donald Trump n’a pas précisé le portefeuille ministériel qui pourrait être confié à Elon Musk, certains observateurs avancent l’hypothèse d’un rôle lié à l’innovation technologique, aux infrastructures ou à la politique énergétique. Les compétences et l’expérience de l’entrepreneur dans des domaines tels que les véhicules électriques, les énergies renouvelables ou la conquête spatiale pourraient en effet s’avérer précieuses pour un gouvernement Trump. D’autres sources évoquent la possibilité d’un poste de conseiller spécial, qui permettrait à Musk de peser sur les décisions stratégiques sans pour autant assumer de responsabilités exécutives. Une telle configuration offrirait au milliardaire une influence considérable sur la politique américaine, tout en lui laissant la latitude nécessaire pour gérer ses multiples entreprises. Des réactions contrastées L’éventualité d’une alliance Trump-Musk au sommet de l’État suscite des réactions contrastées dans la classe politique et l’opinion publique américaines. Si les partisans de Trump y voient une opportunité de renforcer le camp conservateur et de promouvoir un programme économique favorable aux entreprises, les détracteurs craignent une concentration excessive du pouvoir entre les mains de deux personnalités clivantes. Certains élus démocrates ont d’ores et déjà fait part de leurs inquiétudes quant aux conflits d’intérêts potentiels liés aux activités entrepreneuriales d’Elon Musk et à son influence grandissante sur les réseaux sociaux. D’autres s’interrogent sur la compatibilité entre les visions parfois contradictoires des deux hommes, notamment en matière d’environnement ou de politique étrangère. Un...
Une alliance surprenante se profile à l’horizon de l’élection présidentielle américaine de 2024. L’ancien président Donald Trump a récemment déclaré qu’il serait prêt à offrir un poste de ministre, ou un rôle de conseiller, au milliardaire Elon Musk en cas de victoire. Cette annonce suscite de nombreuses spéculations quant à l’avenir politique des États-Unis et aux répercussions potentielles...
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Olivier Alexandre analyse les conséquences de l’élection présidentielle américaine où Donald Trump l’emporte, accompagné de la victoire de son parti au Sénat et à la Chambre des représentants. Cet alignement des trois principales institutions fédérales avec la Cour suprême, déjà dominée par des valeurs conservatrices, annonce un bouleversement politique. Il prévoit notamment une reprise en main des agences de régulation telles que la SEC et la FTC, marquant ainsi un mouvement de fond vers une administration favorable aux intérêts économiques du parti républicain. Olivier Alexandre souligne également l’émergence des plateformes numériques sur les médias traditionnels, qui symbolisent un changement dans la diffusion de l’information et l’influence politique. Dans cette configuration, le monde de la Tech voit un de ses représentants, JD Vance, devenir un acteur influent à la Maison-Blanche. Un poste clé est aussi promis à Elon Musk, qui se voit confier une mission d’audit de l’État fédéral et envisage une réduction de 7 % du budget fédéral. Le soutien financier d’Elon Musk au Parti républicain surpasse largement celui de Reid Hoffman pour les démocrates, et représente environ cent fois l’apport de Bill Gates, démontrant un engagement financier majeur en faveur de cette nouvelle administration. Le phénomène du « dark MAGA » se distingue également, en particulier à travers ses alertes répétées sur des biais supposés de Google et Microsoft en faveur de la candidate démocrate Kamala Harris. Ce courant se dit prêt à continuer de financer activement la sphère politique, alimentant un débat autour des limites de la démocratie et de la privatisation des institutions étatiques. Enfin, cette élection consacre, selon les termes d’Elon Musk, une « destinée » dans laquelle le marché, l’entrepreneuriat et la circulation de l’information dominent les institutions traditionnelles de l’État. Cette vision est en cohérence avec le parcours d’Elon Musk, qui a bâti une partie de sa fortune en remportant des marchés autrefois réservés aux structures publiques. Désormais installé au cœur de l’appareil d’État, il projette d’appliquer à l’administration publique des méthodes inspirées de son approche entrepreneuriale. Source : https://lnkd.in/ezBXGu5M
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Dans la course effrénée à la Maison Blanche, un soutien de poids vient bousculer le jeu. Elon Musk, l’homme le plus riche de la planète, met toutes ses forces dans la bataille pour faire élire Donald Trump. Un engagement total, aussi bien financier qu’en personne, qui interroge sur les motivations profondes de ce milliardaire fantasque et sur son avenir en cas de défaite de son champion. Plus de 75 millions de dollars et des meetings en personne Le patron de Tesla et de SpaceX ne fait plus mystère de son soutien appuyé à Donald Trump. Déjà le plus gros donateur de sa campagne avec plus de 75 millions de dollars versés, Elon Musk mouille désormais la chemise sur le terrain. Depuis quelques semaines, il tient lui-même des meetings publics pour appeler à voter pour l’ancien président. Samedi dernier, lors d’un rassemblement en Pennsylvanie, État-clé de l’élection, il a même offert un million de dollars à un participant tiré au sort parmi ceux ayant signé sa pétition en faveur de la liberté d’expression et du port d’armes. Une opération qu’il compte renouveler chaque jour jusqu’au scrutin. Sur les réseaux sociaux aussi, et notamment Twitter rebaptisé X, qu’il a racheté, le multimilliardaire use de son influence pour pousser la candidature de Donald Trump auprès de ses millions d’abonnés. Une proximité idéologique assumée Si Elon Musk jugeait encore en 2022 Donald Trump “trop vieux” pour la présidentielle, il affiche désormais un soutien sans faille à celui dont il partage les combats. Comme le républicain, le patron de X fait de la liberté d’expression son cheval de bataille contre “l’idéologie woke”. Il va jusqu’à relayer ses contrevérités sur l’immigration, affirmant sans preuve qu’elle menace la démocratie américaine. Des intérêts bien compris Mais cet engagement corps et âme ne serait pas dénué d’arrière-pensées. Elon Musk, qui s’est dit prêt à accepter un poste au gouvernement en cas de victoire de Donald Trump, pourrait voir ses affaires grandement facilitées en cas de nouvelle présidence républicaine. Ses entreprises, qui évoluent dans des secteurs très régulés, auraient tout à gagner d’un assouplissement des règles. De même, il pourrait pousser pour des mesures protectionnistes en faveur de Tesla face à la concurrence chinoise, ou obtenir des contrats privilégiés avec la Nasa pour SpaceX. Quel avenir en cas de défaite ? En misant tout sur Donald Trump, Elon Musk joue quitte ou double. “S’il perd, je suis foutu”, a-t-il lui-même reconnu dans une interview. De fait, son implication si marquée auprès d’un candidat aussi clivant l’expose à un retour de bâton violent en cas de victoire démocrate. Ses entreprises pourraient en pâtir, avec le risque de perdre des contrats publics et de subir une pression réglementaire accrue. Sur le plan politique aussi, le milliardaire, habitué des volte-face et des déclarations contradictoires, jouera sa crédibilité et son influence. Quoi qu’il en soit, par son soutien affiché et l’ampleur de ses...
Dans la course effrénée à la Maison Blanche, un soutien de poids vient bousculer le jeu. Elon Musk, l’homme le plus riche de la planète, met toutes ses forces dans la bataille pour faire élire Donald Trump. Un engagement total, aussi bien financier qu’en personne, qui interroge sur les motivations profondes de ce milliardaire fantasque et sur son avenir en cas de défaite de son champion. Plus...
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Le projet du “Département de l’efficacité gouvernementale” (Doge), porté par Elon Musk et Vivek Ramaswamy, pourrait offrir une occasion de moderniser l’administration fédérale en réduisant les dépenses et en simplifiant la bureaucratie. Cependant, il est crucial de rappeler que l’objectif ne doit pas être de démanteler l’État, mais de garantir son efficacité en rationalisant les structures existantes. L’utilisation des technologies et des pratiques du secteur privé peut améliorer l’agilité du gouvernement, mais il ne faut pas que cette réforme mette en péril la qualité des services publics ni les valeurs démocratiques. Il convient également de se méfier des dérives potentielles. La réduction massive des effectifs et la remise en cause de régulations essentielles, comme la protection de l’environnement ou la santé publique, pourraient affaiblir l’État de manière contre-productive. La réforme doit être guidée par une volonté de rendre l’État plus performant, tout en veillant à ne pas sacrifier les protections sociales ou les missions fondamentales de l’administration. Ainsi, il est crucial que ce projet ne se transforme pas en un simple instrument de réduction des coûts, mais qu’il vise un véritable équilibre entre efficacité et responsabilité sociale.
Comment Elon Musk constitue son commando anti-bureaucratie
lesechos.fr
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#USA🇺🇲 : Trump Confie à Elon Musk la tâche de couper 2.000 milliards $ dans les dépenses fédérales ! 🚨 ➡️ Le président élu Donald Trump a officiellement confié à Elon Musk la mission de réduire de 2 000 milliards de dollars les dépenses fédérales d'ici 2026, en ciblant plusieurs secteurs clés pour rationaliser les finances publiques. ✅ Envisagé pour une suppression complète, un geste qui pourrait transformer la gestion de l'éducation au niveau fédéral. ✅ Réduction massive des régulations pour alléger les coûts et stimuler l'économie. ✅ Musk devra identifier et éliminer les structures jugées inutiles ou peu performantes. ➡️ Les programmes de retraite (Social Security) et Medicare ne seront pas affectés, conformément aux promesses de Trump. 💡 Musk a promis de publier un classement des gaspillages pour plus de transparence et encourager la responsabilisation. ⚠️ Malgré ce nouveau défi, Elon Musk continuera de diriger Tesla et SpaceX, tout en supervisant cette réforme ambitieuse. Ce projet marque une révolution dans la bureaucratie américaine et pourrait redéfinir la gestion des dépenses publiques !
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Elon Musk, récemment désigné conseiller spécial de Donald Trump, a dévoilé mercredi dans une tribune publiée par le Wall Street Journal un projet contesté de réforme de l’État fédéral américain. En collaboration avec le controversé homme d’affaires Vivek Ramaswamy, il dirige désormais une « commission à l’efficacité gouvernementale », dont la mission est de proposer des mesures radicales visant à réduire le poids de l’administration publique et les dépenses fédérales. Leur mandat s’étend jusqu’au 4 juillet 2026, une date symbolique marquant les 250 ans de la Déclaration d’indépendance. Le plan repose sur une analyse des récentes jurisprudences de la Cour suprême, consolidée par une majorité conservatrice lors du premier mandat de Donald Trump. Elon Musk affirme que ces décisions pourraient invalider de nombreuses régulations fédérales, faute de validation explicite par le Congrès. Selon lui, cela permettrait au président de suspendre ces réglementations par décret, simplifiant ainsi leur suppression. Parmi les mesures envisagées, Elon Musk met en avant des « réductions massives » des effectifs dans la fonction publique fédérale, avec la promesse que les salariés concernés bénéficieront soit d’un soutien pour rejoindre le secteur privé, soit d’indemnités « décentes ». Il propose également un retour généralisé au travail en présentiel, dans le but de provoquer des départs volontaires qu’il qualifie de « bienvenus ». Cette approche s’inscrit dans la continuité de celle menée chez X, sans grand succès actuellement, qui a connu des difficultés financières significatives en 2023, avec une chute drastique de sa valorisation et des difficultés à maintenir sa base d’utilisateurs. L’objectif budgétaire annoncé est une réduction d’au moins 500 milliards de dollars, notamment en supprimant les subventions accordées à des entités comme l’audiovisuel public ou des organisations qualifiées de « progressistes », telles que le Planning familial. Cependant, le milliardaire, lui-même bénéficiaire de plusieurs contrats fédéraux substantiels pour Tesla, SpaceX et d’autres entreprises, ne fait aucune mention de ces avantages dans sa tribune. Bien qu’il critique la « lourdeur bureaucratique » de l’État, ses sociétés ont largement profité de subventions publiques pour se développer, ce qui soulève des interrogations sur la portée et l’équité des coupes budgétaires qu’il propose.
Comment Elon Musk veut réduire de façon «radicale» le rôle de l’État fédéral américain
lefigaro.fr
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Un chroniqueur du Journal de Québec/Montréal, chargé de cours en sciences politiques, se déclarant indépendant, écrit son opinion sur Musk, en affirmant que ce dernier veut auditer le gouvernement américain en termes de profit. Une analyse superficielle, avec une vision catastrophique et une généralisation abusive, sans citation de sources, empreinte de désinformation et de manipulation de l'opinion publique, à mon avis. LaPresse relate cela d'une autre façon : « Sur les conseils d’Elon Musk […] je mettrai sur pied une commission gouvernementale chargée de conduire un audit complet en matière de finances et de performances de la totalité du gouvernement fédéral, en vue de faire des recommandations pour des réformes draconiennes ». Selon la presse externe, aussi, Musk n'a pas l'intention d'auditer le gouvernement en termes de profit, mais en ce qui a trait à l'efficience. Exemple : Trump « s'est également engagé à réduire les taux d'imposition sur les sociétés pour les entreprises qui fabriquent dans le pays, à créer des zones à « faible imposition » sur les terres fédérales où les entreprises de construction seraient encouragées à construire de nouveaux logements, et à mettre en place un fonds souverain. ... C'est également la première fois que M. Trump a déclaré que M. Musk avait accepté de diriger cet organisme. M. Trump n'a pas détaillé le fonctionnement de cette commission, se contentant de dire qu'elle élaborerait un plan pour éliminer « les fraudes et les paiements abusifs » dans les six mois suivant sa création. » Tout gouvernement se doit efficace et efficient. « L'efficience au sein du gouvernement fait référence à l'accomplissement des tâches de la manière la plus économique en termes de ressources et de temps. » (ResearchGate) #JournalDeQuébec #JournalDeMontréal #crédibilité #chroniqueur #manipulation #opinionPublique #désinformation #ElonMusk #efficience #réforme #gouvernement #JdQ #JdM #chronique #journal #journaliste #journalisme #audit #finances #performances #fraudes #taxes #taxation #fabrication #fabricant #logement #imposition #impôts #société #entreprise #fédéral #ÉtatsUnis #DonaldTrump
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Expertise démontrée en stratégie, innovation et IA appliquée.
2 moisJe comprends, c'est frustrant. De mon côté je suis triste parce que c'était tellement annoncé. Voyez-vous, les américains ont votés pour ça et ils vont récolter ce qu'ils ont semés. Le pire dans tout ça c'est l'entente fondamentale de la fin de la deuxième guerre mondial qui sera renié dans quelques mois par Mc Donald Trump. Suivez moi bien, l'atterrissage est assez terrible. Le deal de la fin de la deuxième guerre est le suivant: -Les États-Unis seront la principale force militaire de l'OTAN et par l'accord de réciprocité, viendra à la défense de l'Europe en cas de besoin. -En échange l'Europe s'armera très peu et ne sera ainsi jamais une menace pour l'URSS. En juin, lorsque la Russie aura prise l'Ukraine et en rajoutera. L'Europe lèvera le ton, bombera le torse et Poutine va attaquer un autre pays. Et là, ce ne sera pas beau parce que les États-Unis vont vous envoyer promener (Trump ne comprend pas les éléments historiques dont nous discutons ici). Qu'est-ce que vous pensez qui va suivre? (Acheter c'est voter! Être constamment dans les médias anti-sociaux c'est garantir leur croissance et leur influence.)