L'approvisionnement en viandes durables et de qualité, issues de l'élevage herbager français, doit être la priorité dans la restauration collective, afin de promouvoir une consommation responsable. Au regard de la #LoiClimatRésilience, l'État ambitionne de soutenir cet objectif et vise un approvisionnement en viandes durables et de qualité de 60% pour la restauration collective et de 100% pour la restauration d'État. Cependant, les données issues de Ma Cantine révèlent que l’on est très loin de ce niveau d’approvisionnement sur le terrain. Et 55% des viandes bovines dans la restauration hors domicile sont encore importées. La visite du ministre de la Transformation et de la Fonction Publique Stanislas Guerini au Salon International de l'Agriculture a marqué un renouveau de l’engagement gouvernemental envers cette ambition. Par ailleurs, l'annonce par le Ministère de l'Agriculture et de la Souveraineté alimentaire d'une Conférence des Solutions sur la restauration collective ouvre de nouvelles perspectives. INTERBEV appelle à ce que les engagements pris soient respectés et souhaite être partie-prenante active à cette Conférence des Solutions. L'objectif est clair : garantir la #SouverainetéAlimentaire française pour une alimentation de qualité et durable. #SIA2024
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La restauration collective, par ses volumes d'achat peut avoir un effet de levier important sur les productions bio et labellisées locales. Depuis le 1er janvier 2024, tous les établissements publics comme privés de restauration collective ont l’obligation de servir des repas composés au minimum de 50 % de produits « durables et de qualité » (Label rouge, indications géographiques protégées…) dont 20 % de produits issus de l’agriculture biologique. Pourtant En 2022, un dixième des établissements de restauration collective français ont déclaré sur le site « ma cantine » leurs données d’achat. Seulement 11 % d’entre eux, dont on peut supposer qu’ils sont plutôt les « bons élèves », annonçaient alors respecter la loi. Nous avons donc une OBLIGATION sans contrôle et sans effets. Interpellons et aidons nos élus dans ces projets. Chaque hectare gagné en bio est un hectare perdu pour les pesticides.
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À l’heure où, en cette rentrée, les français effectuent un tri terrible dans leurs dépenses y compris alimentaires, jamais la volaille française n’a autant dépendu de nos achats. L’origine France 🇫🇷 est actuellement particulièrement malmenée, notamment, dans la restauration commerciale et collective. C’est un véritable problème pour toute la filière française alors même que la volaille, pèse en 2024, 33% de l’assiette des consommateurs de viandes en France (c’était 25% en 2002, 23% en 1993) avec une consommation de 26,7 kg/habitant (la moyenne U.E = 27). Sans surprise, le roi poulet correspond à 75% de la volaille consommée dans notre pays (c’était seulement 62% en 2012), la dinde = 16% (22% en 2012), le canard = 7% (14% en 2012) et la pintade =2% (2% en 2012). Pour autant, les nuages noirs s’amoncellent, en 2024, sur une filière avicole dont les coûts de production ont augmenté de plus de 50% depuis 2020 ! 70% du prix de revient d’un poulet venant essentiellement du prix de l’aliment et 18% du prix du poussin ! Ne nous berçons donc pas d’illusion non plus puisque la consommation de volailles en volume a baissé en 2022 et 2023 (-4,1% en volume) tout en augmentant en valeur ce qui doit s’interpréter comme une fuite des consommateurs devant les prix. En effet, au seins des produits carnés, c’est la volaille qui a connu la plus forte hausse de prix entre 2022 et 2023 (+18,1%) , certes après avoir été pendant plusieurs années la viande la moins inflationniste. Un souci majeur et redondant pour la filière : Tous canaux de distribution confondus, 1 poulet sur 2 consommés est aujourd’hui importé ! En 20 ans, le Label Rouge a ainsi perdu 11% de consommateurs alors que seul 10% des poulets consommés en France le sont en Label Rouge. Le poulet standard France (35% des poulets consommés) à également reculé de 8% par rapport à 2002 et c’est donc le poulet standard import qui en a bien profité (50% de la consommation) notamment en Restauration Hors Foyer (RHF) (35% de la consommation nationale). La reconquête de l’assiette en RHF s’annonce cruciale pour toute la filière de la volaille française…Pour ce faire, c’est le consommateur qui a les clefs mais le futur ministre de l’agriculture ne fera pas non plus l’économie de s’atteler à construire un plan stratégique pour toute une filière qui en a terriblement besoin. Interprofession ANVOL La Coopération Agricole SNIPO Interprofession CNPO LDC Groupe Yves de La Fouchardière Fermiers de Loué SOCIÉTÉ BRETONNE DE VOLAILLE Eureden Terrena Agrial FNSEA Xavier Bertrand Bruno Retailleau Assemblée nationale Sénat FEEF (Fédération des Entreprises et Entrepreneurs de France) Carole Cazaban Michel-Edouard Leclerc Dominique Schelcher Thierry Cotillard Michel Biero
Top Voice LinkedIn I Top Influenceurs #Favikon |Food Influence I Prospective Alimentaire /Strategie I Conférencière I Fondatrice Média State of Food I
🐔 La volaille française en crise : il faut sauver la volaille française ! La Cour des comptes vient de tirer la sonnette d'alarme sur la situation préoccupante de la filière avicole française : 🏭 Une production en chute de 22% entre 2000 et 2021 🌍 La France dégringole du 1er au 4e rang européen 💶 Perte colossale de 1,1 milliard d'euros pour la filière en 2021 Cette situation alarmante se traduit concrètement dans nos assiettes : 40% de la volaille consommée en France est désormais importée. Pourtant des solutions émergent : • 🏗️ Modernisation urgente des élevages et des abattoirs • 🌱 Développement de filières durables et compétitives • 📊 Meilleure adéquation entre l'offre et la demande du marché Ces changements nécessitent une coordination renforcée entre producteurs et industriels et une prise de conscience des consommateurs ! Des majeurs défis persistent : 💰 Coût estimé de la modernisation : 1,5 milliard d'euros 🕰️ Temps considérable pour reconstruire la filière Acheter français, c'est non seulement soutenir notre économie et nos agriculteurs, mais aussi garantir la qualité et la traçabilité de notre alimentation. Prêts à mettre plus de volaille française dans vos assiettes ? 🍗🇫🇷 https://lnkd.in/eRekCBna ******************** 🌿 Je suis Sandrine Doppler, consultante et experte du secteur de la #transitionalimentaire et du #food 🌍 Au quotidien, je partage sur LinkedIn mes analyses, décryptages et solutions pour vous aider à bâtir un système alimentaire durable et résilient. Mon expertise : 🔍 Focus prospective : note sectorielle, veille/signaux faibles, éductour et programme d'exploration. 🌱 Focus alimentation durable : diagnostic, conseil, ateliers, design thinking, mentoring et coaching. 💡 Focus conseil : diagnostic, accompagnement, ateliers, design thinking, mentoring et coaching. 🎤 Focus communication : conférences, interventions, formations, masterclass 📅 Planifiez dès maintenant un rendez-vous stratégique pour échanger sur vos enjeux et objectifs. 📩 Contactez-moi : sandrine.doppler@leffetdoppler.com
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Quelques chiffres clés repris par Olivier MEVEL sur la filière : il est temps de mener une réflexion …
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🍽 #Egalim à la cantine : 1 commune sur 5 respecte la loi, 2 sur 3 invoquent le surcoût. Les résultats de l'enquête de l'Association des maires de France et des présidents d'intercommunalité sont sur PLEINCHAMP - Prévisions météo, actualités agricoles, cours... MACANTINE #agriculture #alimentation
Egalim à la cantine : 1 commune sur 5 respecte la loi, 2 sur 3 invoquent le surcoût
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SNRC - Syndicat National de la Restauration collective : agir ensemble pour une alimentation responsable ! 🍽️ Dans le cadre de la #ConférenceDesSolutions qui aura lieu le 2 avril prochain en présence du ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire Marc Fesneau et de la ministre déléguée Agnès Pannier-Runacher, nous lançons la campagne :« agir ensemble pour une alimentation responsable » Ministère de l'Agriculture et de la Souveraineté alimentaire Ministère Écologie Territoires 👉 Approvisionnements locaux & français, travail des salariés en cuisine/salle, engagements en faveur de la #TransitionAlimentaire, qualité d’employeur responsable, collaboration avec les agriculteurs, lutte contre le gaspillage alimentaire, du champ à l’assiette pour une alimentation responsable : autant de sujets qui méritent d’être nourris par les acteurs de la #RestaurationCollective concédée. Ensemble, mobilisons-nous autour de la Conférence des solutions, un moment crucial pour défendre et accompagner le modèle social de la restauration collective à la française, qui nous est cher à tous ! 📢 Pour répondre collectivement aux enjeux qui se présentent au secteur, le SNRC portera la voix de ses adhérents en mettant en avant la diversité des lieux d’intervention. 👀 Restez attentifs ! #AlimentationDurable #Macantine #SouverainetéAlimentaire #LoiEgalim
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🐔 La volaille française en crise : il faut sauver la volaille française ! La Cour des comptes vient de tirer la sonnette d'alarme sur la situation préoccupante de la filière avicole française : 🏭 Une production en chute de 22% entre 2000 et 2021 🌍 La France dégringole du 1er au 4e rang européen 💶 Perte colossale de 1,1 milliard d'euros pour la filière en 2021 Cette situation alarmante se traduit concrètement dans nos assiettes : 40% de la volaille consommée en France est désormais importée. Pourtant des solutions émergent : • 🏗️ Modernisation urgente des élevages et des abattoirs • 🌱 Développement de filières durables et compétitives • 📊 Meilleure adéquation entre l'offre et la demande du marché Ces changements nécessitent une coordination renforcée entre producteurs et industriels et une prise de conscience des consommateurs ! Des majeurs défis persistent : 💰 Coût estimé de la modernisation : 1,5 milliard d'euros 🕰️ Temps considérable pour reconstruire la filière Acheter français, c'est non seulement soutenir notre économie et nos agriculteurs, mais aussi garantir la qualité et la traçabilité de notre alimentation. Prêts à mettre plus de volaille française dans vos assiettes ? 🍗🇫🇷 https://lnkd.in/eRekCBna ******************** 🌿 Je suis Sandrine Doppler, consultante et experte du secteur de la #transitionalimentaire et du #food 🌍 Au quotidien, je partage sur LinkedIn mes analyses, décryptages et solutions pour vous aider à bâtir un système alimentaire durable et résilient. Mon expertise : 🔍 Focus prospective : note sectorielle, veille/signaux faibles, éductour et programme d'exploration. 🌱 Focus alimentation durable : diagnostic, conseil, ateliers, design thinking, mentoring et coaching. 💡 Focus conseil : diagnostic, accompagnement, ateliers, design thinking, mentoring et coaching. 🎤 Focus communication : conférences, interventions, formations, masterclass 📅 Planifiez dès maintenant un rendez-vous stratégique pour échanger sur vos enjeux et objectifs. 📩 Contactez-moi : sandrine.doppler@leffetdoppler.com
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Comment faire comprendre que nous allons bientôt manquer de lait, d’œufs, de légumes, de fruits français de qualité si les producteurs autour de nous ne s’en sortent pas ? Voilà plus de cinquante ans que notre société ne parvient plus à protéger ceux qui chaque jour produisent de la nourriture pour les autres. Nous sommes passés de 1500000 exploitations en 1970 à 395 000 aujourd’hui, et chaque jour ce chiffre diminue (27 exploitations agricoles mettent la clé sous la porte en France toutes les vingt-quatre heures). Face à la destruction trop rapide de ce patrimoine collectif si important pour notre avenir, nous avons vu augmenter mécaniquement en parallèle l’arrivée d’une quantité importante de produits venus de l’étranger. Ainsi, un fruit ou légume sur deux consommé aujourd’hui en France est importé. Même situation pour le poulet, le beurre ou les produits laitiers (40 % du beurre et 36 % du fromage ont une origine étrangère) qui nous rendent dépendants désormais de l’extérieur. Aujourd’hui, on compense le manque de production française par des importations, mais dans le contexte géopolitique que l’on connaît, continuer de faire le pari de ces bateaux venus du bout du monde pour nous apporter de la nourriture n’est plus tenable. Compter sur ces livraisons qui parcourent 20 000 kilomètres pour apporter de la nourriture dans nos assiettes n’a vraiment pas de sens. Soutenir les producteurs et protéger cette si précieuse nourriture à nos portes est une priorité absolue. Ceux qui nous nourrissent tous les jours doivent pouvoir vivre dignement de leur métier. » [Extrait du manifeste écrit par les consommateurs en soutien aux producteurs] « QUI DÉCIDE ? NOUS ! Le futur de notre alimentation est entre nos mains, ne laissons pas les producteurs disparaître. » Éditions Michel Lafon - 2,90€ tous les bénéfices sont reversés aux producteurs. Je serai lundi à 10h00 sur LCI, à 12h30 sur FranceInfo TV et samedi à La Sorbonne pour en parler #SoutienAuxProducteurs #LePatronCestLeConso Fonds de Soutien aux Producteurs C'est qui le Patron ?! La Marque du Consommateur MARTIAL DARBON Jerome Chapon Victoria Fabre Elsa Canot Mahfoud Yacef Marie BEROULLE Célia Darnis
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Logique à toute épreuve : - on veut rester autonome et souverain sur des biens et activités stratégiques vitales pour la France et l'Europe (la production de denrées agricole ma parait en faire partie), - on veut garder nos emplois agricoles et valoriser ces métiers nobles par essence, on veut limiter leurs subventions (on doit donc entre autres actions tout faire pour réduire leurs contraintes et concurrence, par exemple en leur accordant plus de marge plutôt que celle des distributeurs), - on veut prolonger notre espérance de vie en bonne santé le plus longtemps possible (éviter d'ingérer des molécules toxiques dans nos aliments comme les produits phytosanitaires et pesticides), - on veut limiter le gaspillage d'énergie (comme le pétrole pour les transports d'un bout de la planète à l'autre), - on veut réduire la pollution aux hydrocarbures (pétrole pour les transports de marchandise), - on veut limiter le réchauffement climatique (sauf en ce qui concerne les climatosceptiques qui sont paradoxalement de plus en plus nombreux alors que les preuves sont sous nos yeux et dans la chair des victimes des catastrophes climatiques plus violentes et fréquentes !), - on veut bien d'autres choses toutes aussi pleines de bon sens... Mais qui est "on" ? C'est "nous", nous les citoyens. Alors "on" décide de poursuivre la logique du Mercosur et probablement de le signer car "c'est notre projet" "quoiqu'en" disent les électeurs et citoyens ... Problème, ce "on" là n'est pas "nous" citoyens, ce sont "nos" professionnels de la politique qui répondent à une autre logique qui est celle plus forte (compte tenu des chiffres d'affaire de ces secteurs) puisqu'elle les maintient au pouvoir. C'est la logique du profit instillée par les lobbies du pétole et des grands industriels agrochimiques. C'est donc logique puisqu'"on" n'a pas les mêmes "objectifs".
🥛 Fondateur de "C'est qui le Patron ?! - La Marque du Consommateur" #SoutienAuxProducteurs - 🍎 Fondateur « Les Gueules Cassées » #StopAuGaspi
Comment faire comprendre que nous allons bientôt manquer de lait, d’œufs, de légumes, de fruits français de qualité si les producteurs autour de nous ne s’en sortent pas ? Voilà plus de cinquante ans que notre société ne parvient plus à protéger ceux qui chaque jour produisent de la nourriture pour les autres. Nous sommes passés de 1500000 exploitations en 1970 à 395 000 aujourd’hui, et chaque jour ce chiffre diminue (27 exploitations agricoles mettent la clé sous la porte en France toutes les vingt-quatre heures). Face à la destruction trop rapide de ce patrimoine collectif si important pour notre avenir, nous avons vu augmenter mécaniquement en parallèle l’arrivée d’une quantité importante de produits venus de l’étranger. Ainsi, un fruit ou légume sur deux consommé aujourd’hui en France est importé. Même situation pour le poulet, le beurre ou les produits laitiers (40 % du beurre et 36 % du fromage ont une origine étrangère) qui nous rendent dépendants désormais de l’extérieur. Aujourd’hui, on compense le manque de production française par des importations, mais dans le contexte géopolitique que l’on connaît, continuer de faire le pari de ces bateaux venus du bout du monde pour nous apporter de la nourriture n’est plus tenable. Compter sur ces livraisons qui parcourent 20 000 kilomètres pour apporter de la nourriture dans nos assiettes n’a vraiment pas de sens. Soutenir les producteurs et protéger cette si précieuse nourriture à nos portes est une priorité absolue. Ceux qui nous nourrissent tous les jours doivent pouvoir vivre dignement de leur métier. » [Extrait du manifeste écrit par les consommateurs en soutien aux producteurs] « QUI DÉCIDE ? NOUS ! Le futur de notre alimentation est entre nos mains, ne laissons pas les producteurs disparaître. » Éditions Michel Lafon - 2,90€ tous les bénéfices sont reversés aux producteurs. Je serai lundi à 10h00 sur LCI, à 12h30 sur FranceInfo TV et samedi à La Sorbonne pour en parler #SoutienAuxProducteurs #LePatronCestLeConso Fonds de Soutien aux Producteurs C'est qui le Patron ?! La Marque du Consommateur MARTIAL DARBON Jerome Chapon Victoria Fabre Elsa Canot Mahfoud Yacef Marie BEROULLE Célia Darnis
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[𝐀𝐆𝐑𝐀 PRESSE] L'information du jour à ne pas manquer 🌍 La révolution de la restauration hors domicile (RHD) est en marche ! 🍽️ D'ici 10 ans, les Français pourraient consommer la moitié de leurs repas à l'extérieur, bouleversant notre manière de nous nourrir et probablement de produire. Les enjeux sont énormes pour l’agriculture française : des filières comme le poulet, les œufs et les pommes de terre trouvent des relais de croissance. A l'inverse, la viande bovine souffre de la pression des importations, tandis que les labels butent face à la simplification de l'offre. 👉 Quel avenir pour la Ferme France face à cette transition ? Rien n'est encore écrit 👉 Cliquez ici pour découvrir Agra Presse et accéder à toutes ses informations et analyses exclusives ! ➡️ https://lnkd.in/enPiWcM3 #Restauration #Agriculture #TendancesAlimentaires #FermeFrance #Innovation #Consommation
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ACT food à l’AG de l’ABEA : de la nécessité d’une rationalisation économique ACT food était présent à la dernière assemblée générale de l’ABEA (Association bretonne des entreprises agroalimentaires) qui s’est déroulée le 4 juillet dernier dans un contexte « sportif », au stade du Roudourou à Guingamp. Son fil directeur : l’engagement et la notion de collectif, des valeurs chères à l’ABEA que l’on retrouve également dans la pratique sportive. Avec la présence notamment de Thibaut Guilluy, directeur général de France Travail, Alessandra Kirsch, directrice générale d’Agriculture Stratégies et Jean-Yves le Drian, ancien ministre des armées et des affaires étrangères. Alessandra Kirsch a notamment partagé son expertise sur les impacts et les transitions de notre modèle alimentaire en abordant les aspects économiques, environnementaux et géopolitiques. Elle a expliqué qu’une organisation en filière doit se construire autour d’un tissu socio-économique (services, fournisseurs, clients…) et d’une rationalisation économique. Pour cela, elle a pris l’exemple de l’élevage : la collecte de lait, la proximité d’usines de transformation et d’abattoir, etc. Elle a également fait le constat que des exploitations d’élevage disséminées sur le territoire rend quasi impossible une réponse efficace à ce besoin économique de rationalité. Parce qu’avec le changement climatique, l’accès à l’eau dans certaines zones sera de plus en plus difficile et les aléas climatiques vont impacter les productions (comme par exemple la production fourragère). On risque en effet d’assister à une augmentation de la demande en ressource fourragère du fait de la compétition entre les usages alimentaires et non alimentaires (biomatériaux pour la construction et énergie par la méthanisation). Elle nous a également expliqué que les nouveaux modèles alimentaires nécessitent une rationalisation économique avec la capacité de mutualisation de moyens. Il sera donc nécessaire d’optimiser les circuits logistiques, d’investir dans des outils plus performants, de partager le travail sur les exploitations de façon à répartir les astreintes. Le progrès technique et la rationalisation permettront alors d’aboutir à de meilleures performances environnementales en limitant notamment la durée des transports. Pour en savoir plus sur Alessandra Kirsch : https://lnkd.in/ef9YQ9aw INNOZH Vegenov ADRIA IDmer - Food products and byproducts expertise CEVA (Centre d'Etude et de Valorisation des Algues) Carnot AgriFood Transition Stéphanie PEDRON Marie Turner Céline Hamon Benedicte Le Gouil Nadia LE DEN Olivier Le Nezet Arnaud Lécuyer Daniel Sauvaget Cécile D. Juliette Clément Elisabeth DEBOISE Carole Thibault Véronique Bonnier Marie GLEONEC Elisabeth Payeux Françoise Gorga Bertrand FAURE ERIC GRALL ABEA, le réseau de l'Agro Breton Alessandra Kirsch
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