La semaine dernière se tenait au Havre le 93ème congrès national de l’Unccas qui regroupe les CCAS de France. Je me rends compte que le rôle du CCAS n’est pas ou mal connu. A Montivilliers, en tant que Maire de la Ville, je préside le C.A du Centre Communal d’Action Sociale qui est un établissement public local d’action sociale. Notre CCAS est un acteur local au cœur des solidarités. Son rôle est d’aider et d’accompagner les personnes et les familles qui en expriment le besoin. Il s’articule autour de plusieurs axes : la prévention, l’accès aux droits et au numérique, l’action sociale, le logement, l’urgence sociale, l’accompagnement des publics vulnérables mais aussi un suivi en direction de nos seniors. A Montivilliers, nous avons des actions bien connues en direction des seniors : les colis de Noël, le repas des aînés ou les voyages avec l’ANCV. En dépit des difficultés que traversent les Villes avec la crise financière, nous avons fait le choix de maintenir toutes ces activités. En début de mandat, en pleine crise sanitaire, j’ai souhaité créé une plateforme téléphonique d’accueil, d’écoute et de services pour prendre des nouvelles des personnes isolées. Parce que les solidarités sont au cœur de notre action municipale, je pourrais aussi vous parler des actions au sein de nos deux résidences autonomie, de la mise en place des paniers solidaires avec GRAINE EN MAIN, de l’épicerie sociale, de notre suivi autour des violences intrafamiliales ou encore de l’implication dans l’OPAH – RU (opération programmée d’amélioration de l’habitat – rénovation urbaine). Et depuis deux années, nous avons une Maison France Services à Montivilliers qui est adossée à notre CCAS de manière à créer des complémentarités. Afin de lutter contre la fracture numérique, un espace public numérique animé par un conseiller permet aux administrés de réaliser les démarches en ligne. Il propose également des ateliers numériques. Nous y avons une permanence des Finances Publiques, du CLIC (Centre Local d’Information et de Coordination Gérontologique), d'un service d’aide à domicile, de France Alzheimer, d'AVRE 76 (Aide aux victimes), du CIDFF (Centre d’Information sur le Droit des Femmes et des Familles), d'ADEVA (association de défense des victimes de l’amiante), d'ATMP 76 (association tutélaire), du CLAHJ 76 (logement des jeunes), de CREE.RH (insertion professionnelle) ou encore d'un Conciliateur de Justice. Lors du congrès, nous sommes de nombreux élus et responsables associatifs à avoir exprimé nos inquiétudes sur les moyens consacrés à la solidarité, dans le contexte de coupes budgétaires et des réformes à venir par le Gouvernement. Et je suis inquiet si nous ne pouvons plus correctement agir en direction de nos aînés ou prendre soin de celles et ceux qui connaissent une difficulté parce qu’ils se séparent, qu’ils ont subi un licenciement, qu’ils vivent une galère et qu’ils ont besoin d’un conseil. Je vous invite à regarder ce court reportage de France 3 ⤵️
Post de Jérôme Dubost
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#impactsurlesterritoires | Jeudi 23 octobre, se sont réunis à l’hôtel de ville Cécile Helle, Maire de la Ville d'Avignon, Céline Argenti-Dubourget Directrice générale de la MSA Alpes-Vaucluse - Mutualité Sociale Agricole et Christian Delafosse et Etienne Ferracci, Directeur et Président de la Caf de Vaucluse pour la signature de la Convention Territoriale Globale (CTG). Cette seconde CTG est le fruit d'un travail d’équipe, d'un diagnostic partagé, visant à répondre avec précision aux besoins des familles avignonnaises. Elle couvre ainsi plusieurs champs : la petite enfance, l’enfance, la jeunesse, la parentalité, l’accès aux droits et aux services, l’inclusion numérique, l’animation de la vie sociale, le logement, le handicap et l’accompagnement social. La CTG s’adapte ainsi aux particularités de la Ville d'Avignon qui concentre 25% de l’investissement social de la Caf de Vaucluse, soit plus de 189 millions d’euros, dont 180 millions de prestations légales versées chaque année aux 29 000 foyers allocataires avignonnais. Au-delà de son rôle essentiel de conseil et d’ingénierie auprès des porteurs de projets sur la commune, la Caf accompagne et finance notamment : • 36 crèches ; • 5 Lieux d’accueil enfants parents (LAEP) ; • 19 accueils de loisirs sans hébergement ; • 10 contrats locaux d’accompagnement scolaire (CLAS) ; • 1 foyer de jeunes travailleurs (FJT) ; • 7 centres sociaux, et de nombreux autres projets sont financés au profit des structures municipales et du tissu associatif avignonnais. Cette CTG engage la Caf de Vaucluse et ses partenaires à relever ensemble 4 défis : 1️⃣ S’orienter vers le service public de la petite enfance pour répondre aux besoins d’accueil diversifiés des jeunes enfants et de leurs familles ; 2️⃣ Lutter contre l’exclusion et les discriminations, s’engager pour l’équité et l’accès aux droits ; 3️⃣ Soutenir et accompagner les familles dans l’exercice de la parentalité ; 4️⃣ Favoriser le bien-être et l’émancipation des enfants et des jeunes par l’accès et la pratique : sportive, culturelle, citoyenne et environnementale. De fait, cette convention marque une belle avancée vers un avenir plus inclusif et solidaire pour tous les habitants d’Avignon. Elle témoigne d’une volonté collective de créer un cadre où chacun peut s’épanouir et accéder aux ressources nécessaires pour relever les défis du quotidien. Cnaf - Caisse nationale des allocations familiales Caf-Allocations familiales
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📢 Centres sociaux fragilisés : le rôle clé des départements Les centres sociaux sont des acteurs clés de la cohésion sociale et des solidarités ; au ❤️des politiques publiques pilotées par les départements. 👶🏼👵🏼De la petite enfance à la vieillesse, ils touchent tous les âges de la vie à travers leurs actions de prévention, d’insertion, d’accompagnement et d’animation. Les centres sociaux sont des ferments de dynamisme local et d’attractivité des territoires. ❌Pourtant, et malgré leur compétence de chef de file de l’action sociale, le soutien et la reconnaissance des départements envers les structures de l’animation de la vie sociale restent disparates d’un territoire à un autre. Voilà un des sujets qui doit être au cœur de nos échanges le 7 mars prochain. Assemblée des Départements de France, serez-vous à nos côtés pour en parler ? Fédération des Centres sociaux et Socioculturels de France #tousCOresponsables #delaCOhésionsociale
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ENFANTS A LA RUE : APPEL À RÉAGIR Toute la presse a évoqué fin août le « baromètre » des enfants à la rue publié par l’UNICEF et la Fédération des Acteurs de la Solidarité (https://lnkd.in/djbiMEw). À la veille de la rentrée scolaire, « au moins » 2 043 enfants dormaient dehors en France, un nombre en augmentation de 120% depuis 2020. L’agglomération tourangelle connait le même problème. Les quelque 800 places d’hébergement d’urgence font le plein et le 115 ne peut satisfaire toutes les demandes, qui ont augmenté de près de 50% depuis deux ans. Elles émanent souvent de familles entières avec enfants. Couramment, plus de 30 enfants restent à la rue, dont parfois quelques-uns de moins de 3 ans ! Tous les intervenants de ce secteur social, professionnels et bénévoles, et toutes les associations citoyennes s’épuisent en vain. Les services de l’État sont dans l’attente de nouvelles orientations et d’un nouveau budget, mais les prévisions ne sont pas bonnes. Au mieux, les moyens resteront identiques à ceux de l’an dernier, alors que les besoins ne cessent d’augmenter. L’association Entraide et Solidarités ne peut se satisfaire du statu quo. Elle en appelle à tous les parlementaires d’Indre-et-Loire et aux élus locaux pour qu’ils se tiennent prêts à exiger les moyens nécessaires. Elle propose à tous les intervenants du secteur de réfléchir ensemble à des propositions et à des actions pour contribuer à la résorption du sans-abrisme, en priorité quand il concerne des enfants.
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Politique publique du Logement
La Fondation Abbé Pierre alerte sur les femmes enceintes et les bébés à la rue, alors que la trêve hivernale s’arrête demain. 🔍 Il y a 330 000 SDF en France, 2 fois plus qu’il y a 10 ans 🔍 Dont 3 000 enfants chaque nuit à la rue. Selon Manuel Domergue, Directeur des études de la Fondation : « C’est du jamais vu. Les femmes enceintes, les nourrissons étaient préservés jusqu’à présent. » 1️⃣ Comment l’expliquer ? Il y a 300 000 hébergements d’urgence, il n’y en a jamais eu autant. Mais ce n’est pas encore assez pour accueillir toutes les personnes en demande. 2️⃣ Qu’est-ce qui manque ? De véritables logements sociaux de long-terme (non transitoires). Pourtant, leur construction sont en chute depuis 2016. Il y a 82 000 logements produits chaque année, alors qu’on devrait être à 150 000 nécessaires. 3️⃣ Le Gouvernement à contre-courant 🏡 Et en parallèle, le Gouvernement fait l’inverse puisqu’il détricote la loi SRU, qui impose à certaines communes un nombre minimum de logements sociaux, 25%. Le Gouvernement estime que dans les 25%, il faut intégrer les classes moyennes supérieures, donc les familles de cadres. Cela va participer à évincer les ménages les plus pauvres. M. Robert, président de la Fondation Abbé Pierre, rappelle que « lors de son dernier combat, en 2006, l’abbé était parvenu à empêcher que cette loi de 2000 soit dénaturée ». 4️⃣ L’impact des JO va jouer sur les expulsions Alors que la trêve des expulsions locatives prend fin demain, environ 140 000 personnes sont menacées d’être expulsées de leur #logement en 2024. La Fondation Abbé Pierre est très inquiète, alors que ces expulsions ont déjà augmenté de 52% en 10 ans. Beaucoup de ménages sont en situation de grande fragilité et #pauvreté. Une situation d’autant plus compliquée en région parisienne à l’approche des Jeux Olympiques. « On compte déjà une soixantaine de convocations au commissariat sur Paris, pour des ménages qu’on accompagne et où le concours de la force publique a été accordé. On n’a jamais vu un tel chiffre » dit la Fondation en Ile de France. « Nous sommes en colère. Le parc d’hébergement classique est complètement saturé. Et l’impact des JO va aussi beaucoup jouer. Les mises à l’abri passent souvent par les hôtels. Il n’y a déjà pas beaucoup de places, il y en aura encore moins cet été avec les Jeux. » 💡 Pour aller plus loin, Oxfam a publié un rapport “Logement : inégalités à tous les étages” assorti d’une série de recommandations en décembre : https://lnkd.in/eTsT9wDy
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Voilà que le cauchemar frappe à nouveau à la porte des plus fragiles. À Lyon, des dizaines de femmes accompagnées d’enfants en bas âge risquent de se retrouver brutalement à la rue dans les prochains jours, faute de places et de moyens suffisants dans le dispositif d’hébergement d’urgence de la métropole. Une situation d’autant plus frustrante que la collectivité, gouvernée depuis 2020 par une majorité de gauche à dominante écologiste, avait fait de ce sujet une priorité. Mais ses caisses sont aujourd’hui vides. Une politique jusque-là volontariste qui atteint ses limites Depuis l’arrivée au pouvoir des écologistes, la métropole lyonnaise a considérablement augmenté ses capacités d’accueil, les portant à 3000 places contre à peine 40 en 2019. Une politique saluée comme volontariste par les associations. Mais cet été, c’est la douche froide. Selon nos informations, les travailleurs sociaux ont été informés en interne que faute de budget, une quarantaine de femmes et enfants actuellement hébergés pourraient être “sortis” du dispositif et donc remis à la rue dès ce lundi 15 juillet. Une perspective qui scandalise le milieu associatif. L’argument utilisé est le même que l’été dernier quand 80 personnes ont été mises à la rue au cœur de l’été, à savoir que la métropole a mis à l’abri durant la crise sanitaire des personnes ne relevant pas de ses compétences et qu’il revient à l’État de prendre le relais. – Raphaël Vulliez, cofondateur du collectif Jamais sans toit Au titre de ses compétences sociales héritées du département du Rhône, la métropole doit en effet se charger de la protection de l’enfance. Cela inclut la mise à l’abri des mères isolées avec enfants de moins de trois ans. Mais avec la crise sanitaire, elle a élargi ses critères. Ce sont certaines de ces familles qui pourraient aujourd’hui en faire les frais. Des critères de tri “inhumains” redoutés Les associations redoutent des choix cornéliens et des conséquences désastreuses : On entend qu’il y aura des critères de santé, ce qui interroge sur le respect du secret médical. Le 115 est saturé, on va devoir faire un tri inhumain. Ce qui est annoncé c’est que la métropole n’assurera plus sa mission de mise à l’abri, au mépris de ses compétences légales. Une pilule d’autant plus dure à avaler que selon le dernier décompte, réalisé chaque semaine par Jamais sans toit, 361 enfants dont 19 bébés dorment actuellement dans la rue sur le territoire de la métropole lyonnaise. Les élus écologistes face à un casse-tête budgétaire Malgré leur volontarisme politique, les élus écologistes se heurtent aujourd’hui à un mur financier. Dans une interview au Progrès, le président de la métropoleBruno Bernard (EELV) en appelle à l’aide de l’État. Une demande de rallonge budgétaire pour maintenir les personnes à l’abri. Son vice-président en charge du logement Renaud Payre (PS) nous assure de son côté “œuvrer au déblocage de la situation” et promet une solution “d’ici la fin de s...
Voilà que le cauchemar frappe à nouveau à la porte des plus fragiles. À Lyon, des dizaines de femmes accompagnées d’enfants en bas âge risquent de se retrouver brutalement à la rue dans les prochains jours, faute de places et de moyens suffisants dans le dispositif d’hébergement d’urgence de la métropole. Une situation d’autant plus frustrante que la collectivité, gouvernée depuis 2020 par u...
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✊L'histoire de la solidarité s'écrit chaque jour. Donnons-nous les moyens de la poursuivre. Chaque année, notre mission d'aide aux personnes démunies est un défi. Les associations de solidarité peinent à répondre aux demandes croissantes, notamment de femmes et de familles à la rue, avec de jeunes enfants. Malgré les efforts pour atteindre 200 000 places d’hébergement, la France compte plus de 330 000 sans-abri et 4 millions de mal-logés. Les besoins dépassent largement l’offre disponible. 📈 En 2023, jusqu’à 6 000 personnes ont sollicité en soirée le 115, et la Nuit de la solidarité a recensé 3 015 personnes dans les rues de Paris, dont 14% de femmes. ➡ Malgré tout, nos programmes d’insertion pour le logement, la santé, l’emploi et la formation, ainsi que nos initiatives personnalisées d’accompagnement par la linguistique, la culture et les loisirs, ont permis à de nombreuses personnes de reprendre pied. ➡ Avec 83 centres d’hébergement et logements accompagnés, offrant 5 308 places et totalisant 1 675 902 nuitées, notre action de terrain n’a jamais été aussi palpable. 725 personnes ont été relogées dans le parc social ou en logements accompagnés grâce à la qualité des évaluations sociales et le soutien précieux de la mission Logement. Nos 4 maraudes ont permis d’effectuer 7 418 rencontres et nos 19 espaces de jour et de nuit ont enregistré 408 211 passages. Dans un contexte général très difficile, nous avons vu des vies se transformer et des espoirs renaître. Ces parcours de résilience, empreints de courage, sont la preuve tangible de l’impact de nos missions. Alors que certaines idéologies politiques tentent de nous tromper par la peur et la haine, notre soutien envers les plus précaires doit se poursuivre. Sans condition. Notre rapport d'activité pour l'année 2023 est consultable ici, dans son intégralité : https://lnkd.in/eYmgWZDi
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Je suis fière d’avoir créé avec mes collègues de la communication ce guide des aides et de la solidarité à Lagny-sur-Marne : Un outil pour mieux vous accompagner au quotidien ! Un outil essentiel pour aider les Latignaciens à naviguer dans l’ensemble des services sociaux et des associations qui les accompagnent. Ce guide vise à faciliter l’accès à vos droits, qu’il s’agisse d’aides financières, de soutien aux familles, de services pour les personnes âgées, de soutien aux personnes handicapées ou d’autres dispositifs sociaux. Pourquoi ce guide est-il important ? - Visibilité renforcée : Le guide regroupe toutes les informations nécessaires sur les services sociaux et les associations qui œuvrent pour les Latignaciens , afin qu’ils sachent précisément où se tourner pour chaque besoin. -Lutter contre le non-recours : Nombreuses sont les aides disponibles mais encore trop d’habitants ne connaissent pas toutes les possibilités. Ce guide permet de lutter contre le non-recours en fournissant une vision claire et accessible de toutes les démarches possibles. Où trouver le guide ? Le guide des aides et de la solidarité est disponible à l’accueil du CCAS, à la mairie et en ligne sur le site de la ville de Lagny-sur-Marne. #lagnysurmarne #solidarité Mélanie Le Manac'h Stéphanie Marcoux
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[ #JeSonnelAlarme ] 90 % des associations* rencontrent des difficultés de recrutement 2/3 des associations* constatent une dégradation de l’accompagnement 1 association* sur 3 a été contrainte de fermer un service Près de 40 % des associations* ont des difficultés de trésorerie Tous vulnérables, tous concernés ! Aujourd’hui parce que l’un de nos proches, un voisin, un ami, a besoin de soins et d’attentions… demain car nous aurons peut-être, nous aussi, besoin d’être accompagnés. Dans quelle société voulons-nous vivre, grandir, vieillir ? Ils sont des milliers à avoir sonné l’alarme... Il y a urgence à agir. Je rejoins le mouvement et je sonne l'alarme ! Rejoignez le mouvement vous-aussi : Signez la pétition ! ➡ https://chng.it/kBtXw2Xsz5 Partagez avec le hashtag #JeSonnelAlarme Vous êtes concernés à titre professionnel ou personnel >> Témoignez avec le hashtag #JeSonnelAlarme ! *Ces chiffres sont issus de l'enquête Uriopss-Uniopss adressée à tous les adhérents au national "Le réseau se mobilise pour faire remonter vos difficultés" en décembre 2023. En savoir plus https://urlr.me/4WpsP #jesonnelalarme #petition #associatif
Cette campagne a besoin de vous
change.org
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Hier, c’était la Journée internationale des droits de l’enfant. Mais peut-on réellement les célébrer alors que, chaque nuit, des enfants dorment encore dehors, dans le froid ? ❄️ Dans le 18e arrondissement de Paris, notre centre d’hébergement d’urgence Valadon, aménagé dans un ancien lycée, accueille des familles avec des enfants en bas âge pour leur offrir un abri face à cette réalité dramatique. Les familles accueillies, sortent directement de la rue, souvent avec des enfants en bas âge. Sur France Inter, notre directeur général Lotfi Ouanezar rappelle l’urgence : plus de 2 000 enfants vivent actuellement à la rue. Une situation inacceptable, d’autant plus critique avec la chute des températures qui devrait d’autant plus nous alerter sur la nécessité d’un plan massif d’ouvertures de places d’hébergement. Un grand merci à France Inter pour ce reportage qui met en lumière ce centre ouvert en collaboration avec la Ville de Paris et la Mairie du 18e arrondissement. Le centre Valadon accueille aujourd’hui 120 personnes – un effort collectif pour répondre à l’urgence mais toujours insuffisant face à une situation générale qui s’aggrave. 👉 Pour rappel, selon le baromètre de la Fédération des acteurs de la solidarité et de UNICEF France, la situation des enfants sans abri reste critique et exige des réponses immédiates et durables. À relire ici : https://lnkd.in/epDBGsTM
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L’une des premières missions de l’abej SOLIDARITÉ est « d’aller vers » et pour la mener à bien elle s’appuie sur les équipes mobiles 🚶 👋 Leur rôle ? Partir à la rencontre des personnes sans-abri dans les rues de Lille et de la MEL et particulièrement celles qui fréquentent peu, voire plus du tout, les dispositifs de prise en charge qui leur sont dédiés. 🤝 Leur objectif ? Établir une relation et créer du lien avec ces personnes pour les amener à se remettre dans une démarche d’insertion ou d’accès aux soins, et les accompagner vers les dispositifs existants ; notamment en matière d’hébergement et de logement. 💪 Leurs résultats ? En 2023, les équipes mobiles de l’abej SOLIDARITÉ : - ont rencontré 319 personnes - mené 1124 entretiens de prise de contact ou de maintien de lien - réalisé 907 orientations vers un dispositif de soins, de nuit ou d’accompagnement social 👩⚕️ Bravo à elles pour ce travail précieux qui permet de faire vivre la solidarité et permet chaque année de mettre sur le chemin de la réinsertion des centaines de personnes ! Pour en savoir plus : https://swll.to/YxsRRAj #solidarité #sansabri #association #Lille
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Maire de Trouville sur mer
8 moisEffectivement, alors que notre population vieillit, que de plus en plus de nos aînés devront avoir des aides pour pouvoir rester à domicile, nous avons de moins en moins de moyens financiers notamment pour maintenir un service d’aides à domicile de qualité …