🗓️ Parmi les nombreuses manifestations scientifiques prévues en janvier à l'ISJPS : ▫️Cinquante ans après la décision #IVG du 15 janvier 1975 : une jurisprudence en questions Agnès Roblot-Troizier Julien Bonnet ▫️Approches comparative et empirique de la #justice #transitionnelle #réparatrice #restaurative Isabelle Fouchard Kathia Martin-chenut ▫️#Raison et #critique ▫️#Philosophie & #droit des #données : Mariavittoria Catanzariti, Souveraineté et gouvernance des données dans l'ordre mondial Henri Salha ▫️Actualité sur le #genre : Pauline Clochec pour "Après l’identité. Transitude et féminisme" Alexandrine Nedelec Marie Garrau Et d'autres événements à retrouver dans #AgendaISJPS 👉 https://lnkd.in/eqf4t_t7 Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne | CNRS
Post de Institut des sciences juridique et philosophique de la Sorbonne
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#Publication 📚 | Maxime Launay, chercheur en #Histoire, #SociologieMilitaire à l'IRSEM, publie pour la Fondation Jean-Jaurès une nouvelle étude portant sur la #CriseAntimilitariste des années 1970. 🔍 Si cette crise s'inscrit dans le mouvement politique et social de #Mai68, marqué par une forte contestation des institutions d'ordre, ce dernier ne l'explique pas totalement. 📖 Maxime Launay retrace, au fil de la décennie 1970, les mutations profondes de la société (#DépriseDuFaitMilitaire, promotion de l'individualité) ainsi que la politisation des questions militaires à l’œuvre. 🌍 L'#Antimilitarisme prend ainsi différentes formes : opposition aux essais nucléaires, critiques des ventes d'armes, remise en cause du #ServiceNational — et est incarné par différents acteurs : #ExtrêmeGauche, #Écologistes, #Avocats, appelés du contingent contestataire... 💡 En éclairant le contexte national et international de l'époque, Maxime Launay nous permet de mieux comprendre les dynamiques sociales et politiques de l'#antimilitarisme des années 1970. 📖 Pour lire l'étude (en accès libre !) : https://shorturl.at/q4PlT.
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Il est honteux et fort dommageable de voir que cette prestigieuse école soit devenue « l’autel de l’instrumentalisation politique » de certains membres de la LFI qui, comme toujours, se revendiquent être « les défenseurs en titre » de la cause palestinienne, en attisant la haine du militantisme d’étudiants engagés. On peut aisément soutenir une cause découlant d’un conflit, sans pour autant être dans cette ultra violence permanente, allant jusqu’à faire l’apologie du terrorisme, et en laissant les étudiants non engagés poursuivre leurs cursus dans des conditions pérennes. L’action de cette extrême gauche divisée est parfaitement réfléchie et orchestrée, car son véritable but est d’accroître son réservoir électoral en s’emparant d’un conflit, dont elle est loin d’en maîtriser toute la complexité. Un conseil : l’alliance avec les islamistes ne paie jamais, comme le démontre les précédents en la matière : US, IRAN ( liste non exhaustive).
Sciences Po : LFI « soutiendra » d’éventuels nouveaux blocages, assure Mathilde Panot
lefigaro.fr
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Qu’est-ce que la (méta)politique ? Qu’est-ce que la ou, mieux, le politique ? Comment décrypter ce « terrain de jeu », y déceler des constantes, les acteurs et les rapports de force toujours mouvants qui y sont à l’œuvre ? Peut-on y agir de manière utile et efficace ? À quelles conditions concilier combat métapolitique et engagement politique ? C’est à ces questions et à la définition de notions essentielles (souveraineté, puissance, manipulation…) que s’attache cet exposé, en s’appuyant notamment sur Aristote, Machiavel, Carl Schmitt, Julien Freund, Alain de Benoist ou encore l’ouvrage indispensable d’Henri Levavasseur : L’identité, socle de la Cité – Réconcilier ethnos et polis (La Nouvelle Librairie, coll. Cartouches de l’Institut Iliade, 2021). La politique n’est pas une activité louable, vaine ou sale en soi : elle est ce que chaque militant en fait, en fonction des circonstances et des enjeux du moment. Dans ce domaine aussi, ceux qui seront les mieux formés et armés intellectuellement sauront saisir le Kaïros – le moment opportun pour une « action agissante » sur le monde et le destin de nos peuples. Les inscriptions au prochain cycle général (2024/2025) sont ouvertes tout au long de l'année. Informations, conditions et inscriptions : https://lnkd.in/ezf2Up8i
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📽 Journées de l’UCLy | Revivez en vidéo le Dialogue entre théologiens - Effondrement et espérance chrétienne, dialogue entre Olivier Artus, recteur de l’Université Catholique de Lyon et Olivier de Germay, archevêque de Lyon et animé par Anaïs Sorce, journaliste chez RCF Lyon. 💭 Au programme de cette seconde édition des Journées de l’UCLy, un thème d’actualité essentiel, celui de la vulnérabilité des institutions qui structurent nos sociétés. S’agit-il d’un début d’effondrement ? Notre système démocratique est-il menacé ? Dans ce contexte, quels sont les lieux de résilience et quels sont les moteurs de reconstruction pour nos sociétés ? Qu’en disent les théologiens ? À l’initiative de la Chaire d’Université Vulnérabilités, l’UCLy a organisé cet événement dans le prolongement de la réflexion initiée il y a deux ans, qui avait mis en lumière nos vulnérabilités individuelles et collectives, et tout particulièrement la fragilité croissante des institutions. Le Dialogue entre théologien est disponible en streaming sur KTO : https://lnkd.in/dEGywDGd
Journées UCLy - Dialogue entre théologiens - Effondrement et espérance chrétienne — KTOTV
ktotv.com
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🔴 Le mardi 23 avril à l'Institut Catholique de Toulouse se déroulera le colloque 𝗚𝗲́𝗻𝗼𝗰𝗶𝗱𝗲𝘀 𝗼𝘂𝗯𝗹𝗶𝗲́𝘀 𝗲𝘁 𝗰𝗼𝗻𝘁𝗲𝘀𝘁𝗲́𝘀 : 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗿𝗲𝗰𝗼𝗻𝗻𝗮𝗶𝘀𝘀𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗺𝗲́𝗱𝗶𝗮𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗮̀ 𝗹𝗮 𝗿𝗲𝗰𝗼𝗻𝗻𝗮𝗶𝘀𝘀𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗷𝘂𝗿𝗶𝗱𝗶𝗾𝘂𝗲 organisé par la chaire Vulnérabilités et mutations du Droit de l'UR CERES - Culture, Ethique, Religion et Société, en partenariat avec le Mémorial de la Shoah (antenne Sud). ✅ Sur une scène internationale pleine de bruits et de fureur, l’invocation du crime de génocide est de plus en plus fréquente, sinon systématique. Ce crime, l’une des pires horreurs du genre humain, caractérise l’atteinte la plus grave aux droits des peuples : le déni de leur existence par leur élimination. Parfois avec cynisme, cette accusation est devenue un moyen de frapper d’anathème son adversaire, ainsi qu’en témoignent des agressions récentes qualifiées de conflits armés par le droit des gens, et ce au détriment des exigences du droit. La question de la reconnaissance des génocides, tant judiciaire qu’institutionnelle, se pose donc toujours avec acuité, tant pour établir le crime que pour poursuivre et condamner les coupables et permettre aux victimes de se reconstruire. Malgré une définition doctrinale conçue il y a quatre-vingts ans par Raphaël Lemkin en pleine Seconde guerre mondiale, et en dépit de la convention internationale de 1948 ratifiée par plus de 150 Etats, ce crime peine à faire consensus sur sa définition même, tant parmi les juristes que vis-à-vis des autres disciplines, historique et anthropologique notamment. Il est donc proposé ici une réflexion sur l’acte de reconnaissance en tant que tel, ses difficultés et ses conséquences. ✅ Programme à télécharger ici : https://lnkd.in/e7iUUcvM ✅ Entrée libre sur inscription : https://lnkd.in/eRXNMdTn #recherche #colloque #genocide #droit #juridique #reconnaissance #universitaire #scientifique
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Ma recension de l’ouvrage collectif « Militantismes de guichet. Perspectives ethnographiques » vient de paraître dans le nouveau numéro de la Revue française de science politique. Dirigé par Martina Avanza, Jonathan Miaz, Cécilé Péchu et Bernard Voutat, c’est un ouvrage passionnant pour questionner l’institutionnalisation des causes et les tensions entre les logiques d’assistance et de protestation.
Revue française de science politique 2023/4-5 (Vol. 73)
shs.cairn.info
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La Chaire Lexum et le Centre de recherche en droit public ont le plaisir de vous inviter à la conférence « La constellation néolibérale : idéologie, résistance et subsistance » de Dr. Thibault Biscahie. 📅 4 avril 2024 ⌚16h30 📍 Laboratoire de cyberjustice (B-2215), Pavillon Jean-Brillant 3200 rue Jean-Brillant, Montréal, Québec, H3T 1N8 📝 Inscription: https://lnkd.in/gsSN22cy Description sommaire : Qu’entend-on par le terme « néolibéralisme » ? À quelle histoire intellectuelle, politique, juridique, économique et sociale renvoie-t-il ? Désigne-t-il un moment historique révolu, ou garde-t-il toute son acuité dans la période actuelle ? Le concept renvoie en premier lieu à un corpus multidisciplinaire façonné tout au long du 20e siècle par des idéologues transatlantiques d’obédiences diverses. Leurs travaux sont cependant traversés par la même volonté d’isoler la prise de décision économique des vicissitudes démocratiques et de limiter le pouvoir discrétionnaire des gouvernements dans les domaines économiques et sociaux. Dans ce nouvel ordre juridique, les marchés fonctionnent par l’entremise d’arrangements institutionnels complexes, soutenus par des mécanismes élaborés à différents niveaux de gouvernance : à l’échelon national (textes constituants), à l’échelon communautaire (« marché institutionnel » européen), ainsi qu’à l’échelon global (traités internationaux). Si ces contraintes juridiques expliquent la surprenante résilience du modèle de développement néolibéral en dépit des profondes crises que celui-ci traverse, elles en soulignent également la fragilité hégémonique. En témoignent les nombreux mouvements de résistance nationaux et transnationaux que ces politiques suscitent. Ces mobilisations – ainsi que leur répression, plus ou moins féroce – signalent avec force que, loin d’être un projet politique entièrement abouti, la gouvernance néolibérale demeure un phénomène contesté, dont la pérennité dépendra en dernière instance de la capacité des peuples à faire entendre leur voix, et à tracer des chemins de développement alternatifs moins destructeurs de la biosphère comme de la cohésion sociale. Biographie du conférencier: Thibault Biscahie est chercheur postdoctoral au Centre de recherche en droit public (CRDP) à l'Université de Montréal. Il est titulaire d'un doctorat en sciences politiques de l'Université York (Toronto) et d'une maîtrise en relations internationales de Sciences Po Lille. Il a également étudié à l'Université du Québec à Montréal et à l'Université Aix-Marseille. Il a enseigné le droit international humanitaire à l'Université York et l'histoire des relations internationales à l'Université de Toronto. Ses recherches portent notamment sur le néolibéralisme, l'économie politique internationale et la reconfiguration des clivages politiques en France et dans l'Union Européenne. Karim Benyekhlef Valentin Callipel
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Notre prochain événement : le 8 mai à l’Institut Pierre Werner en collaboration avec le Liser et Les Territoires de la Mémoire A partir de notre livre, les intervenants de la soirée aborderont les questions de la migration, l’intégration et la citoyenneté en croisant leurs perspectives d'autrices et de chercheurs. Ils interrogeront ensemble ces enjeux - d'actualité toujours brûlante - dans un monde où les crises attisent les inégalités et les fractures tout en mettant en relief l'interdépendance de l'humanité.
Regards croisés sur la migration, l’intégration et la citoyenneté — Institut Pierre Werner Luxembourg
ipw.lu
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#RhizomeSélection Nous vous avions déjà partagé quelques apparitions dans les média de Hugo Micheron, nous vous en recommandons une nouvelle. Dans cet entretien proposé par Arte, le politologue nous parle des liens entre innovations et enjeux démocratiques : comment des groupes religieux ou politiques peuvent instrumentaliser les intelligences artificielles au profit de leur propagande ou pour déstabiliser le débat public, et l'importance de saisir ces enjeux rapidement pour pouvoir y répondre de manière adéquate. https://lnkd.in/e_hQpjyC
L'IA menace-t-elle la démocratie ? - L'Europe dans l'oeil du cyclone avec Hugo Micheron - Regarder le documentaire complet | ARTE
arte.tv
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Nouvelle collaboration avec Sciences Po Grenoble, partenariat que je dois à Alain Faure, politologue qui investit le champ des émotions dans la politique. https://lnkd.in/e9niq7w5 https://lnkd.in/eR6NSct2 Ce nouveau partenariat est le fruit d’échanges passionnants qui se concrétisent suite à ma participation dans les ateliers élus territoriaux d’Alain au sein de l’IEPG. Nous vivons en ce moment une période de bouleversements assez inédite dans la société française, avec beaucoup d’incertitudes, de peurs et de colère exprimées et par nos représentants, et par les gens qui les choisissent. Il est justement nécessaire, et même crucial, d’avoir une réflexion poussée sur le lien entre politique, citoyenneté et émotions. Et la voix de nos représentants, aussi bien du point de vue figuré (contenu) qu'acoustique (signal sonore) est une excellente porte d’entrée et d’analyse du champ politique du moment. C’est à ce titre que j’aurai donc le plaisir de collaborer avec Alain l’année prochaine, pour pousser cette réflexion un peu plus loin et éventuellement fournir des publications dans un champ qui est peu investi jusqu’alors dans le champ de la recherche : celui de la voix, des émotions et de la politique. #élusterritoriaux #SciencePoGrenoble #Voix #émotionsenpolitique
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