➡️ Nouveau projet : le chèque alimentaire expérimental en Seine-Saint-Denis Afin d’accompagner les plus précaires à accéder à une alimentation saine malgré l’inflation, la Seine-Saint-Denis a lancé une expérimentation du chèque alimentaire, en collaboration avec Action contre la faim. Depuis juin, 215 familles de Montreuil bénéficient de cette aide sous forme d’une carte de paiement de 50 euros par mois (semblable à une carte ticket restaurant), qui est exclusivement valable pour l’achat de produits alimentaires. Le projet, qui a levé près de 2,3 millions d’euros (dont plus de la moitié financé par l’État), s’étendra progressivement à Sevran, Villetaneuse et Clichy-sous-Bois, permettant ainsi d’atteindre un total de 1 350 personnes d’ici novembre 2024.🤝 En plus de ce soutien financier, des ateliers sont également organisés pour encourager et promouvoir une alimentation équilibrée. De plus, une incitation supplémentaire est proposée : 50 % du montant dépensé dans les magasins bio est remboursé sur la carte. Enfin, une évaluation de ce projet est prévue pour l’été 2025 afin de déterminer si cette initiative pourra être généralisée à l’ensemble du département. 😉ICI ADMIN, salue les efforts et les investissements du département de la Seine-Saint-Denis pour soutenir les familles les plus précaires et leur faciliter l'accès à une alimentation saine. Nous sommes fiers de contribuer à des initiatives qui favorisent l'inclusion et le bien-être de tous. #seinesaintdenis #chequealimentaire #montreuil #sevran #villetaneuse #clichysousbois #initiatives
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📣 Banque Alimentaire de Franche-Comté : Quelques chiffres 💪 Depuis de nombreuses années, la Banque Alimentaire de Franche-Comté se mobilise au quotidien pour soutenir ceux qui en ont le plus besoin et lutter activement contre l’insécurité alimentaire. Nos actions sont le reflet d’une solidarité régionale forte, portée par des partenaires engagés et une équipe dévouée, tous unis par une mission commune : garantir un accès à l’alimentation pour tous. 💼 Notre impact en quelques chiffres : * 95 associations partenaires : Notre réseau de 95 associations locales joue un rôle crucial dans cette chaîne solidaire. Réparties sur tout le territoire, ces associations sont les relais de la Banque Alimentaire de Franche-Comté. Ensemble, elles assurent la distribution des denrées alimentaires et contribuent à créer du lien social, du réconfort, et des échanges au cœur de chaque communauté. * 8 salariés et 250 bénévoles : Derrière chaque action, il y a une équipe dédiée, composée de 8 salariés et de 250 bénévoles au grand cœur. Que ce soit pour la collecte, le tri, le stockage ou encore la distribution des denrées, chacun apporte son énergie et son temps pour faire fonctionner ce réseau solidaire. * 37 000 personnes bénéficiaires : Chaque année, ce sont 37 000 personnes qui bénéficient de notre aide alimentaire. Derrière ce chiffre, il y a des familles, des enfants, et des aînés pour qui cette aide fait la différence. ✨ Notre combat contre le gaspillage alimentaire : Nous nous engageons également à lutter contre le gaspillage alimentaire, en récupérant des produits encore bons mais écartés des circuits classiques de distribution. Continuons de faire vivre cette solidarité. Ensemble, nous avançons vers un monde où personne ne sera laissé de côté. #BanqueAlimentaire #FrancheComté #Solidarité #LutteContreLaFaim #AntiGaspi #Ensemble
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LA K'FET SOLIDAIRE: Luttons ensemble contre le gaspillage et pour une alimentation accessible à tous 🌍🍽 Chaque semaine, les mardis, jeudis, et vendredis, un événement remarquable prend place au cœur de notre communauté : les Marchés Solidaires organisés par LA K'FET SOLIDAIRE. Ces rendez-vous hebdomadaires incarnent bien plus qu'une simple distribution alimentaire ; ils représentent un mouvement collectif engagé dans la lutte contre le gaspillage alimentaire 🚫🗑 et la promotion d'un accès équitable à une alimentation de qualité pour tous 🥦🍞. Lutter contre le gaspillage alimentaire, un impératif écologique et social 🌱 Chaque année, des tonnes de nourriture consommable sont gaspillées à travers le monde, un paradoxe flagrant dans une époque où l'accès à une alimentation suffisante et nutritive n'est toujours pas garanti pour tous. LA K'FET SOLIDAIRE s'attaque à cette problématique en récupérant des invendus alimentaires qui, autrement, seraient destinés à la poubelle. En redistribuant ces denrées, les marchés solidaires contribuent non seulement à réduire le gaspillage, mais également à sensibiliser le public à l'importance de la consommation responsable 🤲. Un marché solidaire pour une alimentation accessible 🛒 L'objectif principal de ces marchés n'est pas seulement de lutter contre le gaspillage, mais aussi de rendre l'alimentation accessible à tous, indépendamment des moyens financiers de chacun. #gaspillagealimentaire #solidarité #economiecirculaire #marchessolidaires #insertion
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📘 Nouvelle publication de la Fondation Jean-Jaurès "Faut-il en finir avec l’aide #alimentaire ?" rédigé par Louis Cantuel, responsable du pôle institutionnel et stratégique aux Les Restos du Coeur. Les pratiques d’aide alimentaire font l’objet d’un débat critique qui, s’il est utile parce qu’il permet de remettre la question des privations dans le débat public, repose souvent sur des approximations. Le rapport propose des pistes d’action et des mesures pour contribuer à faire reculer la #pauvreté et à renforcer l’accès de tous à l’#alimentation. ✔ Selon le rapport, plusieurs mesures pourraient être envisagées pour agir directement sur les trois sources d’approvisionnement principales des associations. – La pratique du don alimentaire doit être mieux contrôlée. Depuis des années, les associations réclament des contrôles sur site, pour s’assurer du respect de ces dispositions : l’État doit s’en donner les moyens, pour faire en sorte que les associations ne récupèrent que ce qui est réellement distribuable, et ainsi déconnecter plus fortement le don alimentaire de la lutte contre le gaspillage. – Le fonds dédié au soutien à l’aide alimentaire (FSE+) est aujourd’hui doté de moyens conséquents qu’il faudra maintenir. Néanmoins, il repose sur des marchés publics dont la réglementation ne permet pas aujourd’hui de faciliter le recours aux producteurs locaux et aux circuits courts. France urbaine propose à cet égard de lancer une réflexion sur la création d’une exception alimentaire et agricole, calquée sur le modèle de l’exception culturelle. La commande publique pourrait ainsi devenir un levier d’action essentiel de transformation du système alimentaire et de sa relocalisation. – Enfin, c’est par les achats en direct que les associations pourront piloter leur transition alimentaire et monter en gamme sur la qualité des produits proposés aux personnes, mais aussi pour leur assurer plus de choix et de diversité. Il est pour cela possible d’activer un levier fiscal : celui de la TVA. Le rapport évoque une TVA à 0% sur les achats alimentaires des associations de solidarité. https://lnkd.in/ez3uZfCx
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Aujourd'hui démarre la grande collecte nationale des Banques Alimentaires. Alors que la précarité alimentaire ne fait qu'augmenter, cette collecte, à laquelle participent de nombreuses épiceries sociales et solidaires, permet de réaliser des stocks notamment en produits secs et d'hygiène pour les proposer aux personnes en difficulté. L'occasion pour nous de rappeler l'engagement de distributeurs comme la Coopérative Biocoop qui reverse la marge réalisée sur les produits collectés auprès des associations. Une initiative louable et facilement reproductible par les autres distributeurs. Michel-Edouard Leclerc Dominique Schelcher Alexandre Bompard Thierry Cotillard, si cela vous intéresse, nous sommes disponibles pour en discuter ! Pour finir, cet élan de générosité des français.e.s ne doit pas masquer la nécessité d'une transformation de nos politiques publiques pour lutter efficacement contre la précarité alimentaire. Nous avons besoin de mesures systémiques pour garantir l'accès de chacun.e à une alimentation choisie, saine, durable et diversifiée. Bonne collecte à tous les bénévoles ! Direction générale de la cohésion sociale (DGCS) Dalila Habbas Groupement des Epiceries Sociales et Solidaires d'Auvergne Rhône-Alpes (GESRA) GESMIP GALAS : Groupement des Acteurs Locaux de l’Alimentation Solidaire Collectif des Epiceries Sociales et Solidaires d'Ile de France (CESS-IDF) Paul CHRISTOPHE Horréard Jean-Philippe
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Vous savez comment les enseignes de la grande distribution profitent du système de l’aide alimentaire ? Depuis 2016, pour lutter contre le gaspillage alimentaire, la loi Garot interdit la destruction des invendus encore consommables. Les supermarchés ne peuvent plus jeter leurs invendus à la poubelle. Mais alors où vont-ils? Les enseignes de plus de 400 m2 doivent passer une convention avec des banques alimentaires pour évacuer ces invendus. Mais pour les inciter à le faire, l’Etat a mis en place une politique fiscale avantageuse : elles peuvent défiscaliser 60% de la valeur des produits donnés. Sauf qu’en diminuant le coût des stocks non écoulés, ce système permet aux entreprises de continuer à surproduire, sous couvert de “nourrir les pauvres”. Et ce n’est pas fini : les supermarchés n’hésitent pas à profiter du système pour se débarrasser de la malbouffe ou des aliments impropres à la consommation. Avec des conséquences sur la santé de celles et ceux qui en bénéficient. Et souvent, c’est aux bénévoles et salariés de l’aide alimentaire de jeter ce surplus, à la place des supermarchés. Dans un rapport de 2023, l’Ademe a confirmé qu’en moyenne 16% des denrées données finissent à la poubelle. Ce sont 38 milles tonnes de nourriture jetée, 11 millions d’heures de bénévolat inutiles et 74 millions d’euros perdus pour les associations. C’est un vrai scandale qui permet à l’Etat de se dédouaner de sa responsabilité à respecter le droit à une alimentation saine pour toutes et tous. Chez Riposte Alimentaire nous ne croyons pas à ce système qui profite toujours aux plus riches. Pour une alimentation saine, choisie et accessible, nous demandons la mise en place de la Sécurité Sociale de l’Alimentation Durable. Toi aussi, soutiens la résistance civile en faisant un don à la campagne Riposte Alimentaire : https://lnkd.in/eNwy5RZ2 #SSAD #alimentation #a22network #RiposteAlimentaire #scandale #aidealimentaire ___ Réalisation : @bachelot.valentin Typographie : @pepiteworld MotionDesign : @ododo_graphics ___ Sources : "Encore des patates", Pour une Sécurité Sociale de l’Alimentation, 2021 "Distribuer de la mal-bouffe aux pauvres tout en défiscalisant : les dérives de l’aide alimentaire", Basta, 2020 "Don alimentaire : « Des contrôles ? Quels contrôles ? »… Pourquoi la grande distribution fait-elle ce qu’elle veut ?", 20 minutes, 2024
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Villeurbanne vote une aide de 50 000€ à la Banque alimentaire. 🥦 🚫 La Banque alimentaire du Rhône, traditionnellement approvisionnée par la grande distribution et l'industrie agroalimentaire pour lutter contre la précarité alimentaire et le gaspillage, fait face à un manque de produits frais dans les denrées distribuées. En réponse, la ville de Villeurbanne a accordé une subvention de 50 000 euros à la Banque alimentaire pour l’achat d’œufs et de légumes bio, de saison, auprès de producteurs situés à moins de 300 km. 🥕 Depuis avril, cette subvention permet de tester une filière de produits de qualité. En trois mois, 8 structures d'aide alimentaire ont bénéficié de 9,5 tonnes de produits frais tels que tomates, courgettes, pommes de terre, carottes et œufs. Les bénéficiaires peuvent choisir les produits qu’ils souhaitent que la Banque alimentaire achète, en votant chaque mois pour leurs légumes préférés parmi cinq options proposées. 🤲 Les denrées sont redistribuées par la Banque alimentaire du Rhône à huit structures de l’aide alimentaire, notamment Les Amis de tous, Solidarités sans frontières et le Secours Populaire de Villeurbanne. Ces produits bio sont ainsi accessibles à prix modique ou gratuitement, au même titre que les autres denrées récupérées, permettant à un plus grand nombre de personnes d'avoir accès à une alimentation suffisante, choisie et de qualité.
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Et si un simple chèque pouvait changer la donne en matière d’accès à une alimentation de qualité pour les plus modestes ? C’est le pari audacieux d’une expérimentation innovante actuellement menée en Gironde. Son principe : permettre aux foyers défavorisés d’acheter des produits frais et locaux grâce à un chèque alimentaire mensuel. Les premiers retours sont plus que positifs et ouvrent la voie à un possible déploiement à plus grande échelle de ce dispositif prometteur. Un constat alarmant, une réponse concrète La précarité alimentaire est une réalité préoccupante en France. Selon les derniers chiffres, plusieurs millions de personnes peinent à avoir accès à une nourriture saine et équilibrée, se tournant souvent vers des produits peu chers mais de mauvaise qualité nutritionnelle. Face à ce constat, des initiatives émergent pour tenter d’enrayer le phénomène. Parmi elles, l’expérimentation d’un chèque alimentaire lancée il y a quelques mois dans le département de la Gironde. Le principe est simple : chaque mois, les foyers participants, sélectionnés sur critères sociaux, reçoivent un chèque de 30 euros par personne à dépenser exclusivement pour acheter des fruits, des légumes et autres produits frais auprès de commerçants et producteurs locaux agréés. L’objectif est double : permettre aux plus modestes d’accéder à une alimentation de qualité tout en soutenant les filières agricoles du territoire. Une approche participative et solidaire L’une des originalités de ce dispositif réside dans son mode de financement. Plutôt que de reposer uniquement sur des subventions publiques, il fait appel à la contribution de tous les participants, selon leurs moyens. Ainsi, chaque bénéficiaire verse une cotisation mensuelle, calculée en fonction de ses revenus. L’argent collecté est ensuite redistribué sous forme de chèques alimentaires, à hauteur de 150 euros par personne et par mois. Un système participatif et solidaire, qui responsabilise chacun. Avec ce chèque, je peux enfin acheter des fruits et légumes frais pour mes enfants chaque semaine. Avant, c’était un luxe qu’on ne pouvait pas se permettre. Karima, mère de famille bénéficiaire Des répercussions positives à plusieurs niveaux Au-delà de l’amélioration concrète des conditions de vie des familles concernées, cette expérimentation a des répercussions positives à plus grande échelle. Côté producteurs et commerçants locaux, c’est un vrai coup de pouce : la garantie d’une clientèle régulière et solvable, qui privileges les circuits courts. Pour les collectivités, c’est la satisfaction de voir les indicateurs de santé publique s’améliorer sur le territoire, avec une population mieux nourrie. Le chèque alimentaire agit finalement comme un cercle vertueux, bénéfique à la fois pour les consommateurs, les acteurs économiques locaux et la société dans son ensemble. Et les chiffres sont là pour en attester l’efficacité : en quelques mois, la consommation de fruits et légumes a bondi de 30% chez les...
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L’essentiel est là
Médecin gériatre et DESC médecine du sport Réadaptation gériatrique Éducation thérapeutique du patient
🌍 29 Septembre - Journée de Lutte Contre le Gaspillage Alimentaire 🍞🥕 Aujourd'hui, le monde de la santé se mobilise pour un avenir plus durable et respectueux de nos ressources ! 🌱 Les établissements sanitaires et médico-sociaux se joignent à la lutte contre le gaspillage alimentaire, car chaque geste compte, pour la planète comme pour le bien-être des patients et résidents. 💚 🍽️ Réduire, Réutiliser, Sensibiliser ! Nous travaillons chaque jour à : ✔️ Réduire les surplus alimentaires en optimisant les menus 🍲 ✔️ Sensibiliser les équipes et les résidents aux bonnes pratiques 👥 ✔️ Valoriser les restes de manière créative et responsable ♻️ Lutter contre le gaspillage, c’est non seulement protéger l’environnement, mais c’est aussi respecter la qualité et la valeur de chaque repas préparé avec soin. Ensemble, nous faisons la différence, pour la planète et pour les générations futures ! 🌟 Un immense merci à toutes les équipes qui s’engagent au quotidien et à toutes les personnes qui soutiennent cette démarche ! Ensemble, nous construisons un futur plus vert et plus conscient. 🌿✨ Continuons sur cette voie – chaque petit geste est une grande victoire pour l'avenir ! 💪🌍 #LutteContreLeGaspillageAlimentaire #SantéDurable #EtablissementsEngagés #RespectDeLaPlanète #TousEnsemble Sonia VELAY Lucie CARRIERE Souhela B. Marine de ORO - Tabourdeau Xavier Cormary Yann TANNOU Jean-Michel Bouchez Sandra Fonseca Pierre Mazaud Joly Christophe Manon PREVOST Arnaud Groult Audrey Féquet Marion Chartier Aurélie CABRERA Stéphane COHEN Thibault SARTINI Juliette MASSEAU Mariama Bouibed Dr Nicolas Dedieu Alexandre RAMETTE
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Soutien à la caisse alimentaire commune inspiré du principe de Sécurité Sociale de l'Alimentation. Retrouvez mon intervention au conseil municipal de Montpellier. L’objectif de ce dispositif est double : - D’une part rendre accessible une alimentation de qualité et choisie au plus grand nombre - D’autre part d’apporter une juste rémunération aux producteurs et leur permettre d’augmenter leurs ventes Mais il s’agit aussi pour les citoyens et les citoyennes de se réapproprier leur alimentation et d’agir sur les paysages alimentaires c’est-à-dire de permettre à chaque quartier d’avoir des circuits de distribution choisis démocratiquement avec des produits de qualité. Ce projet est porté par le collectif Territoires à VivreS Montpellier, un collectif composé de 25 structures dont la ville et la métropole de Montpellier mais aussi des associations, des entreprises et des instituts de recherche. La caisse est abondée par 3 fonds : - des fonds publics (principalement de la ville et la métropole), - des fonds privés (fondations) et - des cotisations des participants. Sa gestion a été confiée à un comité citoyen composé de 61 membres dont 50% qui vivent la précarité au quotidien. Ce comité citoyen a un rôle central. C’est ce collectif qui choisit notamment les commerces ou producteurs qui peuvent être conventionnés. Le principe de la caisse est le suivant : Chaque participant cotise à hauteur de ses moyens, entre 1€ et 150€ ou plus et reçoit 100€ à dépenser dans le circuit de distribution conventionné via une monnaie numérique, la Mona, qui a été créée pour l’expérimentation. Aujourd’hui 50 lieux de distribution ont été conventionnés dont 30 producteurs en direct. D’autres activités sont proposées autour de la caisse alimentaire commune : des ateliers cuisines, des conférences, des évènements festifs… Les premiers retours sont très positifs : - D’une part les cotisants qui utilisent souvent la Mona pour les achats plaisir et découvrent des commerces ou des marchés qu’ils n’avaient pas l’habitude de fréquenter - D’autre part les producteurs qui voient apparaitre de nouveaux clients et qui sont heureux de proposer leurs produits à des personnes en situation de précarité tout en pouvant vivre eux aussi dignement de leur production. Les producteurs ne souhaitent pas vivre de subvention. Ils préfèrent vendre leurs produits. https://lnkd.in/ezSympfw #CMMTP #SSA #Démocratie #Alimentation #Solidarité
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[LU DANS LA PRESSE] Nombreux parmi les adhérents de l'UGESS font état d'une baisse des produits issus de la ramasse (entre 10 et 15 % selon les épiceries). Les politiques d'optimisation des stocks et de gestion des invendus de la part de la GMS sont une des raisons de cette baisse. Cela a aussi eu un impact sur la qualité des produits issus du don : plus de produits frais à DLC dépassée, plus grande part de produits ultratransformés... L’instauration de la loi Garot en 2016 et l'obligation de dons des invendus de la grande distribution ont entrainé un afflux important de denrées dont ont pu bénéficier les associations, qui font face à un afflux toujours plus important de personnes. Mais elle a aussi eu des impacts négatifs : - difficultés à planifier les approvisionnements pour avoir une diversité de produits - charges logistiques importantes et besoin en bénévoles importants pour les opérations de tri. Dire que les actions de lutte contre le gaspillage alimentaire pénalisent la lutte contre la précarité alimentaire est faux. Il est nécessaire de décorréler ces deux politiques, même si l'une peut soutenir l'autre ponctuellement. Il est important de donner les moyens aux associations de ne plus subir leurs approvisionnements pour proposer aux personnes concernées une alimentation diversifiée, choisie et de qualité. Pour aller plus loin encore, il faut réfléchir à une politique qui permette un accès de toutes et tous à une alimentation choisie, de manière non stigmatisante. A ce titre, les dispositifs de caisses alimentaires territoriales, les épiceries ouvertes à tous avec des tarifs différenciés ou encore les groupements d'achat doivent être favorisées #alimentation #précarité #gaspillage https://lnkd.in/dpvVbT2b
Précarité : comment la lutte contre le gaspillage pénalise l'aide alimentaire - France Bleu
francebleu.fr
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