📢 Les premiers ministres changent, le problème du budget 2025 demeure : Peut-on redresser les finances publiques sans sacrifier les besoins sociaux et écologiques ? Quelles alternatives face à une austérité de plus en plus imposée ? Quelques conseils pour François Bayrou par l'économiste Eric Berr, qui analyse pour nous la situation économique de la France et de l’Union européenne, notamment à travers la politique de l’offre et ses impacts sur les finances publiques dans le dernier numéro de l’Economie Politique. Dans cet article, Eric Berre aborde les choix budgétaires du #gouvernement d'Emmanuel Macron, les défis posés par la politique néolibérale, et la nécessité d'une nouvelle politique économique pour faire face à la crise. Eric Berr plaide en faveur d'une plus grande coopération européenne, d'une réorientation vers des investissements publics productifs, et d'une fiscalité plus progressive pour soutenir la transition écologique. 📚 Cet article soulève des questions cruciales :
Post de Institut Veblen pour les réformes économiques
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France: Budget 2025, une arête de poisson dans la gorge du gouvernement. Le Budget 2025 de la France se révèle être une véritable arête de poisson coincée dans la gorge du gouvernement. Ce projet budgétaire, conçu pour relancer une économie encore convalescente après les multiples secousses mondiales, se heurte à de vives critiques. D'un côté, la majorité tente de défendre ses choix, s'efforçant de concilier relance économique, transition écologique, et maîtrise des dépenses publiques. De l'autre, l'opposition dénonce des coupes jugées trop sévères dans certains secteurs sensibles, tout en pointant du doigt une fiscalité qu’elle considère écrasante pour les classes moyennes. Dans les couloirs de l'Assemblée, l'atmosphère est tendue. Chaque ligne budgétaire est minutieusement scrutée, chaque chiffre devient un champ de bataille où se jouent les priorités d'une nation en quête de stabilité. Entre la nécessité de réduire le déficit public et les attentes croissantes des citoyens pour plus de services et de justice sociale, le gouvernement se trouve pris dans une impasse. Ce budget, destiné à projeter la France vers l'avenir, pourrait bien, paradoxalement, devenir l'obstacle qui freine sa marche. Face à ces débats, le Premier ministre et son équipe cherchent désespérément à éviter l’étouffement politique. Mais comme une arête de poisson, ce Budget 2025 continue de piquer et d'irriter, chaque tentative de passage en force risquant de provoquer une plus grande crise, à la fois économique et politique. Le défi est donc de taille : comment avaler cette arête sans y laisser trop de plumes ? Sam Kalifi
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Le Conseil d'analyse économique (CAE), rattaché à Matignon, préconise au prochain gouvernement une consolidation budgétaire draconienne. Pour revenir à des niveaux tenables, la réduction du déficit primaire devrait s'élever à 4 points de PIB, soit 112 milliards d'euros, étalée sur 7 à 12 ans. Un défi immense au moment où la France doit financer des montagnes d'investissement dans la transition écologique et dans la défense.
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#ENERGIE: Il va y avoir un retour européen à la rigueur budgétaire. L’objectif est de désendetter les pays membres. Évidemment, dans les opposants à cette décision de rigueur budgétaire, il y a tous ceux qui vivent de subsides étatiques non remboursés. Les partis écologistes qui ont l’habitude de puiser sans compter dans les impôts des citoyens pour octroyer des subsides, ils vont êtres forcés de commencer à réfléchir. Toutes les dépenses au nom de l’écologie qui sont une ruine sociétale, vont devoir être arrêtées. Conseils: que tous les secteurs énergétiques qui vivent de ces subsides non remboursés se préparent à un grand changement et/ou se reconvertirent. https://lnkd.in/dV-7YCyS
Le Parlement européen valide la réforme des règles budgétaires de l’UE
lesoir.be
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Un budget "transparent et responsable", voilà l'une des promesses exprimées par le ministre-président wallon, Adrien DOLIMONT, PhD (MR), lors de la présentation de son épure 📈 pour l'année prochaine. Avec un effort de 268 millions en 2025, sans qu'aucune nouvelle taxe ne soit levée, l'exécutif estime avoir fait le job. Si on peut y voir un premier signal encourageant, difficile de ne pas trouver l'exercice trop prudent. Vu la situation budgétaire 💶 préoccupante de l'entité, dont l'agence de notation Moody's vient de faire passer la perspective à négative, on n'aurait franchement pas rechigné devant un peu plus d'ambition. Prenons les économies: le gouvernement a décidé d'avancer en douceur. La méthode déjà éprouvée de la râpe à fromage, qui consiste à grappiller à tous les étages de la sphère publique, est toujours d'actualité. On est loin d'assister à un basculement, tant s'en faut. Évidemment, les évaluations des politiques publiques sont essentielles. Évidemment aussi, chercher à minimiser l'impact sur le citoyen 🙍 est défendable. Mais attention, une telle démarche ne permettra pas, à elle seule, de redresser le navire wallon. C'est inévitable, l'entité régionale devra oser décider, sans trop attendre, ce qu'elle veut vraiment poursuivre, adapter ou interrompre. Cessons la méthode Coué, arrêtons d'embellir la réalité dans les cercles gouvernementaux, des choix parfois lourds devront être posés, de vraies orientations décidées. Le 9 juin a accouché d'une nouvelle donne dans la politique wallonne, il faut la traduire dans les faits. Edito complet à lire dans L'Echo 👉 https://shorturl.at/3QUo7
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🎭 Chute du gouvernement Barnier : tragédie budgétaire ou comédie politique ? Mercredi soir, la motion de censure adoptée par 331 députés a fait chuter le gouvernement de Michel Barnier. Cette décision historique plonge la France dans une zone d’incertitude politique et économique. Sans budget voté pour 2025, quelles seront les conséquences pour les ménages, les entreprises et l’État ? 🔍 Les enjeux majeurs : Déficit sous pression : Reconduire le budget 2024 pourrait entraîner un gel des dépenses, tout en rendant les objectifs de réduction du déficit public (5 % du PIB) encore plus inaccessibles. Fiscalité impactée : Sans réindexation du barème de l'impôt sur le revenu, environ 400 000 ménages supplémentaires paieraient l'impôt, et 18 millions verraient leurs contributions augmenter. Croissance fragilisée : Le gel des investissements publics pourrait casser l’élan économique, déjà affaibli par une instabilité politique grandissante. Tensions sur les marchés financiers : Les taux d'emprunt français augmentent, creusant l’écart avec l’Allemagne et alimentant les craintes des investisseurs internationaux. Dans ce contexte, se faire accompagner par des professionnels pour comprendre les impacts économiques et ajuster vos choix patrimoniaux est plus que jamais indispensable. Anticiper et adapter sa stratégie face à ces bouleversements sera la clé pour protéger vos intérêts et sécuriser votre avenir. #Politique #Economie #Gouvernement #Budget2025 #France
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🔎 Majorité impossible, budget introuvable, réduction des déficits improbable : loin de la politique-fiction, ce scénario inquiétant prend chaque jour un peu plus de consistance. En proie à l’instabilité politique, la France doit-elle se préparer au pire ? On sait que le pays ne s’est jamais retrouvé sans budget au 1er janvier. C’est désormais une éventualité. Avec quelles conséquences économiques à l’heure où les taux français passent par des moments de plus forte tension ? Cette semaine, notre publication L’#EcoHebdo examine la question dans un contexte d’impasses budgétaires à haut risque. Notre senior economic adviser Hervé Goulletquer analyse les tenants et aboutissants d’une conjoncture où une désaffection pour les titres d’Etat français pourrait apparaître et où le scepticisme s’amplifie sur la capacité du pays à redresser ses comptes publics. Pour en savoir plus 👉 https://lnkd.in/eRy3rDgd
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La situation budgétaire de notre pays est grave. Des choix difficiles doivent être faits, et, je vous l’avais dit : je veux vous dire la vérité. C’est pourquoi j’ai décidé de prendre la parole hier soir au journal de 20h de TF1. À chaque rencontre que je fais depuis ma nomination, vous me dites « on compte sur vous ». Vous me dites aussi vos espoirs de progrès et vos exigences. Le budget que nous avons proposé en quinze jours n’est pas parfait, je le sais. Il peut et doit être amélioré. C’est le travail que mènent les parlementaires. Nous l’avons engagé dans le respect, l’écoute et le dialogue, sans naïveté, en appelant à la responsabilité de chacun. Il n’y a actuellement pas de majorité à l’Assemblée nationale. Il est ainsi probable que nous devions recourir au 49.3 pour faire adopter ce budget. Les oppositions auront alors la possibilité de déposer une motion de censure, et de faire tomber le gouvernement. Je respecte leur droit. Mais que se passerait-il alors ? Plus de budget. De graves turbulences sur les marchés financiers. De nombreux dysfonctionnements à tous les niveaux. Prenons un exemple : les agriculteurs. Ils attendent la mise en œuvre des engagements du gouvernement. Le budget 2025 va le permettre, ainsi que l’engagement de mesures annoncées récemment avec la ministre de l’Agriculture, pour répondre aux crises graves du monde agricole. Rejeter le budget, c'est compromettre l'accompagnement promis par l'État. La règle est claire. Je la connais. Mon sort dépend de l’Assemblée nationale. Mais soyez assurés d’une chose : tant que j’aurai votre confiance, je suis prêt à continuer, avec mon gouvernement, de servir la France, avec détermination et volonté. J’appelle les parlementaires à agir en responsabilité, et se soucier des équilibres dont a besoin notre pays. Nous avons besoin ensemble de relever la ligne d’horizon, une fois que ce budget, qui n’est pas tout, aura été adopté. L’écoute, le respect et le dialogue ne s’arrêteront pas là. Mon engagement est intact. Soyez-en assurés.
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🏛💸Barnier doit abandonner une politique budgétaire qui punit les Français💸🏛 Emmanuel Maurel, député du Val-d'Oise (groupe GDR) et animateur national de la GRS, était l'invité politique de franceinfo TV le vendredi 15 novembre 2024 à 7h45. Alors que le budget de l'État pour 2025 poursuit son parcours au Parlement, après le rejet de son volet recettes en 1ère lecture par les députés macronistes, LR et RN, il a rappelé ce qui guide notre action : "Ce que j'aimerais surtout, c'est que Michel Barnier abandonne la politique budgétaire qu'il veut mettre en œuvre, qui risque d'avoir des effets très graves pour l'économie de ce pays". Emmanuel Maurel a déploré le fait que le Premier ministre "refuse obstinément d'aller chercher l'argent là où on peut le trouver, c'est-à-dire sur les bénéfices des grandes entreprises ou chez les très riches". "La réalité du débat budgétaire pendant les trois semaines qui viennent de s'écouler, c'est que la gauche a fait des propositions qui, à mon avis, étaient constructives pour réduire le déficit, pour faire en sorte qu'il y ait un peu plus de justice fiscale. Et ce qu'on appelle le bloc central (qui n'est ni un socle, ni un bloc) s'est obstinément refusé à faire en sorte que les très grandes fortunes et les très grandes entreprises qui font des bénéfices participent à la vie économique de ce pays en payant un peu plus", a-t-il affirmé, y voyant "le principal problème du moment". #budget #budget2025 #PLF2025 #Parlement
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La crise budgétaire n’est-elle pas le meilleur moment pour faire accepter une réforme fiscale au niveau national et appeler à une réforme de la gouvernance économique européenne ? C’est la question que je pose dans ma chronique Le Monde de ce mois-ci.
Jézabel Couppey-Soubeyran : « La crise budgétaire est le moment opportun pour engager une réforme fiscale »
lemonde.fr
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💸📊 Connaissez-vous la différence entre la dette publique et le déficit public ? Sauriez-vous situer la dette de la France par rapport à ses voisins européens ? Avez-vous une idée des mesures d'économie envisageables ? Rendez-vous sur la page de l'Institut Montaigne pour suivre cette séquence dédiée au #Budget2025.
📣 [Nouvelle Séquence] Le gouvernement déposera dans les prochains jours son projet de loi de finances à l'Assemblée nationale, marquant le début d'une période budgétaire décisive pour l'avenir de notre pays. Avec une dette publique atteignant 𝟭𝟭𝟬,𝟲 % 𝗱𝘂 𝗣𝗜𝗕 - troisième plus élevée de la zone euro derrière la Grèce et l’Italie - notre trajectoire budgétaire est 𝗶𝗻𝘀𝗼𝘂𝘁𝗲𝗻𝗮𝗯𝗹𝗲 et 𝗶𝗻𝗰𝗼𝗺𝗽𝗮𝘁𝗶𝗯𝗹𝗲 avec le financement des priorités actuelles et futures, telles que la transition écologique et le renforcement de notre appareil de défense. Dans le prolongement des analyses et chiffrages réalisés lors de notre opération spéciale #Législatives2024, l’Institut Montaigne ouvre une grande séquence dédiée au #Budget2025 . 🎬 Première étape : nous dévoilons aujourd’hui une nouvelle note d’enjeux intitulée “𝗙𝗶𝗻𝗮𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗽𝘂𝗯𝗹𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 : 𝗹𝗮 𝗳𝗶𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗶𝗹𝗹𝘂𝘀𝗶𝗼𝗻𝘀”, portée par Lisa Thomas-Darbois, François Ecalle et Vianney Bourquard. Cette étude vise à éclairer le débat public sur les conséquences économiques, financières et politiques de notre 𝗱𝗲́𝗳𝗶𝗰𝗶𝘁 et identifie des mesures concrètes de 𝗿𝗲𝗱𝗿𝗲𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁. Elle met en évidence un paradoxe français : notre modèle d’État-providence est fortement plébiscité mais les finances publiques sont largement incomprises. Or, pour garantir la pérennité de ce modèle, il est urgent de rééquilibrer nos comptes. 📊 Dès lors et à des fins de pédagogie, nous identifions près d’une quarantaine de mesures d’économie couvrant des domaines clés - les retraites, la santé, l’efficacité de l’État, les collectivités territoriales, les dépenses fiscales, la fonction publique ainsi que les politiques publiques en matière d’emploi et de logement. Ces mesures sont susceptibles de générer pour près de 𝟭𝟱𝟬 𝗠𝗱€ 𝗱’𝗲́𝗰𝗼𝗻𝗼𝗺𝗶𝗲𝘀 et doivent être accompagnées d’un projet de société crédible et pérenne. ☝️ Les mesures présentées dans cette note sont des exemples ayant vocation à fournir quelques ordres de grandeur dans ce contexte politique contraint. Il ne s’agit pas de recommandations de mesures d’économies soutenues, seules ou collectivement, par l’Institut Montaigne. Découvrez la note en intégralité ici : https://lnkd.in/ex7dCQdj
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